Flamarens
Flamarens (Flamarens en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.
Flamarens | |||||
Le château au début du XXe s. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Condom | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Lomagne gersoise | ||||
Maire Mandat |
Dominique Blanc 2020-2026 |
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Code postal | 32340 | ||||
Code commune | 32131 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Flamalingois | ||||
Population municipale |
153 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 01′ 05″ nord, 0° 47′ 37″ est | ||||
Altitude | Min. 77 m Max. 212 m |
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Superficie | 14,36 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lectoure-Lomagne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont les Flamalingois et les Flamalingoises.
Géographie
Localisation
Flamarens est une commune de Gascogne située sur l'ancienne route nationale 653 entre Valence et Fleurance, dans la Lomagne. Elle est limitrophe du département de Tarn-et-Garonne.
Communes limitrophes
Géologie et relief
La Lomagne se divise en deux : la Lomagne dite calcaire et la Lomagne de terre. Flamarens se situe dans cette dernière. Cette région du Gers est caractérisée par une agriculture d'une haute technicité : blé et maïs, mais aussi melon, ail, graines de semences, représentant l'activité essentielle d'une population clairsemée. Les élevages de basse-cour jouent aussi un grand rôle.
Flamarens se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valence », sur la commune de Valence, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 740,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, dans le département de Lot-et-Garonne, mise en service en 1941 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Flamarens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
L'habitat humain, qu'on peut observer à Flamarens est le fruit de cette activité économique. Il est caractérisé par de vastes maisons basses, isolées, couvertes d'un immense toit de tuiles creuses, sous lequel cohabitent les hommes, le cheptel et les récoltes.
Certaines de ces maisons ont des façades animées par de grands porches appelés « emban » ou « balet » ouverts sur l'extérieur par des poteaux, des colonnes, des arcades.
Près des habitations ont été construits les bâtiments annexes :
- le fournil abritant cochons, volailles ou le bois de réserve ;
- la grange-hangar rectangulaire à la toiture à deux pans ;
- le pigeonnier qui est tantôt intégré à la maison mère, tantôt indépendant.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,6 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), forêts (9 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Selon une légende locale, le village se serait appelé autrefois Arens mais à la suite d'un violent incendie les habitants auraient associé la notion de flamme à l'ancien vocable qui serait ainsi devenu Flam-arens[21].
Quand Flamarens ne se nommait point encore
Et quand pourtant sur ce coteau
Veillait sur la vallée un village
Un terrible incendie resté dans les mémoires
Ne laissa debout que de rares chicots[22]
En réalité, le nom du village n'est attesté que sous les formes anciennes : de Flamalingis en 1097, Flamarenxs en 1289[23].
La finale -ens (parfois -eins cf. Tonneins) est fréquente dans la toponymie du sud ouest, moins ailleurs dans le sud. Elle remonte généralement au germanique -ing(en), suffixe marquant la présence et la propriété. Il a été romanisé en -ingos[24].
Albert Dauzat et Charles Rostaing[25] expliquent le premier élément par les noms de personnes germaniques *Fladmal conjecturel, basé sur le thème Flad- commun dans l'anthroponymie germanique, ou alors Flatamar que l'on retrouverait dans le nom de lieu burgonde Flammerans (Côte-d'Or, Flamerens 1139).
Ernest Nègre[26] leur préfère le nom de personne germanique Filemar(us).
Le gentilé des habitants les Flamalingois est basé sur la forme la plus ancienne Flamalingis.
Histoire
Les vicomtes de Lomagne, les Durfort, les Galard, puis les Grossoles possédèrent cette seigneurie.
En 1466 Jean de Grossolles, nouveau propriétaire, possède environ 8 000 hectares de terre dont 2 000 sont cultivés. Il décide en 1469 de construire un château neuf, sur l'emplacement d'un castrum, attesté en 1289, et convoque pour cela un maçon limousin du nom de Jean de Cazanove qui établit un bail à ouvrages[27].
Il s’engage à construire, en deux ans, un corps de logis de deux pièces et un donjon (aujourd’hui la tour d’escalier), moyennant 241 écus d’or, 50 mesures de blé, 21 pipes de vin rouge, bon, pur, naturel et marchand, 3 pipes de piquette, 5 vaches convenables, 7 porcs âgés de 2 à 4 ans, des paires de poules, de canards et d’oies, des douzaines d’œufs (payable par deux fois à la Saint Barthélemy et le ravitaillement au fur et à mesure des besoins).
En 1535, le fils de Jean de Grossolles, Barnard, va agrandir le château. C’est Georges Dauzière, lui aussi maçon limousin, qui sera chargé des travaux.
Sur les deux pièces restantes du château du XIIIe, il surélève les murs sur trois niveaux et rajoute une énorme tour de 12 mètres de diamètre.
À la suite de cette construction, il va aussi agrandir l’église, consacrée en 1545 (suppression du mur entre la petite tour salle du XIIIe et l’ancienne église).
La Maison de Grossoles, dont les seigneurs de Flamarens sont une branche, est une des plus considérables et des plus distinguées dans la province de Guyenne, où elle a possédé des emplois et des dignités très honorables, ecclésiastiques et militaires, et pris des alliances avec les maisons les plus illustres du royaume.
Parmi cette lignée célèbre, certains personnages ont marqué leur temps :
- Jean de Grossoles, le premier occupant du château de Flamarens, est celui qui y entreprend la construction du château en 1466. - Un siècle plus tard, en 1545, Herrard de Grossoles, élu évêque de Condom en 1521, est à l’origine de la construction de l’église de Flamarens. Qualifié de grand bâtisseur, c’est à lui que l’on doit l’achèvement des travaux de la cathédrale de Condom ainsi que la réalisation du cloître, sans compter de nombreuses chapelles dans son diocèse. - On remarque, en 1560, Renaud de Grossoles, sénéchal des pays de Marsan, puis sénéchal des Tursan et de Gavaudan, gouverneur de Mont-de-Marsan et chevalier de l’ordre du Roi. Le roi Henri III lui écrira plusieurs lettres en citant cette distinction. - En 1609, un autre Jean de Grossoles épouse Françoise d’Albret, cousine d’Henri IV.
À la suite de cette alliance, la branche des Flamarens est rattachée à la branche des Bourbons et les Grossoles de Flamarens sont autorisés à porter « écartelées, dans leur blason, les armes de France. - En 1641, Antoine Agesilias de Grossoles est célèbre pour avoir été l’amant de mademoiselle de Montpensier. - Quelques années plus tard, François Gaston de Grossoles, quant à lui, doit sa renommée à son exil en Espagne pour cause de duel.
Cette grande famille disparaît en 1878 avec la mort de Jules Alexandre, comte de Flamarens, conseiller général et sénateur du Gers sous Napoléon III. Sans postérité, la maison de Grossoles s’éteint après avoir fourni une brillante lignée de 15 seigneurs-marquis de Flamarens.
Le château est vendu en 1882 et devient alors la propriété de la famille Galard-Magnas jusqu’en 1963.
Cette famille va l’habiter jusqu’en 1920-1930, puis l’abandonner car les toitures sont en trop mauvais état (faute de moyens pour faire les réparations nécessaires). Ils essaieront de le vendre en 1928, et voudront même le donner à l’État en 1939.
C’est probablement au XVIIe siècle que le château est à son apogée, on disait d’ailleurs en gascon Lo castèt de Flamarens, bèt dehore, bèt deguèns (le château de Flamarens beau dehors comme dedans). Il était alors la résidence préférée de la marquise Marie-Françoise de Flamarens, parente de Madame de Sévigné.
En , un incendie dû à la foudre brûle la plus grande partie des toitures. Dans les années 1960, le château est alors vendu en pièces détachées (cheminées en marbre, carrelage, parquet, poutres, etc.).
En 1963, M. Coustaing, dentiste à Paris, va le racheter et faire des travaux de sauvegarde : réfection de la moitié de la toiture de la partie XVe, réfection des trois fenêtres de la grosse tour avec leurs meneaux (1970).
En 1983, il est racheté par une SCI familiale, la famille Gadel, et une nouvelle campagne de restauration commence
Exactions durant l'occupation allemande (1944)
Durant la Seconde Guerre mondiale, les habitants du village, comme de celui de Dunes dans le département voisin de Tarn-et-Garonne où 11 hommes sont pendus, sont victimes des exactions des troupes d'occupation allemande. « C'est généralement à tort que l'on attribue à des troupes SS, ces exactions qui ont été le plus souvent données par le haut commandement allemand à la Wehrmacht » confirme l'érudit gersois Guy Labedan[28].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31]. En 2018, la commune comptait 153 habitants[Note 4], en augmentation de 18,6 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Manifestations culturelles et festivités
Début août, un festival de chansons françaises sur trois jours se déroule dans la cour du château[34].
Cultes
Flamarens se situe sur la via Podiensis du Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
L'étape précédente de ce pèlerinage est la commune de Saint-Antoine-sur-l'Arrats, la suivante étant Miradoux, ancienne bastide.
L'association Art Terre 32 organise dans la cour du Château un Festival de Chanson Français la première semaine d'aout
le Château est visitable du 1er juillet au 31 aout tous les jours sauf les Mardi
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de Flamarens est une de ces gentilhommières gasconnes avec fenêtres et mâchicoulis, à la charnière du fortin passé, et de la résidence nouvelle, logis carré aux deux tours rondes. On disait alors : Lo castèt de Flamarens, bèt dehore, bèt deguéns (le château de Flamarens, beau dehors comme dedans). Un castrum est mentionné sur le site en 1289. Une partie du château date de la fin du XIIIe siècle. Un bail de construction est daté de 1469.
- Il se dégrada et en 1851 le poète agenais Jasmin traduisait cela par : poulit deforo, led dedéns (beau dehors, laid dedans).
Les Grossoles furent propriétaire du site jusqu'en 1882. Il est alors acheté par la famille Galard-Magnas qui le possède jusqu'en 1963 mais l'abandonne dans les années 1920 faute de moyens pour l'entretenir. Puis le château fut laissé à l'abandon. Un incendie provoqué par la foudre, en , faillit l'achever. Le château est racheté en 1963 par M. Coustaing qui le restaure partiellement. Sa restauration a commencé en 1983 par la famille Gadel qui l'a acheté. Le château a été classé au titre des monuments historiques en 1965[35],[36],[37].
- L'église Saint-Saturnin de Flamarens du XVIe siècle, a longtemps été menacée d'effondrement. Elle est désormais sauvée de la ruine grâce à un important chantier de restauration de ses maçonneries et sa couverture, mené de 2017 à 2019. Elle possède un clocher-mur pointu à deux arcades et une tourelle ronde d'escalier[38],[39]. L'édifice est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1993[39].
- La petite porte wisigothe est un vestige d'un lointain passé qui remonte au Ve siècle, où l'on peut voir divers motifs géométriques de la sculpture gothique, carrés, losanges, cercles, volutes, besants[40],[41].
- L'écomusée était situé au lieu-dit la Hitte, à l'ouest du village. C'est une ferme typique de la Lomagne. L'écomusée présentait une collection d'outils agricoles. Des animations y étaient organisées. Il n'existe plus depuis l'an 2000, les collections ont été dispersées, la commune de Flamarens l'a acheté et l'aménage progressivement pour en faire un lieu dédié aux associations. Le comité des fêtes y organise chaque mois de juin le repas de la fête du village.
Le château. Le château. Le château. - L'église Saint-Saturnin en cours de restauration en 2013
Le clocher-mur de l'église.
Personnalités liées à la commune
- Jean Tartanac (1759-1827) : homme politique né à Flamarens ;
- Mme de Grossoles-Flamarens : mère du pyrénéiste Henry Russell ;
- Pierre Benoit (1886-1962) : écrivain, auteur du roman Flamarens ;
- Charles de Mazade (1893-1893) : avocat, poète et Journaliste inhumé à Flamarens.
Voir aussi
Bibliographie
- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)
Articles connexes
Lien externe
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Plan séisme
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Valence - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Flamarens et Valence », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Valence - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Flamarens et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gilbert Blanc, Les cahiers de la Lomagne no 5 : Flamarens, éditions André Dupuy .
- M. Lamirand, Flamarens ou histoire d'un village de Lomagne.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, Volume 2. Librairie Droz 1991. p. 799.
- Ernest Nègre, Op. cité.
- Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6). p.
- Op. cité.
- Les habitants de Flamarens : les Flamalingois et le Flamalingoises (Gilbert Blanc, les cahiers de la Lomagne)
- Guy Labedan, 10 juillet 1944 : Les pendaisons de Flamarens, revue Arkheia, Montauban, 1999.
- Site de la préfecture - Fiche de Flamarens
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- http://www.lesmusicalesdeflamarens.fr
- « Château », notice no PA00094798, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Abbé Lagleize, « Bail de construction du château de Flamarens », dans Bulletin de la Société archéologique du Gers, 1er trimestre 1908, p. 80-86 (lire en ligne)
- Mairie de Flamarens: château de Flamarens
- Fondation du Patrimoine : église de Flamarens
- « Ancienne église », notice no PA00125587, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Les amis de Flamarens, section Porte wisigothe
- Mairie de Flamarens : Restauration de l'Église Saint-Saturnin
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