Gina Palerme

Irène de Maulmont, dite Gina Palerme (1885 - 1977), est une comédienne, danseuse et chanteuse de music-hall française.

Gina Palerme
Gina Palerme en 1915 par Alexander Bassano
Nom de naissance Marie-Louise Irène de Maulmont
Surnom La Cocotte Française
Naissance
Bussière-Galant, Haute-Vienne, Limousin, France
Nationalité Française
Décès (92 ans)
Les Pavillons-sous-Bois, France
Profession Actrice, Chanteuse
Films notables L'Éternel féminin, Margot, Au Secours !

Biographie

Issue d’une famille de vieille noblesse limousine de la région de Châlus, elle est une des descendantes de Louise Borgia, fille de Cesare Borgia, lui-même fils de Rodrigo Borgia. Femme de caractère, moderne, facétieuse et surprenante, elle est l'une des vedettes féminines de music-hall qui ouvrent la voie de la célébrité moderne à de nombreuses actrices de cinéma françaises.

Dès 1911, Gina Palerme séduit le public des comédies musicales lors de sa participation dans des productions londoniennes de music-hall du West End theatre. Devenue une vedette de la British musical comedy, du fait de ses qualités scéniques et son allure sensationnelle, elle est dénommée, outre-Manche, « La Cocotte française ».

Au début des années 1920, Gina Palerme revient en France. Elle y mène une courte carrière d'artiste, et de producteur, de cinéma. Son jeu et son allure scénique, liés aux images en mouvement, ne survivent pas à la disparition du cinéma muet.

Dotée d'une certaine notoriété acquise sur scène à Londres puis au cinéma en France, sportswoman adepte de l'Hébertisme, bénéficiant d'un physique avenant mis à profit comme modèle et mannequin, Gina Palerme revient à sa carrière d'artiste de scène. Elle conduit, à partir du milieu des années 1920, des revues de music-hall dans des salles de spectacle parisiennes.

Gina Palerme cesse toute activité professionnelle en 1929 à l'âge de 45 ans. Elle se marie en 1932 et décède, à 92 ans, le .

Généalogie

Irène de Maulmont est issue d'une vieille famille limousine, la famille de Maulmont, dont la présence est attestée dans les monts de Châlus depuis 1088[1]. Les Maulmont, bâtisseurs du château de Châlus-Maulmont, ont pour autre illustre représentant Géraud de Maulmont.

Blason famille de Maumont.

Le baron Aymard de Maulmont, père d'Irène, est établi à la fin XIXe siècle au Mas du Loup, propriété située dans les monts de Châlus sur la commune de Dournazac. Il y épouse, en 1881, Antoinette Gazenaud, receveuse des Postes sur cette même commune, puis sur celle, presque voisine, de Bussière-Galant. De leur union naît, à Bussière-Galant, le à minuit, Marie-Louise, Irène de Maulmont, dite Irène selon l'usage limousin qui consiste à prendre comme prénom d'usage le dernier prénom déclaré à l'état-civil. Irène, comme sa sœur cadette Rose, passe sa petite enfance entre les propriétés familiales du pays de Châlus et le château de la Ribeyrie (Saint-Gilles-les-Forêts)[2].

En 1891, son père, Aymard de Maulmont, décède. Déjà orphelines de leurs quatre grands-parents, Irène, alors âgée de six ans, et sa sœur Rose, n'ont plus que leur mère, Antoinette, receveuses des Postes[3] pour assurer leur éducation.

Dès ses premières apparitions notables, Irène de Maulmont prend, pour la scène, un nom qui fait doublement référence à l'Italie, Gina Palerme. Elle apparaît sous ce pseudonyme en , à l'âge de 23 ans, dans une revue féérie à l'Olympia : 1909, des femmes... rien que des femmes, laissant le souvenir d'une commère étincelante[4]. En , elle tient un rôle à La Cigale, dans Tu blagues !, un spectacle de Jacques Bousquet et Georges Arnould dans lequel se produisent Édouard de Max et Ellen Baxone, et qui marque la réouverture de l'établissement.

Carrière

Remarquée par un entrepreneur anglais de théâtre, elle part pour Londres où elle joue dans diverses productions de la British musical comedy du West End theatre, genre théâtral qui vit, dans les années 1920, la fin de son âge d'or et dont elle devient une vedette. Sur cette même période, sa sœur puînée, Rose de Maulmont, est cantatrice à Covent Garden.

La première apparition de Gina Palerme sur scène londonienne se fait en 1911 à l'Adelphi Theatre dans la comédie musicale The Quaker Girl[5] (musique de Lionel Monckton). Elle y tient le rôle de Toinette, vendeuse de la Maison Blum, qui lui permet de donner quelques répliques et de chanter un bref solo[6]. Puis, elle prend le rôle de Diane, tenu à l'origine par Phyllis LeGrand.

En 1912, elle joue, toujours à l'Adelphi Theatre, dans The Dancing Mistress. Elle y tient le rôle de Lili, rôle qui dépasse la simple figuration ou participation au chorus. Elle amène a touch of Parisian diablerie à la comédie[7]. La musique de Lionel Monckton est jouée par James T. Tanner, et les chants sont signés Adrian Ross et Percy Greenbank. The Dancing Mistress est joué, à partir du durant 242 représentations. Le rôle principal, celui de Nancy, la dancing mistress, est tenu par Gertie Millar.

En 1914, Gina Palerme joue dans Betty[8], sur une musique de Paul A. Rubens (1875 - 1917) et d'Ernest Steffan (1896 - 1967) et des paroles d'Adrian Ross et Paul A. Rubens.

Toujours en 1914, Gina Palerme tient le rôle principal dans Plantons les Capucines avec Dominique Bonnard et Maurice Froyez, une revuette donnée à l'Ambassadors Theatre à partir du . On la retrouve ensuite, toujours en rôle principal, dans Bric-a-Brac (1915), puis dans Vanity Fair (1916)[9]. Suivent La Petite Chocolatière (de Paul Gavault, 1917), Finsbury (1917), et The Girl for the Boy (1919), comédie écrite pour elle.

Gina Palerme est décrite, outre-Manche, comme « la plus belle femme de France ». Elle est donnée comme l'une des inspiratrices du personnage de My Fair Lady. Elle apparaît également dans une publicité pour des soins capillaires. Devenue une vedette du genre, Gina Palerme est qualifiée de « toast of the british musical comedy ». Fasciné par sa beauté physique, son jeu sur scène et sa personnalité, Cecil Beaton écrit « Gina Palerme a apporté tout le glamour de la Cocotte française à Londres »[10].

Elle rentre en France en 1920, forte de sa notoriété acquise sur scène à Londres. Elle y mène, durant cinq années, une carrière d'actrice de cinéma muet. Elle rencontre rapidement le succès en tenant le rôle féminin principal du film de Roger Lion L'éternel féminin, sorti à l'écran en 1921[11].

En 1922, elle joue dans Margot (1922)[12], puis tient le premier rôle dans L'idée de Françoise de Robert Saidreau (1922) avec André Dubosc. Elle enchaîne, en 1923, avec Frou-frou de Guy du Fresnay, film dans lequel joue également Berthe Jalabert. En 1923, elle joue dans La Bataille. En 1924, elle joue dans The Danger line d'Édouard-Émile Violet, et Au secours d'Abel Gance. Enfin, en 1925, elle retrouve Roger Lion dans La Clé de voûte.

Gina Palerme, apôtre de la culture physique[13], est une sportswoman accomplie[14]. Pratiquant de multiples activités sportives, dont l'escrime[15], elle exprime une nouvelle forme de corporalité féminine alliant la force à la grâce. Elle insiste sur les mérites d’une culture physique spécifiquement destinée aux interprètes de cinéma. Elle milite ouvertement pour les théories de Georges Hébert, figure marquante de la gymnastique française dont la méthode naturelle ou École de l’athlète complet a été déjà développée dans un cadre militaire durant la Première Guerre mondiale[16]. S'exprimant dans un article intitulé « Les artistes de cinéma doivent faire du sport » publié dans Mon Ciné en 1922, Gina Palerme déclare « l’acteur de cinéma doit accroître ses capacités physiques ». Les vignettes représentant des attitudes chorégraphiques et agrémentant les articles consacrés à Gina Palerme soulignent l'assimilation qu'elle fait de la danse à la culture physique. Pour Gina Palerme, des compétences purement artistiques ne suffisent pas à édifier un véritable « art de gestes ». La danse, qu'elle qualifie d'« agréable sport », et qui fait partie intégrante de son programme de culture physique, permet l’« entretien des muscles », tout en garantissant des « mouvements harmonieux ». Gina Palerme précise qu’il ne s’agit pas de danses telles que le fox-trot ou le shimmy, mais de celles qui font adopter au corps des « attitudes [...] impossibles à réaliser sans entraînement »[17].

De 1924 à 1928, Gina Palerme poursuit sa carrière comme artiste de scène, se produisant sur scène en divers lieux parisiens. Elle est à l'Olympia en 1924, dans un numéro mixte de chant et de cinéma. Sa prestation est précédée, en première partie d'Antonin Berval qui fait ses débuts sur scène parisienne, et, en seconde partie, d'Argentina[18]. Elle se produit aux Ambassadeurs en 1925[19].

En 1926, alors que le Moulin Rouge rénové vient d'ouvrir après dix années de fermeture, Gina Palerme conduit la revue Montmartre aux nues. Cette revue de Pierre Foucre est produite par Earl Leslie. Jacques Charles et Charles-Louis Pothier en sont les paroliers. Gina Palerme y évolue en compagnie de Garrick, d'Yvonne George[20], de Randall, Raymond Dandy et de Dréan sur une composition de José Padilla Sánchez, avec le Spark's Ballet de Vienne[21], bénéficiant des costumes et décors de Charles Gesmar.

Disposant d'un physique avenant, elle travaille parallèlement comme modèle, pour les créateurs de mode[22], le coiffeur Mayo (1925)[23], les bijoux Oréum (1926)[24], les savons Cadum. À l'instar de bien d'autres « demoiselles du Moulin Rouge » dont Mistinguett[25], elle est, entre 1925 et 1928, très présente dans l'Officiel de la Mode.

Le , Gina Palerme est victime d'une étrange agression. Vers 4 heures du matin, alors qu'elle dort dans sa chambre au premier étage de sa villa située au 80 du quai de Varenne à La Varenne-Saint-Hilaire (Saint-Maur), deux coups de feu sont tirés dans sa direction, sans l'atteindre. Le tireur, accompagné d'autres personnages dont, dans l'obscurité, Gina Palerme ne peut évaluer le nombre, se retire immédiatement après avoir tiré, sans même essayer de pénétrer dans la chambre, dont les vitres de la fenêtre ont volé en éclats. L'enquête sur ces événements est menée par le commissaire de police Pineau, en poste à Saint-Maur. Il constate que les malfaiteurs qui se sont introduits dans le jardin de la villa ont utilisé trois échelles liées bout à bout pour atteindre la fenêtre de la chambre. Cette agression, rapportée diversement par la presse populaire satirique[26], reste une énigme non élucidée. Gina Palerme déclare pour sa part à la police que la vengeance et non le vol, est à l'origine de ces événements.

Dotée d'une certaine notoriété liée à son statut d'actrice de cinéma, les journaux rendent compte de ses apparitions dans les lieux populaires et les événements mondains. Elle apparaît, en , dans un Pathé-revue[27], petits films mixant d'actualités projetés dans les cinémas en ouverture de séance[28]. Elle est vue, en 1927, dans les loges des Six jours de Paris, événement populaire également fréquenté par les stars du cinéma, du théâtre, de la chanson, et des chroniqueurs mondains tels Georges Goursat, Paul Vaillant-Couturier, Georgel, Saint-Granier, Jacques Natanson, Georges Biscot, Henri Bernstein, Blanche Montel, Christiane Dor, Huguette Duflos ou Marthe Régnier[29].

Durant l'été 1928, à 43 ans, elle est sur scène au Concert Mayol alors que celui-ci produit encore des spectacles d'une certaine qualité. Elle mène la revue La Volupté de Paris, revue qui voit débuter sur scène parisienne les Rocky Twins[30] qui reviendront à Paris, l'année suivante, pour se produire avec Mistinguett.

En 1929, une information - ou rumeur - selon laquelle Gina Palerme part en Amérique du Nord répondre à un important engagement, circule dans la presse populaire[31].

Redevenue Iréne de Maulmont, et déclarée « sans profession », elle épouse le samedi , à l'âge de 47 ans, Pierre Palette, employé de commerce, lui-même âgé de 39 ans, à Boulogne-Billancourt. L'acte de mariage signale, comme témoins, un employé et un comptable, Mignon Gazanaud et René Vin. Le couple habite alors dans cette même ville, au numéro trois de l'avenue Jean-Baptiste-Clément, avenue sur laquelle réside également Abel Gance.

Irène de Maulmont décède, sans descendance, à 92 ans, aux Pavillons-sous-Bois, le lundi .

Music Hall

  • Des femmes... rien que des femmes, 1909, à l'Olympia, Paris[4] ;
  • Tu blagues !, 1910, à La Cigale, Paris. Spectacle de Jacques Bousquet et Georges Arnould dans lequel se produisent également Édouard de Max et Ellen Baxone ;
  • The Quaker Girl[5], 1911 à l'Adelphi Theatre, Londres. Rôle de Toinette, vendeuse de la Maison Blum[6], puis, de Diane, tenu à l'origine par Phyllis LeGrand. Musique de Lionel Monckton ;
  • The Dancing Mistress, 1912, à l'Adelphi Theatre, Londres. Rôle de Lili[7] avec Gertie Millar dans le rôle de Nancy. Musique, de Lionel Monckton joué par James T. Tanner. Chants d'Adrian Ross et Percy Greenbank. The Dancing Mistress est joué, à partir du durant 242 représentations.
  • 1914, Betty[8], Londres. Musique de Paul A. Rubens et d'Ernest Steffan. Paroles d'Adrian Ross et Paul A. Rubens ;
  • Plantons les Capucines, 1914, à l'Ambassadors Theatre, Londres. Revue avec Dominique Bonnard et Maurice Froyez, donnée à partir du [32] ;

Cinéma

Actrice

  • La Clé de voûte (Comédie dramatique, 1 h 20). Réalisateur et scénariste : Roger Lion. Distributeur d'origine Mappemonde Films. Directeur de la photographie Georges d'Arnoux. Décorateur Armand Bonamy. Producteur Gina Palerme. Sortie en France, .

Une douce femme du monde recueille un enfant d'une pauvre ouvrière qui fut séduite puis abandonnée. L'enfant va changer le caractère du mari, qui était libertin et délaissait sa femme en mal d'enfant. La petite tête blonde lui redonne le goût de vivre dans un foyer, devenu agréable. L'ouvrière retrouvera son enfant, après bien des aventures.

Un jeune homme fait le pari de rester une nuit dans une maison hantée, où se produisent des phénomènes étranges. Il tient bon, jusqu'au moment où un appel téléphonique angoissé de sa fiancée (Gina Palerme) lui parvient. Il s'avoue vaincu, et donne l'argent à l'autre parieur qui, goguenard, empoche les 100 louis...

« Frou-Frou », la fille cadette de M. Brigard, a épousé M. de Sartorys dont elle a eu un enfant. Toute à ses plaisirs, elle abandonne le soin de sa maison et de son fils à sa sœur Louise. Celle-ci s'impose si bien dans la maison que « Frou-Frou », jalouse, part à Venise avec son amant. Son mari l'y rejoint et tue son rival en duel.

Le marquis Yorisaka, durant la guerre russo-japonaise, s'intéresse à l'attaché naval anglais, afin de percer les secrets de l'amirauté britannique. Il force sa femme à adopter le style européen. Elle devient la maîtresse de l'Anglais. Le marquis les surprend...

M. et Mme Noblet, sans cesse au bord de la faillite, ont deux filles, la rieuse Lili (Gina Palerme) et la prévoyante Françoise. Lili aime un jeune avocat, Napoléon Couture. Mais, pour sauver ses parents de la catastrophe, elle épouse un riche quadragénaire. Françoise décide de se substituer à sa sœur pour le mariage mais tombe amoureuse d'un ingénieur...

Mme Doradour de la Houville emploie une demoiselle de compagnie, l'aimable Margot (Gina Palerme). Elle a un fils, hussard de belle prestance, qui éblouit la jeune fille, mais Gaston n'a d'yeux que pour Mme de Vercelles. Le mari de cette dernière pris de soupçons, surprendrait les amoureux si Margot n'agissait pas...

  • L'Éternel féminin (Comédie, 1 h 09). Réalisateur : Roger Lion

Productrice

En 1925, Gina Palerme est la productrice de deux films, La Clé de voûte, et un Lucrezia Borgia.

Dans chacun de ces deux films, elle fait un lien avec sa famille. Ainsi, dans La Clé de voûte, un drame bourgeois, elle donne à son personnage, qui tient le rôle principal de l'intrigue, le prénom de sa sœur, Rose[33]. Quant à Lucrèce Borgia, il s'agit d'un personnage historique avec qui elle entretient un lien de famille, étant elle-même descendante du pape Alexandre VI[34] par son arrière-grand-mère paternelle, Sophie de Royère, descendante de Marguerite de Bourbon, petite-fille de César Borgia et fille de Louise Borgia, dame de Châlus.

Le Lucrezia Borgia de 1925 produit par Gina Palerme est un film muet, mis en scène par Abel Gance qui ne se confond pas avec Lucrèce Borgia, autre film, sur le même sujet, avec lequel Abel Gance connaît le succès 10 ans plus tard.

Lien externe

Références

  1. « Généalogie de la famille de Maulmont, seigneurs de Tonnay-Boutonne (17) », sur le site Histoire p@ssion, (consulté le )
  2. Francis Laroulandie, Le Mas du Loup, vol. IX, Association Histoire et archéologie du pays de Châlus, , 58 p., p. 37 à 42
  3. « Arbre généalogique d'Irène de Maulmont », sur le site, (consulté le )
  4. Le Journal amusant : Entre cour et jardin, 1909.. des femmes... rien que des femmes., t. 499, Paris, , 16 p. (lire en ligne), p. 11
  5. « The Quaker Girl », sur le site Stage Beauty, (consulté le )
  6. « paroles de The quaker girl », sur le site de Fraser Charlton, (consulté le )
  7. « The Dancing Mistress », sur le site Stage Beaty, (consulté le )
  8. « Betty - 1915 », sur le site de Colin Johnson, (consulté le )
  9. « Gina Palerme », sur le site arts-autographs, (consulté le )
  10. « Gina Palerme actress and dancer », sur le site de la National Portait Gallery, (consulté le )
  11. « Roger Lion », sur le site 1895 de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma, (consulté le )
  12. « Margot », sur le site cinémotions, (consulté le )
  13. Ciné-Miroir : Entraînement de vedette. Mlle Gina Palerme apôtre de la culturephysique, , chap. 48, p. 125
  14. Cinéa-Ciné pour tous : «Gina Palerme est une sportswoman et une danseuse accomplie», Paris, (lire en ligne), chap. 67, p. 18
  15. « Du studio à la salle d'armes », sur le site Virtual History, (consulté le )
  16. Laurent Guido, L'Âge du rythme : Cinéma, musicalité et culture du corps dans les théories cinématographiques françaises 1910-1930, Lausanne, Payot Nadir, (lire en ligne)
  17. Gina Palerme, Mon Ciné : « Les artistes de cinéma doivent faire du sport », , chap. 37, p. 12-13
  18. Cyrano, hebdomadaire satirique : Au fil de la scène, Argentina, le lever de l'Étoile, vol. 632, Paris, , 36 p. (lire en ligne), p. 30
  19. « Gina Palerme en 1925 », sur le site le site Jalou Gallery, (consulté le )
  20. René Baudelaire, La Chanson réaliste, Paris/Montréal, L'Harmattan, , 83 p. (ISBN 2-7384-4831-3, lire en ligne), p. 81
  21. Le Figaro : le courrier des théâtres, (lire en ligne)
  22. « Gina Palerme », sur le site Jalou Gallery, (consulté le )
  23. « Gina Palerme, mannequin pour Mayo coiffure », sur le site Jalou Gallery, (consulté le )
  24. « Gina Palerme sur une réclame des bijoux Oréum en 1926 », sur le site Hprints, (consulté le )
  25. « Gina Palerme posant pour les savons Cadum en 1927 », sur le site Hprints, (consulté le )
  26. Cyrano, hebdomadaire satirique : Le film de Gina Palerme, t. 124, Paris, , 37 p. (ISSN 1160-4794, lire en ligne), p. 15
  27. « Gina Palerme dans les actualités au cinéma », sur le site des archives Gaumont, (consulté le )
  28. « Gian Palerme dans Pathé Revue n°52 », sur le site la filmographie Pathé de la Fondation Jérôme Seydoux,
  29. Jack Plunkett, Paris Match : Les 6 jours de Paris, sur la pelouse, t. 23, Paris, , 16 p. (lire en ligne), p. 8
  30. « The outrageous rocky twins », sur le site Jazz Age Club, (consulté le )
  31. L’œil de Paris : une Étoile a disparu, vol. 104, Paris, , 20 p. (lire en ligne), p. 11
  32. « Maurice Froyez », sur le site Wikipédia, (consulté le )
  33. « Roger Lion », sur le site 1895, de l'association française de recherche sur l'histoire du cinéma, (consulté le )
  34. Francis Laroulandie, Gina Palerme, une Cocotte au pays de Châlus, vol. IX, Association Histoire et archéologie du pays de Châlus, , 58 p., p. 32 à 36
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