Essars

Essars est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France, près de Béthune.

Essars

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Gérard Malbranque
2020-2026
Code postal 62400
Code commune 62310
Démographie
Population
municipale
1 742 hab. (2018 )
Densité 468 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 32′ 52″ nord, 2° 39′ 55″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 23 m
Superficie 3,72 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Beuvry
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Essars
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Essars
Géolocalisation sur la carte : France
Essars
Géolocalisation sur la carte : France
Essars
Liens
Site web mairie-essars.fr

    Géographie

    La rue du 11-Novembre, rue principale du village, se trouve être également la route départementale 171 de Béthune à Armentières.
    Depuis le pont qui franchit le canal d'Aire à La Bassée, on aperçoit la zone industrielle du « Parc Washington » située sur la rive béthunoise.

    Le finage d'Essars s'étend sur 372 ha[1] le long de la Lawe, un affluent de la Lys. Il est limitrophe au sud de celui de Béthune, les territoires des deux communes étant principalement séparés par le « canal d'Aire à La Bassée », l'un des tronçons de la liaison fluviale Dunkerque-Escaut[2].

    En quittant Béthune par le nord, Essars se trouve être la première commune de la plaine de Flandre, dans sa partie appelée localement le « bas-pays d'Artois ».

    Le relief est plat, la variation totale d'altitude ne dépassant pas 5 mètres. Le terroir, aux sols argileux, gagné au Moyen Âge sur des bois et des marais, est principalement agricole, consacré à des cultures de céréales et de betterave sucrière ou au maraîchage. L'important réseau de fossés de drainage, qui permit l'assèchement des terres, tend à disparaître en raison de l'urbanisation et du remplacement par des drains enterrés. Hormis quelques petites parcelles de peupleraies et la couverture arborée des buttes de déblais le long du canal, les boisements sont inexistants.

    À proximité immédiate du territoire communal, en rive sud du canal, sur des terrains qui furent cédés en 1958 par la commune d'Essars à celle de Béthune, se trouve une grande zone industrielle créée au début des années 1960 dans le cadre de la reconversion industrielle du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais. Sous le nom actuel de « Parc Washington », elle accueille le port fluvial, l'usine de pneumatiques Bridgestone (auparavant Firestone), l'unité de production européenne de résines synthétiques de SI Group (anciennement Schenectady), le fabricant de cheminées Philippe, etc.

    Le village d'Essars compte actuellement deux hameaux : le Long Cornet (en direction de Hinges) et Sévelingue (sur la route de Locon). Depuis les extensions pavillonnaires des années 1980, l'agglomération bâtie est cependant devenue continue depuis le bourg d'Essars jusqu'à Sévelingue.

    Une partie du village (la rue du Silo et l'ancienne route d'Armentières) s'est trouvée également séparée du reste du territoire lors du creusement du nouveau tracé du canal entre les deux guerres mondiales et rejetée sur la rive sud.

    Les documents historiques mentionnent d'autres noms de hameaux : Monchicourt (où se trouvaient les anciennes écluses sur la Lawe), la Motte (dont il subsiste une ferme, rue de la Motte au Bois) et la ferme du Roy (dont l'emplacement est maintenant situé sur le territoire béthunois dans la zone industrielle).

    Communes limitrophes

    Essars possède environ 3,2 km de limites communes avec Béthune au sud (dont 1,7 km marquées par le canal), km avec Annezin à l'ouest, 2,7 km avec Locon au nord et 2,1 km avec Beuvry à l'est.

    Communes limitrophes d’Essars
    Locon
    Annezin Beuvry
    Béthune

    Urbanisme

    Typologie

    Essars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[6] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,8 %), zones urbanisées (17,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Un acte de donation daté d'environ 1190, compilé dans le cartulaire de Saint-Barthélémy de Béthune, fait mention de la localité par l'expression In Sartis sub Bethunia (dans les défrichés sous Béthune)[13]. Très certainement, l'étymologie est donc celle de l'essart (du latin médiéval sartum qui désigne un terrain défriché).

    Au cours des époques, la graphie du toponyme est longtemps restée instable, se terminant parfois par un « t », parfois par un « s », parfois par les deux[1].

    Histoire

    Essars sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle).
    La carte d'état-major (publiée vers 1866 d'après des levés de 1832) montre bien le tracé de l'ancien canal qui contourne Essars par le sud.

    À la fin du XIIe siècle, on cultivait à Essars des céréales, car l'endroit était redevable aux prêtres de l'église de Béthune de deux boisseaux de blé, auxquels s'ajoutaient quarante-huit chapons et quarante-huit deniers parisiens[13].

    La carte de Cassini, au XVIIIe siècle, fait apparaître le village sous l'écriture « Eßart », avec le symbole d'une église et l'abréviation Succ. indiquant qu'il ne s'agissait pas d'une paroisse autonome. Le village d'Essars fut en effet doté d'une église en 1545 mais qui, pour autant, ne fut desservie que par un chapelain placé sous l'autorité du curé de la paroisse Saint-Vaast de Béthune[14]. Les habitants étaient d'ailleurs tenus de se rendre deux fois par an à la messe à Béthune.

    Pendant longtemps, seule la Lawe, canalisée en 1500[15], servit de voie navigable permettant le commerce fluvial entre Béthune et la Lys. En 1825, le canal d'Aire fut inauguré. “L'ancien canal” faisait une boucle jusqu'aux portes de Béthune en passant au sud de la ferme du Roy. Un tracé plus direct, celui du “nouveau canal”, qui coupait en deux le territoire d'Essars, fut ensuite creusé dans les années 1920.

    Durant la Première Guerre mondiale, Essars est le siège d'un cantonnement britannique[16]. Pendant la plus grande partie de la guerre, malgré quelques canonnades et la proximité du front, le secteur reste relativement calme. Quelques habitants des communes voisines qui ont fui les zones de combat sont venus se réfugier à Essars[17]. En juillet 1917, les enfants de Beuvry viennent même recevoir leur confirmation à l'église d'Essars plutôt qu'à Béthune, jugé moins sûr[18]. Mais en avril 1918, les forces allemandes lancent une violente offensive et déclenchent la bataille de la Lys. La population civile de toute la région est contrainte d'évacuer dans la précipitation. Les Allemands parviennent à enfoncer la ligne de front que tenaient les Alliés, mais au sud de cette avancée, ils sont arrêtés le 18 avril entre Locon et Essars et n'atteignent pas Béthune. Des bombardements intenses se poursuivront alors jusqu'à la fin de la guerre, provoquant la destruction du village, tout comme celle de Béthune.

    Politique et administration

    Essars dans son canton et dans l'arrondissement de Béthune.

    La commune d'Essars dépend de l'arrondissement de Béthune. Elle est actuellement rattachée au canton de Béthune-Est dont le conseiller départemental élu est M. Raymond Gaquère du parti socialiste, également maire de La Couture.

    Essars participe à la communauté d'agglomération de l'Artois (Artois Comm.) et y est représentée par un siège de conseiller communautaire auquel a été élu M. Gérard Malbranque, par ailleurs maire d'Essars.

    Le conseil municipal d'Essars est composé pour la mandature 2014-2020 de dix-neuf conseillers municipaux.

    Liste des maires successifs

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1800 Jean-Baptiste Dusquenes    
    1800 1811 Noël Joseph Thomas    
    1811 1820 Antoine Joseph Bréhon    
    1820 1832 Auguste François Wibaux    
    1832 1848 Lambert Désiré Aimé Prou    
    1848 1848 Augustin Carpentier    
    1870 1872 Émile Billon    
    1874 1881 Henri Flahaut    
    1881 1908 Albert Flahaut    
    1908 1914 Henri Wicquart    
    1914 1918 Eugène Prévost   (nommé d'office)
    1918 1918 Jules Debai   (nommé d'office)
    1919 1935 François Bréhon    
    1935 1940 René Berteloot    
    1940 1940 Albert Warembourg    
    1940 1944 Élie Linglart   (désigné par l'occupant allemand)
    1944 1947 Albert Warembourg    
    1947 1959 Jean Bréhon    
    1959 1986 Georges Cabaret    
    1986 mars 2001 André Binot    
    mars 2001 En cours
    (au 28/03/2021)
    Gérard Malbranque DVG Réélu pour le mandat 2020-2026[19],[20],[21]

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2018, la commune comptait 1 742 habitants[Note 3], en augmentation de 9,01 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    563534520608606627611620584
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    625632684701652577600580579
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    591603600562680743725756965
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    9111 1751 1511 6831 9191 7321 6791 6381 584
    2018 - - - - - - - -
    1 742--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19,5 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,2 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 48,8 % d'hommes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 23,6 %, plus de 60 ans = 18,7 %) ;
    • 51,2 % de femmes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 18,4 %, 30 à 44 ans = 18,9 %, 45 à 59 ans = 25,2 %, plus de 60 ans = 20,2 %).
    Pyramide des âges à Essars en 2007 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90 ans ou +
    0,6 
    4,8 
    75 à 89 ans
    6,4 
    13,6 
    60 à 74 ans
    13,2 
    23,6 
    45 à 59 ans
    25,2 
    21,1 
    30 à 44 ans
    18,9 
    18,3 
    15 à 29 ans
    18,4 
    18,4 
    0 à 14 ans
    17,3 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[26]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Enseignement

    La commune dispose d'une école publique primaire et maternelle, l'école Pierre-Bachelet.

    Économie

    Le village accueille un supermarché ainsi que divers petits commerces de proximité.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Jacques

    L'église d'Essars actuelle date du début du XXe siècle.

    La première église, dédiée à Saint Jacques, fut construite en 1545 sous le règne de Charles Quint, Essars faisant alors partie des Pays-Bas espagnols. Elle resta cependant dépendante de la paroisse béthunoise de Saint-Vaast. En 1645, elle fut incendiée lors du siège et de la prise de Béthune par les Français[27]. Réparée grâce à diverses donations, elle fut à nouveau saccagée durant la Révolution française. L'église ancienne, qui se dressait à l'angle de l'actuelle rue Warembourg, fut entièrement détruite pendant la Première Guerre mondiale. Le bâtiment actuel a été édifié une quarantaine de mètres plus loin dans la direction d'Armentières.

    La Croix de Fer

    Grotte, calvaire et chapelles de la Croix de Fer.

    Au lieu-dit la Croix de Fer se trouve un ensemble d'une grotte avec des statues représentant la « Lamentation du Christ » surmonté d'une croix de fer et entouré de deux chapelles-oratoires. Ce triple monument fut inauguré en 1874.

    Les monuments commémoratifs des guerres

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d'azur au chef d'argent chargé de trois arbres arrachés de sinople.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    2. IGN Geoportail
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Le cartulaire de Saint-Barthélemy de Béthune / publié ou analysé avec extraits textuels et précédé d'une introduction par le comte A. de Loisne
    14. Histoire de Béthune. Tome 2 / par le chanoine Éd. Cornet p.380
    15. J. Dutens,Histoire de la navigation intérieure de la France, Volume 1, p.63
    16. (en) « A. Gregson The 1/7th Battalion King's Liverpool Regiment and the Great War–the Experience of a Territorial Battalion and its Home Towns. Chapter 5 », (consulté le ).
    17. « Journal de la Guerre 1914-1918. Notes de l'Abbé Routier, curé de Bours et de Marest », (consulté le ).
    18. « Conférence du curé de Beuvry sur sa paroisse pendant la Grande Guerre », (consulté le ).
    19. « Essars: Gérard Malbranque entame son troisième mandat avec cinq adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    20. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    21. David Cierniak, « Essars : le restaurant scolaire sort de terre, livraison prévue en février : C'était « LE » débat de la campagne électorale des municipales. Il est « LE » projet de ce début de mandat et restera certainement comme « LE » chantier des six prochaines années. La construction du nouveau restaurant scolaire, d'un coût de 1,36 M €, a débuté. L'occasion pour Gérard Malbranque de repréciser les enjeux de cette réalisation. Début de notre série sur les projets des maires », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Évolution et structure de la population à Essars en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    26. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    27. Daniel Haigneré, commission départementale des monuments historiques,Dictionnaire historique et archéologique du Pas-de-Calais
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