Curlu

Curlu est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Curlu

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays du Coquelicot
Maire
Mandat
Patrick Senez
2020-2026
Code postal 80360
Code commune 80231
Démographie
Gentilé Curvélogiens
Population
municipale
170 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 57′ 52″ nord, 2° 49′ 02″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 122 m
Superficie 5,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Albert
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Curlu
Géolocalisation sur la carte : Somme
Curlu
Géolocalisation sur la carte : France
Curlu
Géolocalisation sur la carte : France
Curlu

    Géographie

    Nature du sol et du sous-sol

    Le sol de la commune est d'origine aqueuse des ères secondaire, tertiaire et quaternaire. Il est riche en acide phosphorique. La couche de terre végétale est très peu épaisse.

    Le sous-sol est de nature calcaire et dans sa partie nord, argileux. Dans les vallées le sol est recouvert du limon des plateaux riche en gisement de phosphate de chaux, sable, bief et craie[1].

    Relief, paysage, végétation

    Le paysage de la commune est composé de vallées, plateau et collines. Au nord-est on trouve des collines, au sud-ouest, une plaine, l'île de Frise. À l'extrême nord une vallée sèche et profonde, la vallée des Maures et aussi la vallée de la Somme, sur la rive droite, Curlu est presque au ras des marais, dominée de tous côtés par les hauteurs[1].

    Hydrographie

    L’Irette prend sa source à Curlu

    La commune est limitée au sud par divers bras d'un méandre du fleuve côtier la Somme, qui y forme les étangs de Fargny.

    On trouvait à la fin du XIXe siècle une première nappe phréatique peu profonde puis une seconde plus profonde[1].

    Climat

    Le climat de la commune est tempéré océanique avec vents dominants d'ouest et de sud-ouest[1].

    Lieux-dits et écarts

    Le recensement de 1896 nous donne la situation démographique des hameaux avant les destructions de la Première Guerre mondiale[1] :

    • Fargny, 13 habitants ;
    • les Fosses, 5 hab. ;
    • la Ferme rouge, 4 hab. ;
    • la Cantine Lambert, 12 hab. ;
    • la Chapelle, 4 hab.

    Urbanisme et aménagement du territoire

    La commune possède un habitat groupé avec plusieurs écarts.

    Activité économique et de services

    L'activité économique de la commune reste l'agriculture.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Curlu est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,7 %), zones humides intérieures (8,8 %), eaux continentales[Note 2] (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), forêts (1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Plusieurs hypothèses sont recensées[1] :

    • Cuerlu (1189), correspondant au nom du maître du lieu : Cuer.
    • Cuer lu : cœur du loup.
    • Cuerlu Quellu (1241), c'est-à-dire : « Quel lieu ! » , cri de surprise des religieux de l'abbaye Saint-Nicolas d'Arrouaise.

    Histoire

    Antiquité

    Des armes et des monnaies gallo-romaines ont été trouvées sur le territoire communal[1].

    Sous l'empereur Probus, des vignes ont été plantées. Elles ont été supprimées au XVIIIe siècle[1].

    Moyen Âge

    En 1151, Mathieu de Ham attribue la terre de Curlu et Fargnier à Fulbert, abbé d'Arrouaise. Ce dernier y établit un prieuré de plusieurs moines et de serfs pour défricher et mettre en culture. L'église construite ensuite est dédiée à saint Nicolas[1].

    En 1180, Gautier, abbé d'Arrouaise affranchit les serfs des deux villages[1].

    Curlu devint alors une commune (Moyen Âge), au sens médiéval, avec maire et échevins[1].

    XIXe siècle

    En 1814-1815 la commune souffrit des invasions étrangères.

    En 1870-1871, pendant la guerre franco-allemande de 1870, la commune occupée par les Prussiens subit des réquisitions en argent et en nature.

    En 1899, une voie de chemin de fer Decauville de 60 cm de large relie l'usine avec les trois carrières du gisement de phosphate de chaux. Une brasserie est exploitée dans la commune[1].

    Ruines de l'église, après la bataille de la Somme (1916).
    Sur la Somme. Ce qui reste du village de Curlu récemment repris aux Allemands.

    Première Guerre mondiale

    Le peintre officiel aux armées françaises : François Flameng a réalisé de nombreux croquis et dessins des combats qui eurent lieu à Curlu pendant la Première Guerre mondiale et qui parurent dans la revue l'Illustration[9].

    Curlu est occupé par l'armée allemande dès le début de la guerre, le [10],[11].

    Le village fut libéré de l'occupation allemande le , premier jour de la bataille de la Somme[12], après 21 mois d'occupation, de privations et de réquisitions. En une demi-heure de déluge de feu, le village devint un « amas de maisons »[13],[14],[15],[16]. La 11e division d'infanterie perdit 250 soldats le jour même dans la commune.

    Le village est considéré comme totalement détruit à la fin de la guerre[17],[18] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [19].

    Le village est reconstruit pendant l'entre-deux-guerres.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Péronne du département de la Somme.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Combles [20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription territoriale administrative a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Albert

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de la Somme.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays du Coquelicot, qui est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créée fin 2001.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Roland Senez UMP  
    mars 2008[21] 2014 Maurice Caudron    
    2014[22] mai 2020[23] Daniel Cresset    
    mai 2020[24] En cours
    (au 24 mai 2020)
    Patrick Senez    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

    En 2018, la commune comptait 170 habitants[Note 3], en augmentation de 21,43 % par rapport à 2013 (Somme : −0,18 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    361297366450454475477435414
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    396392388362337332329352445
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    425400384140175178146160152
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    130104112118117111134137138
    2017 2018 - - - - - - -
    168170-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Monument aux morts édifié en 1923. Pyramide en granit gris de Bretagne, surmontée d'une Croix de guerre et ornée d'une palme[36],[13].
    • Source de la l'irette près des étangs.
    • Le chemin des automitrailleuses est une randonnée de 10 km entre marais, étangs et vallée de la Somme, au départ de Curlu.

    La seigneurie de Curlu

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (mai 2020). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.
    • Antoinette de Curlu et Antoine de Haynin de Warlaing :
    Antoine, premier-fils de Colard de Haynin (aussi de Hennin) et de sa seconde épouse Cornélie d’Avesnes, brise ses armes « d’une hure (de sanglier) de sable au 1er canton, défendue et allumée d’argent ».
    Il épouse le 29/10/1506 Antoinette de Curlu, fille de Jacques et de Jeanne de Saint-Hilaire.
    Antoine est seigneur et marquis de Quérénaing ; il décède à Cambrai le 14 juillet 1551 et est « dit enterré à Saint Géry » (...où il a épitaphe et armoiries).
    S’il y a eu polémiques dans les documents anciens, il est désormais possible de trancher définitivement ici avec :
    - les titres de la Maison de Haynin de Barat,
    - un document des archives départementales du Nord,
    - l’« Épitaphier de Valenciennes et environs ».
    Ces trois documents citent bien l'épitaphe ne le situant pas à Saint Géry mais à Saint Georges, deux églises de Cambrai :
    « en l’église de Saint Georges à Cambrai… Tableau de l’Ascension au-dessus de l'arcade du bas côté septentrional… chi devant ce pilier gist le corps de feu Antoine de hennin, escuyer qui trespassa le XIIII du mois de juing A° XVXLII et de damoiselle Anthoinette de Curlu sa femme le dernier jour an XVC et XXX priez pour leurs âmes »
    « le volet de la droite représente Anthoine de Haynin et derrière lui ses fils au nombre de six. Son escu est d’or à la croix engrêlée de gueules brisé d'une hure de sable à dextre, timbré d’un casque, cimier : une hure de sable au milieu d'un vol d’or ; le volet de gauche, Anthoinette de Curlu et ses cinq filles, son escu est un losange parti de celui de son mari et le deuxième d'azur au chef d’or »
    La Sentence de l'Élection d’Artois (1609) a permis de dresser avec précision la descendance d'Antoine et d'Antoinette soit dix des onze enfants, d'établir que l'enfant manquant est une fille et de la supposer probablement morte jeune :
    1. Cornélie,
    2. Claude époux a) Catherine l’Aoust, b) Julie Préau,
    3. Adrien, conseiller de Cambrai, époux de Marie de Franqueville,
    4. Antoinette, épouse de Charles de Landas,
    5. Antoine ,
    6. Henri, dont les seigneurs de Haynin de Warlaing,
    7. Simon, dit Parent, époux d’Antoinette Gamin,
    8. Marie, épouse de Pierre Gamin,
    9. Isabelle, épouse de Claude Brillet,
    10. Jean, époux de Françoise Roisel.
    L'ascendance, jusque un peu avant l'an 1000, et la descendance de ces époux à nos jours, sont consultables sur un forum .
    Antoinette de Curlu est décédée le [38].
    • Antoine de la Baume Pluvinel, soldat du 11e bataillon des chasseurs alpins tombé à Curlu le à 18 ans[39].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Curlu », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 13 SO, Cambrai [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. L. Buleux, instituteur, Notice géographique et historique sur la commune de Curlu, Amiens, Archives départementales de la Somme, (lire en ligne).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. François Flameng, Croquis de guerre : aquarelles & sépias exécutées sur le front, Paris, l'Illustration, 144 p. (lire en ligne).
    10. État-major des armées. 20e corps d'artillerie. Cartographe, « Carte dressée et restitué par le Groupe des canevas de tir: Curlu », Documents consacrés à la Première Guerre mondiale, Bibliothèque nationale de France, département Cartes et plans, GE BB-366 (11), (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    11. France. État-major des armées. 20e corps d'artillerie. Cartographe, « Nord de la Somme  : schema des organisations defensives allemandes au nord de la Somme », [Groupe des canevas de tir], Bibliothèque nationale de France, département Cartes et plans, GE BB-366 (17), (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    12. État-major des armées. 20e corps d'artillerie. Cartographe, « Maricourt : restitution par la S.T.C.A. 20 des photographies prises jusqu'au 9 Aout 1916 », Carte dressée et restitué par le Groupe des canevas de tir, Bibliothèque nationale de France, département Cartes et plans, GE BB-366 (8), (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    13. « Curlu : Vingt-et-un mois de cohabitation avec l’ennemi allemand », sur http://www.il-y-a-100-ans.fr (consulté le ).
    14. Fasol, chroniqueur du « Courrier de Péronne », L'arrondissement de Péronne sous l'occupation.
    15. « Dans les ruines de Curlu », Nouvelles de France - Bulletin des Français résidants à l'Étranger, vol. V, no 4, , p. 67-68 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    16. « L'occupation de Curlu », dans Abbé Charles Calippe (préf. Mgr de Villerabel), La guerre en Picardie, Paris, Pierre Téqui, , 391 p. (lire en ligne), p. 271-288, lire en ligne sur Gallica.
    17. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    18. « Photo : Curlu (Somme). Soldat français dans un boyau traversant les ruines du village », Archives départementales de la Somme, (consulté le ).
    19. Journal officiel du 30 octobre 1920, p. 16878.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
    22. « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
    23. « Le dernier mandat de Daniel Cresset à Curlu : Après 31 années au conseil municipal, dont six comme maire, il ne sera pas candidat aux élections de mars », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Daniel Cresset a fait son entrée au conseil municipal peu de temps après s’être installé avec son épouse à Curlu. Il a été élu puis réélu sans discontinuité depuis 1989. Au cours de ces cinq mandats, il aura été « quatre fois adjoint et une fois maire, de 2014 à 2020 ».
    24. Emmanuelle Bobineau, « Curlu a un nouveau maire, Patrick Senez », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Curlu d'après nature, 26 septembre 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    29. Agence photographique Rol, « Photo : Curlu, l'église [en ruine] », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    30. Agence photographique Rol, « Photo : L'église de Curlu [en ruine] », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    31. Agence Meurisse, « Photo : Dans la Somme : l'église de Curlu », (consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
    32. Oswald Macqueron, « Aquarelles : A) Fonts baptismaux de l'église de Curlu d'après nature, 25 septembre 1877 B) Fonts baptismaux de l'église de Hem-Monacu d'après nature, 25 septembre 1877 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
    33. « Fonts baptismaux avant et après 14/18 », Le petit patrimoine en Pays de Somme (consulté le ).
    34. « Chemin de croix », notice no PM80005351, base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 262-263 (ASIN B000WR15W8).
    36. Dominique et Jean-Étienne Guerrini, site : [monumentsauxmorts1418somme.jimdo.com].
    37. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? », sur https://france3-regions.francetvinfo.fr.
    38. La généalogie de cette famille a été traitée par de Sars de Solmont sous sa référence 124/210 .
    39. « Ce poilu est aujourd’hui comme un membre de leur famille : Georges Seta, de Bray-sur-Somme, et Arlette Lendroit, de Péronne, font revivre Antoine de la Baume Pluvinel, tombé à Curlu le 17 juillet 1916. Il n’avait que 18 ans », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
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