Conchy-sur-Canche

Conchy-sur-Canche est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Conchy et Canche.

Conchy-sur-Canche

L'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
Dominique Coquet
2020-2026
Code postal 62270
Code commune 62234
Démographie
Gentilé Conchiaquois
Population
municipale
219 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 10″ nord, 2° 12′ 01″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 137 m
Superficie 9,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Conchy-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Conchy-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : France
Conchy-sur-Canche
Géolocalisation sur la carte : France
Conchy-sur-Canche

    Géographie

    Conchy possède une superficie de 983 hectares, au plus bas de la commune l'altitude est de 47 mètres et au plus haut l'altitude est de 137 mètres.

    Conchy se situe dans la vallée du fleuve côtier la Canche entre Frévent et Hesdin, à 50 km d'Arras, Le Touquet-Paris-Plage, Amiens et Béthune.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Conchy-sur-Canche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,4 %), prairies (8,7 %), forêts (8,1 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Toponymie

    Autrefois Conchy était appelé Conzy de Contius (avec 200 âmes en 1079)[réf. nécessaire].

    Histoire

    Conchy fut détruite par les Huns en 421, lors des Invasions barbares, ou lors de la guerre franco-bourguignonne au XVe siècle[8].

    La localité est fortifiée au XIIe siècle afin de protéger l’emplacement d’un passage à gué sur la Canche, faisant de ce fait de Conchy un endroit stratégique, comprenant château fort, fossés et enceinte murée[8].

    Avant la Révolution française, Conchy est le siège d'une seigneurie détenue en 1652 par un membre de la famille d'Ostrel[9].


    Durant la Révolution française, Conchy comptait deux moulins sur la Canche, un à blé, un à huile. L'un d'euxétait encore en activité lors de la Première Guerre mondiale et fut transformé ultérieurement en scierie, qui employant, dans les années 1970-80, une trentaine d’employés avant de fermer en 2008 et d'être rachetée par la commune et transformée en 2014 en équipement culturel[8].

    Politique et administration

    Conchy-sur-Canche dans son canton et dans l'arrondissement d'Arras.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Auxi-le-Château[10]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la petite communauté de communes de la région de Frévent, créée fin 1998.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[11], le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[12].

    À l'initiative des intercommunalités concernées[13], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :
    - la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[14] ;
    - la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
    - de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
    - de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants

    Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [15],[16] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [17].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995 En cours
    (au 15 juillet 2020)
    M. Dominique Coquet   Vice-président de la CC du Ternois (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[18],[19]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].

    En 2018, la commune comptait 219 habitants[Note 3], en augmentation de 11,17 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    526508570535502455456447430
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    403392406402396391374402410
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    425409371322288263292274295
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    293302269218209197200190202
    2018 - - - - - - - -
    219--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (33,7 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (52,6 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 52,6 % d’hommes (0 à 14 ans = 16 %, 15 à 29 ans = 11 %, 30 à 44 ans = 15 %, 45 à 59 ans = 25 %, plus de 60 ans = 33 %) ;
    • 47,4 % de femmes (0 à 14 ans = 14,4 %, 15 à 29 ans = 13,3 %, 30 à 44 ans = 14,4 %, 45 à 59 ans = 23,3 %, plus de 60 ans = 34,4 %).
    Pyramide des âges à Conchy-sur-Canche en 2007 en pourcentage[23]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    2,2 
    15,0 
    75 à 89 ans
    11,1 
    18,0 
    60 à 74 ans
    21,1 
    25,0 
    45 à 59 ans
    23,3 
    15,0 
    30 à 44 ans
    14,4 
    11,0 
    15 à 29 ans
    13,3 
    16,0 
    0 à 14 ans
    14,4 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2007 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90 ans ou +
    0,8 
    5,1 
    75 à 89 ans
    9,1 
    11,1 
    60 à 74 ans
    12,9 
    21,0 
    45 à 59 ans
    20,1 
    20,9 
    30 à 44 ans
    19,6 
    20,4 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    18,9 

    Équipements culturels

    La friche industrielle de l'ancienne scierie a été transformée fin 2014 dans le respect des règles de la filière bois en espace culturel constitué d’une grande salle et de trois salles annexes qui offrent ensemble un espace de 620 m2[25].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le village est renommé pour sa fête des jardins d'automne, dont la 7e édition a eu lieu en octobre 2015[26].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Son église Saint-Pierre est en partie des XIVe et XVIIIe siècles. Elle est restaurée en 1844 et dotée d'une nef[8]
    • Ce village a toujours son magnifique château du XVIIe siècle, appelé château de Flers, qui a appartenu à Philippe Emmanuel de Gondi, Général des Galères de France, seigneurie qui passera par achat en 1662 à Robert d'Ostrel et sera érigée en baronnie pour son fils Noël Lamoral d'Ostrel (Ne pas le confondre avec un autre château de Flers, lui du département du Nord, devenu mairie annexe de Villeneuve-d'Ascq).
    • On trouve dans le village plusieurs ouvrages en torchis, rue de l'église : un muret de briques et de torchis, rare dans le secteur, un autre composé uniquement de torchis et en arc de cercle, ainsi qu'une maison située au 15, rue de Saint-Pol, maison en torchis à étages[8].

    Personnalités liées à la commune

    • Gérard de Conchy, évêque d’Amiens de 1247 à 1257. Il a accompagné Saint-Louis lors de la Septième croisade, en 1249 ;
    • Victor d'Ostrel, seigneur de Conchy reçoit le 28 avril 1652, un brevet de chevalerie accordé par Louis XIV pour lui et son frère Jacques d'Ostrel, seigneur de Flers. Ils descendent d'une ancienne famille noble, alliée aux meilleurs maisons de Picardie et d'Artois, dont la maison d'Humières. Leurs ancêtres ont toujours porté la qualité de chevalier[9].
    • L'abbé Régnier, résistant lors de la Seconde Guerre mondiale, a été l’un des deux prêtres du Pas-de-Calais à avoir été condamné à mort. Celle-ci ayant été commuée en détention à perpétuité, le condamné parvint à s'échapper lors de son transfert dans un camp en Allemagne[8].

    Héraldique

    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :
    « d’azur à l’écusson d’hermine. »

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. « À la découverte de Conchy-sur-Canche, en longeant le tracé des anciens fossés défensifs du château : Suite de notre série visant à partir à la découverte de nos villages patrimoine. Cette semaine, direction Conchy-sur-Canche, commune labellisée quatre fleurs qui possède un riche patrimoine bâti et un passé étonnant », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    9. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.41, lire en ligne.
    10. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    11. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    12. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    13. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du nord, (lire en ligne).
    14. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
      Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
    15. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
    16. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
    17. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
    18. Alexis Degroote, « À Conchy-sur-Canche, la réhabilitation de l’ancienne scierie bien évidemment au cœur du mandat : Pour ce mandat, dans la commune, pas besoin de chercher bien longtemps pour trouver « la » grosse réalisation car celle-ci se situe en plein cœur du village, sur le site de l’ancienne scierie, en cours de réhabilitation. Un gros dossier qui n’a pas été le seul, pour le maire Dominique Coquet et son équipe… », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    19. Al. D., « Cinquième mandat de maire pour Dominique Coquet à Conchy-sur-Canche : Le nouveau conseil municipal a été installé à la salle de la Scierie », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. « Évolution et structure de la population à Conchy-sur-Canche en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    25. « Et l’ancienne scierie de Conchy-sur-Canche devint un espace culturel polyvalent... et écologique ! : Samedi pour son inauguration, le tout nouvel espace culturel polyvalent a suscité le consensus à double titre : sur l’intérêt de créer un équipement destiné aux manifestations culturelles, et sur la nécessité d’envisager désormais les bâtiments communaux en associant le développement durable », La Voix du Nord, (lire en ligne).
    26. « Conchy-sur-Canche : la Fête des jardins d’automne, rendez-vous incontournable des mains vertes du Ternois ! : Pour les amateurs de fleurs et de jardins, c’est plus que jamais l’événement qu’il ne faut surtout pas manquer dans le secteur. Dimanche, la Fête des jardins d’automne a confirmé son statut d’événement incontournable », La Voix du Nord, (lire en ligne).
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