Chavignon

Chavignon est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Chavignon

L'église Saint-Remi.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Soissons
Intercommunalité Communauté de communes du Val de l'Aisne
Maire
Mandat
Catherine Bournonville
2020-2026
Code postal 02000
Code commune 02174
Démographie
Gentilé Chavignonnais(es)
Population
municipale
824 hab. (2018 )
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 28′ 47″ nord, 3° 31′ 19″ est
Altitude 90 m
Min. 57 m
Max. 195 m
Superficie 11,55 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fère-en-Tardenois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Chavignon
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Chavignon
Géolocalisation sur la carte : France
Chavignon
Géolocalisation sur la carte : France
Chavignon

    Géographie

    Localisation

    Chavignon est située entre les villes de Laon et Soissons et est traversé par l'ancienne route nationale 2.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hameaux et écarts

    Près du village, direction Royaucourt-et-Chailvet, se trouve le hameau les Bruyères appartenant à la commune.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est drainée par plusieurs ruisseaux et est limitée au nord par le canal de l'Oise à l'Aisne et par l'Ailette, affluent de la rive gauche de l'Oise.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 758 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Faucoucourt », sur la commune de Folembray, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,8 °C et la hauteur de précipitations de 777 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 42 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Chavignon est une commune rurale[Note 5],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,7 %), forêts (37,3 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    L´existence d'un village sur la rive gauche de l'Ailette au pied du Chemin des Dames est attestée dans les textes dès 858 (Cavinionus, Chavignion en 1310, et Chavignon en 1572). Son étymologie fait l'objet de multiples hypothèses : celle-ci se rattacherait à la présence d´une chaussée gallo-romaine reliant Soissons à Laon qui le traversait ou dériverait du terme signifiant tête de vigne associé au nom du ruisseau prenant naissance au pied de la colline de la Malmaison, le Vignon : Caput Vignonis.

    Histoire

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2019). 
    Pour l'améliorer, ajoutez des références vérifiables [comment faire ?] ou le modèle {{Référence nécessaire}} sur les passages nécessitant une source.

    Il existait à Chavignon une forteresse au IVe siècle, maintes fois anéantie et reconstruite. Charles le Chauve en fit don à l'abbaye Notre-Dame de Soissons.

    Au XIIe siècle, les riches propriétaires de Laon y possédaient des vignobles qui jouirent d'une forte réputation jusqu'au XIXe siècle, période à laquelle le gel, la pluie et le phylloxera eurent raison de la culture vinicole.

    XIXe siècle

    Le hameau des Bruyères, bordant Chavignon, possédait au XIXe siècle quatre ou cinq cabanes modestes. La population s'est peu à peu accrue pour atteindre 116 habitants en 1881. Le lavoir, très endommagé en 1914-1918, fut entièrement reconstruit. Le lieu-dit est aujourd’hui constitué d'une seule et unique rue.

    Les travaux de la RN2 (2002-2005) entre Laon et Soissons ont mis au jour deux carrières, dont une allemande, ainsi que plusieurs blockhaus. Mais rapidement remblayés par les services de la DDE, les sites n'ont pu être étudiés.

    L'habitat ancien, constitué de 225 maisons au milieu du XIXe siècle, était compact, formant ainsi un tissu urbain continu. Les rues étaient entièrement pavées. Situé dans l'actuelle rue Saint-Pierre, le château était en partie détruit à la période révolutionnaire.

    Durant la Guerre franco-allemande de 1870, le village, comme toutes les communes du Chemin des Dames, connut l'occupation prussienne.

    Première Guerre mondiale

    Envahi par les Allemands dès le 6 septembre 1914, le secteur connut le calme pendant deux ans et demi, excepté lors de la prise de la creute d'Hurtebise le 25 janvier 1915. Convoitée pour le canal reliant Paris à Bruxelles qui la longe, Chavignon fut soumise à la rigueur de l'occupation : les maisons, transformées en véritables quartiers généraux, étaient numérotées, les rues portant alors des noms germaniques.

    C'est au cours de l'offensive d'avril 1917 que les obus français détruisirent en grande partie le village[21],[22],[23],[24],[25], totalement rasé le 17 octobre 1917,[26],[27],[28],[29]. Le 25 octobre, les Français enlevèrent le site, faisant 12 000 prisonniers. Les Allemands en reprirent possession le 27 mai 1918 et les alliés le libérèrent en octobre 1918, achevant de détruire les dernières maisons[30].

    Le village été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [31].

    La Reconstruction

    En mars 1919, les habitants revenus au village découvrirent un site lunaire. L'emplacement des rues était invisible, mise à part la Rue nationale. La surface détruite fut estimée à 1155 hectares (pour 300 immeubles).

    Le maire d'après-guerre, M. Bouteille, se battit pour faire supprimer la zone rouge du territoire de sa commune. La réhabilitation du village s'effectua dès le début des années 1920. Rattachée à la Société Coopérative de Reconstruction de l'Extension laonnoise, Chavignon possédait sa propre coopérative de reconstruction pour les immeubles bâtis appartenant à la commune. Avec la plus grande partie des dons de Haïphong (Viet-Nam) (524 000 francs entre le printemps 1920 et juillet 1927), qui devint sa marraine en octobre 1919, Chavignon racheta les dommages de guerre destinés à la reconstruction de ses bâtiments communaux. La place du Marché fut ainsi baptisée place de Haïphong. La municipalité fit l'acquisition de tout une partie de terrain afin d'y regrouper les bâtiments communaux : auparavant située rue Saint-Pierre, la place bénéficia alors d'un agrandissement. La commune adopta alors un nouveau plan d´alignement et d'aménagement. En 1927, les bâtiments communaux suivants étaient reconstruits : la mairie, l'école, le bureau de poste, la perception, les lavoirs ainsi que 202 bâtiments particuliers et 27 étaient en cours de restauration.

    Avant la guerre, les maisons du village étaient toutes accolées, pourvues d'un étage et longues de trois travées. La pierre de taille employée pour le gros-œuvre était de dimension moyenne. Le hameau des Bruyères possédait un tissu urbain plus épars. Lors de la reconstruction, les premières maisons semblent avoir été édifiées route de Soissons dès 1920. L'ensemble des constructions du village ont utilisé les anciennes fondations. Le village de Chavignon semble avoir accueilli les modèles proposés par les divers entrepreneurs : ce fait tend à expliquer la diversité architecturale dont ont fait l'objet les constructions de Chavignon. En effet, deux types d'édifice sont observables : ceux dont l'architecture s'inspire des éléments classiques d'avant-guerre (grâce à l'utilisation de moulures, de baies rectangulaires...) et les autres dont le parti architectural est plus ambitieux (nouveaux matériaux, formes allongées, disposition originale...).

    Mises à part au cœur du village, les maisons sont toutes indépendantes, bénéficiant d'un retrait par rapport à la voie de circulation. Les habitations les plus imposantes, formant parfois de grands complexes, sont regroupées dans la rue de Soissons. Certaines caractéristiques sont prépondérantes : l'élévation des murs est constituée d'un blocage de moellons avec pierre de taille aux chaînages harpés et joints apparents, assortis au calcaire de couleur naturel. Sur l'ensemble des villages du Chemin des Dames, la brique n'est jamais autant employée qu'à Chavignon ; elle possède d'ailleurs une couleur spécifique, tirant sur un orangé vif dû à une faible cuisson. Lorsqu'elle ne constitue pas un élément architectonique, son rôle est réduit à la décoration, souvent associée au béton. Des éléments classiques en pierre de taille (porte à entablement mouluré et volutes, lucarnes à fronton triangulaire, corniche moulurée) sont introduits dans les constructions de structures relativement simple dont la façade est le plus souvent en brique. Les façades à pans coupés, mettant en valeur l'élévation principale de l'habitation, constituent un élément architectural souvent observable à Chavignon. Il s'agit d'une caractéristique intéressante, liée au nouveau plan d'alignement mis en place lors de la reconstruction du village.

    Seconde Guerre mondiale

    Le village eut à souffrir une fois de plus lors de la Seconde Guerre mondiale.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Soissons du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la cinquième circonscription de l'Aisne.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Vailly-sur-Aisne[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle a intégré le canton de Fère-en-Tardenois

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Val de l'Aisne, créée fin 1994.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1989 mai 2018[33] Daniel Gard LR Retraité Fonction publique
    Député de l'Aisne (5e circ) (2002 → 2007)
    Démissionnaire
    juillet 2018[34] En cours
    (au 5 juillet 2020)
    Catherine Bournonville   Réélue pour le mandat 2020-2026[35]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 824 habitants[Note 7], en augmentation de 3,39 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    6987818288369661 0251 0451 1681 160
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0771 1391 0861 0671 0891 1311 1531 0641 014
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    902876825460593665642540647
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    621584572629769793752762815
    2018 - - - - - - - -
    824--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Fort de la Malmaison, construit entre 1878 et 1882 dans le cadre du système Séré de Rivières pour protéger la place de Laon.
    • Calvaire de l'Ange gardien, érigé en 1924, grâce à une souscription publique, conçu par Jean Topin, originaire de Vorges et ancien élève de la Villa Medicis à Rome, et réalisé par l'entrepreneur Bardin. Cette croix monumentale est dédiée aux 35 000 morts dans le camp ennemi et aux 15 000 prisonniers qu'engendra l'attaque du fort de la Malmaison sous le commandement de Pétain le 16 avril 1917. Il marque l'entrée occidentale du Chemin des Dames.

    Personnalités liées à la commune

    Yves Daudigny, homme politique français, membre du Parti socialiste, y est né en 1947.

    Héraldique

    Blason
    D'or à la tour d'argent posée sur une nuée de sinople en arc de cercle, accompagnée en chef de deux grenades du même, enflammées d'argent, et en pointe d'une crosse contournée d'argent mouvant de la pointe[39].
    Ornements extérieurs
    Croix de guerre 1914-1918
    Détails
    Adopté par la municipalité.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Faucoucourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Chavignon et Folembray », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Faucoucourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Chavignon et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Section photographique de l'armée, « Photo : Panorama du village - Au 1er plan, pont sur l'Aisne détruit », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    22. Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    23. Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines et auto-mitrailleuse de D.C.A. », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    24. Section photographique de l'armée, « Photo : Lisières du village, cimetière militaire français (tombes des soldats du 355e RI tués à l'attaque du village », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    25. Section photographique de l'armée, « Photo : Panorama du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    26. Section photographique de l'armée, « Photo : L'entrée du village, maisons détruites », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    27. Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    28. Section photographique de l'armée, « Photo : Un coin du village en ruines - La Grand'rue », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    29. Section photographique de l'armée, « Photo : Le terrain conquis ; lieu-dit « Le Bournier » », Fonds des Albums Valois - Département de l'Aisne - Volume 9, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    30. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    31. Journal officiel du 3 décembre 1920, p. 19715.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. « À Chavignon et dans l’Aisne, les trois temps de Daniel Gard : Daniel Gard a éteint tous ses engagements, professionnels et politique. Il n'est pas mécontent de s'éloigner progressivement de la lumière publique pour retrouver la chaleur familiale », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    34. « Catherine Bournonville élue maire de Chavignon : Chavignon Catherine Bournonville succède à Daniel Gard comme maire de la commune. Première adjointe, c’est elle qui assurait l'intérim à la tête du conseil municipal », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    35. « Municipales. A Chavignon, Catherine Bournonville se succède à elle-même », L'Union, (lire en ligne, consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « 02174 Chavignon (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
    • Portail de l’Aisne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.