Esquennoy

Esquennoy est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Esquenouillards et les Esquenouillardes.

Esquennoy

L'église Saint-Pierre et son clocher carré à coupole.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Sylvain Germain
2020-2026
Code postal 60120
Code commune 60221
Démographie
Gentilé Esquenouillards, Esquenouillardes
Population
municipale
714 hab. (2018 )
Densité 73 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 39′ 25″ nord, 2° 16′ 10″ est
Altitude Min. 74 m
Max. 170 m
Superficie 9,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Breteuil
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Esquennoy
Géolocalisation sur la carte : Oise
Esquennoy
Géolocalisation sur la carte : France
Esquennoy
Géolocalisation sur la carte : France
Esquennoy
Liens
Site web http://www.esquennoy.fr/

    Géographie

    Localisation

    Bourg rural du nord de l'Oise, située dans la vallée de la Noye et sur la route nationale 1 entre Beauvais et Amiens, à une distance d'environ 110 km de Paris.

    En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].

    Hameaux et écarts

    Le village comprend un hameau, Saint-Sauveur.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 730 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 24 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,6 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Esquennoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,5 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), forêts (1,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le toponyme Esquennoy est issu du gaulois cassanos signifiant chêne[22].

    Histoire

    L’église au tout début du XXe siècle.

    Le bourg avait encore vers 1850 une activité textile importante (filage et tissage de la laine).

    Durant la Première Guerre mondiale, la commune accueillait un aérodrome militaire français[23]. Le village a été bombardé par l'aviation allemande en août 1918, tuant un pilote et quatre soldats français, et détruisant vingt avions ainsi que des hangars Bessonneau[24].

    La route nationale 1, qui traverse le village, s'affaissa au beau milieu de celui-ci, durant l'année 2004[25]. La circulation y fut impossible durant plusieurs mois.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    La paroisse d'Esquennoy, « ancêtre » de l'actuelle commune, fut fondée en 1240 par l'abbé de Breteuil, Mathieu, sur le site d'une forêt défrichée. Elle fut le siège d'une maison de l'ordre du Temple, puis de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem qui y fonda un hôpital.

    C'est lors des travaux sur la nationale 1 qu'on redécouvrit un complexe réseau de souterrains appartenant à une ancienne commanderie des hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[26], laquelle avait été transformée en grange à la suite de la confiscation des biens de l'Ordre. La grange, elle-même tombée en ruine, s'était fait oublier depuis la Révolution française.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[28], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[29], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[30].

    Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[31], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise Picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [32].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1961 mars 2001[33] Arthur Millot   Vice-président de la CC Vallées de la Brèche et de la Noye
    mars 2001 30 octobre 2012[34] Françoise Rivière[35] DVG Retraitée
    Démissionnaire
    décembre 2012[36] 2020[37] Jean-Marc Évrard[38]   Médecin
    2020 En cours Sylvain Germain    

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 714 habitants[Note 7], en diminution de 3,77 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6916087688659579271 0001 0111 012
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9509259289191 0171 2521 2141 1511 029
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    756958907819806683654641682
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    737806936885876881783733723
    2018 - - - - - - - -
    714--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (19 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,7 %) est supérieur au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 47,3 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,4 %, 15 à 29 ans = 18,9 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 23,5 %, plus de 60 ans = 17,6 %) ;
    • 52,7 % de femmes (0 à 14 ans = 20,1 %, 15 à 29 ans = 21,8 %, 30 à 44 ans = 19,9 %, 45 à 59 ans = 17,9 %, plus de 60 ans = 20,4 %).
    Pyramide des âges à Esquennoy en 2007 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    1,0 
    4,9 
    75 à 89 ans
    7,3 
    12,7 
    60 à 74 ans
    12,1 
    23,5 
    45 à 59 ans
    17,9 
    21,6 
    30 à 44 ans
    19,9 
    18,9 
    15 à 29 ans
    21,8 
    18,4 
    0 à 14 ans
    20,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Pierre.
    • Église Saint-Pierre : datant de 1540, la tour carrée de style Renaissance culmine à 40 m de haut. La nef a été reconstruite en 1834. Le mobilier comprend un retable et une chaire baroques, des statues du XVIe siècle. Sur les murs de l'édifice, il est possible de voir deux boulets de canon qui se sont incrustés dans la pierre. Quelque statues et les fonts baptismaux sont classés monument historique[44].
    • Château d'Esquennoy : on y trouvait encore au XIXe siècle dans le parc les ruines d'un château ancien.
    Le château d'Esquennoy, au début du XXe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Esquennoy et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Esquennoy et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Breteuil », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Henriette Walter, L'aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44.
    23. Jacques Calcine, « Esquennoy », Anciens aérodromes, (consulté le ).
    24. Philippe Créhange, « Quand Roland Garros décollait d'Esquennoy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    25. « Le sol s'effondre à Esquennoy », Le parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    26. « Département de l'Oise », Les commanderies de France triées par département, sur http://www.templiers.net (consulté le ).
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    29. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    30. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
    31. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
    32. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
    33. J. H., « Michèle Veys-Clouet propose de prendre la relève », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    34. « Esquennoy : élections complémentaires ce dimanche 2 décembre », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3213, , p. 18.
    35. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
    36. « Le nouveau maire d'Esquennoy est Jean-Marc Évrard », Actualités, Centre de gestion de l'Oise de la fonction publique territoriale, (consulté le ).
    37. « Maire depuis 2012, Jean-Marc Evrard raccroche », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587, , p. 18.
    38. « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283, , p. 19.
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    42. « Évolution et structure de la population à Esquennoy en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    43. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    44. Les objets classés de l'église Saint-Pierre sur la base Palissy
    45. « Evtimov, l'ancien d'Esquennoy », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
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