Cucugnan

Cucugnan (en occitan : Cucunhan) est une commune française, située dans le département de l'Aude en région Occitanie.

Ne doit pas être confondu avec Cucuron ou Saint Cucufa.

Cucugnan

Vue générale de Cucugnan.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Narbonne
Intercommunalité Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée
Maire
Mandat
André Doumenc
2020-2026
Code postal 11350
Code commune 11113
Démographie
Gentilé Cucugnanais
Population
municipale
119 hab. (2018 )
Densité 7,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 51′ 07″ nord, 2° 36′ 11″ est
Altitude 360 m
Min. 218 m
Max. 822 m
Superficie 15,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Corbières
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Cucugnan
Géolocalisation sur la carte : Aude
Cucugnan
Géolocalisation sur la carte : France
Cucugnan
Géolocalisation sur la carte : France
Cucugnan
Liens
Site web www.cucugnan.com

    Ses habitants sont appelés les Cucugnanais.

    Géographie

    Localisation

    Commune des Corbières située au pied du mont Tauch sur le Verdouble et sur le terroir viticole Corbières (AOC). Elle est limitrophe du département des Pyrénées-Orientales.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Le Grau de Maury, col situé à 432 mètres, permet d'accéder à Cucugnan en provenance de Maury.

    Cucugnan se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].

    Climat

    Pour un article plus général, voir Climat de l'Aude.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[réf. nécessaire]

    • Moyenne annuelle de température : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 659 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,4 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mouthoumet », sur la commune de Mouthoumet, mise en service en 1989[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 844,6 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 15,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[13].

    Statistiques 1981-2010 et records Station MOUTHOUMET (11) Alt: 538m 42° 57′ 30″ N, 2° 31′ 42″ E
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,9 2,2 4,3 5,7 9,5 12,8 15 15,4 12,2 9,4 5,1 2,5 8
    Température moyenne (°C) 5,1 5,8 8,4 10,1 14,1 17,9 20,6 20,8 17 13,2 8,4 5,6 12,3
    Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,4 12,4 14,4 18,8 23 26,2 26,3 21,8 17 11,7 8,8 16,6
    Record de froid (°C)
    date du record
    −7,9
    08.2009
    −10,8
    08.2012
    −8,5
    01.2005
    −2,6
    14.1998
    0
    04.2010
    5
    12.2019
    8,1
    12.2000
    7,9
    30.1993
    4,5
    29.1993
    −1,4
    23.1991
    −8
    22.1998
    −7,6
    15.1995
    −10,8
    2012
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    19,7
    31.2000
    23,3
    27.2019
    25,5
    21.1990
    27,7
    09.2011
    32,4
    30.2001
    37
    21.2003
    35,3
    30.2006
    38,3
    13.2003
    34,2
    03.2016
    29,2
    02.2011
    24,5
    11.2015
    21,5
    18.1989
    38,3
    2003
    Précipitations (mm) 96,3 80,2 62,7 87,7 67,3 45,5 28,3 40,4 66,3 81,8 88,4 99,7 844,6
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 1 mm 10,2 8,8 8,7 10,2 7,9 5,2 4,2 5,5 6,9 8,4 9,3 10,3 95,5
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 4,9 3,7 3,9 5,2 3,7 2,5 1,6 2,6 3 3,7 4,3 4,9 43,9
    dont nombre de jours avec précipitations ≥ 10 mm 2,5 1,8 1,8 2,3 2 1,5 0,9 1,2 1,9 1,9 2,4 2,7 22,8
    Source : [MétéoFrance] « Fiche 11260002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Cucugnan est une commune rurale[Note 3],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,6 %), forêts (34,3 %), cultures permanentes (22,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Cucuquieno en 359, Cucunianum en 951[20], Cucugnanum, Chugunanum en 1195[20]

    Cucugnan (Cucunhan en occitan).

    De l'anthroponyme gaulois Cucculus.

    Histoire

    Vue partielle du village.

    Cucuniano est mentionné par écrit pour la première fois en 951, lorsque le comte du Razès, Roger Ier de Carcassonne fait don d'une partie du territoire de Cucugnan à l'abbaye de Lagrasse. Le territoire de Cucugnan fait alors partie du pagus du Perpertusès, division administrative du comté du Razès, alors sous la souveraineté des Carolingiens.

    Vers 863-864, le comté du Razès passe aux mains du comte de Carcassonne.

    Après la guerre du Razès, qui débute en 981, le comte de Besalú prend en main, vers 1010, le commandement du Perapertusès.

    À la fin du Xe siècle, l'émiettement du pouvoir carolingien entraine la multiplication des forteresses sur les hauteurs telles que Quéribus et Peyrepertuse.

    En 1070, Cucugnan est cité lors des serments prêtés au comte de Besalú par les nobles.

    En 1111, Peyrepertuse et tout le territoire qui lui appartient, dont Cucugnan, entrent dans le domaine du comte de Barcelone

    En 1140, Bérenger de Peyrepertuse rend hommage au comte de Barcelone pour la Forteda de Cucuniano. Un ouvrage fortifié, dépendant des seigneurs de Peyrepertuse, est mentionné dès le début du XIIe siècle.

    En 1193, le seigneur de Cucugnan est cité pour la première fois. Il fait partie de la branche cadette des seigneurs de Peyrepertuse.

    De 1209 à 1255, pendant la croisade des Albigeois, le seigneur de Peyrepertuse se joint à la résistance languedocienne, puis se soumet au roi de France saint Louis en même temps que le comte de Toulouse en 1241.

    En 1258, le traité de Corbeil, entre les royaumes de France et d'Aragon, fixe la frontière dans le Fenouillèdes. Cucugnan sera ainsi en première ligne lors des guerres contre les Espagnols jusqu'au traité des Pyrénées de 1659.

    À la fin du XVe siècle Cucugnan est détruit. Le traité des Pyrénées mettra fin à cette situation avec l'annexion par la France du Roussillon.

    Au XVIe siècle, un nouveau village voit le jour au-dessous du village médiéval totalement ruiné. En 1692, les archives font état d'une maison du seigneur, qui était située, selon la tradition orale, en face de l'église actuelle. Ce village semblait fortifié comme semble l'attester une porte fortifiée située à l'ouest.

    Politique et administration

    Rue de Cucugnan.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
             
    mars 1977 2008 Alain Mounié PS Conseiller général
    mars 2008 2014 Joël Gauch    
    2014 En cours André Doumenc SE Entrepreneur en bâtiments
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

    En 2018, la commune comptait 119 habitants[Note 4], en diminution de 10,53 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    214214239252267283301312282
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    299288271280268262261231218
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    228217226201224225184154146
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    157124102113128113131133133
    2017 2018 - - - - - - -
    123119-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Vignobles devant le mont Tauch.

    Manifestations culturelles et festivités

    • Festival du conte Cont'en Corbières Cucugnan Padern.

    Sports

    La route des vins à Cucugnan.

    Économie

    Église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Vierge enceinte.

    Cucugnan est dans une plaine à laquelle on accède par le grau de Maury qui est dominé et qui fut contrôlé par le château de Quéribus, dernière citadelle Cathare et sentinelle française aux portes de l'Espagne jusqu'en 1659 (traité des Pyrénées, déplaçant la frontière à la chaîne des Albères).

    Cucugnan est un village artisanal, surmonté par l'église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse mentionnée pour la première fois en 1360 et abritant une Vierge enceinte.

    Les vestiges d'un castrum sont encore visibles au-dessus du Moulin d'Omer en activité. La commune de Cucugnan dévoile dans ses montagnes et sa garrigue une multitude de bâtiments anciens (XIIIe).

    Tout au sommet du village, le moulin seigneurial avait été préservé à la suite de la Révolution française. Particularité remarquable de ce moulin, il bénéficie toujours d'un droit de mouture et d'un contingent de 837 quintaux. Les conditions aérologiques exceptionnelles de la vallée du Triby et de la fréquence des jours ventés ont permis sa remise en exploitation au début de 2006. La chaîne complète du grain au pain peut être un but de visite.

    Moulin d'Omer
    Le moulin surplombant le village et remis en exploitation en 2006.

    Le moulin est bâti à même le rocher en pente, au-dessus de trois anciennes aires de battage.

    Ce moulin à vent qui est mentionné sur des documents d'archives en 1692, appartient, alors, aux seigneurs de Cucugnan et le restera jusqu'à la Révolution.
    En 1838, il est en ruine.
    En 2003, le bâtiment et le mécanisme sont réhabilités. Ses ailes, en frêne habillées de toile, s'orientent grâce à un toit pivotant. La poutre maîtresse est en chêne, les engrenages sont en buis et les meules en granit.

    Église Saint-Julien-et-Sainte-Basilisse

    L'église est dédiée aux saints Julien et Basilisse. Le vocable[29] de l'église laisse à penser qu'un bâtiment religieux existait à l'époque carolingienne, sans impliquer pour autant la présence d'un habitat regroupé. Toutefois l'église est mentionnée à partir de 1360.

    Quand les seigneurs de Cucugnan affirment leur pouvoir, le lieu de culte est déplacé dans leur château en haut du village.

    Cette église, très détériorée, est démolie vers 1860. Ses pierres servent à la construction de l'église actuelle qui a été restaurée en 1991.

    Cette nouvelle église de style néo-gothique est composée d'une nef à trois travées, d'un chœur polygonal, de deux chapelles formant transept et un clocher.

    Château de Quéribus

    Gardien du Grau de Maury, Quéribus est perché sur un étroit piton rocheux à 728 mètres d'altitude. Il surveille le massif des Corbières, la Fenouillèdes et la plaine du Roussillon.

    Ce château est mentionné pour la première fois en 1020, sur le testament de Bernard Taillefer, comte de Besalú.

    En 1111, le territoire entre dans le domaine du comte de Barcelone et garde la frontière nord du royaume d'Aragon.

    Lors de la croisade des Albigeois, le château abrite les religieux cathares, Benoit de Termes, diacre du Razès s'y réfugie et y meurt en 1241. En 1255, défendu par le chevalier Chabert de Barbeira le château tombe aux mains des croisés français d'Olivier de Termes et entre dans le royaume de France.

    En 1258, avec le traité de Corbeil qui fixe la frontière dans le Fenouillèdes, Quéribus devient une pièce maitresse du dispositif défensif français, dont le centre de commandement est Carcassonne. Il est l'un des cinq fils de Carcassonne : Queribus, Aguilar, Peyrepertuse, Puilaurens et Termes.

    Entièrement reconstruit par les rois de France à la fin du XIIIe et XIVe siècle, il perd son intérêt stratégique en 1659 lors du traité des Pyrénées.

    Le château de Quéribus est classé monument historique depuis le .

    Patrimoine naturel

    Le Grau de Maury est un col du Massif des Corbières qui marque la limite de l'Aude et des Pyrénées-Orientales.

    Personnalités liées à la commune

    • Alphonse Daudet publie dans L’Événement du , puis dans le recueil des Lettres de mon moulin en 1869, une nouvelle intitulée : Le Curé de Cucugnan. C’est la plus célèbre version de l'histoire du sermon de ce bon curé qui, voulant faire revenir ses ouailles dans le droit chemin, leur raconte un voyage imaginaire au paradis, au purgatoire puis en enfer, où il trouve tous les anciens Cucugnanais. Achille Mir en a écrit une adaptation en provençal : Lou sermou dal Curat de Cucugna en 1886[30]. Une structure - baptisée théâtre Achille-Mir - présente toute l'année un spectacle conté et animé qui s'intitule Le Sermon du curé de Cucugnan, avec la voix d'Henri Gougaud.
    • Marcel Pagnol a réalisé en 1954 dans son film "Les Lettres de mon moulin", avec trois autres contes du livre de Daudet, une adaptation cinématographique du "Curé de Cucugnan".

    Héraldique

    Blason
    Fuselé d'argent et de sinople, à la croix cléchée et pommetée de douze pièces de gueules (croix occitane), brochant sur le tout.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Cucugnan
    D'argent, à une fasce fuselée d'argent et de sinople.


    Annexes

    Bibliographie

    • « Cucugnan », dans Alphonse MAHUL, Cartulaire et Archives des Communes de l'ancien diocèse et de l'arrondissement administratif de Carcassonne , chez V. Didron, Paris, 1863, volume 4, p. 531-538 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. MétéoFrance 11260002.
    9. « Orthodromie entre Cucugnan et Mouthoumet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Cucugnan et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Carte archéologique de la Gaule romaine, E. Leroux, 1959, Numéro 12, page 196.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Le boulanger rejoint le curé dans la légende - Cucugnan - Aude - Midi-Pyrénées - Grand Sud Insolite et Secret », sur www.grandsudinsolite.fr (consulté le )
    26. « Extrait : Le pain au fournil de Cucugnan - Les carnets de Julie - Pays Cathare » (consulté le )
    27. « Roland Feuillas, boulanger humaniste: "Notre société a oublié le pain" », sur LExpress.fr, (consulté le )
    28. « Les Maîtres de mon Moulin : pains bio aux blés anciens », sur Accents du Terroir (consulté le )
    29. Vocable est le nom du saint auquel une église doit son appellation.
    30. La Revue félibréenne. 1887-1888 [lire en ligne]
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