Emmerin
Emmerin est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Emmerin | |||||
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![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Danièle Ponchaux 2020-2026 |
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Code postal | 59320 | ||||
Code commune | 59193 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Emmerinois, Emmerinoises | ||||
Population municipale |
3 140 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 640 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 35′ 39″ nord, 3° 00′ 09″ est | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 41 m |
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Superficie | 4,91 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Lille (partie française) (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Faches-Thumesnil | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nord
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-emmerin.net | ||||
Géographie

Situation
Emmerin se situe à 3,5 km au sud de Lille dans le canton d'Haubourdin, localisé dans le Mélantois, à la frontière des Weppes en Flandre romane.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944[7] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[9] à 10,8 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Emmerin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[15] et 1 043 862 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (71,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42 %), zones urbanisées (18 %), mines, décharges et chantiers (12,3 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), prairies (10,4 %), forêts (6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Héraldique
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Les armes d'Emmerin se blasonnent ainsi : De gueules au lion [rampant] d'or, armé, lampassé et couronné d'azur. |
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Toponyme
Noms anciens :Hamerin en 1104, Amerin, en 1158, titre de l'abbaye du Mont-St- Eloi. Amerin , 1160, 1177, cart. du prieuré d'Àubigny., Enmerin en 1603 puis Emmerin
Histoire
Faits historiques : Terre dépendante de l'empire, longtemps réunie à celle d'Haubourdin. — La châtellenie d'Emmerin conte- nait 104 bonniers 600 verges. — Même coutume qu'Haùbourdin.
Le marais d'Emmerin, par suite de contestations commencées en 1689, fut partagé et séparé de celui d'Haubourdin par arrêt du Conseil, du .
- 486 : Naissance probable du village à l'époque du baptême de Clovis (le Roi des Francs)
- : Une bulle pancarte écrite par le pape Pascal II mentionne le nom du village d'Amerin (Nom provenant de Amerinium ou Ameringhem signifiant : domaine d'Aymard, un chef franc installé le long du chemin des moines).
- 1303 : Construction d'un château féodal par Jean Ier de Namur, comte de Flandre. Celui-ci se trouvait à l'emplacement des bassins de décantation, près du chemin de Santes, (traces d'une motte féodale).
- 1603 : Henri IV (Henri de Bourbon) propriétaire du village le vendit à Nicolas du Chastel de la Howardries.
- 1641 : Incendie du château féodal.
- 1644 : Construction de "l'estaminet de la maison commune" (ou café Keller). Tenu pendant la période révolutionnaire par Barthelemy Wallart. Ce bâtiment remarquable servira de Mairie de 1790 à 1852.
- Avant 1789 : le village est toujours divisé en 2 fiefs et régi par 2 familles nobles :
- Emmerin Empire, cœur du village actuel (180 familles) est tenu par le comté de Hainaut avec la famille De Houchin résidant à Paris.
- Emmerin Chatellenie, comprenant le quartier de Ghermanez et celui du Faubourg (80 familles), sous la gouvernance de Lille avec la famille d'Hespel résidant au château de Ghermanez (Ets strada aujourd'hui).
- 1790 : élection du premier maire Louis François Dupont le .
- 1791 : Union de Emmerin Empire et Emmerin Chatellenie.
- 1840 : Construction de la nouvelle église sur les fondations de l'ancienne qui menaçait de s'effondrer. À cette époque et dans la décennies qui a suivi, selon le géologue Jules Alexandre Alphonse Meugy (1852) Haubourdin et Emmerin ont intensément exploité la tourbe qui s'est lentement autrefois formée dans les vastes marais de l'ancienne vallée alluviale de la Deûle, « principalement dans le but d'utiliser la cendre de tourbe comme engrais » La tourbe se trouve souvent à la surface du sol dans ceslocalités où elle forme « une couche de 1 à 3 m d'épaisseur reposant sur un lit d'argile blanche. On l'extrait à la drague. La tourbière d'Haubourdin occupe ving-cinq ouvriers pendant cinq à six mois. Elle produit journellement 20 mètres cubes de tourbe humide ou 20 mètres cubes de toube sèche pesant 600 kil. le mètre cube. 10 ares fournissent au moins 30 000 tourbes équivalent chacune à 2 décimètres cubes et valant 6 Fr?50 le mille. Les cendres se vendent 0,75 l'hectolitre. » En 1850, la tourbe n'est plus exploitée pour le chauffage dans le département du Nord, car l'industrie minière fournit en abondance un charbon vendu à moindre coût[22].
- 1855 : ouverture de la colonie de Guermanez, une des deux colonies pénitentiaires de Loos, dans le château et les dépendances de Guermanez.
- 1867 : Concession des eaux d'Emmerin à la ville de Lille (Champ captant primitif).
- 1867 : Peu avant qu'il ne soit fermé, visite le de l'Impératrice Eugénie de Montijo à l'institut agricole pénitentiaire de Ghermanez (1855-1868).
- 1918 : Le Kaiser Guillaume II passe en revue le les troupes de sa garde impériale derrière la ferme "Bailly".
- 1940 : Au cours de bataille d'Haubourdin, le , 12 civils (9 belges et 3 français) sont "fusillés" à Emmerin à l'arrière d'une maison, exécutés sur ordre de l'officier commandant la 6ème compagnie du 497e régiment de la Wehrmacht, reconnu ultérieurement coupable " d'homicides volontaires non justifiés par les lois et coutumes de guerre" (Jugement du du tribunal militaire de Metz siègeant à Lille). 8 autres civils (3 belges et 5 français) seront abattus au hasard des rues au cours de la même journée par les soldats de la même 6ème compagnie.
Politique et administration
(1) Mandat suspendu de 1939 à 1944 par la parenthèse de la délégation (municipale) spéciale de 3 membres (Charles Elipot, président; Jules Delaru et Narcisse Dumont, membres), délégation mise en place par décret du du gouvernement Daladier.
Instances judiciaires et administratives
La commune relève du tribunal de proximité de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai, du Conseil d'Etat à Paris.Et les instances judiciaires européennes.
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2018, la commune comptait 3 140 habitants[Note 6], en diminution de 2,03 % par rapport à 2013 (Nord : +0,41 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Lieux et monuments


- L'église Saint-Barthélémy : en 1158, « Amerin » avait déjà une église paroissiale sous le vocable de saint Barthélémy. En 1840, une nouvelle église est construite sur les fondations de l'ancienne qui menaçait de s'effondrer.
- L'estaminet de la maison commune, construit en 1644, en rouge barre, lieu de restauration et d'exposition.
- Les marais et le bois d'Emmerin - inscrits à l'Inventaire National du patrimoine Naturel - qui relèvent de l'Espace naturel Lille Métropole.
- Le château d'Emmerin, jadis habité par le sire d'Haubourdin, fut brûlé en 1641.
- Le château de Guermanez, style du XVe siècle, était affecté, avec ses dépendances, à l'institut agricole pénitentiaire fondé par le docteur Faucher, en 1855.
Personnalités liées à la commune
Jean de Carondelet, seigneur d'Emmerin, archevêque de Palerme, primat de Sicile (1469-1544) - Voir son mausolée en la cathédrale St Donatien de Bruges
Henri de Bourbon, seigneur d'Emmerin-Empire (1562-1603) , roi de France de 1589 à 1610.
Philippe Kémel : Ancien député à l'assemblée nationale
Elisabeth Masquelier-Grave : Conseillère départementale
Transport
Emmerin est desservie par le réseau urbain et suburbain Ilévia et Arc en Ciel 2, avec les lignes :
58 Loos Eurasanté Épi de Soil à Santes Marais
229, Lille CHU Eurasanté à Gondecourt Lycée Marguerite de Flandre (via Houplin Ancoisne d’entrumetz)
232, Lille CHU Eurasanté à Gondecourt Lycée Marguerite de Flandre (via Houplin Ancoisne Le bac)
209, Lille CHU Eurasanté - Annoeulin/Billy Berclau (Dimanche uniquement)
230 scolaire Noyelles Lez Seclin Place - Beaucamps Ligny institution Sainte Marie
232 scolaire Sainghin en Weppes Place De Gaulle - Loos Institut Saint Vincent de Paul
235 scolaire Beaucamps Ligny institution Sainte Marie - Haubourdin Canteraine (Mercredi Uniquement)
et Itinéo, une navette sur réservation de 21 h à 01 h, entre Emmerin Mairie et Lille CHR B Calmette
La Ligne : Liane 2 dessert la fin de Loos lez Lille à l'arrêt : La Marlière. Il faut ensuite marcher 10 min pour arriver a Emmerin
Toutes ces lignes (sauf les scolaires) conduisent à la ligne 1 du métro de Lille à la station CHR B-Calmette
Emmerin dispose de six arrêts de bus gérés par Ilévia.
Emmerin ne dispose pas de gare, les plus proches pour un voyage régional étant les gares de : Lille-Flandres, Loos, Haubourdin et Lille CHR.
Situé à une dizaine de kilomètres de la commune, l'aéroport le plus proche est celui de Lille- Lesquin.
Pour venir à Emmerin en voiture, il existe plusieurs moyens :
- Périphérique de Lille : sortie 4
- Autoroute A1 : sortie 19
- Autoroute A25-Nationale 41
Pour approfondir
Bibliographie
Eugène Lejeune "Regards sur le Passé...de 1800 à 1976 " (Bulletins municipaux 1972-1976)
René-Henri Delporte « Amerin hier, Emmerin aujourd'hui » (1993 - Foyer culturel du Houtland)
René-Henri Delporte « Emmerin, 900 ans d'histoire » (2004 - Ed. Le Livre d'Histoire - Lorisse)
Michel Grave – Gaëtan Lassue « Petites histoires emmerinoises –Illustrées » (2007)
René-Henri Delporte « Emmerin, quelques pages d’histoire –Recueil n° 1 » (2014 –ENFC)
René-Henri Delporte « Les fusillés d’Emmerin - Retour sur les journées tragiques des 28, 29, 30 et » (2017 – IPNS)
René-Henri Delporte "Emmerin, de nouvelles pages d'histoire' - recueil d'articles - 84 pages (2020-IPNS)..
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station météofrance Lille-Lesquin - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Emmerin et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Essai de géologie pratique sur la Flandre française, par M. Meugy, Membre résident, in Mémoires de la Société royale des sciences, de l'agriculture et des arts de Lille ; imprimerie L. Danel, 1852 (Livre numérique Google : )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Emmerin en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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