Doctolib

Doctolib est une entreprise française fondée en 2013 par Stanislas Niox-Chateau qui propose un service de gestion en ligne des consultations pour les professionnels de santé et un service de prise de rendez-vous en ligne pour les patients.

Doctolib

Logo de Doctolib

Création 5 août 2013
Fondateurs Stanislas Niox-Chateau, Steve Abou Rjeily, Jessy Bernal, Ivan Schneider, Thomas Landais et Franck Tetzlaff [1]
Forme juridique Société par actions simplifiée
Siège social Levallois-Perret, Hauts-de-Seine
France
Directeurs Stanislas Niox-Chateau[2]
Actionnaires Bpifrance, General Altantic, Eurazeo, Accel Partners, Pierre Kosciusko-Morizet, Nicolas Brusson, Antoine Freysz, Pierre Krings, Bertrand Jelensperger, Ludwig Klitzsch, Olivier Occelli, Maxime Forgeot
Activité Programmation informatique
Produits Service en ligne professionnel, prise de rendez-vous médical en ligne
Effectif 1 800 ()[3]
SIREN 794598813
TVA européenne FR14794598813
Site web www.doctolib.fr

Chiffre d'affaires Comptes non disponibles[4]

Histoire

2013 : création de Doctolib

Doctolib est créé en [5] par Stanislas Niox-Château, Jessy Bernal, Ivan Schneider et Steve Abou-Rjeily, avec la participation de 50 praticiens partenaires (médecins, dentistes)[6]. L’entreprise obtient à ses débuts le soutien de la ville de Paris, du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du Fonds social européen, à travers l’incubateur Agoranov[7].

2014-2015 : premiers déploiements

En , Doctolib lève 1 million d’euros auprès d’entrepreneurs français, comme Bertrand Jelensperger (co-fondateur de La Fourchette), Olivier Occelli (fondateur de NaturaBuy) et Antoine Freyz (Lastminute).

En , Doctolib est déployé dans la première clinique[8]. En , Doctolib lève 4 millions d’euros auprès de ses investisseurs historiques[9] et de nouveaux investisseurs, comme Pierre Kosciusko-Morizet et Pierre Krings, cofondateurs de PriceMinister[10]. À cette même période, Doctolib installe ses bureaux dans dix des plus grandes villes de France[11].

Un mois plus tard, en , Doctolib travaille avec 1 500 professionnels de santé partenaires et 15 établissements privés [10].

En , le fonds d’investissement Accel Partners entre au capital de Doctolib, à l’occasion d’une nouvelle levée de fonds de 18 millions d’euros[12].

2016 : lancement en Allemagne

En , Doctolib lance ses activités en Allemagne, avec une équipe composée de 10 personnes et une cinquantaine de médecins partenaires[13]. Le site compte alors 4 millions de visites par mois en France et en Allemagne[14].

2017 : déploiements à l'hôpital public

En , Doctolib lève 26 millions d’euros pour recruter 150 personnes supplémentaires d’ici la fin de l’année. La banque publique d’investissement (Bpifrance) entre au capital.

En , l’Assistance-Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) devient le premier CHU à adopter la prise de rendez-vous en ligne avec Doctolib[15]. Après une expérimentation menée à l’hôpital européen Georges-Pompidou, à Paris, en [16], un millier de médecins exerçant à l’AP-HP proposent la prise de rendez-vous en ligne à la fois sur le site Internet de l’AP-HP et sur Doctolib.

À la fin de l’année 2017, le service est étendu aux 39 établissements et 9 000 médecins de l’AP-HP[16]. Selon l’étude de la chaire Hospinnomics[17], la prise de rendez-vous en ligne a deux effets positifs à l’hôpital : du côté des professionnels de santé, un mois après l’installation de Doctolib, le nombre de rendez-vous honorés a augmenté de 7,5 % dans les établissements de santé de l’AP-HP équipés[18]. Un an après, la hausse est de 11 % pour tous les patients et 7 % pour les nouveaux patients[18]. En plus de ce gain d’efficience pour les professionnels, les patients recommandent ce service : un tiers des 5 000 patients interrogés par l’AP-HP en déclarent qu’ils auraient cherché un rendez-vous hors de l’AP-HP sans la prise de rendez-vous en ligne et 85 % d'entre eux recommanderaient spontanément le service à leurs proches[18].

Quelques mois plus tard, en , le CHU de Nancy opte à son tour pour Doctolib, afin de simplifier l’accès aux consultations de gynécologie, d'obstétrique et d'assistance médicale à la procréation (AMP). C’est le deuxième CHU français à s’équiper du service[19].

En , Doctolib franchit le cap des 11 millions de visites par mois[20].

En , 35 millions d’euros sont levés et Eurazeo entre au capital. Doctolib compte près de 400 salariés.

2018 : rapprochement avec MonDocteur

En , Doctolib compte 40 000 professionnels de santé partenaires, dont plus de 1 000 en Allemagne[21]. Le cap des 15 millions de visites par mois sur le site est franchi[22].

En , Doctolib acquiert MonDocteur et devient le premier service de e-santé en Europe. Avec désormais près de 600 salariés, les deux entités souhaitent fournir des services plus complets tout en améliorant le parcours de soins des patients et l’accès aux professionnels de santé[23]. Elles totalisent 20 millions de visites de patients par mois et 55 000 professionnels de santé utilisateurs[24].

2019 : début de la téléconsultation

En , Doctolib annonce le déploiement d’un service de téléconsultation pour les médecins français[25]. Ce service, construit avec 500 médecins partenaires, s’inscrit dans le cadre de la convention médicale et est intégralement remboursé par l’assurance maladie[26].

En , une nouvelle levée de fonds de 150 millions d'euros valorise la startup à un milliard d'euros, ce qui lui permet d'entrer dans le cercle très fermé des licornes[27].

En , Doctolib compte 75 000 professionnels et 1 400 établissements de santé partenaires, tout en générant 30 millions de visites de patients chaque mois sur son site et son application mobile[28].

En , Doctolib annonce avoir permis 40 000 téléconsultations via ses services, soit les deux-tiers des téléconsultations remboursées en France depuis le début du remboursement[29].

En , Doctolib intègre le Next40[30].

En , Doctolib totalise 100 000 professionnels et 2 000 établissements de santé utilisateurs[31].

En 2019, les hôpitaux marseillais de l'AP-HM optent por Doctolib pour la gestion de ses rendez-vous[32].

2021 : Doctolib Médecin

En , Doctolib annonce le lancement d'un logiciel à destination des médecins généralistes, venant en complément de la plateforme de prise de rendez-vous[33],[34]. Doctolib Médecin a pour fonction de faciliter les tâches administratives des généralistes telles que la gestion de leur agenda, de l'historique des patients ou de l'édition d'ordonnances[35],[36].

Missions et approche

Doctolib s’est donné pour mission de contribuer à transformer le système de santé, en construisant les cabinets et les hôpitaux du futur avec l’aide des professionnels de santé. L’objectif de Doctolib est de participer à l’amélioration de la qualité de vie des professionnels de santé et de l’accès aux soins des patients[37].

Les services de Doctolib

Pour les professionnels de santé, Doctolib est un service de gestion en ligne des consultations[38]. L’objectif de son service est de permettre aux professionnels de santé d’améliorer l’efficacité de leur organisation, la communication avec leur patient et la coopération avec leurs confrères. En 2019, le service de gestion des consultations est facturé 129  par mois aux professionnels de santé[38]. Depuis le , Doctolib propose également aux médecins un service de téléconsultation leur permettant de réaliser des consultations vidéos avec leurs patients, remboursées par l’Assurance maladie. Ce service est facturé 79  par mois aux médecins, en plus de l’abonnement au service en ligne classique[39].

Côté patient, le site et l’application Doctolib permettent de trouver de l'information sur l'offre de soins, de prendre rendez-vous à tout moment avec un professionnel de santé et de consulter l'historique de ses consultations depuis un compte personnel[15]. Le service est gratuit pour les patients[40]. Le service de téléconsultation de Doctolib permet aux patients de prendre un rendez-vous pour une consultation vidéo avec leur médecin, de payer en ligne à la suite de cette consultation vidéo et d’accéder à leur ordonnance sur leur compte personnel. Ce service offre aux patients la possibilité de consulter depuis leur domicile et d’échanger plus rapidement avec un professionnel de santé. Le service de téléconsultation de Doctolib n’est accessible qu’aux patients déjà suivis par un médecin, afin de respecter le parcours de soins et de répondre aux conditions du remboursement par l’Assurance maladie[41].

Prises de rendez-vous pour la vaccination contre la Covid-19

Pour les prises de rendez-vous pour la vaccination contre la maladie à Covid-19, il est possible de créer un compte sur Doctolib pour s'inscrire à titre individuel, mais il est également possible d'inscrire ses proches sous le même compte. Il faut cependant savoir que, dans ce cas, les rendez-vous des différentes personnes inscrites sous le même compte seront donnés via l'adresse courriel du titulaire du compte, et que tous les messages envoyés par Doctolib ne comporteront pas le nom du proche concerné. Il est donc préférable d'ouvrir un compte Doctolib différent pour chaque personne.

La pandémie de Covid-19 a permis à Doctolib d'être devenue incontournable pour les Français : Doctolib gérait l’accès des centres de vaccination à 90 %[42].

Au 1er juin 2021, en France, Doctolib revendique 39 millions de rendez-vous pour une vaccination contre la Covid-19 représentant une part de marché de près de 90%. Les plates-formes de prise de rendez-vous en ligne sont les nouveaux acteurs du secteur de la santé gérant les informations sur le parcours de soins d'une grande partie de la population[32].

L’impact de Doctolib sur le système de santé

L’activité de Doctolib a un double impact sur le système de santé : sur la qualité de vie au travail des professionnels de santé et sur l’accès aux soins des patients.

Dans une interview au quotidien Le Figaro, Stanislas Niox-Château, cofondateur et président de Doctolib, affirme que l’utilisation de Doctolib permet aux médecins généralistes de réaliser 17,5 % de consultations en plus et aux médecins spécialistes 13,8 % de consultations en plus au bout d’un an[43]. L’utilisation de Doctolib a aussi permis de réduire le pourcentage de rendez-vous non honorés par les patients, qui est passé de 10 % à 4 % avec la mise en place du rappel de rendez-vous par email et SMS[31].

Pour les patients, Doctolib vise à simplifier la prise de rendez-vous médical, en particulier le soir et le week-end : 54 % des rendez-vous pris sur le site et l’application le sont durant les heures de fermeture des cabinets[31].

Engagements sociétaux

En matière d’éthique, l’entreprise affirme qu’elle s’assure de la fiabilité des informations publiées sur son site et son application, n’oriente pas les patients vers un praticien en particulier, respecte le parcours de soins coordonnés et ne permet pas aux patients de noter publiquement leurs praticiens[44].

Protection des données

Les données personnelles de santé conservées par Doctolib sont stockées en France et en Allemagne par trois hébergeurs certifiés « données de santé » (norme HDS) mais Doctolib n'est pas lui-même certifié HDS. Doctolib n’a pas accès à ces données et ne devrait pas les vendre ni les utiliser[45].

Le , Doctolib annonce adopter le chiffrement de bout en bout[46] pour la sécurisation des données de santé.

Relation avec les professionnels de santé

Doctolib construit les services aux utilisateurs avec des professionnels de santé comme, par exemple, le service de téléconsultation mis en œuvre avec 500 médecins partenaires de France et d’Allemagne.

Critiques

Opposition de médecins à l'inscription sur Doctolib

En , certains médecins, comme Jérôme Marty et Bertrand Legrand s'opposent au site de prise de rendez-vous en ligne[47]. Ils reprochent à Doctolib que les noms de certains professionnels de santé apparaissent toujours alors qu'ils ont quitté le site et que les patients soient reconduits vers des confrères toujours abonnés au site.

En réponse à cette controverse, Stanislas Niox-Château, fondateur et président de Doctolib, a publié un article sur le blog Medium[48], dans lequel il affirme que « nous ne mettons en avant aucun praticien par rapport aux autres sur Doctolib »[49]. Le , Jérôme Marty a remercié Doctolib « pour avoir agi promptement suite à ce qu'il avait signalé avec Bertrand Legrand »[50].

Selon Johanna Habib, la plate-forme permet de rendre des plages horaires accessibles uniquement pour certains motifs de consultation[51].

Augmentation des frais pendant le confinement

Pendant la crise sanitaire du COVID, Doctolib applique un nouveau prélèvement de 1 %. Ces frais, selon un médecin, peuvent représenter jusqu'à 200 euros par mois par professionnel[52].

Envoi de données sur Amazon Web Services

En 2021, plusieurs syndicats de médecins ont déposé devant le Conseil d'État un recours en raison de l’utilisation par le site de prise de rendez-vous Doctolib des services d’hébergement d'Amazon Web Services (AWS). Ces syndicats ainsi que des représentants d’associations de patients dénoncent un niveau de sécurité insuffisant pour le stockage des données de santé de millions de personnes. Selon les plaignants, le CLOUD Act permet notamment aux agences de renseignement des États-Unis d’accéder aux informations stockées sur les serveurs d’entreprises américaines et le droit américain a des effets extraterritoriaux importants qui ne garantissent pas un niveau de protection conforme au règlement général sur la protection des données (RGPD)[53],[32]. Suite à l’affirmation que le chiffrement proposé par Doctolib était incomplet[54], et d'un démenti de la société par le biais de son président[55], l'application Android Doctolib est accusée d'être trop bavarde sur les données de ses utilisateurs[56],[57].

Niveau de sécurité insuffisant pour le stockage des données de santé

En 2020, Doctolib est victime d'un vol de données personnelles concernant 6 128 rendez-vous médicaux (nom, prénom, sexe, âge, numéro de téléphone, adresse électronique des patientes et patients ; date de rendez-vous, nom et spécialité des personnels de santé concernés par le rendez-vous). Doctolib considère alors qu'aucune donnée de santé n'est impliquée[58].

La même année, une faille de sécurité triviale est présentée au congrès de sécurité informatique CCC. Elle donne accès à 150 millions de rendez-vous pris depuis les années 1990 (date, documents, nom et spécialité des praticiens, nom, sexe et numéro de téléphone du patient)[59].

En , il est révélé dans Mobilsicher, média allemand spécialisé dans les question de confidentialité et des donnés numériques, que Doctolib a transmis pendant plusieurs mois des données de recherche de ses utilisateurs en Allemagne aux géants de la publicité Facebook et Outbrain. La plateforme a rapidement reconnu l'utilisation de deux cookies génériques Facebook et Outbrain collectant des informations personnelles (l'adresse IP, mots-clés du traitement recherché, spécialité médicale recherchée, secteur public ou privé) mais indiqué qu'aucune donnée de santé n'était collectée, considérant que les mots-clés recherchés ne seraient pas des données de santé[60],[61],[62],[63].

Hébergement de données de santé sans l'accord de la patientèle

Le 14 Juillet 2021, Doctolib se voit décerner le Big Brother Award[64],[65],[66]. Ce prix décerné aux structures qui attentent à la vie privée lui est attribué en identifiant plusieurs problèmes :

  • lorsque des professionnels de santé demandent à utiliser Doctolib, ce service leur demande à accéder aux données de santé de toute leur patientèle, sans que celle-ci en soit informée, et ce même si cette patientèle ne dispose d'aucun compte Doctolib ;
  • le manque de transparence de la politique de confidentialité de Doctolib, multipliant les documents qui précisent les conditions d'exploitation des données collectées ;
  • lorsque des personnels de santé utilisent Doctolib, ce service accède à la liste complète de leur patientèle alors que les créneaux libres suffiraient ;
  • l'usage de cookies publicitaires permet à de nombreuses entreprises telles que Google, Twitter, Instagram, Facebook, LinkedIn, Medium et YouTube d'être informées quand un rendez-vous est pris par un patient ;
  • la fusion de données de santé sur des patients et patientes transmises par plusieurs personnels de santé, sans aucune suppression une fois que les données ne sont plus utiles pour la prise de rendez-vous.

Implantation

Doctolib a un siège en France, à Levallois-Perret, et un siège local en Allemagne, à Berlin. L’entreprise compte également trois centres de recherche et développement à Paris, Nantes et Berlin.

Par ailleurs, Doctolib a des bureaux dans 40 villes en France et en Allemagne[67].

En , Doctolib compte 1 000 salariés au total, en France et en Allemagne[68].

Organisation

Direction

Doctolib est présidé par Stanislas Niox-Château. Arthur Thirion est Directeur Général de Doctolib France[69] et Dr Ilias Tsimpoulis est Directeur Général de Doctolib Allemagne[70].

Actionnariat

Doctolib est une entreprise indépendante, détenue à majorité par ses fondateurs et ses managers[réf. nécessaire]. Les autres actionnaires sont la Banque publique d’investissement (Bpifrance), les fonds d’investissements Eurazeo, Accel, Kernel et General Atlantic et les entrepreneurs qui ont participé aux levées de fonds (Ludwig Klitzsch, Pierre Kosciusko-Morizet, Bertrand Jelensperger, Antoine Freysz, Pierre Krings, Olivier Occelli, Maxime Forgeot)[71].

Notes et références

  1. https://accel.com/relationships/doctolib
  2. « https://about.doctolib.fr/equipe/ »
  3. « https://www.linkedin.com/company/doctolib »
  4. https://www.societe.com/societe/doctolib-794598813.html
  5. « Comment la startup française Doctolib est devenue une licorne », sur La Tribune,
  6. « Doctolib, le succès au rendez-vous », sur Paris Match,
  7. « Prise de RDV médicaux en ligne : Doctolib lève 1 million et estime entre « 40% et 50% la rentabilité du marché » », sur FrenchWeb,
  8. « Prise de rendez-vous en ligne : un marché en plein boom », sur EDP Audio,
  9. « Doctolib, le « Google de la santé », lève 4 millions d’euros », sur BFM Business,
  10. « Doctolib part à la conquête de l'Europe », sur Les Echos,
  11. « PagesJaunes entre dans la bataille des plateformes de RDV médicaux », sur Challenges,
  12. « Doctolib lève 18 millions d'euros », sur Le Figaro,
  13. « Doctolib se développe en Allemagne », sur Le Figaro,
  14. « Doctolib, Mondocteur… Comment ces plateformes changent la relation entre patient et soignant? », sur 20 minutes,
  15. « Comment Doctolib dope les prises de rendez-vous de l'AP-HP », Les Echos, (lire en ligne)
  16. « Courbevoie-Neuilly-Puteaux : prendre rendez-vous en ligne à l’hôpital, c’est possible », Le Parisien, (lire en ligne)
  17. « Les hôpitaux de Paris tirent les premiers bénéfices du passage à Doctolib », sur Le Figaro,
  18. « Une étude réalisée par Hospinnomics pour l’AP-HP évalue l’impact de la prise de rendez-vous en ligne dans ses hôpitaux : Comment la prise de rendez-vous en ligne transforme l’hôpital ? », sur APHP,
  19. « Prise de rendez-vous: le CHU de Nancy opte pour Doctolib », sur Tic Santé,
  20. « Doctolib enregistre 11 millions de visites chaque mois », sur Les Echos,
  21. « Doctolib lance sa plateforme de consultation médicale en ligne », sur Le Journal du Dimanche,
  22. « LE DOCTOLIB DES AVOCATS EST-IL DÉJÀ EN MARCHE ? », sur Avocalix,
  23. « Doctolib acquiert MonDocteur », sur Cloudinary,
  24. « Doctolib rachète son concurrent direct Mondocteur », sur Le Monde,
  25. « Doctolib déploie son service de téléconsultation », sur L'ADN,
  26. « Doctolib va se lancer dans la télémédecine », sur Le Parisien,
  27. « Doctolib entre finalement dans le cercle privé des licornes », sur Presse Citron,
  28. « Doctolib : le patron dévoile les plans de la nouvelle licorne française », sur Les Echos Entrepreneurs,
  29. « Seulement 60 000 actes de téléconsultation en un an : les Français restent méfiants », sur Le Parisien,
  30. « Qui sont les 40 startups du Next40 ? », sur FrenchWeb,
  31. « Comment Doctolib a amélioré l’accès aux soins », sur Le Figaro,
  32. Justin Délépine, « Mais qui arrêtera Doctolib? », Alternatives économiques,
  33. « Doctolib cible les médecins libéraux en s'attaquant au marché du logiciel médical », sur Maddyness - Le Magazine sur l’actualité des Startups Françaises, (consulté le )
  34. « Gagner 4h de temps administratif par semaine : tout savoir sur le nouveau "Doctolib médecin" », sur egora.fr, (consulté le )
  35. « Doctolib propose une solution de gestion pour les cabinets des médecins libéraux », sur Les Echos, (consulté le )
  36. Stéphane Barge, « Mais qu'est-ce qui arrêtera Doctolib ? », L'Express, no 3650, 17 au 23 juin 2021, p. 50-52
  37. « Doctolib plonge dans la médecine du futur », sur Alliancy,
  38. « Stanislas Niox-Chateau, PDG de Doctolib : «Nous voulons créer les cabinets et hôpitaux de demain» », sur Le Parisien,
  39. « Doctolib lance sa plateforme de consultation médicale en ligne », sur Le Journal Du Dimanche,
  40. « Stanislas Niox-Chateau, PDG de Doctolib : «Nous voulons créer les cabinets et hôpitaux de demain» », sur Le Parisien,
  41. « Doctolib déploie la téléconsultation chez les médecins », sur La Tribune,
  42. Vincent Fagot, « Les ambitions dévorantes de Doctolib », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
  43. « Stanislas Niox-Chateau: «Il y a une multitude de services à inventer pour la médecine» », sur Le Figaro,
  44. « Doctolib, une santé d’affaires », sur Libération,
  45. « Comment sont protégés vos données de santé partagées sur Doctolib », sur Capital,
  46. « Doctolib bascule dans le chiffrement de bout en bout »
  47. « Des médecins déclarent la guerre à Doctolib », sur Le Journal du dimanche,
  48. « Ma réponse au docteur Bertrand Legrand », sur Medium,
  49. « Quand des médecins s'attaquent au site Doctolib », sur Le Point,
  50. « Ces médecins qui passent à l'offensive contre Doctolib », sur Capital, 28 octobre 2018
  51. « Doctolib bouscule les professionnels de la santé », sur Alternatives Economiques (consulté le )
  52. « Des médecins accusent Doctolib d’augmenter ses frais avec le confinement », sur Capital,
  53. Vaccination : les données de santé de Doctolib suscitent l'inquiétude de médecins, france24.com, 5 mars 2021
  54. Marjolaine Koch, « Doctolib : le chiffrement des données incomplet ? », sur www.franceinter.fr, (consulté le )
  55. (en) Stanislas Niox-Chateau, « Réponse à plusieurs fausses affirmations relayées sur France Inter : les données des utilisateurs… », sur Medium, (consulté le )
  56. « Données de santé: le chiffrement de Doctolib décrié, la plateforme dément », sur BFMTV (consulté le )
  57. #LeBrief, « Doctolib accusé d’être trop bavard sur les données de santé », sur www.nextinpact.com, (consulté le )
  58. « Doctolib victime d'un vol de données personnelles concernant plus de 6 000 rendez-vous médicaux », (consulté le )
  59. (de) Christoph Saatjohann, Martin Tschirsich, Dr. med. Christian Brodowski, « Tut mal kurz weh – Neues aus der Gesundheits-IT », (consulté le )
  60. « Doctolib a transmis des données à Facebook et Outbrain en Allemagne », sur Les Echos, (consulté le )
  61. « Doctolib a transmis les données de ses utilisateurs à Outbrain et Facebook en Allemagne », sur usine-digitale.fr (consulté le )
  62. Gilbert KALLENBORN, « Doctolib envoyait des données de recherche à Facebook et Outbrain », (consulté le )
  63. Nicolas Six, « Doctolib a communiqué les recherches de ses usagers allemands à Facebook et Outbrain », sur lemonde.Fr, (consulté le )
  64. (en) Dr. Thilo Weichert, « the company Doctolib in Berlin », sur bigbrotherawards.de, (consulté le )
  65. (en-US) « Big Brother Awards 2021: “Oscar for data octopuses” goes to Doctolib and the EU Commission », sur World Weekly News, (consulté le )
  66. « Doctolib a transféré des données sensibles à Facebook et Outbrain », sur Siècle Digital, (consulté le )
  67. « Doctolib lève 150 millions d'euros et devient la 5e licorne française », sur La Tribune,
  68. « Ces 10 scale-up recrutent à fond dans le digital en novembre », sur Les Echos,
  69. « Doctolib : «Notre objectif est d’améliorer l’accès aux soins», assure Arthur Thirion », sur Le Parisien,
  70. « A Healthy Dose of Hiring: How Ada, LabTwin, and Doctolib Attract Talent », Acer8,
  71. « Doctolib lève 150 millions d'euros pour grandir », sur Les Echos,

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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