Coubert

Coubert (prononcé [ku.bɛʁ]) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Coubert

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Melun
Intercommunalité Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux
Maire
Mandat
Louis Marie Saout
2020-2026
Code postal 77170
Code commune 77127
Démographie
Gentilé Curtibéhardiens
Population
municipale
1 881 hab. (2018 )
Densité 225 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 16″ nord, 2° 41′ 49″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 106 m
Superficie 8,35 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Coubert
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontenay-Trésigny
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Coubert
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Coubert
Géolocalisation sur la carte : France
Coubert
Géolocalisation sur la carte : France
Coubert
Liens
Site web coubert.fr

    Au dernier recensement de 2018, la commune comptait 1 881 habitants.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à environ 7,6 kilomètres au sud-est de Brie-Comte-Robert et 15 kilomètres au nord de Melun[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Presles-en-Brie à 6,7 km Courquetaine
    Grisy-Suisnes N
    O    Coubert    E
    S
    Soignolles-en-Brie à 2,2 km Solers à 2,2 km

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Coubert.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

    • le ru de Fontaine, 6,4 km[1], affluent de l’Yerres ;
      • le fossé 01 de Coubert, 4,9 km[2], affluent du ru de Fontaine ;
        • le fossé 01 de la Pièce de l'Auberge , 1,2 km[3], et ;
        • le fossé 01 du Bois de Courquetaine , 1,05 km[4], qui confluent avec le fossé 01 de Coubert.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,81 km[5].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[6].

    La commune fait partie du SAGE « Yerres », approuvé le . Le territoire de ce SAGE correspond au bassin versant de l’Yerres, d'une superficie de 1 017 km2, parcouru par un réseau hydrographique de 450 kilomètres de long environ, répartis entre le cours de l’Yerres et ses affluents principaux que sont : le ru de l'Étang de Beuvron, la Visandre, l’Yvron, le Bréon, l’Avon, la Marsange, la Barbançonne, le Réveillon[7]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE), qualifié de « structure porteuse »[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,1 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 3,9 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 705 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 1,4 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 0,8 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Coubert comprend un ZNIEFF de type 2[Note 2],[13], la « forêt de la Léchelle et de Coubert » (2 069,22 ha), couvrant 9 communes du département[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Coubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Coubert, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[18] et 5 102 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 36 lieux-dits administratifs répertoriés[23].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,6% ), forêts (20,5% ), zones urbanisées (9,4% ), zones agricoles hétérogènes (8,9% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,8% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)[24].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[27].

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 720 dont 56,7 % de maisons et 43,3 % d’appartements.

    Parmi ces logements, 94,2 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 66,9 % contre 30,6 % de locataires[28] -[Note 5], dont 8,7 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et 2,6 % logés gratuitement.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau Transdev No 30A (Tournan-en-Brie – Melun)[29].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Domus de Corbeart vers 120[30] ; T. de Corbaait vers 1210[31] ; Corbaart en 1224[32] ; Corbehart en 1225[33] ; Corbart en 1234[34] ; Courbaart en 1249[35],[36] ; Courbart en 1343[37] ; Courbert et Cobert en Brye en 1407[38] ; Courtbart en 1413[38] ; Cobart en Brye en 1417[38] ; Cobert en 1474[39] ; Coubart la ville en Brye en 1496[40] ; Courbard en Brye en 1503[41] ; Coubert la Ville en 1543[42].

    Ce toponyme provient de l'agglutination du bas latin cortem et du nom de personne francique bedhard[43] et signifie le « domaine de bedhard (aguerri à la patience, qui réfléchit fort[44]) » .

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 octobre 1947 Edmond Floury    
    octobre 1947 mars 1959 Maurice Le Boulenger    
    mars 1959 décembre 1967 Edmond Floury    
    décembre 1967 mars 1989 Maurice Gillet   Chef d'entreprise
    mars 1989 mars 2001 Gilbert Escaille    
    mars 2001 mars 2008 Pascal Charpentier DVD[45] Médecin
    mars 2008 En cours Louis Marie Saout DVD Cadre
    6e vice-président de la CC Brie des Rivières et Châteaux (2017 → )
    Les données manquantes sont à compléter.

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [46],[47].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Coubert est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée[48],[49],[50].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[51]. La communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[48],[52].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux (CCBRC) qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [48],[53].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[55].

    En 2018, la commune comptait 1 881 habitants[Note 7], en diminution de 9,52 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    461518497462512551522527545
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    557603550569590622615765713
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    712760742633729777716669888
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    9279039891 0671 0541 2751 7051 7521 799
    2013 2018 - - - - - - -
    2 0791 881-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[56] puis Insee à partir de 2006[57].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    La commune possède un centre de réadaptation avec soins de suite spécialisés : système nerveux, appareil locomoteur, brûlés, douleur, avec un important plateau technique de réadaptation[58].

    Économie

    Agriculture

    Coubert est dans la petite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de la Brie autour de Brie-Comte-Robert[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[59].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[60]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 8 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 66 ha en 1988 à 120 ha en 2010[59]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Coubert, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Coubert entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[59],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 8 5 4
    Travail (UTA) 21 17 19
    Surface agricole utilisée (ha) 524 492 478
    Cultures[61]
    Terres labourables (ha) 506 482 441
    Céréales (ha) 347 264 s
    dont blé tendre (ha) 186 220 219
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 87 s
    Tournesol (ha) 0
    Colza et navette (ha) s s s
    Élevage[59]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 161 47 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Proposition de restitution de l'Orangerie du château de Coubert.

    Autres

    • Parc de Coubert.
    • Forêt domaniale de Coubert.
    • Gare de Coubert-Soignolles. Cette gare désaffectée a été reconvertie en salle pour une association de musique et de danse country.

    Personnalités liées à la commune

    • Le latiniste Léon Herrmann (1889-1984) est mort à Coubert.
    • Nicolas de L'Hospital, seigneur de Vitry-en-Brie (Vitry-Coubert à Guignes) puis duc de Vitry, maréchal de France, seigneur de Coubert sous Louis XIII ;
    • Frédéric Armand de Schomberg, maréchal de France en 1675. La même année, il achète la seigneurie de Coubert au fils du précédent . Il conserve Coubert jusqu'à la révocation de l'Edit de Nantes, en 1685, qui l'oblige à quitter la France. En 1711, Coubert est restitué à son fils, Maynard de Schomberg, mort en 1719. Les héritières de Maynard de Schomberg vendent alors Coubert à Samuel Bernard.
    • Le banquier et financier Samuel Bernard achète en 1719 le comté de Coubert et fait reconstruire le château de 1724 à 1727. Il le conserve jusqu'à sa mort, en 1739. et le lègue à l'aîné de ses fils,
    • Samuel-Jacques Bernard, fils aîné de Samuel Bernard, il est comte de Coubert après son père et meurt en 1753. Il a pour successeur comme comte de Coubert son fils Olivier Samuel Jacques Bernard (1730-1801), qui émigre à la Révolution. Son château de Coubert est alors vendu comme bien national, puis détruit sous la Restauration.
    • George Charles Potter, fils du manufacturier Christophe Potter (1751-1817) et mari de Laurence Viénot de Vaublanc, fille du comte de Vaublanc , sont propriétaires du château jusqu'en 1834.

    Héraldique

    Blason
    Tiercé en pairle au 1) de gueules à la porte de bâtiment de trois arches plein cintre d’argent, sommée d’un fronton classique du même, au 2) et au 3) d’azur à la rose d’argent tigée et feuillée au naturel, celle de dextre posée en bande et celle de senestre posée en barre, au pairle d’or brochant sur la partition et à la filière du même.
    Détails
    Différences entre dessin et blasonnement : la filière n'est pas représentée.
    Figure sur le site internet de la commune[62].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Coubert » sur Géoportail (consulté le 24 juin 2018)..
    2. « Coubert - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Fontaine (F4815000) ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Coubert (F4815100) ».
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de la Pièce de l'Auberge (F4815300) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois de Courquetaine (F4815200) ».
    5. 77127 Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 22 janvier 2019
    6. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    7. « SAGE Yerres - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    8. site officiel du Syndicat mixte pour l’Assainissement et la Gestion des eaux du bassin versant de l’Yerres (SYAGE)
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Coubert et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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