Courtisols

Courtisols est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est, à 12 km à l'est de Châlons-en-Champagne et en direction de Metz.

Courtisols

L’église Saint-Memmie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de la Moivre à la Coole
Maire
Mandat
Milène Adnet
2020-2026
Code postal 51460
Code commune 51193
Démographie
Gentilé Courtisiens, Courtisiennes
Population
municipale
2 404 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 11″ nord, 4° 31′ 39″ est
Superficie 65,62 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Courtisols
(ville-centre)
Aire d'attraction Châlons-en-Champagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Argonne Suippe et Vesle
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Courtisols
Géolocalisation sur la carte : Marne
Courtisols
Géolocalisation sur la carte : France
Courtisols
Géolocalisation sur la carte : France
Courtisols
Liens
Site web courtisols.fr

    Ses habitants sont les Courtisiennes et Courtisiens.

    Géographie

    Localisation

    Courtisols est un bourg périurbain situé à 13 km à l'est de Châlons-en-Champagne et 29 km au nord de Vitry-le-François.

    Courtisols est le plus long village de France, avec ses 7 kilomètres de long[réf. nécessaire][1].

    L'autoroute A4 limite au nord le territoire communal, et l'ex-route nationale 394 (actuelle RD 994) se trouve en limite nord-est de ce territoire.

    Hydrographie

    La Vesle, rivière qui prend sa source à Somme-Vesle, à 3 kilomètres en amont, et se jette dans l'Aisne à Condé-sur-Aisne, traverse la commune sur une distance d'environ 7 km, de part et d'autre de laquelle s'allonge le bourg.

    Urbanisme

    Typologie

    Courtisols est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Courtisols, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[5] et 3 069 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (86,1 %), forêts (5,5 %), zones urbanisées (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    La commune avait un parler particulier qui fut étudié en 1819 par le docteur Hubert[12].

    Selon une légende erronée, la forme du village, tout en longueur, serait due à ses premiers habitants. Au XIXe siècle, on imagina, sans preuve, que les Huns vaincus lors de la bataille des Champs Catalauniques se replièrent et que certains restèrent dans la région. Ils fondèrent un village selon les habitudes hunniques, c'est-à-dire, en longueur et non autour d'un point central comme c'était la coutume en Gaule. En fait, le site de Courtisols était occupé dès la Préhistoire et en tout cas depuis l'époque gauloise.

    Bijoux gaulois trouvés à Courtisols.

    En 1873, des fouilles de M. Morel[13] mirent au jour plusieurs tombes gauloises au lieu-dit les Grands Ayeux avec torques, fibules et poteries. Une autre menée aux Closeaux de la Conche met au jour onze fosses avec deux torques à tampons dont un avec des figures humaines.

    En 1928, l'électrification du village était achevée[14].

    Le village a la particularité d'avoir trois églises, Saint-Martin, Saint-Julien et Saint-Menge ; deux étaient de présentation par l'abbé de Saint-Memmie de Chaalons. Le curé de Saint-Martin dépendait lui de l'abbé de Saint-Remy de Reims. Les trois paroisses dépendaient du doyenné de Bussy-le-château.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la communauté de communes des Sources de la Vesle, l'a quittée le 31 décembre 2013 pour rejoindre le 1er janvier 2014 la communauté de communes de Suippe et Vesle.

    En effet, conformément aux prévisions du schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Marne du 15 décembre 2011[15],[16], les communautés de communes CC de la région de Suippes et CC des sources de la Vesle ont fusionné le 1er janvier 2014 afin de former la nouvelle communauté de communes de Suippe et Vesle[17].

    Elle intègre le la communauté de communes de la Moivre à la Coole.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[18]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1865 1876 Martin Massez[19]   Industriel
    1876 1884 Isabel Pannet[20]    
    1884 1885 Aristide Appert    
    1885 1887 Athanase Benoist    
    1887 1890 Célestin Bellois    
    1890 1896 Ovide Lorinet    
    1896 1932 Octave Bellois Rad. Entrepreneur de travaux publics
    Conseiller général de Marson (1901 → 1932)
    Décédé en fonction
    1932 1959 Julien Adnet Rad. Propriétaire, négociant
    Conseiller général de Marson (1932 → 1940 puis 1945 → 1958)
    Nommé conseiller départemental de la Marne par le Gouvernement de Vichy[21]
    mars 1959 mars 1965 Maurice Rollet    
    mars 1965 juin 1995 Robert Chaboudé[22] DVD
    puis
    RPR
    Négociant
    Conseiller général de Marson (1976 → 1994)
    Conseiller régional (1977 → 1982 puis 1985 → 1992)
    juin 1995 juillet 2020[23] Hubert Arrouart MoDem
    puis
    AC
    Comptable
    Conseiller général de Marson (2001 → 2015)
    Président de la CC des Sources de le Vesle (2008 → 2013)
    Vice-président de la CC de Suippe et Vesle (2014 → 2016)
    Président de la CC de la Moivre à la Coole (2018 → 2020)
    mai 2020[24] En cours
    (au 17 février 2021[25])
    Milène Adnet   Vice-présidente de la CC de la Moivre à la Coole (2020 → )

    Distinctions et labels

    Courtisols est aussi un village fleuri "3 fleurs" au concours des villes et villages fleuris depuis 2008[réf. nécessaire].

    Jumelage

    Au 27 août 2015, Courtisols est jumelée avec[26] :

    Dierdorf, ville jumelle de Courtisols, est située dans le Westerwald, à 30 km de Coblence, et appartient administrativement au Land de Rhénanie-Palatinat et à l'arrondissement de Neuwied. Avec 5850 habitants, elle est la principale ville de la Verbandsgemeinde (communauté de communes) de Dierdorf, les autres communes de la communauté étant : Großmaischeid, Kleinmaischeid, Marienhausen et Stebach.

    Population et société

    Courtisols est un village qui a la particularité d'avoir trois églises, deux écoles (une école publique, et une école privée), un parc public (parc Massez).

    Des associations sportives sont présentes à Courtisols tels que : un club de foot, de basket, de danse,d'équitation...

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

    En 2018, la commune comptait 2 404 habitants[Note 3], en diminution de 2,75 % par rapport à 2013 (Marne : −0,45 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 9751 9981 9951 8942 0701 9511 9001 8391 803
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 8041 7311 7301 6211 5531 5641 5381 5231 431
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3601 3751 3641 2611 2691 2691 2611 3481 323
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 3371 2871 6152 2022 4002 5862 5902 5522 453
    2018 - - - - - - - -
    2 404--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Écoles maternelles et primaires
    • École publique Jean-de-La Fontaine ;
    • École privée Sainte-Marie.
    Établissements secondaires
    • Lycée de la nature et du vivant de Somme-Vesle.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

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    L'église Saint-Martin.
    • L'église Saint-Martin.
    • L'église Saint-Memmie.
    • L'église Saint-Julien :
      L'église Saint-Julien date du XIe siècle (mais la dédicace à saint Julien laisse supposer une église plus ancienne).
      Elle a conservé de l'époque romane le mur nord de la nef et le transept surmonté d'une tour carrée (fin XIIe siècle).
      L'abside, la chapelle sud et le portail sont de style flamboyant.
      Après la bataille de Montmirail (1814), la cloche sonna pendant deux jours, ce qui provoqua la cassure d'un bloc de bronze de 20 kg, conservé à la mairie.
      L'église a été restaurée en 1993 après les dégâts causés en 1990 par une tornade le 3 février 1990 et une tempête le 28 juillet.
    • L'ancien presbytère : Un presbytère, situé à l'ouest de l'église Saint-Martin, est mentionné dans les archives dès 1766, mais le 23 octobre 1810 le conseil municipal de Courtisols approuve la construction d'un nouveau presbytère au chevet de l'église Saint-Martin. En 1890, il fut loué aux enchères et fut finalement vendu en 1931. Selon un bail de 1924, cet ancien presbytère était alors situé 12 rue Massez. Il était composé de 4 pièces d'habitation au rez-de-chaussée et d'une pièce d'habitation en mauvais état au 1er étage, d'un petit jardin au sud et d'une cour et ses dépendances au nord. On en retrouve aujourd'hui certains éléments dans la propriété au nord de l'actuelle garderie-cantine. Le 12 mai 1878, le conseil municipal, après avoir constaté que le presbytère était malsain, décida que la construction d'un nouveau presbytère était préférable à l'assainissement de l'ancien. Comme le montrent les divers plans d'architecte conservés à la mairie, la disposition des lieux n'a pas changé depuis : un vestibule avec à gauche la cuisine (qui donnait accès à la cour de service), à droite le cabinet de travail du prêtre et au fond deux portes permettant de gagner la salle à manger et un jardinet. La chambre à coucher du prêtre venait après la salle à manger. Après la loi de séparation de l'Église et de l'État, le maire, à partir de 1907, le presbytère au curé de la paroisse, mais un désaccord surgit sur le montant du loyer en 1913. Le presbytère fut alors inoccupé pendant plusieurs années. En 1918, il fut loué à un réfugié ardennais puis en 1919 à la préfecture de la Marne, pour y installer les services de la commission cantonale d'évaluation de dommages de guerre du canton de Marson. 
      Le presbytère retrouva sa destination normale dès 1920, le presbytère étant de nouveau loué au curé.En 1988, les locaux de l'ancien presbytère devinrent ceux de la garderie-cantine.
    • La mairie de Courtisols : La mairie de Courtisols, a été bâtie par Martin Massez sur l'emplacement d'une maison qu'il avait acquise. Cette nouvelle mairie remplaça la maison commune construite en 1830 et détruite en 1878 pour laisser à place à un nouveau presbytère. Au 1er étage se trouvent la salle du conseil municipal, le cabinet du maire et le grand salon des réunions publiques. Au 2e étage, il y a l'emplacement des archives et d'autre dépôts ; une cour avec cabinets, bûchers, remise pour pompes à incendie, terminent à l'ouest là, l'établissement dont il s'agit ». Le bâtiment en craie qui abrite aujourd'hui la paroisse fut édifié en 1841 pour remplacer un bâtiment servant à loger « la sœur d'école de Saint-Martin (c'est-à-dire l'institutrice) et qui était très insalubre et qu'on ne pouvait réparer « attendu qu'il ne peut recevoir le jour ni au levant ni au midi ». Les chambres du haut furent reconstruites après 1846. 
    • Le secrétariat de mairie.
    • Le parc Massez : Le parc Massez fut aménagé à partir des années 1850 par Martin Massez qui, à sa mort en 1875, légua sa propriété à Aristide Appert. Celui-ci devait la transmettre à la commune à sa mort, qui survint en 1899. La tempête du 26 décembre 1999 ayant ravagé ce parc, la commune a décidé de le restaurer en respectant les intentions des créateurs. En 2005, le parc est labellisé "Prix régional du Parc" puis "Prix départemental du paysage" en 2007.
    • La fontaine Saint-Julien.
    • Le prieuré :
      Le prieuré a été presque totalement reconstruit dans les années 1980 . Il est appelé, sur la carte de Cassini de 1760, prieuré de Sainte-Madeleine. Ce prieuré fut cédé au séminaire de Châlons en 1702 par l'abbaye de Saint-Remi de Reims, qui possédait des biens à Courtisols dès le IXe siècle. Le prieuré fut probablement construit avant la première moitié du XIIe siècle.
    • Le moulin Décès :
      Le moulin Décès, rue du Pont-Charrois, conserve ses installations qui fonctionnaient encore au milieu du XXe siècle. Le moulin est mentionné en 1530 (moulin du Pont), alors qu'il était la propriété de l'abbaye de Saint-Remi de Reims.

    Personnalités liées à la commune

    • Clément Célestin d'Eu (1848-1911), général né à Courtisols[réf. nécessaire].
    • Martin Massez[19], riche industriel, bienfaiteur de Courtisols et élu maire de cette même commune le 15 novembre 1865.

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi : d'azur à la ruche d'or accompagnée de neuf abeilles du même ordonnées en orle.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Bienvenue à Courtisols (51) », sur www.courtisols.fr (consulté le ).
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Courtisols », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Hubert, Notice sur la commune de Courtisols, Chaalons : imp. Boniez-Lambert, 1819.
    13. Léon Morel, La Champagne souterraine..., Reims, 1898, première édition, p.124.
    14. « Rapport des Ingénieurs des Services du Génie Rural et du Contrôle des Distributions d’Exergie Électrique sur l’électrification du Département », Conseil général : Rapports du Préfet et procès-verbaux des délibérations, première session de 1928, p. 201-202 (lire en ligne, consulté le ), sur Gallica.
    15. « Jamais plus sans ma communauté de communes : La France et ses 36.000 communes pèsent à elles seules 37,5% du nombre de collectivités territoriales de premier niveau (les communes) de l'Union européenne ! Avec 1.600 habitants par commune en moyenne, la France est dernière de ce classement européen, à égalité avec la République tchèque, très loin de 36.000 habitants par commune aux Pays Bas ou au Portugal, des 17.400 en Belgique, des 10.300 en Slovénie, des 7.100 en Italie ou des 5.900 en Allemagne », L'hebdo du vendredi, (lire en ligne).
    16. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    17. « Arrêté préfectoral du 30 janvier 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération Intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la région de Suippes et de la Communauté de communes des Sources de la Vesle », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Marne, no 2 quater, , p. 3-7 (lire en ligne [PDF]).
    18. Les maires de Courtisols depuis 1800
    19. Sonia Legendre, « Un siècle au service du bien-être des Marnais... », L'hebdo du vendredi, (lire en ligne).
    20. Almanach économique, historique & administratif la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine de 1877, p163.
    21. « Liste des membres du conseil départemental de la Marne », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil, session ordinaire du 19 février 1944 (lire en ligne, consulté le ) sur Gallica.
    22. « La salle polyvalente rebaptisée Hommage à Robert Chaboudé », sur L'Union, (consulté le ).
    23. « Les adieux de Hubert Arrouart », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).
    24. « L’adjointe au maire de Courtisols est candidate pour les municipales : Milène Adnet est candidate pour nouer l’écharpe municipale en mars prochain », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Anne-Sophie Coursier, « Le maire de Courtisols, Mylène Adnet, évoque l’avenir de la commune : Mylène Adnet a été élue maire fin mai de Courtisols. C’est la première fois qu’une femme prend la tête de la commune. Elle revient sur les premiers mois de son mandat et parle également avenir pour les habitant », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    26. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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