Feucherolles

Feucherolles est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Ne doit pas être confondu avec Fougerolles.

Pour les articles homonymes, voir Feucherolles (homonymie).

Feucherolles

L'hôtel de ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Saint-Germain-en-Laye
Intercommunalité Communauté de communes Gally Mauldre
Maire
Mandat
Patrick Loisel
2020-2026
Code postal 78810
Code commune 78233
Démographie
Gentilé Feucherollais
Population
municipale
2 951 hab. (2018 )
Densité 230 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 52′ 25″ nord, 1° 58′ 26″ est
Altitude 150 m
Min. 85 m
Max. 185 m
Superficie 12,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Feucherolles
(ville isolée)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verneuil-sur-Seine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Feucherolles
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Feucherolles
Géolocalisation sur la carte : France
Feucherolles
Géolocalisation sur la carte : France
Feucherolles
Liens
Site web feucherolles.fr

    Ses habitants sont appelés les Feucherollais.

    Géographie

    Situation

    La commune de Feucherolles se trouve dans le nord-est des Yvelines, à 12 kilomètres au sud-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à 17 kilomètres au nord-ouest de Versailles, la préfecture du département, et à 10 kilomètres de Poissy. Elle appartient à la région naturelle de la plaine de Versailles.

    Position de Feucherolles dans les Yvelines.

    Le territoire communal, relativement vaste, 1 285 hectares, s'étend sur environ km du nord au sud et km d'est en ouest. Il comprend trois parties, au nord un plateau à environ 175 mètres d'altitude qui appartient à une ligne de hauteurs orientée est-ouest entre la forêt de Marly et celle des Alluets, au sud, une zone de plaine en pente douce vers le sud, s'étageant entre 140 et 130 mètres d'altitude, qui appartient au versant nord de la vallée du ru de Gally, entre les deux une zone de transition assez pentue, dans laquelle se trouve le site historique du village.

    Le territoire communal est principalement rural, à 80 %. L'espace rural, qui couvre environ 100 hectares, se partage sensiblement à égalité entre terres cultivées (grande culture céréalières, vergers) et forêts. Notamment la partie nord-est de la commune se trouve dans l'extrémité ouest de la grande forêt de Marly. Des bois se trouvent aussi à l'ouest du village. À ces espaces s'ajoutent 126 hectares d'espaces verts, dont le golf de Feucherolles, à l'est du village.

    L'espace urbanisé représente 130 hectares (données 1999), constitué essentiellement d'habitat individuel[1].

    L'habitat est groupé dans le village, qui s'est étalé au nord et au sud de son noyau historique le long de l'ancien tracé de la RD 130. Au nord, les lotissements récents rejoignent le hameau ancien de Sainte-Gemme et l'orée de la forêt de Marly, au sud, ils sont limités par la route RD 307.

    Hydrographie

    Sur le plan hydrographique, la source du ru de Buzot, affluent de la Seine, se situe au nord et s'écoule vers le nord-est en direction de Chambourcy en suivant la lisière de la forêt de Marly. Vers le sud, la limite communale arrive à une centaine de mètres du ru de Gally, dans lequel débouche le fonds des Noisseaux, vallon sans cours d'eau permanent.

    Réseau routier

    La commune est traversée dans sa partie sud par la route départementale 307, orientée est-ouest, qui mène vers Versailles et les autoroutes A13 et A12 à l'est et vers la vallée de la Mauldre à l'ouest. Elle est également traversée par la route départementale 30, orientée nord-sud, qui conduit vers Poissy et les autoroutes A13 et A14 au nord et vers Plaisir au sud. Cette route a été déviée et contourne le village par l'ouest, avec un croisement dénivelé avec la RD 307. L'autoroute de Normandie traverse la pointe est du territoire communal, dans la forêt.

    Desserte ferroviaire

    Les gares les plus proches sont :

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 17S, 41, 170, 171, 172, 511 et 512 de l'établissement Transdev d'Ecquevilly et par les lignes 4, 27 et anciennement la ligne 44 de la société de transport CSO.

    Depuis le 2 janvier 2018, un service de transport à la demande TAD Gally-Mauldre est en place pour ses habitants, permettant la réservation de bus en directions des gares de l’intercommunalité.

    À pied

    Le territoire de Feucherolles est traversé par le GR1 (chemin de grande randonnée), entre Orgeval au nord et Davron au sud-ouest.

    Urbanisme

    Typologie

    Feucherolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Feucherolles, une unité urbaine monocommunale[5] de 2 874 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[8],[9].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Felcherolis villa en 949[10], Foucherolles vers 1272[11], au XIIIe siècle[12].

    Il s'agit du type toponymique gallo-roman FILICAROLA, composé du gallo-roman FILICARIA « fougère » (mot formé sur le latin classique filix, filicis « fougère » cf. italien felche, espagnol helecho, et le suffixe -aria), suivi du suffixe diminutif -OLA[13],[10].

    Remarque : la forme la plus commune est Fougerolles, dont le [u] est peut-être caractéristique d'une variante de l'ouest à l'origine.

    Histoire

    Il existe plusieurs traces d'occupations très anciennes : pointes de flèches et monnaie[14]. Puis l'influence gallo-romaine (vastes "villae") et le christianisme (martyre de sainte Gemme) ont laissé leurs marques.

    Au Moyen Âge, l'invasion anglaise a provoqué la construction de places fortes ou le renforcement de demeures existantes : château de Sainte-Gemme et château de Retz, aujourd'hui disparus.

    Vient ensuite la monarchie absolue, l'impact du château de Versailles et de son Grand Parc. Après la Révolution, en 1818, la commune de Lanluets-Sainte-Gemme est fusionnée avec Feucherolles[15].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires de Feucherolles
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 1791 Jean-Louis Fontelle    
    1791 1812 Claude-André-Toussaint Guignard    
    1812 1820 Jean Haudecoeur    
    1820 1827 Claude-André- Jean-Baptiste Guignard    
    1827 1838 Louis-François Artus    
    1838 1848 Jean-Louis Haudecoeur    
    1848 1850 Louis-Augustin Artus    
    1850 1864 Eugène Guignard    
    1864 1870 Jean-Nicolas Ancquetin    
    1870 1876 Ernest Guignard    
    1876 1878 Louis-Ernest Guignard    
    1878 1881 Jean-Baptiste Dusoul    
    1881 1886 Ernest Guignard    
    1886 1887 Louis Thuillier    
    1887 1896 Adonis Cabare    
    1896 1925 Auguste EUVÉ   Fabricant de Briques
    1925 1929 Georges Grappin    
    1929 1953 Robert EUVÉ   Industriel Briquetier
    mai 1953 mars 1977 Charles Tonnelline    
    mars 1977 mars 2001 Roland Bernuzeau    
    mars 2001 mars 2008 Martine Bourgeois DVD[16]  
    mars 2008 En cours Patrick Loisel DVD Professeur du secondaire

    Jumelages

    Feucherolles est jumelée à la ville allemande de Rösrath.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[18].

    En 2018, la commune comptait 2 951 habitants[Note 3], en augmentation de 5,69 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    219278254507607617651624657
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    564609625635682711692754771
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    675752721714747790749768844
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 2881 0472 0522 1782 6992 8062 9962 8472 862
    2018 - - - - - - - -
    2 951--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,3 % contre 48,4 % au niveau national et 48,8 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 25,3 %, 15 à 29 ans = 14,5 %, 30 à 44 ans = 18,6 %, 45 à 59 ans = 25 %, plus de 60 ans = 16,6 %) ;
    • 49,7 % de femmes (0 à 14 ans = 23,9 %, 15 à 29 ans = 13 %, 30 à 44 ans = 21,4 %, 45 à 59 ans = 23,8 %, plus de 60 ans = 17,8 %).
    Pyramide des âges à Feucherolles en 2007 en pourcentage[21]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,1 
    90  ans ou +
    0,5 
    3,9 
    75 à 89 ans
    4,4 
    12,6 
    60 à 74 ans
    12,9 
    25,0 
    45 à 59 ans
    23,8 
    18,6 
    30 à 44 ans
    21,4 
    14,5 
    15 à 29 ans
    13,0 
    25,3 
    0 à 14 ans
    23,9 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[22]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Économie

    Proche des grands centres d'affaires de la Défense accessible très rapidement par l'autoroute A14 à Orgeval, de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines par la route départementale 30 et de Paris, Feucherolles est d'abord une ville résidentielle. On y trouve également quelques artisans indépendants et quelques entreprises du secteur tertiaire, dont Mood Media, spécialisée dans la diffusion de programmes musicaux par satellite, pour diverses chaînes de magasins, en cours de délocalisation en 2012[23].

    Plus traditionnellement, Feucherolles dispose de terres agricoles importantes, cultivées par des maraîchers et des pépiniéristes.

    Enfin, Feucherolles possède un golf 18 trous et 3 centres équestres.

    Feucherolles abrite également le siège de la ligue départementale de tennis des Yvelines, affiliée à la FFT.

    Par ailleurs, la commune de Feucherolles accueille sur son territoire une installation militaire comportant des antennes de communication et des bureaux. Cette base du ministère de la Défense serait utilisée par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure, les services secrets français)[réf. nécessaire][24]. À quelques kilomètres de Feucherolles, sur la même route, une autre base de l'armée y figure et dépend de la commune des Alluets-le-Roi. Cette seconde base, plus importante et plus vaste, serait également exploitée par la DGSE. Les missions de ces installations militaires seraient d'intercepter les communications téléphoniques, internet, pour lutter notamment contre le terrorisme ou bien encore pour sécuriser des communications officielles[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine architectural

    L'église Sainte-Geneviève.

    L'église Sainte-Geneviève date des XIe et XIIe siècles. Surmontée d'un élégant clocher à huit pans en pierre, elle est de style mêlé roman et gothique. La nef et les collatéraux sont surmontés de chapiteaux « à feuilles d'eau ».

    L'église de Feucherolles est classée monument historique depuis 1886. Elle est actuellement en travaux d'intérieurs (mars 2012) après avoir eu le ravalement des façades rénové.

    • Le presbytère

    Lorsque le 7 messidor an X (25 juin 1802), le préfet enjoint aux maires d'interdire l'exercice de leurs fonctions de ministre catholique aux prêtres qui sont mariés, le maire doit chasser le curé : il a pris femme. Quant au père Boyer, envoyé par l'évêque en remplacement, il refuse de se fixer à Feucherolles car « il n'y a pas de presbytère et de logement convenable à lui proposer ». Le 16 octobre 1810, Louis Million fait donation à la commune d'un terrain de 1 are 96 centiares pour y construire le presbytère.

    • Le clos Saint-Antoine

    Proche de l'église, cette maison ancienne a appartenu à l'ordre des Génovéfains aux environs du XVIe siècle. Elle abrite un cloître qui provient de l'ancien marché aux blés de Beauvais. Après avoir servi d'hostellerie réputée, le clos Saint-Antoine est aujourd'hui une propriété privée.

    Ancienne briqueterie construite en 1828, transformée en imprimerie / papeterie pour l’École universelle puis en pépinière d'entreprises en 2016.

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Feucherolles se blasonnent ainsi :

    D'azur à la bande de gueules rebattue d'or et chargée d'une étoile de même, accompagnée en chef d'une fleur de lys et en pointe de deux éperons enlacés, le tout d'or.

    Ce blason est une composition faite avec les armes des Briçonnet d'une part, qui furent seigneurs de Feucherolles aux XVIe et XVIIe siècles, et des La Salle d'autre part, qui furent pendant plusieurs générations gouverneurs des châteaux de Saint-Germain, et de Sainte-Gemme, et enfin de la fleur de lys et la forteresse en couronne rappelant le château royal de Sainte-Gemme.

    C'est en suivant scrupuleusement les règles strictes de l'héraldique, que Bernard de Masin, Feucherollais aujourd'hui disparu, est parvenu, il y a une trentaine d'années, à faire homologuer ce blason.

    Galerie

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Any Allard et Henri Euvé, Feucherolles : Sainte Gemme, 2000 ans d'histoire, Feucherolles, Mairie de Feucherolles, , 207 p. (ISBN 2-9506519-0-9) ;
    • Any Allard, Ste Gemme, résidence des Rois de France, Mairie de Feucherolles, 2008.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Feucherolles », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marianne Mulon, Noms de lieux d'Île-de-France, Paris, Bonneton, , 231 p. (ISBN 2-86253-220-7).
    11. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 283b.
    12. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    14. Ste Gemme : Résidence des rois de France
    15. Archives des Yvelines- sous-série 4E
    16. Annuaire des Mairies des Yvelines (78)
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « Évolution et structure de la population à Feucherolles en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    22. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. Mood Media - Un contrat à 362 euros en Roumanie ou la porte (27 juin 2012)
    24. « comment-la-france-ecoute-le-monde ».
    25. "la maison de Joe Dassin, à Feucherolles."
    26. 3e ligne de l'article
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