Couzon-au-Mont-d'Or

Couzon-au-Mont-d'Or est une commune française située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Couzon (homonymie).

Couzon-au-Mont-d'Or

Couzon, vue générale.

Blason
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Circonscription départementale du Rhône
Métropole Métropole de Lyon
Arrondissement Lyon
Maire
Mandat
Patrick Véron
2020-2026
Code postal 69270
Code commune 69068
Démographie
Gentilé Couzonnais[1]
Population
municipale
2 472 hab. (2018 )
Densité 795 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 43″ nord, 4° 49′ 47″ est
Altitude 175 m
Min. 168 m
Max. 498 m
Superficie 3,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lyon
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : métropole de Lyon
Couzon-au-Mont-d'Or
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Couzon-au-Mont-d'Or
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Couzon-au-Mont-d'Or
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Couzon-au-Mont-d'Or
Liens
Site web http://www.couzonaumontdor.fr

    Géographie

    Situation

    Couzon-au-Mont-d'Or, localement abrégé Couzon, est située en banlieue nord de Lyon à 9,6 km[2] de Lyon-centre, dans le Val de Saône, sur la rive droite de la Saône qui détermine sa bordure est. Bordée au nord par la commune d'Albigny-sur-Saône, à l'ouest par Poleymieux-au-Mont-d'Or et au sud par Saint-Romain-au-Mont-d'Or, Couzon se trouve sur le versant est des Monts d'Or.

    Lieux-dits et écarts

    Le hameau du Port rappelle batellerie et pêcheries.

    L'Ecoran désigne le haut du village.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La Saône est une rivière navigable, assez calme[3], de régime pluvial. Si son débit moyen est de l'ordre de 400 m3/s, il peut cependant varier de 46 m3/s (juin 1976) à 2 820 m3/s (janvier 1955).

    Pour faciliter la navigation et réguler les crues, un premier barrage fut construit vers 1870, barrant la Saône côté Couzon, avec une écluse du côté de Rochetaillée-sur-Saône. Cependant, les maisons en bordure du quai souffraient encore souvent d'inondations[4], imposant un dédoublement partiel du logis entre rez-de-chaussée et étage.

    Vers 1970, pour accélérer la navigation par allongement des biefs, et pour mieux réguler les crues, la CNR construisit un nouveau barrage plus élevé et une nouvelle écluse, qui permirent la suppression du barrage de Thoissey en amont et du barrage de Île Barbe en aval, près de Lyon. La D51 qui traversait le bas de Couzon passe depuis en bord de Saöne, avec l'ancien quai comme soubassement.

    Cependant, les bords de Saône sont encore parfois inondés, comme en 1994 ou en 2001[réf. nécessaire].

    Voies de communication et transports

    Desserte routière

    L'axe principal de circulation est la route départementale 51, qui longe la commune en bord de Saône, et la relie à Lyon-Vaise, au sud, et à Anse (accès à l'autoroute A6) au nord.

    Le pont sur la Saône permet de rejoindre à Rochetaillée la D 433, qui suit la Saône sur l'autre rive.

    Une route secondaire monte dans la forêt et permet de rejoindre Poleymieux ou le Mont Thou.

    Transports en commun

    La commune est traversée par la grande ligne Paris - Lyon - Marseille, mais la gare de Couzon n'est desservie que par les TER Rhône-Alpes de la liaison Villefranche - Lyon-Perrache - Vienne.

    La ligne 43 des TCL relie Couzon à Lyon-Vaise au sud, et à Neuville et Genay au nord (service spécial 40/43 en soirée).

    Les couzonnais ont aussi la possibilité de traverser la Saône, comme ils le faisaient à l'époque du « tramway bleu Lyon-Neuville », pour emprunter à l'extrémité du pont les bus des lignes 40 à destination de Lyon-Bellecour ou 70 à destination de Lyon-Part-Dieu.

    Urbanisme

    Typologie

    Couzon-au-Mont-d'Or est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lyon, une agglomération inter-départementale regroupant 124 communes[8] et 1 653 951 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lyon est la deuxième plus importante de la France en termes de population, derrière celle de Paris[9],[10].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (44,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (39 %), forêts (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), eaux continentales[Note 3] (4,8 %), prairies (1,8 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Toponymie

    La commune était anciennement appelée Coson (latinisé en Cosonis), puis Cozon et Couzon ; elle a pris le nom de Couzon-au-Mont-d'Or en 1897[réf. nécessaire].

    Son activité viticole a suscité des rêveries étymologiques[réf. nécessaire] faisant descendre ce nom de celui de l'île grecque de Cos dont on aurait amené des ceps dès l'antiquité. Mais ce nom pourrait aussi dériver de la racine hydronymique pré-celtique *kus, kos que l’on observe dans les noms de rivières comme la Couzon, Couze, la Cuse, le Cousin etc.

    Héraldique

    Blason de la ville de Couzon-au-Mont-d'Or

    Le Blason de Couzon-au-Mont-d'Or est composé de cinq parties :

    Au centre, coupé en quatre sur couleur rouge et bleu, les symboles de l'activité couzonnaise, à savoir :

    • à gauche : la vigne en haut et les instruments viticoles en bas,
    • à droite : les carrières du Mont d'Or en haut et les outils du travail de la pierre en bas.

    Derrière ces quatre symboles, est dessiné une ancre qui symbolise "le Port" (quartier toujours existant du village) et l'accès à la Saône. De manière héraldique, on pourrait alors définir le blason couzonnais ainsi :

    écartelé de gueules et d'azur, le 1 à la grappe de raisin, tigée et feuillée d'argent, le 2 au mont d'or, le 3 à la serpe d'élaguement, à la serpe à long manche, et à la fourche d'or, le 4 au marteau, au burin et à l'équerre d'argent.

    Histoire

    Le château de la Guerrière illustré par Joannès Drevet (1854–1940).

    Sous l'Ancien Régime, Couzon était le siège d'une châtellenie des chanoines-comtes de Lyon.

    En 1790, Couzon est rattachée au département de Rhône-et-Loire, puis en 1793 au département du Rhône.

    La viticulture était assez importante pour qu'au XIXe siècle, Nizier du Puitspelu signale l'existence à Lyon d'une chanson à boire intitulée la Couzonaise[15]. L'exploitation des carrières était également importante [16]. Enfin, Couzon possédait des pêcheries et un petit port sur la Saône. On retrouve les symboles de ces activités sur l'emblème du village.

    1840 voit la construction d'un pont suspendu entre Couzon et Rochetaillée-sur-Saône.

    Le 10 juillet 1854, le PLM ouvre la section Chalon-sur-Saône / Lyon-Vaise de sa ligne Paris-Lyon-Marseille, dotant ainsi Couzon d'une gare. Mais la ligne passant en tranchée dans le bourg, sépare le centre du quartier de l'Ecoran, et nécessitera la construction de trois ponts. Cette tranchée détruit également les restes de la châtellenie.

    En 1855, Pierre Bossan dote l'église d'une nouvelle nef, en conservant le clocher roman du XIIIe siècle.

    Bientôt, le phylloxera, et la desserte par le chemin de fer, amèneront la population à travailler à Lyon, les vignes étant reconverties en vergers.

    En 1897, Couzon adopte le nom actuel pour éviter les confusions avec ses homonymes.

    Le la communauté urbaine de Lyon (COURLY puis Grand Lyon).

    Le Grand Lyon disparait le , et laisse place à la collectivité territoriale de la métropole de Lyon, à laquelle Couzon adhère. La commune quitte ainsi le département du Rhône[17].

    Politique et administration

    Administration municipale

    La mairie
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Georges Villeneuve    
    Pierre Véron    
    Jean Raphanel    
    Michel Sangalli DVD  
    En cours Patrick Véron UDI Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie du Val de Saône, une des neuf subdivisions de la communauté urbaine du Grand Lyon dont elle représente environ 0,60 % du territoire et 0,20 % de la population en 2007[Note 4]. Elle est également membre du syndicat mixte des Monts d'Or[18].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

    En 2018, la commune comptait 2 472 habitants[Note 5], en diminution de 4,85 % par rapport à 2013 (Rhône : +4,48 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1249051 0441 0001 0891 1681 2091 2971 233
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 1431 2601 2681 1881 1731 1381 125965980
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9399959909621 0931 3081 3311 2931 540
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 8101 9282 4342 4212 5642 6092 5702 5642 559
    2013 2018 - - - - - - -
    2 5982 472-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La population s'accroît plutôt rapidement depuis les années 1960, à l'image de toute la vallée de la Saône au nord de Lyon.

    Enseignement

    Couzon-au-Mont-d'Or est située dans l'académie de Lyon.

    Manifestations culturelles et festivités

    La commune organise depuis 1994 et bisanuellement depuis 1995 des jeux interquartiers du type Intervilles, au cours desquels 5 quartiers (Carrières, Montagne, Paupière, Port, Village) s'affrontent. En 1994, de surcroît, il y avait une division en six quartiers ; pour des raisons d'organisation, les quartiers Piagerie et Massues se sont rassemblés en un seul quartier, Carrières[23].

    Sports

    La commune abrite le club de football Groupe olympique sportif couzonnais ou GOSC[24], un club de pétanque[25], le club de randonnées G.A.F[26],un club de tennis le TCC.

    Cadre de vie

    Un portail de services gratuits[27] a été créé par des couzonnais pour les habitants de Couzon au mont d'or. Il propose pour l'heure un annuaire, un service de petites annonces et des podcasts.

    Associations

    La commune abrite diverses associations culturelles et de loisirs, notamment la compagnie de théâtre Les Quidam's[28] et l'ACEL, club de ping-pong, échecs.Présence également d'un club de Danse Country : Jam's Country[29]

    Économie

    Entreprises et commerces

    • La commune abrite de nombreux commerces, boulangerie, boucherie, salon de coiffure, institut de beauté, bureau de tabac-presse, petit super-marché, agence immobilière, tous situés au centre du village.

    On peut trouver également plusieurs restaurants de qualité et notamment, le restaurant Le Cabestan, proposant une cuisine traditionnelle française, savoureuse, sur une magnifique terrasse ombragée au calme.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine architectural

    • L'église Saint-Maurice, en « pierre dorée » de Couzon, a été construite en 1855 sur les plans de l'architecte Pierre Bossan et possède un clocher du XIIIe siècle, classé monument historique.
    • Le pont suspendu sur la Saône, construit en 1840, qui a résisté au temps et au modernisme.
    • Le barrage sur la Saône, en amont du pont, seul maintenu entre Villefranche et Lyon (ceux de Port-Bernalin au nord et de l'Île Barbe au sud ont été supprimés).
    • La statue monumentale de la Vierge, dite « Madone de Couzon », inaugurée en 1888 dans les bois dominant le village, sur le territoire de Bas Vinouve, au lieu-dit de la Vénagère.
    • Dans les hauteurs, quelques vestiges de l'aqueduc romain des Monts d'Or.
    • Les témoins de l'importante exploitation, aujourd'hui abandonnée, de la « pierre de Couzon », calcaire de la famille des « pierres dorées », largement répandues dans le Beaujolais voisin, et célèbres pour leur teinte caractéristique (fronts de taille, tunnels de carrière…).
    • Nombreuses croix le long des rues ou aux carrefours, dont certaines très anciennes[30]
    • Le château de la Guerrière

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Calcul basé sur les données de l'INSEE
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
    2. « Calcul de l'orthodromie entre Couzon-au-Mont-d'Or et Lyon », sur www.lion1906.com (consulté le ).
    3. dans ses Commentaires sur la Guerre des Gaules, César écrit : " Il est une rivière, l'Arar (la Saône), qui se rend dans le Rhône à travers le pays des Eduens et des Séquanes ; elle coule avec une incroyable lenteur, tellement que l’on ne saurait dire dans quel sens elle coule."
    4. on parlait de la règle des 3 trois : 3 jours de crue, 3 jours étale, 3 jours de décrue
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Lyon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. Matthieu Varille, Le Mont d'Or lyonnais, 1925.
    16. Lyon, cité d'or ?
    17. Métropole : clap de fin pour le Grand Lyon, Lyon Capitale
    18. « Syndicat mixte des Monts d'Or », sur le site officiel (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Présentation », sur le site web des jeux interquartiers (consulté le ).
    24. « Présentation », sur le site du club (consulté le ).
    25. « Présentation », sur le site du club (consulté le ).
    26. « Présentation », sur le site du club (consulté le ).
    27. couzon.net l'esprit village« couzon.net l'esprit village », sur le site officiel (consulté le ).
    28. « Présentation », sur le site de l'association (consulté le ).
    29. « jamscountry », sur le site officier (consulté le ).
    30. Les croix, sur le site de la commune
    31. Impasse Jacquard, sur le site de la commune

    Bibliographie

    • Essai de Grammaire du patois lyonnais, Jacques-Melchior Villefranche, Bourg-en-Bresse, Imprimerie J.-M. Villefranche, l89l; basé sur le parler couzonnais ; contient quelques contes locaux, comme Le sonneur
    • Communes et anciennes paroisses du Rhône : 69, Paris, Editions généalogiques de la Voûte, coll. « Noms des communes & anciennes paroisses de France », (ISBN 9782847661101), (ISBN 2-84766-110-0) édité erroné
    • Maurice Garden, Christine Bronnert et Brigitte Chappé, Paroisses et communes de France : Dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 5 : Rhône, CNRS, , 384 p. (notice BnF no FRBNF36598217)
    • Guigue Georges, Archives des communes du Rhône antérieures à 1790 : inventaire sommaire, Archives départementales du Rhône ; H. Georg, 1902-1906, 3 volumes (notice BnF no FRBNF34017317)
    • E. de Rolland et Denys Clouzet, Dictionnaire illustré des communes du département du Rhône, Dizain & Storck, 1901-1902, 2 volumes (notice BnF no FRBNF34107275)
    • François-andré Varnet, Département du Rhône, dictionnaire des communes, Res Universis, (réimpr. Reprod. en fac-sim. de "Géographie du département du Rhône") (1re éd. 1897)
    • Bernard Colette, L’évolution économique et sociale d’un village de la banlieue lyonnaise : Couzon-au-Mont-d’ Or (XVIIIe - XXe siècles),
    • Fayard E., Notice historique sur le village de Couzon, Imprimerie de Pitrat Aîné,

    Compléments

    Articles connexes

    Liens externes

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