Cravant-les-Côteaux

Cravant-les-Coteaux est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

Cravant-les-Côteaux

L'église médiévale.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire
Maire
Mandat
Christophe Baudry
2020-2026
Code postal 37500
Code commune 37089
Démographie
Gentilé Cravantais
Population
municipale
662 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 09′ 31″ nord, 0° 20′ 51″ est
Altitude Min. 27 m
Max. −125 m
Superficie 38,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chinon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sainte-Maure-de-Touraine
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Cravant-les-Côteaux
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Cravant-les-Côteaux
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Cravant-les-Côteaux
Géolocalisation sur la carte : France
Cravant-les-Côteaux
Liens
Site web www.cravant-les-coteaux.com

    Géographie

    Localisation

    Commune située à km à l'est de Chinon et à 9 km à l'ouest de L'Île-Bouchard.

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Cravant-les-Côteaux.

    La commune est traversée par la Vienne (4,421 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 26,54 km, comprend deux autres cours d'eau notables, le Ruau (3,017 km) et le Saint-Mexme (9,841 km), et sept petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

    La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude comprise entre 860 et 895 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, après avoir traversé 96 communes[3]. La station de Chinon permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 10 ans pour cette station) varie de 49 m3/s au mois d'août à 352 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 610 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 5,39 m le [4],[5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxième catégorie piscicole. L'espèce biologique dominante est constituée essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

    Le Ruau, qui prend le nom de ruisseau du Moulin dans le nord de la commune de Panzoult, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans le nord du territoire communal aux abords du carrefour Mathé sur la RD 44 et se jette dans la Vienne en limite des communes de Panzoult et de L'Île-Bouchard, après avoir traversé 4 communes[7]. Sur le plan piscicole, le Ruau est également classé en deuxième catégorie piscicole[6].

    Le Saint-Mexme, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans le nord-ouest du territoire communal dans la forêt de Cravant et se jette dans la Vienne dans la commune limitrophe, Chinon[8]. Sur le plan piscicole, le Saint-Mexme est également classé en deuxième catégorie piscicole[6].

    Quatre zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « La Belle Ile », « la vallée du Ruisseau du Moulin », « les mares du Petit et du Grand Eplin » et « le marais de Pallus »[9],[10].

    Urbanisme

    Typologie

    Cravant-les-Côteaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chinon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), cultures permanentes (19,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), prairies (4,9 %), terres arables (4 %), zones urbanisées (2,8 %), eaux continentales[Note 4] (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[16].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].

    Histoire

    En 1134, Geoffroy le Roux, sire de Co(u)lombiers/Villandry, est aussi seigneur de Cravant. Fief ayant relevé du roi de par son château de Chinon ; passé à la famille de Marmande (à Vellèches et Marigny), puis à ses descendants Sancerre, Auvergne-Sancerre (Marguerite, † 1418) et Bueil (Jean IV, † 1415 à Azincourt) ; acquis en 1624 par Marie de Bourbon-Montpensier, épouse de Gaston d'Orléans et mère de la Grande Mademoiselle, et conservé par les Orléans jusqu'en 1750 (comme principaux héritiers de la Grande Mademoiselle).

    Le , Cravant-les-Côteaux a basculé dans la communauté de communes Chinon, Vienne et Loire. Jusqu'alors, elle était dans la communauté de communes du Bouchardais, devenue la communauté de communes Touraine Val de Vienne.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    3 mars 1790 1792 Jean Faucillon    
    18 décembre 1792 1793 René Brizard   Fermier
    21 avril 1793 1807 Jean Faucillon    
    15 janvier 1808 1812 Pierre Girard    
    28 décembre 1812 1825 Abel Marie de Pierres de Narçay   Propriétaire
    16 avril 1825 1834 Charles Droüin   Militaire retraité
    17 novembre 1834 1870 Martin Riverin    
    13 novembre 1870 1877 Désiré Constantin   Agriculteur
    20 janvier 1878 1900 Frédéric Becquet de Sonnay   Propriétaire
    21 mars 1900 1904 René Devant-Poupineau    
    15 mai 1904 1911[Note 5] Désiré Sourdais-Boué   Cultivateur
    23 juillet 1911 1929 Paul Rouet   Instituteur
    19 mai 1929 1934 Gustave Angelliaume    
    28 juillet 1934 septembre 1949[Note 6] Marcel Taveau    
    14 décembre 1949 1954[Note 7] Marcel Habert   Directeur d'entreprise
    30 juin 1954 1959 Paul Bournigault    
    21 mars 1959 1977 Léonce Angelliaume   Vigneron
    20 mars 1977 1983 Paulette Doireau   Enseignante
    13 mars 1983   Gérard Angelliaume   Vigneron
    Les données manquantes sont à compléter.
      2001 Hubert Page    
    mars 2001 mars 2008 Jackie Gasnier    
    mars 2008 En cours Christophe Baudry DVD Vigneron

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].

    En 2018, la commune comptait 662 habitants[Note 8], en diminution de 7,41 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7931 062810792918925846856904
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    905900882898887890919905918
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    867909874782805734753751771
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    805751681715747751728725730
    2017 2018 - - - - - - -
    672662-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Saint-Vincent

    Du fait de l'importance de la culture viticole pour la commune, la « Saint-Vincent de Cravant-les-Côteaux » est organisée tous les ans par le comité des fêtes et des vins de Cravant, le dernier week-end de Janvier et est l'une des plus grandes Saint-Vincent communales de France. Tous les ans, environ 1 500 personnes se réunissent, au lieu-dit la Varenne, pour un repas avant d'aller visiter les caves et domaines cravantais.

    Randonnées « À fleur de vigne »

    Les randonnées « À fleur de vigne » sont des randonnées pédestres et cyclistes organisées à la mi-juin par le comité des fêtes et des vins de Cravant. Elles se déroulent dans les vignes, les champs cravantais, ainsi que dans la forêt communale.

    Enseignement

    Cravant-les-Côteaux se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

    L'école élémentaire accueille les élèves de la commune.

    Économie

    Le vignoble de Chinon permet à Cravant-les-Côteaux, commune viticole, de produire des vins d'appellation d'origine contrôlée (AOC).

    Polyculture.

    Culture locale et patrimoine

    Associations

    Cravant-les-Côteaux possède plusieurs associations de sport et de loisirs:

    • l'Association Football Bouchardais; club de football né de la fusion de l'US Parcay-sur-Vienne et du FC Val de Vienne. Ce club regroupe donc les communes de Cravant-les-Côteaux, l'Ile-Bouchard, Panzoult et Parcay-sur-Vienne.
    • l'Amicale Bouliste Cravantaise, association de pétanque, qui organise des tournois d'avril à septembre.
    • la Boule Lyonnaise Cravantaise, association de pétanque lyonnaise
    • la Gym Volontaire Cravantaise, club de gym et de fitness
    • la Belote de Cravant, club de belote

    L'église de Cravant

    L'église Saint-Léger du Vieux-Bourg est construite au niveau de ce qui était le principal noyau urbain de la commune jusqu'au XIXe siècle. Sa nef au décor carolingien, bien qu'elle ait pu être construite jusqu'au XIe sièclem est complétée au XIIe siècle par un transept et au XVe siècle par une chapelle. Outre son décor architectural, l'église se singularise par la présence de fresques de diverses époques sur la plus grande partie de ses murs intérieurs. Désaffectée en 1863 au profit d'une église construite dans le nouveau bourg, elle est acquise en 1933 par l'Association des mais du Vieux-Cravant qui œuvre depuis à la restauration de l'édifice grâce à des chantiers de grande ampleur ainsi qu'à sa mise en valeur auprès des visiteurs. L'ancienne église est classée comme monument historique en 1913.

    Autres lieux et monuments

    • L'imposante allée couverte du Gros-Chillou est sans conteste le plus ancien monument de la commune. En partie encastrée dans le mur d'un bâtiment d'habitation, elle allonge ses 17 m au bord de la route départementale 21 avec ses pierres de 3 mètres de haut. Elle est probablement, avant celle de Saint-Antoine du Rocher, la plus grande du département
    • Restes de l'ancien château de Cravant dominant le sanctuaire carolingien, à l'orée de la forêt, au lieu-dit « la Fosse Herminette ».
    • De nombreux manoirs et maisons fortes : Nueil, la Bellonière, les Berthaisières (porche inscrit ISMH - Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques)…
    • Le château de Sonnay, ancien fief relevant de la Roche-Clermault « à foi et hommage lige et un roussin de service », signalé dès l’année 1268 comme appartenant à un certain Pierre de Sonnai, chevalier. On le retrouve en 1440 entre les mains de Geoffroy Taveau, baron de Mortemer, qui le vend en 1441 à un dénommé Guillaume de Ballan. Et le 3 septembre 1446, une chapelle est consacrée à Sonnay sous le vocable de sainte Catherine, par Jean Bernard, archevêque de Tours. Mais le 13 décembre 1449, le roi Charles VII confisque la terre de Sonnay pour la donner à son premier chambellan, du nom de Guillaume Gouffier, par ailleurs baron de Maulevrier et gouverneur de Touraine. La terre et son fief passent ensuite à la fille de ce même Guillaume Gouffier, Madeleine qui, le 16 mai 1481, épouse René le Roy, chambellan du roi Louis XI. C’est le dot de la jeune fille. Le fief reste ensuite dans la famille le Roy jusqu’au 3 mai 1591. Il est alors vendu par François le Roy et Renée de Bretagne son épouse, à Antoine de la Barre, seigneur d’Anglée et Hélène de Razilly son épouse. La terre est ensuite transmise en 1629 à René de la Barre, puis en 1680 à Claude de la Barre. Le 10 novembre 1770, le fief et la terre de Sonnay sont de nouveau vendus, par les héritières de la famille de la Barre. Mis à prix 10 000 livres, l’ensemble est adjugé pour 32 150 livres à Jacques-Alexandre Becquet du Vivier, Écuyer, lieutenant des maréchaux de France à Montpellier, conseiller-rapporteur du point d’honneur aux bailliage, ville et ressort de Chinon en 1780, comparaissant en 1789 à l’assemblée de la noblesse de l’Anjou et pays Saumurois. Jacques-Alexandre Becquet du Vivier acquiert ainsi les droits de Haute, Moyenne et Basse Justice. Puis, prenant le nom de Becquet de Sonnay, il épouse en 1775 Cécile de Galichon de Courchamps. De cette union naîtra une descendance rassemblant des noms tels que Simonet de Singly, Pecard, Taschereau des Pictières, Blouquier de Trélan, Saint-Exupéry, Churchill, Le Breton de Vannoise et enfin de Foucaud.
    • La chapelle Sainte Catherine du château de Sonnay. En l'an 1372, le 20 août, Dame Isabelle de Maillé, de Narçais et de Sonnay, femme de Geoffroy, seigneur de Saumoussay, a fondé une chapelle avec droit de culte transmissible à ses héritiers seigneurs de Sonnay. Le 3 septembre 1446, Jean Bernard archevêque de Tours, l’a consacrée sous le vocable de Sainte-Catherine (d’Alexandrie). Pour la « Saint-Jean d’été » 2002, elle a été reconstruite en l’actuel emplacement par Frédéric de Foucaud, en réponse au vœu pieux de sa mère née Catherine Dehollain. Cette restauration a remporté le prix VMF - "Vieilles maisons françaises - pour la meilleure "restauration d'un lieu ayant ou ayant eu une fonction cultuelle".
    • Cimetière de Cravant-les-Côteaux.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Paulette Doireau, Cravant, Cravant-les-Côteaux, [l'auteur], , 380 p. 

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    5. Désiré Sourdais-Boué démissionne en 1911.
    6. Marcel Taveau démissionne en 1949.
    7. Marcel Habert démissionne en 1954.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Cravant-les-Côteaux », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    5. « Station hydrométrique L7220610, la Vienne à Chinon », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    6. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Fiche Sandre - le Ruau », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    8. « Fiche Sandre - le Saint-Mexme », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    9. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
    10. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    17. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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