Dourbies

Dourbies est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.

Dourbies

Le village de Dourbies.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes Causses Aigoual Cévennes
Maire
Mandat
Irène Lebeau
2020-2026
Code postal 30750
Code commune 30105
Démographie
Gentilé les Dourbiens et les Dourbiennes
Population
municipale
140 hab. (2018 )
Densité 2,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 03′ 51″ nord, 3° 26′ 47″ est
Altitude Min. 621 m
Max. 1 440 m
Superficie 60,88 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Vigan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Dourbies
Géolocalisation sur la carte : Gard
Dourbies
Géolocalisation sur la carte : France
Dourbies
Géolocalisation sur la carte : France
Dourbies

    Géographie

    Localisation

    Situé aux confins du Gard et de l'Aveyron, à une quinzaine de kilomètres de l'Espérou et de sa station de ski de Prat Peyrot, Dourbies, blotti dans la montagne cévenole, est dominé par la crête du Suquet, avec à ses pieds la Dourbie qui coule au milieu de gorges.

    La commune est limitrophe au sud-ouest du département de l'Aveyron.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits et hameaux

    • Cassanas ;
    • Caucalan ;
    • Campclaux ;
    • Duzas ;
    • L'Espérou ;
    • Lafont ;
    • Lagrinier ;
    • Les Laupies ;
    • Les Laupiettes ;
    • Le Mas ;
    • Le Mazet ;
    • Le Montet ;
    • Le Mourier ;
    • Prunaret ;
    • Ressançon ;
    • Roucabie ;
    • La Rouvière ;
    • Le Viala.

    Hydrographie et relief

    La commune de Dourbies est située dans le parc national des Cévennes sur le versant atlantique du massif du mont Aigoual, à 30 km au sud-est de Millau. Elle surplombe la Dourbie.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 8,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 449 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sauveur-Camprieu », sur la commune de Saint-Sauveur-Camprieu, mise en service en 1998[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 8,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 428,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 30 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 10,9 °C pour 1981-2010[11], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[12].

    Voies de communication et transports

    2 Routes pittoresques mais étroites

    • Route départementale 151, entre l'Espérou et le col de la Pierre Plantée reliant ensuite Saint Jean du Bruel, sur la rive droite de la Dourbie.
    • Route départementale qui à partir du village (Pont sur la Dourbie) relie la D 151 à Saint-Jean-du-Bruel par la rive gauche de la Dourbie.

    Urbanisme

    Typologie

    Dourbies est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,1 %), zones agricoles hétérogènes (1 %), zones urbanisées (0,8 %), prairies (0,1 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Occitan Dourbio, du roman Dorbia, du bas latin Dorbia, Durbia, Derbia, Durbienca, du latin Fluvius Urbio, à rapprocher avec le gaulois dubron qui signifie eau[19].

    Histoire

    Moyen Âge

    Dourbies faisait partie de la viguerie du Vigan et Meyrueis et du diocèse de Nîmes, archiprêtré de Meyrueis. Ce lieu n'est pas nommé dans le dénombrement de 1384, mais à en juger par la somme à laquelle cette communauté est imposée en 1435, elle devait compter au commencement du XVe siècle, six ou sept feux.

    Époque moderne

    Le prieuré de Notre Dame de Dourbies quoique enclavé dans l'évêché d'Alais en 1694 n'en demeura pas moins uni à la mense épiscopale de Nîmes.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1972 1995 Marius Balsan PS Conseiller (depuis 1947)
    janvier 1999 2014 Jacques Balsan[20] DVD Retraité
    2014 2015 Georges Petit[21]   Retraité
    2015 En cours
    (au 24 mai 2020)
    Irène Lebeau[22],[23]   Cadre de la fonction publique[23]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 140 habitants[Note 4], en diminution de 14,11 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8341 0791 0678689781 0261 026905969
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0201 0811 0241 0531 0681 1011 1211 004885
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    865903852689625568515524468
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    383308251223213204190188186
    2013 2018 - - - - - - -
    163140-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête du village le 15 août ;
    • Pèlerinage au rocher de Saint-Guiral le lundi de Pentecôte ;
    • De 1997 à 2009, Dourbies constituait un ravitaillement sur la grande course des Templiers au mois d'octobre. Depuis, il en est de même mais sur le trail des Hospitaliers le même mois.

    Économie

    Secteurs d'activités

    Le village a développé les activités agricoles et pastorales.

    La châtaigneraie, les cultures en terrasses, les pâturages et la forêt domaniale sont le résultat de siècles de labeurs agricoles et forestiers rendus difficiles par le climat et la forte déclivité des terrains.

    La vallée de la Dourbie permettait la culture du seigle sur ces sols granitiques et ces terres siliceuses, cette céréale apportait autrefois aux populations des montagnes la litière pour les animaux et une matière première le chaume pour recouvrir les toitures. Cette culture est cependant devenue anecdotique, les châtaigneraies ne sont quasiment plus entretenues, subsistent les coupes de bois dans les forêts, le pastoralisme et isolement quelques terres ou pâturages

    Le tourisme peut devenir un vecteur économique non négligeable du fait du classement de la région au patrimoine mondial de l'UNESCO[28] et de la typicité du village, le village a été classé par le département et la région « village de caractère »[réf. nécessaire].

    Culture locale et patrimoine

    Édifices religieux

    L'église paroissiale Notre-Dame-de-l'Assomption de style roman au clocher élancé (34 mètres) a été construite par l'architecte Félicien Allard de Nîmes entre 1883 et 1887 avec l'aide des habitants des environs. À cause de sa grandeur et de son architecture lancée vers le ciel, imposante mais fine, elle a été appelée par les voisins et la population de Dourbies la cathédrale des Cévennes[29]. Une allocution a été prononcée le 8 juin 1885 par Monseigneur François-Nicolas Besson, évêque de Nîmes, à l'occasion de la pose de la première pierre[30]. Le centenaire a été fêté le 20 septembre 1987.

    Patrimoine culturel

    Dourbies, situé dans les Causses-Cévennes, région inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO en 2011[28], est attaché aux légendes et croyances ancestrales telles que le pic Saint-Guiral et la légende des Trois ermites[31], ainsi qu'à la protection de la nature de la transhumance (lac des Pises). Le parc national des Cévennes accompagne cette valorisation du patrimoine naturel et architectural.

    Construite sur la place du village en 1990, une fontaine préfigure la légende des Trois ermites[31].

    Patrimoine naturel

    Dourbies est traversé par la Dourbie, qui par sa terminologie gauloise, a inspiré le nom du village[réf. nécessaire], elle coule depuis sa source (proche de l'Espérou) vers Saint-Jean-du-Bruel au milieu de gorges.

    Situé sur le versant Atlantique du massif de l'Aigoual, à une altitude oscillant entre 621 m et 1 440 m, Dourbies offre un paysage typique de montagne cévenole aux vallées profondes entourées de plateaux, territoire pastoral à travers les siècles, la commune qui reste un lieu de la transhumance est prisée pour ses randonnées pédestres où de nombreux parcours sont prévus à cet effet.

    Économiquement, l'activité se tourne plus naturellement vers le Sud-Aveyron et la ville de Millau.

    Les gorges de la Dourbie entre 360 et 850 m d'altitude comportent de nombreux sites classés, tels que Cantobre, chapelles et Nant. Une route pittoresque au départ de Dourbies offre des vues d'ensemble.

    Les toits de chaume liés autrefois à la culture florissante du seigle font l'objet d'un projet de valorisation, quelques-uns sont encore visibles au hameau des Laupiettes.

    Le lac des Pises, qui fait partie du parc national des Cévennes, a été classé espace naturel sensible pour les troupeaux des vallées cévenoles par le conseil départemental du Gard, ce qui en fait un espace de protection de la nature et de la transhumance[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à la croix d'or cantonnée de quatre dauphins du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Dourbies et Saint-Sauveur-Camprieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Saint-Sauveur-Camprieu - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Dourbies et Millau », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Millau - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 820, t.1.
    20. Les maires de Dourbies, publié sur le site francegenweb.org (consulté le ).
    21. Résultats des élections municipales 2014 de Dourbies, publié sur le site de L'Express (consulté le ).
    22. Résultats au 1er tour des élections municipales et communautaires 2020 de Dourbies, publié sur le site du ministère de l’Intérieur (consulté le ).
    23. Fiche de la mairie de Dourbies, mise à jour le sur le site mon-maire.fr (consulté le ).
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Les Causses et les Cévennes, paysage culturel de l'agro-pastoralisme méditerranéen », sur whc.unesco.org (consulté le ).
    29. « Dourbies, la plus cévenole des communes du plateau de l'Aigoual », sur causses-aigoual-cevennes.org (consulté le ).
    30. François-Nicolas Besson, Œuvres pastorales et oratoires de Mgr Besson (1883-1887), 3e série, vol. 2, Retaux-Bray, , 592 p. (lire en ligne), p. 483-487.
    31. Stéphane Barbier, « Village de caractère du Gard : Dourbies, le granit des légendes », sur Midi libre, (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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