Paillart
Paillart est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Pour l’article ayant un titre homophone, voir Paillard.
Paillart | |||||
L'église Saint-Denis. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oise Picarde | ||||
Maire Mandat |
Xavier Tripet 2020-2026 |
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Code postal | 60120 | ||||
Code commune | 60486 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
578 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 40′ 03″ nord, 2° 19′ 28″ est | ||||
Altitude | Min. 62 m Max. 135 m |
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Superficie | 14,18 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Breteuil (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Just-en-Chaussée | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-paillart.fr | ||||
Géographie
Paillart se situe à 4 km de Breteuil, et à 30 km de Beauvais et d'Amiens. La commune est traversée par le méridien de Paris, matérialisé par la méridienne verte.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rouvroy-les-Merles », sur la commune de Rouvroy-les-Merles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 656,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Paillart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Breteuil dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5 %), forêts (6,3 %), zones humides intérieures (3,6 %), zones urbanisées (3,1 %), prairies (1,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
La commune s'est appelée Paliartus en 1189[réf. nécessaire].
Histoire
La présence humaine est attestée à Paillart depuis au moins l’époque Romaine. Le croisement de deux voies de ce peuple est un élément favorable de cette présence. La voie Romaine Amiens – Beauvais, restaurée au VIe siècle par la Reine Brunehaut, d’où l’appellation Chaussée Brunehaut, traverse la commune du Nord au Sud. Une deuxième voie Romaine reliait Vendeuil-Caply à Paillart via le Chemin de Beauvais. La construction de ces voies vers cet emplacement a été favorisée par des passages à gué sur la Noye. Des découvertes ont même permis de remonter au-delà de l’époque romaine, c’est-à-dire plusieurs siècles avant Jésus-Christ. On nous décrit au moins une vingtaine de sites où ont été constatés des vestiges de l’époque protohistorique au haut Moyen âge soit pendant les Mérovingiens. Parmi ces sites un bon nombre de villas romaines, notamment aux lieux-dits, la Ferme, Les Vignes, La Vallée Jean-Jouanne, sur le site de la Chapelle Saint-Lugre, le Fief… A la suite de la présence de ces peuplades, il n’y a pas beaucoup d’ombre dans l’Histoire de Paillart car une première mention apparait en 822. Oppidum Paliortus en 870, ce qui pourrait déjà indiquer la présence d’un lieu fortifié. Les terres de Paillart faisaient partie du domaine de Corbie. L’époque féodale qui suit est assez riche en histoire et la seigneurie a appartenu à de puissantes familles. L’un des premiers seigneurs connus est Gauthier de Paillart qui donne aux religieux de Bellefontaine quelques biens avant de partir en croisade. Bellefontaine de Saint-Nicolas était un couvent sur le territoire de Paillart. Des écrits datant de 1189 mentionnent le nom du village sous la dénomination Paliartus. Au XIVe siècle, la seigneurie entre dans la maison de Coucy puis de Clermont-Nesle. Puis au XVIe siècle c’est la famille de Lannoy qui règne sur le territoire de Paillart. C’est à cette famille qu’est due la construction de l’église. Ce sont souvent les mariages qui apportent des terres d’un village dans d’autres familles, c’est ainsi qu’après les Lannoy, ce sont les Gondi puis au Duc de Retz et en 1644 chez les Monchi. En dernier lieu, les descendants de cette famille vendent le domaine, en 1757, à Charles Dumoulin. La présence des marais a permis d’exploiter des tourbières. D’importants souterrains ont été visités sous le village. Une maladrerie avec chapelle a existé à Paillart. Avant 1900, Il y avait un moulin à vent et quatre moulins à eau pour la farine. Un de ces quatre moulins était très ancien et appartenait à la seigneurie du lieu donc à M. Dumoulin. C’était le plus important. Le moulin Quotry fut construit en 1793, par la famille Sellier. Le moulin du Pont-de-Moreuil fut bâti en 1791 par M.Portemer. Celui de Visigneux, fut construit en 1757. Il y avait aussi un moulin à huile appartenant aussi à M. Dumoulin. Une tourbière. Des carrières Une usine hydraulique à aiguiser. Une papeterie fut établie, en 1775, à l’emplacement d’un moulin à foulon. Une usine de lacets créée en 1890, convertie en 1920, en usine de production de câbles électriques, aujourd’hui entreprise Nexans.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Breteuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune rejoint le canton de Saint-Just-en-Chaussée.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].
Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].
Liste des maires
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].
En 2018, la commune comptait 578 habitants[Note 7], en diminution de 2,53 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (21,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,8 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,3 %, 15 à 29 ans = 14,2 %, 30 à 44 ans = 24,7 %, 45 à 59 ans = 18,6 %, plus de 60 ans = 21,3 %) ;
- 50,8 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 15,7 %, 30 à 44 ans = 23,5 %, 45 à 59 ans = 18,3 %, plus de 60 ans = 21,9 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
La commune possède un monument historique sur son territoire, l'église Saint-Denis (XVe et XVIe siècles) : datant majoritairement du XVIe siècle, elle possède un chœur polygonal voûté à nervures en pendentifs. Le clocher est latéral au chœur, le portail est de style Renaissance. L'église est classée monument historique depuis 1992[35].
On peut également noter les édifices suivants :
Héraldique
Blason | Écartelé : au 1er d'azur à trois fleurs de lis d'or, au 2e d'argent au lion de gueules, au 3e d'argent à l'oiseau contourné, la tête tournée vers le chef regardant une araignée pendue à un fil mouvant du trait du coupé à senestre, le tout de sable, au 4e d'azur à l'épi de blé d'or posé en barre[36]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Paillart et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Rouvroy-les-Merles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Paillart et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Breteuil », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, , p. 15.
- R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417, , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
- Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430, , p. 17.
- « Les derniers vœux du Sivom », Le Courrier picard, (lire en ligne) « René Leuwers, maire de Paillart depuis 1983 et médaillé de vermeil devrait, lui, se représenter ».
- « Paillart », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Paillart en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- (fr) Nexans - Nos implantations en France ; consulté le 19 mars 2016.
- « église Saint-Denis », notice no PA00114983, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=13164
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