Confort-Meilars
Confort-Meilars [kɔ̃fɔʁ mεjaʁ] (en breton : Koñforzh-Meilar) est une commune française du Cap Sizun dans le département du Finistère, en région Bretagne.
Confort-Meilars | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Quimper |
Intercommunalité | Communauté de communes Cap Sizun - Pointe du Raz |
Maire Mandat |
Patrick Le Dréau 2020-2026 |
Code postal | 29790 |
Code commune | 29145 |
Démographie | |
Gentilé | Meilaristes |
Population municipale |
876 hab. (2018 ) |
Densité | 60 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 03′ 02″ nord, 4° 25′ 30″ ouest |
Altitude | Min. 5 m Max. 96 m |
Superficie | 14,68 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Douarnenez |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | https://confortmeilars.fr |
La localité doit sa notoriété à un remarquable patrimoine religieux du XVIe siècle, comprenant l'église Notre-Dame de Confort (vitraux, sablières, roue à carillons) et un imposant calvaire.
Géographie
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Quimper », sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[9], à 11,8 °C pour 1981-2010[10], puis à 12 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Confort-Meilars est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,9 %), terres arables (41,5 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (2,6 %), forêts (1,8 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Histoire
Toponymie
Le nom de la localité est attestée sous la forme Meliar en 1330[19]. Dérivé de l'anthroponyme vieux-breton Maglorio, qui deviendra Magloire en français. Mais, selon un autre source, c' est saint Mélar qui serait le saint éponyme de Meilars[20].
Avant le décret du 1er février 2001, la commune s'appelait Meilars[21].
Préhistoire
Le tumulus de Penguilly se trouve dans un bois de pins au sud de la route menant de Poullan-sur-Mer à Beuzec-Cap-Sizun. Il est haut de 2 mètres, avec un diamètre d'une vingtaine de mètres et possède un dolmen à l'intérieur et a été décrit et fouillé pour la première fois par Paul du Châtellier en 1889, qui y trouva des débris de poteries[22], et fouillé à nouveau en 1971[23] ; il date de l'âge du bronze.
Une enceinte fortifiée de forme quadrangulaire et d'environ 1 ha a été identifiée à Lestreux au sommet d'une colline ; le mobilier qui y a été découvert permet de dater l'occupation du second âge du fer, avec une réutilisation à l'époque gallo-romaine ; des urnes cinéraires, non datées, y ont été trouvées. Le site a été depuis totalement arasé lors d'un remembrement[24].
Moyen-Âge
Meilars-Confort est un découpage de l'ancienne paroisse primitive de Ploelan. Au XIe siècle les templiers fondent un lazaret à la frontière des paroisses de Beuzec, de Pont-Croix et de Meilars. La paroisse de Meilars est constituée, avant le XIVe siècle, au détriment de la paroisse de Poullan, jadis Ploelan. La paroisse de Meilars-Confort dépendait autrefois de l'ancien évêché de Cornouaille.
Plusieurs manoirs existaient à Meilars : le manoir de Meilars, habité par les seigneurs du même nom (situé à l'emplacement du presbytère) ; les manoirs de Kernonen, de Guizec, de Castellien, de Kervénargant[25].
Époque moderne
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Meillard [Meilars] de fournir 18 hommes et de payer 118 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[26].
La chapelle Notre-Dame-de-Confort est édifiée entre 1528 et 1544 par Alain III de Rosmadec, seigneur de Pont-Croix, et son épouse Jeanne du Chastel (représentée sur l'Arbre de Jessé de la maîtresse-vitre) ; elle est ornée de nombreuses carvelles sculptées, ainsi que d'une roue à carillons[20].
Révolution française
La paroisse de Meylars [Meilars], qui comprenait alors 110 feux, élit deux délégués, Jean-Pierre Gloaguen et Guillaume Claquin, pour la représenter à l'assemblée du tiers-état de la sénéchaussée de Quimper au printemps 1789[27].
Le calvaire de Confort, qui était l'un des plus beaux calvaires bretons, fut vandalisé pendant la Révolution française[28]. Les statues de apôtres disposées dans des niches, ont été détruites. Elles ont été remplacées en 1870 par des statues plus grandes signées du sculpteur Yan Larhantec[29].
Des députés girondins en fuite, dont Charles Jean Marie Barbaroux et Jean-Baptiste Louvet, hébergés un temps au presbytère de Locmaria, furent cachés ensuite au manoir de Kervénargan en Meilars avant de gagner Lanvéoc afin de fuir vers Bordeaux à bord du brick L'Industrie (Barbaroux fut pris et guillotiné, Louvet parvint à se sauver). Émile Souvestre, dans Le Finistère (1836) a écrit à propos du manoir de Kervénargan : « On y lisait encore, il y a une trentaine d'années, sur un panneau de cheminée, des vers de Barbaroux écrits au crayon par lui-même [20].
Jacques Cambry écrit que « le pont [sur le Goyen ] qu'on trouve ente Meilard [Meilars] et Mahalon est impraticable »[30].
Le XIXe siècle
L'abbé Victor Rochedreux, né en 1756 à Concarneau, vicaire réfractaire de Mahalon, fut déporté en Espagne ; il créa en 1807 une école au manoir de Tréfrest en Pont-Croix ; lorsqu'il devint en 1810 recteur de Meilars, il transforma son presbytère en véritable petit séminaire. L'établissement ferma en 1812 en raison du départ du prêtre, qui fut par la suite recteur de L'Île-Tudy ; il rouvrit un temps en 1819, mais trop exigu (en 1820, les élèves dormaient à deux par lit) et très délabré, il fut remplacé en 1823 par celui créé alors à Pont-Croix[28],[20].
Le calvaire de Confort, vandalisé pendant la Révolution française, fut restauré en 1870 par le sculpteur Yan Larhantec.
Le pardon de Notre-Dame-de-Confort existait déjà en 1900, comme en témoigne une photographie.
- Confors : le pardon des enfants, la procession (vers 1900).
- Dominique-Marie Dupé : Les séminaristes de Pont-Croix en pèlerinage à Notre-Dame de Confort (évêché de Quimper, vers 1850).
L'école de hameau de Confort
Fin XIXe, la construction de 67 écoles de hameaux a été autorisée dans le Finistère par deux décrets :
- le décret du qui a délégué une subvention pour 18 écoles de hameaux sur l'arrondissement de Quimperlé ; toutes ont été bâties ;
- le décret du qui a délégué une subvention pour 50 écoles de hameaux sur les quatre autres arrondissements du département (Brest, Châteaulin, Morlaix, Quimper) à choisir dans les communes « dont le territoire est le plus étendu et les ressources les plus restreintes » ; 49 ont été bâties dont celle de Confort[31].
La Belle Époque
En 1912, l'église Saint-Mélar de Meilars, qui fut église paroissiale jusqu'en 1910, menaçait de s'écrouler ; des travaux importants permirent de la sauver[32].
- Confort vers 1920 (carte postale Villard).
- Paysannes fileuses de lin (ou de chanvre) à Confort vers 1920.
- Deux personnes âgées devant le calvaire de Confort vers 1920 (carte postale Villard).
- Paul-François Berthoud : Femme de Confort-Meilars (sculpture, vers 1920, musée départemental breton).
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Confort-Meilars porte les noms de 50 soldats et marins morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : 3 (Guillaume Bourhis, Jean Guillaume Claquin, Jean Helouët) sont des marins disparus en mer ; 3 sont morts en Belgique dont deux (Jean Guillou et Jean Marie Leildé) à Rossignol le et un (Guillaume Trévidic) à Dinant le , donc après l'armistice ; 2 sont morts dans les Balkans dans le cadre de l'expédition de Salonique (Jean Pierre Leildé en Grèce en 1916 et Jean Yves Castrec en Serbie en 1917) ; Jean Savina a été tué à Achi-Baba (Turquie) lors de la Bataille de Sedd-Ul-Bahr ; 2 (Jean Guillaume Le Bihan, Jean Marie Le Bihan) sont morts alors qu'ils étaient prisonniers en Allemagne ; la plupart des autres sont morts sur le sol français (parmi ceux-ci, Jean Bariou[alpha 1] et Jean Le Moan[alpha 2] ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre, Albert Trividic de la Médaille militaire, Jean Boudigou et Jean Yves Castrec de la Croix de guerre ; Pierre Gloaguen, lieutenant au 118e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Cuperly (Marne), a été fait chevalier de la Légion d'honneur)[33].
Le monument aux morts de Meilars, situé dans le placître de l'église paroissiale, est une ancienne stèle tronconique gauloise en granite dont la base est intégré dans un socle en kersantite ; il est surmonté d'une croix militaire.
La Seconde Guerre mondiale
Des coups de feu ayant été tirés dans la nuit du 3 au , la population de Meilars fut rassemblée le 4 mai au matin sur la place publique ; Jean Le Goff et son fils, boulangers, furent arrêtés et leur maison incendiée[34].
Le monument aux morts de Confort-Meilars porte les noms de 16 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles Jean François Le Goff, Jean Guillaume Le Goff et Guillaume Savina, tous trois morts en déportation, le premier le à Melk (Autriche), le second le au camp de concentration de Neuengamme (Allemagne), le troisième à une date et en un lieu inconnus ; deux (Jean Marcel Claquin[alpha 3] et Guillaume Gloaguen[alpha 4]) sont des marins morts en mer ; Yves Bariou est décédé le en Allemagne[33].
L'après Seconde Guerre mondiale
Un soldat originaire de Confort-Meilars (Roger Celton) est mort pour la France pendant la guerre d'Algérie[33].
La transformation d'une ancienne décharge en biotope à vocation paysagère
L'ancienne carrière de Ker'Houanton, devenue ensuite une décharge à ciel ouvert, accueillant notamment des mâchefers, a été réhabilitée par la plantation d'arbres de diverses essences forestières, ainsi que des pommiers à cidre, afin d'y créer un biotope diversifié accueillant notamment des oiseaux[35].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Notre-Dame de Confort
L'église Notre-Dame de Confort est construite sous François Ier, entre 1528 et 1544. Elle a été fondée par Alain III de Rosmadec, marquis de Pont-Croix et comte de Molac, et son épouse, Jeanne du Chastel. Elle présente toutes les caractéristiques de la première période du style ogival[39]. Alain III de Rosmadec a son portrait sur un vitrail, datant du XVIe siècle, de l'église.
L'extérieur se distingue par le grand nombre d'ouvertures, des fenêtres surmontées de frontons triangulaires ornés de crosses végétales, de croix et de bouquets trilobés.
L'église abrite une grande roue à carillons qui surplombe le chœur et dont le cercle en bois est recouvert de douze clochettes. Les fidèles la font tourner et sonner à la messe, le dimanche, mais aussi pour les baptêmes et les mariages. Elle aurait le pouvoir miraculeux de redonner la parole aux enfants muets ou affectés d'un défaut d'élocution. L'origine de cette pratique serait un antique rituel en usage dans l'ancienne Armorique[40].
- L'extérieur de l'église Notre-Dame de Confort.
- La sablière sculptée et la roue à carillons.
- Vitrail : scènes de la vie de la Sainte Famille.
- Les détails du calvaire.
- Église Saint-Herlé de Ploaré, vitrail "Notre-Dame-de-Confort apparaissant à Michel Le Nobletz".
Église Saint-Mélar à Meilars
Cette église a été construit au XIIIe siècle et est caractéristique du style architectural de l'école de Pont-Croix[41].
- L'église Saint-Mélar vue du sud.
- Église Saint-Mélar : le porche sud.
- Église Saint-Mélar : le cadran solaire au pignon du porche sud.
Calvaire
Imposant calvaire, classé au titre de monument historique en 1914. De forme triangulaire pour une longueur de quelque 5,3 mètres, en granit, il date du XVIe siècle[42]. A la Révolution, les statues des apôtres qui occupaient les niches disparaissent, et sont retrouvées décapitées en 1849. En 1870, le sculpteur Yann Larc'hantec en sculpte de nouvelles, de 1, 7 mètre, qu'il fait poser sur le socle du calvaire, au pied de la croix. Ce Christ en croix est foudroyé en 1978 et refait par Pierre Floc'h[43]. L'ensemble fait l'objet d'une restauration en 2017[44].
La Chapelle Saint-Jean-Trophilion
Cette chapelle a été complètement démolie au début du XXe siècle. Elle s'élevait non loin du village de Kersa et mesurait une douzaine de mètres de longueur sur six de largeur. La façade Sud était surmontée d'un campanile portant l'inscription : 1634 Le Gall Fab. Le pardon y est célébré le jour de le Saint-Jean-Baptiste. On y fêtait aussi Saint Marc qui avait autrefois, une petite chapelle dans le même enclos. La fontaine dite de Saint Marc existe toujours tout près de l'emplacement de Saint-Jean-Trophilion.
Autres
- Camp du moulin de Lesvoyen ; enceinte du haut Moyen Âge et hypothétiquement gallo-romaine[45].
- Enceinte quadrangulaire du Kastellien ; occupée à l'âge du fer, à l'époque gallo-romaine et au haut Moyen Âge[45].
Voir aussi
Bibliographie
- Corentin Parcheminou (abbé), Meilars-Confort : ses monuments son histoire, Cornouaillaise, Quimper, 1933, 90 p. (réédité en 2003 sous le titre Meilars-Confort : Ses monuments, son histoire. Mahalon, une paroisse finistérienne, dans la collection « Monographies des villes et villages de France »)
Liens externes
- Les « objets immobiliers », « objets mobiliers », « illustrations », d'après l'Inventaire général du patrimoine culturel du ministère de la Culture
- Confort-Meilars sur topic-topos
- Confort-Meilars sur les mégalithes du monde
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Notes
- Jean Bariou, canonnier au 228e régiment d'artillerie de campagne, mort des suites de ses blessures le à l'hôpital complémentaire n°63 à Mesgrigny (Aube).
- Jean Le Moan, soldat au 154e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Blercourt (Meuse).
- Jean Marcel Claquin, marin à bord du cuirassé Bretagne, mort le lors de l'Attaque anglaise de Mers el-Kébir.
- Guillaume Gloaguen, mort le lors du naufrage du cargo Casamance à l'embouchure de la Tamise.
- Hervé Pichavan, né le à Meilars, décédé le à Meilars.
- Probablement Jean Claquin, né le à Brigodonou en Mahalon, décédé le au bourg de Confort.
- Jean François Souben, né le à Meilars, décédé le au bourg de Meilars.
- Guillaume Le Moan, né le à Meilars, décédé le à Kervoal en Meilars.
- Henri Bariou, né le à Kervoal en Meilars, décédé le à Meilars.
- Hervé Scuiller, né le à Tromillou en Meilars, décédé le à Tromillou en Meilars.
- Guillaume Bariou, né le à Penguilly en Meilars, décédé le à Penguilly en Meilars.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Hervé Abalain, « Noms de lieux bretons - Page 83, Editions Jean-paul Gisserot » (ISBN 2877474828, consulté le ).
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- Par décret du 1er février 2001 la commune de Meilars prend le nom de Confort-Meilars Légifrance.
- Paul du Châtellier, "Les époques préhistoriques et gauloises dans le Finistère", Paris, 1889
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- Jean Rohou, Catholiques et Bretons toujours ? : essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne, Brest, éditions Dialogues, , 534 p. (ISBN 978-2-918135-37-1).
- L'article comporte une coquille, il faut lire 1870, et non 1970. | http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/calvaire-carillon-et-clochettes-allez-y-12-08-2016-6033967.php
- Jacques Cambry, "Voyage dans le Finistère ou État de ce département en 1794 et 1795", Imprimerie-Librairie du Cercle Social, an VII (1799).
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- jean-yves cordier, « La Roue à carillon de Confort-Meilars, celle de Locarn et de Priziac . », sur aile.com, Le blog de jean-yves cordier, (consulté le ).
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- Collectif, Le patrimoine des communes du Finistère, éditions Flohic, 1998, tome 2, p. 1159.
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- Article du Télégramme de Brest du 13 janvier 2017 , consulté le 18 août 2019.
- L'ouest de la Cornouaille dans les tourments de l'histoire, guide de découverte sur le patrimoine fortifié du Pays Bigouden, du Cap-Sizun et du Pays de Douarnenez, Syndicat Mixte, Pointe du Raz, (ISBN 9782952581004), p. 2, et voir : Plan d'interprétation du patrimoine bâti de l'ouest de la Cornouaille.
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