Citry

Citry est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Citry

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Thierry Fleischman
2020-2026
Code postal 77730
Code commune 77117
Démographie
Gentilé Citryats
Population
municipale
937 hab. (2018 )
Densité 186 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 07″ nord, 3° 14′ 19″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 191 m
Superficie 5,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ferté-sous-Jouarre
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Citry
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Citry
Géolocalisation sur la carte : France
Citry
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Citry
Liens
Site web citry.fr

    Géographie

    Localisation

    À la bordure du département de l'Aisne, la commune est située le long de la Marne rive gauche face à Crouttes-sur-Marne (Aisne) sur l'autre rive.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Hydrographie

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Citry.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par l'aqueduc de la Dhuis.

    La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 6,94 km[5].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 4 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 732 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -4,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : 1,9 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 58 km à vol d'oiseau[7], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[8] à 11,6 °C pour 1991-2020[9].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Citry comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[10], les « Carrières Souterraines des Potences » (0,33 ha), couvrant 2 communes du département[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Citry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 102 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés[17] dont Villaré, Pisseloup en partie.

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,9% ), forêts (34% ), zones urbanisées (12,8% ), zones agricoles hétérogènes (7,4% ), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %)[18].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[19],[20],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[21]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 429 dont 84,6 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 12,9 % d'appartements[Note 6].

    Parmi ces logements, 77,5 % étaient des résidences principales, 8,4 % des résidences secondaires et 14 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,3 % contre 12 % de locataires et 2,7 % logés gratuitement[22].

    Transports

    La commune est desservie par la ligne d'autocars du réseau Transdev No 32S (Bassevelle - La Ferté-sous-Jouarre)[23].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes Citri en 1225[24] ; Citeri en vers 1240[25] ; Citriacum en 1246[26] ; Citri en 1325[27],[28].

    Ce toponyme provient de l'agglutination nom de personne gallo-romain citterius et du suffixe acum qui signifie : la « terre de citterius ».

    Histoire

    Il est certain que Citry existait vraisemblablement dans un passé très lointain puisqu’il a été trouvé un racloir en silex vers les plâtrières de Pisseloup (hameau de Citry pour partie). Un peu en aval de ce hameau existait un gué pavé, aboutissement de la voie romaine. Citry était écrit Sitri. À cette époque, le village était complètement isolé au pied d’une falaise[29].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2008 En cours Thierry Fleischman[30]   Inspecteur académique

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [31],[32].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Citry est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [33],[34],[35].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[36]. La communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[33],[37].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [33],[38].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[40].

    En 2018, la commune comptait 937 habitants[Note 7], en augmentation de 13,16 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    667756726715744737752794766
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    735711735663676695680668674
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    621586603579612575517475502
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    452428422459640682746808900
    2018 - - - - - - - -
    937--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Exploitations agricoles.
    • La commune est comprise dans la zone d'appellation contrôlée "champagne".
    • Il existe d'anciennes mines de gypse exploitées jusqu'au XIXe siècle.

    Agriculture

    Citry est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[43].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[44]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 12 en 1988 à 6 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 32 ha en 1988 à 69 ha en 2010[43]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Citry, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Citry entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[43],[Note 9]
    Nombre d’exploitations (u) 12 8 6
    Travail (UTA) 14 11 10
    Surface agricole utilisée (ha) 378 419 414
    Cultures[45]
    Terres labourables (ha) 357 398 403
    Céréales (ha) 238 288 s
    dont blé tendre (ha) 145 184 s
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 59 54 83
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 44 51 37
    Élevage[43]
    Cheptel (UGBTA[Note 10]) 27 5 0

    Culture locale et patrimoine

    Portail de l'église Saint-Ponce.

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, devise et logotype

    Blason
    De gueules aux deux pals d’or, au chef d’argent chargé d’une masse de carrière de sable accostée de deux doloires affrontées de gueules.
    Ornements extérieurs
    Timbre : couronne murale
    Support : rameaux de vigne et de pêcher garnis de fruits.
    Détails
    Le chef rend hommage aux seigneurs de Renty.
    Adopté le
    • Le « gueules », ou rouge, est la couleur traditionnelle de la Brie à laquelle appartient Citry.
    • Les deux pals représentent les deux cours d'eau du village que sont la Marne et l'aqueduc de la Dhuys[46].
    • La couleur jaune exprime à la fois le nom du village qui vient d'un dénommé Citrius (jaune comme le citron, donc blond) et la culture céréalière, notamment le blé. *Le chef blanc avec les deux doloires rouges reprend une partie de blason du seigneur de Renty qui possédait Citry. Son blason exact était d'argent à trois doloires de gueules celles du chef affrontées.
    • La masse de carrier symbolise les plâtrières de la commune[46].

    Les ornements représentent des pampres ou vigne pour honorer la viticulture du village sous le label de champagne et du pêcher pour rappeler cette autre culture importante du village actuellement quasiment disparue. La couronne de tours est le symbole échu aux communes[46].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    6. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Citry - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Plan séisme consulté le 9 mars 2020 ».
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Marne (F6221501) ».
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Cours d'eau 01 de la Cour d'Artois (F6221000) » (consulté le ).
    5. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 26 octobre 2018
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    7. « Orthodromie entre Citry et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Citry », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    11. « ZNIEFF les « Carrières Souterraines des Potences » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Site territoires-fr.fr consulté le 9 mars 2020 sous le code commune 77117.
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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    20. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur www.iau-idf.fr (consulté le ).
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    23. Transdev, ligne 32S
    24. Archives nationales, S 5176.
    25. Longnon, I, p. 186.
    26. Rôles des fiefs, 199.
    27. Longnon, II, 233.
    28. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 128.
    29. « La commune de CITRY », sur Citry, site officiel (consulté le ).
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    32. « Seine-et-Marne - Assainissement collectif », sur eau.seine-et-marne.fr (consulté le ).
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    36. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
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    38. « CA Coulommiers Pays de Brie (CACPB) - Services et indicateurs », sur l'observatoire national des services d'eau et d'assainissement (consulté le ).
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    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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    44. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
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    46. « Blason », sur Citry, site officiel (consulté le ).
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