Clairac (Lot-et-Garonne)

Clairac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine). Clairac fait partie de la communauté de communes du Val de garonne

Pour les articles homonymes, voir Clairac.

Clairac

Vue générale. Au premier plan, le Lot.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Marmande
Intercommunalité Val de Garonne Agglomération
Maire
Mandat
Michel Perat
2020-2026
Code postal 47320
Code commune 47065
Démographie
Gentilé Clairacais
Population
municipale
2 608 hab. (2018 )
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 21′ 38″ nord, 0° 22′ 47″ est
Altitude 54 m
Min. 27 m
Max. 185 m
Superficie 33,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tonneins
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tonneins
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Clairac
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Clairac
Géolocalisation sur la carte : France
Clairac
Géolocalisation sur la carte : France
Clairac
Liens
Site web http://www.clairac.com/

    Géographie

    Localisation

    Commune située sur le Lot entre Aiguillon, Tonneins et Villeneuve-sur-Lot, dans le pays de la Vallée du Lot.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fauillet », sur la commune de Fauillet, mise en service en 1992[8]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 763,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 27 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Clairac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tonneins, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,8 %), terres arables (28,9 %), prairies (7 %), forêts (6,9 %), zones urbanisées (4,4 %), cultures permanentes (2,6 %), eaux continentales[Note 6] (2,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    En 1482, Louis XI avait accordé des droits au chapitre de la cathédrale du Latran à Rome sur l'abbaye de Clairac. Mais l'essor du protestantisme dans la région empêchait ce dernier de percevoir ces revenus. (Attention, cette information est erronée. Louis XI a accordé un certain nombre de largesses au chapitre de Saint-Jean de Latran, mais pas les revenus de l'abbaye de Clairac).

    Le , Henri IV accorde au chapitre de Saint-Jean de Latran les revenus de l'abbaye bénédictine de Clairac. En contrepartie, le chapitre fait ériger par le sculpteur lorrain Nicolas Cordier une statue à l'effigie du roi de France, auquel il attribue le titre de « chanoine d’honneur » ; elle fut installée sous le portique de la basilique. Par ailleurs il fait célébrer une messe pour la prospérité de la France le , jour anniversaire de la naissance d'Henri.

    Durant les révoltes huguenotes, après avoir pris la ville de Saint-Jean-d'Angély, Louis XIII prit la décision de se porter vers le sud avec le gros de ses troupes pour soumettre la Guyenne, et assiéger Clairac qui était un bastion du protestantisme et dont la devise est « Ville sans Roy, soldats sans peur ». Après 12 jours de siège, du 23 juillet au 4 août la ville se rendit[21]. À l'issue de ce siège, trois protestants considérés comme meneurs furent exécutés ; Théophile de Viau, lui-même natif de Clairac, rapporte dans un sonnet satirique de nombreux actes de torture. Aujourd'hui encore la place Viçoze porte une plaque commémorative rappelant à la tolérance.

    La devise a été gravée sur la place Viçoze lors de sa rénovation en 2008.

    En 1729, Louis XV augmente les revenus du chapitre de ceux de deux prieurés dépendant de l’abbaye de Clairac. La Révolution française supprime ces droits en 1792. Louis XVIII, Charles X et Napoléon III les restaureront sous forme d'une rente qui sera définitivement abolie en 1871. Depuis lors, le titre de « chanoine d’honneur de Saint-Jean-de-Latran » est porté par tous les chefs d'État français, y compris par les présidents de la République qui possèdent leur propre stalle "réservée" dans la basilique romaine.

    Les morts

    L’Ecole navale

    Depuis sa création en 1830, l’Ecole navale a beaucoup voyagé. Pendant la période troublée de la Seconde Guerre mondiale, elle s’est même installée pendant près de deux ans à Clairac, volontiers accueillie par le maire de l’époque, le commandant Maurice Baril, officier d’active[22].

    Près de 300 marins se rejoignent à Clairac. L’école est alors composée d’une compagnie de 91 élèves-officiers, un groupe de commandement avec deux officiers supérieurs, un encadrement de deux officiers supérieurs, un ingénieur mécanicien et un médecin principal, ainsi qu’une compagnie d’équipage, d’officiers mariniers et de marins incluant du personnel administratif, des fusiliers-marins et des gendarmes maritimes.

    Construction de baraquements pour accueillir les cours des élèves. L’état-major et la compagnie d’équipage vivent dans l’abbaye du village. Les élèves logent au domaine de Castille et les officiers au château de Bireboy. Des familles d’officiers, d’encadrants et de professeurs civils s’installent dans le village.

    Rien n’est laissé au hasard pour assurer la formation des élèves officiers. Des baraquements démontables sont ajoutés pour accueillir les cours de navigation, d’astronomie, de mécanique, etc. Un barrage en aval du Lot permet même de constituer un plan d’eau pour l’apprentissage des rudiments de la navigation, de la voile et de l’aviron, mais aussi pour l’entraînement physique avec la remontée du Lot sur près de km et des séances de natation.

    Après de nombreuses réticences de la part du commandant de l’école, le CV Lacaille d’Esse, une unité combattante composée de 16 officiers, 147 officiers-mariniers, quartiers-maîtres, marins et 91 bordaches est mise sur pied en pour rejoindre le maquis du Néracais et soutenir les alliés qui ont débarqué. Ils se lancent alors dans une marche nocturne de près de 40 km pour passer la Garonne au Mas d’Agenais d’où ils rejoindront le maquis et combattront les troupes allemandes en Charente-Maritime.

    Héraldique

    Blason
    D'azur au soleil rayonnant d'or.
    Devise
    "Ville sans roy, soldat sans peur"
    Cri de guerre
    "Lux clareat"[23]
    Détails
    Armes parlantes. (soleil/clair)
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1929 1941 Rodolphe Roubet SFIO  
    1941 1944 M. Maurice Baril    
    mars 1944 1949 Rodolphe Roubet SFIO Agriculteur
    Conseiller général (1945-1959)
    Président du conseil général de Lot-et-Garonne
    mars 1949 1953 Adrien Vidal    
    mars 1953 mars 1959 Rodolphe Roubet SFIO  
    mars 1959 mars 1977 Franck Bize    
    mars 1977 1979 Yves Cazaux    
    1979 mars 2001 Roger Guibert   Pharmacien
    mars 2001 mars 2014 Françoise Bize PS Retraitée de la Direction générale des impôts
    Conseillère générale (2004-2011)
    Vice-présidente du conseil général de Lot-et-Garonne
    mars 2014 En cours Michel Perat DVD Retraité
    Conseiller départemental (depuis 2018)

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 2 608 habitants[Note 7], en augmentation de 2,31 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    5 9004 8495 0685 1234 9494 9254 8424 5564 381
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 3584 3484 4204 1914 1564 0503 8403 5623 203
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8802 8502 8242 2142 2992 2492 3782 5052 610
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    2 5452 5522 3322 3932 3382 3852 5062 4322 592
    2018 - - - - - - - -
    2 608--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Cultes

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Beschi (Alain) et Charneau (Bertrand), Clairac. notice de synthèse. « base Mérimée, ministère de la Culture », https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA47002187.

    Blois (Guy), Clairac, une cité protestante et républicaine sous Louis-Napoléon Bonaparte (1848-1870). « Éditions du Roc de Bourzac », Bayac, 1994, 118 p.

    Blois (Guy), Clairac au temps de la IIIe République : de Sylvestre de Ferron à Rodolphe Roubet (1870-1940). « Éditions du Roc de Bourzac », Bayac, 1994, 212 p.

    Caubet (Jean), Histoire de Clairac. « Imprimerie J. Owen », Nérac, 1979, 155 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Fauillet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Clairac et Fauillet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Fauillet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Clairac et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Batailles françaises par le colonel Édouard Hardy de Périni volume 3 (1621-1643)
    22. Armorial de France
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    27. « Fontaine municipale dite Font'Grand », notice no PA47000007, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    28. « Ancienne abbaye bénédictine », notice no PA47000004, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    29. « Eglise Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA47000006, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    30. « Ancien couvent dit Maison des Dames de la Foy », notice no PA47000005, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. « Maison à pans de bois », notice no PA00084092, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    32. Marquis de Fayolle, La fontaine de Sauvebœuf, p. 57-66, Revue de l'Agenais, 1931, tome 58 (lire en ligne)
    33. « Château de Roche », notice no PA00084091, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Église Évangélique Libre de Clairac »
    35. « Assemblée chrétienne Clairac »
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