Chaabat El Leham
Chaabat El Leham, anciennement Chabat El Leham (entre 1874 et 1901) et Laferrière (entre 1901 et 1964), est une commune algérienne de la wilaya d'Aïn Témouchent, située à 5 km au nord-est d'Aïn Témouchent.
Chaabat El Leham (ar) شعبة اللحم | |
Hôtel de ville | |
Noms | |
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Nom arabe | شعبة اللحم |
Nom berbère | ⵛⴰⵄⴱⴰⵜ ⵍⵃⴻⵎ |
Administration | |
Pays | Algérie |
Wilaya | Aïn Témouchent |
Daïra | Daïra d'El Malah |
Président de l'APC | Mohamed zouaoui (2018 - 2023) |
Démographie | |
Population | 18 000 hab. (2018) |
Densité | 27 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 35° 20′ 10″ nord, 1° 06′ 04″ ouest |
Altitude | 157 m |
Superficie | 666,2 km2 |
Localisation | |
Localisation de la commune dans la wilaya d'Aïn Témouchent. | |
Liens | |
Site de la commune | http://chabat-el-leham-ex-laferriere.e-monsite.com/pages/histoire-de-mon-beau-village.html |
Géographie
Situation
Toponymie
Le nom de la commune est constitué de la base d'une chaâba dans un oued (petit fleuve) sortie du village vers hamam bou hadjar à 500 m, issu de l'arabe signifiant « ravin ou ravine », et du composant el-leham, signifiant « la chair ( viande) », issu également de l'arabe. Le nom complet de la localité signifie donc : Chaabat El Leham « ravin de la chair »[1].
Histoire
La municipalité de Chaabat el leham a été créée par un décret gouvernemental le 29 septembre 1874, d'une superficie de 2 600 hectares.
Au début du XVIe siècle, l’aîné des Barberousse, le guerrier Arroudj est exécuté près de Chaabat el Leham.
Après l'attaque, sans succès, d'Oran, tenue par les Français, du 3 au 8 mai 1831 par l'Émir Abd El Kader, il s'ensuit une période de 17 ans de luttes.
Le 6 juillet 1836, l'Émir Abd El Kader lance ses troupes basées à Aïn Témouchent sur les soldats français. Le 10 juillet, le Général Bugeaud contre-attaque. En arrivant au lieu de Chaabat el leham aux portes d'Aïn Témouchent, les troupes françaises découvrent un sol parsemé d'ossements humains blanchis par le temps. Les habitants expliquent aux soldats Français que trois siècles auparavant les Espagnols de la Reconquista et les Ottomans (Turcs) de Tlemcen s'étaient livrés à une terrible bataille faisant des milliers de morts, au quinzième siècle.
Le village-centre est fondé par un décret du 29 septembre 1874 sous le nom de Chaabat el Leham[2], sur le territoire de la commune mixte d'Aïn Témouchent, et « sur un plateau... un banc épais de calcaire entremêlé de tuf poreux et de roches basaltiques désagrégées. »[3], sur un territoire de 2 600 hectares. Il est érigé en commune de plein exercice en 1885, et son territoire, agrandi d'une partie des douars de Souf el Tell et de Geddara, passe à 7 775 hectares[4]. En 1903, Chaabat El Leham prend le nom de Laferrière, d'après Edouard Laferrière (1841-1901, jurisconsulte français et gouverneur général de l'Algérie de juillet 1890 à 1900) jusqu'à 1964, après l’indépendance de 1962.
Chaabat El Leham faisait partie de l'arrondissement de Sidi Bel Abbés et puis, depuis 1984, elle fait partie de la wilaya d'Aïn Témouchent.
Sa valeur historique, son prestige et son emplacement stratégique font que le village a été appelé Braj el Nahraine par rapport à la Mésopotamie et sa situation entre le grand lac Eddajla et l'Euphrate et c'est un grand honneur pour cette municipalité historique profonde.
Histoire de Ben Bahi, bandit d’honneur d’Aïn Temouchent[5]
Après l’exécution en juillet 1876 du bandit d’honneur Bouziane El Kalaï dont le souvenir demeure à nos jours dans la mémoire collective des Algériens qui le considèrent comme un résistant opposé à la colonisation française, un autre bandit d’honneur non moins célèbre apparaît, en 1881, dans la région d’Aïn Temouchent : Mustapha ben Bahi, né aux environs de 1855. L’une de ses premières actions fut la liquidation de son ex-patron, le colon Frédéric Daire qui l’avait employé comme berger.
Mustapha Ben Bahi allait sur ses 25 ans lorsqu’il avait décidé de passer à l’action. On s’en servait jusqu’à une époque récente de son nom pour faire peur aux enfants turbulents. Dès la nuit tombante, aucun habitant d’Aïn Temouchent ou des villages environnants n’osait sortir de chez lui. On se barricadait le soir chez soi, redoutant les attaques de Ben Bahi et sa redoutable bande. Son champ d’action s’étendait sur une longueur de plus de 80 km, allant des environs d’Oran à Aïn Temouchent et au-delà. Il s’est spécialisé dans la liquidation des colons et des suppôts de la colonisation française ou tout autre individu au service de la France.
Tous les moyens avaient été mis en œuvre pour s’emparer de Ben Bahi qui demeurait toujours insaisissable. Des brigades de gendarmerie spéciales avaient été envoyées à ses trousses pour fouiller et surveiller le pays, des troupes entières de soldats avaient été réquisitionnées pour organiser des battues. Mais toutes les recherches sont demeurées vaines et sans aucun résultat.
Quelques habitants de la ville d’Aïn Temouchent avaient eu l’idée de s’adresser à des chasseurs d’Oran et les faire inviter à se mettre à la recherche de Ben Bahi. Un assez grand nombre de ces chasseurs répondirent à l’appel et battirent sans succès pendant plusieurs jours tous les environs d’Aïn Témouchent sans rien découvrir.
Le gouverneur général de l’époque, Louis Tirman, surnommé «le criquet d’or», pour couper tout contact entre Ben Bahi et les membres de sa tribu décida d’employer les grands moyens : la responsabilité collective qui consista en leur déplacement en masse vers d’autres régions d’Algérie. Plus de 400 hommes membres de la tribu furent expulsés dans la province de Constantine, près de Guelma, à plus de 800 kilomètres de leur pays habituel.
On lui tendit des pièges. On lui fit donner des rendez-vous par une femme qui avait été sa maîtresse. Mustapha Ben-Bahi n’y vint pas chez-elle. Il déjoua tous les traquenards. On avait même offert la prime faramineuse à cette époque de 4 000 francs à qui pourrait aider à le faire prendre vif ou mort. Mais toutes ces tentatives ont échoué. Les histoires les plus invraisemblables furent racontées à son sujet. On disait même qu’il avait dupé plusieurs fois les gendarmes qui le recherchaient. Il se promenait avec eux, leur fournissait des renseignements erronés. Et pendant ce temps, les exploits les plus audacieux de Ben Bahi continuaient au grand dam d’une administration française incapable.
Ben Bahi avait une manière à lui de liquider son monde presque toutes ses victimes ont eu la tête traversée par une balle. Voici, dans l’ordre chronologique, les dates les principaux exploits que Ben Bahi avait enregistrés pendant sa cavale de 1881 à 1883 :
Le 13 avril 1881, dans la soirée, le cadavre du nommé Frédéric Daire, colon à Chabet El Leham, est retrouvé dans un terrain qu’il était occupé à défricher. La tête était traversée par une balle.
Dans la nuit du 30 au 31 janvier 1883, 1e nommé Larbi ben Dasna, qui avait succédé à Ben Bahi dans la garde du troupeau de Chabet El Leham, recevait un coup de feu dans sa tente et en mourait quelques jours après. Avant d’expier, il avait pu déposer et faire connaître que l’auteur de son assassinat était Mustapha Ben Bahi.
Le 17 mars de cette même année, le cadavre du nommé Abdelkader ben Attou était trouvé sans vie dans un sentier, dans la commune de Berkech. La tête de ce traitre était traversée par une balle.
Le 21 mars 1883, les nommés Liminana et Erdinger, d’Aïn Temouchent, partaient du village de Rio Salado (aujourd’hui El Malah) à pied, vers huit heures du soir, se rendant à Aïn Temouchent. Vers dix heures, leurs cadavres inertes étaient trouvés sur la route, à environ 3 km d’Aïn Temouchent. Liminana avait la tête traversée par une balle ; Erdinger avait le bras droit fracassé et le corps traversé par une balle ; une troisième balle était dans sa tête.
Le 1er mai 1883, Ben Bahi arrêtait en plein jour trois commerçants Marocains qu’il força à lui remettre et leur argent et les marchandises qu’ils transportaient.
Le 16 mai 1883, le cadavre du nommé Cheikh Ould Mohamed, du douar Abd El Hadi, était trouvé dans un petit chemin qui mène de ce douar à Aïn Temouchent.
Le 31 mai 1883, Ben Bahi se présentait à la ferme du colon Moutonnet, près de Hammam Bou Hadjar. Il demandait à parler à ce colon pour le prévenir qu’un troupeau faisait des dégâts importants dans ses champs. Moutonnet, sans précaution aucune, partit avec Ben Bahi. Son cadavre fut retrouvé le lendemain à un kilomètre de là, la tête traversée par une balle. Après le meurtre, Mustapha Ben Bahi retourna à la ferme et, menaçant de mort tous les serviteurs, emporta tout ce qu’il trouva dans la maison du colon.
Le 27 juin 1883, Ben Bahi fit la rencontre, sur la route du douar Abdel-Hadi à Aïn Temouchent, des nommés Mohammed Abdel Hadi et son frère, Abdelkader Ould-Mohammed benHadi. D’un premier coup de feu, il jeta par terre, une balle dans la tête, Mohamed Abdel Hadi ; d’un second, il atteignit également à la tête Abdelkader, qui survécut à sa blessure.
Enfin, le 23 août 1883, il quitta le pays après avoir été blessé par hasard par un de ses coreligionnaires qui tira sur lui sans savoir à qui il avait eu affaire, et qui en reçut en échange une balle dans l’épaule.
Les Curés
La paroisse Saint Pierre de Chabat el Leham fut créée par un décret du 03/06/1878.
Le dernier curé (1962) était le chanoine Lagiere nommé en 1951.
Quelques renseignements avant et après 1962
La cité du graba qui a été construite après XIXe siècle, la première maison construite à la cité graba (ancienne) est de M. Abdesselem.
Ensuite les premiers arrivés vers les années 1950 par la famille Sellaf (habitant le côté gauche en allant vers H B H) prés de M Abdesselem ensuite l'arrivée de la famille Zouaoui, Adda, ainsi que sur la cite Souf-Tell par la famille Abda (Larbi Ould Ben Bellel) et après 1958 l'arrivée des familles comme Khattou, Sellaf, Chaibi, Zerikat, etc. chassés par l'armée française en détruisant le douar de Geddara.
Entre 1963 et 1975, il y avait une mosquée avec l'imam Monsieur Si Mohamed (R.A) et un cheikh qui donnait des cours coraniques Monsieur Si Bouazza (R.A) (aujourd'hui est une école coranique).
Sur le boulevard de la Graba, on trouvait Monsieur Mbarek (R.A), vendeur de carantita, près du « café maure » de Monsieur Mamoun ben Driss (R.A) (aujourd'hui, c’est un salon de café) et peu plus loin Monsieur Ami Ahmed (R.A) avec son kiosque en bois.
A la montée du boulevard, on trouve le café maure de ben ouïs (aujourd’hui villa), enfin le grand jardin et ensuite des villas jusqu’au branchement qui mène direct vers la route nationale (Oran et Tlemcen), à gauche vers Ain Témouchent et Hammam Bouhadjar à droite.
Si on prend la route à côté du jardin vers la mairie qui est en face de celui-ci, on trouvait l’église (aujourd'hui annexe mairie) collée avec, si on continue tout droit on trouve un peu plus loin à 150 m le stade municipal, mur à mur avec la décharge municipale (aujourd'hui parking) et si on continue à 200 m, la caserne militaire française (ancienne école de travaux publics et aujourd'hui centre de formation professionnelle).
Politique et administration
Des figures révolutionnaires qui ont visité la municipalité de la Division de Chaabat el leham.
Il a été le premier martyr qui joue le héros de la peine de mort Ahmed zahana, connu par son surnom zabana, ce martyr qui a visité Chaabat el leham avec larbi Benmehidi qui a installé la cellule d'approvisionnement pour les rebelles et la cellule Mujahidine, et aussi l'un de l'ancien copain du président Ben Bella en 1963 et 1964.
En 1963, quand il allait à la ville d'Oran venant de maghnia où il a débarqué dans une ferme appelée sekrane el houari, où manger le petit déjeuner avec un groupe de paysans, et en 1964, il a visité la division de Chaabat el leham et a dîné avec son ami Habib Ben Zerfa au district des chouhadas (graba).
Le défunt Mujahid Muhammad Boukharoba, connu sous le nom de Houari Boumediene, était aussi un ami du défunt Moujahed Oujdi Meziane (ALN-1957/62) dcd en 1969 à 36 ans.
Le maquisard bahi boucif mort le 26 avril 2013 à Oran un qui a été parmi les 78 maquisards envoyés à Cuba chez Fidel Castro.
Mohamed Ben Abdellah -de son vrai nom- CHAHIH Mohamed- a été FidaÏ dans le groupe "Si Abdelbaki" à Oran (1959/62), dcd à Or an.
Liste des maires
Avant l’indépendance
- BERNARD Émile de 1886 à 1895 (8 ans)
- COMBES Pierre de 1895 à 1900 (4 ans) (après des recherches généalogiques, nous avons des documents de 1888 où Mr COMBES Pierre était maire de la commune)
- JOUCLAS Pierre de 1900 à 1908 (8 ans).
- BONS Julien-Gabriel de 1908 à 1927 (18 ans) (élu le 12/05/1908 au 08/08/1927).
- LUY BROUSSET Léopold de 1927 à 1929 (2 ans)
- LAUQUE Alexandre de 1929 à mai 1935 (6 ans)
- CARME Frédéric de 1935 à mai 1944 (10 ans)
- GROS Jean-Émile de 1944 à 1945 août (1 an)
- LUY Félix de 1945 à 1958 mars (12 ans)
- CARME Marcel de 1958 à 1959 avril (1 an)
- ROL Marcel de 1959 à 1962 (3 ans)
Après l’indépendance
- BENHAMIDA
- AIT ZAOUCHE
- ZIADI
- MOUEDEN SAID
- BENYETTO
- MELIANI
- ABID mohamed (agent)
- AMRANE (DEC)
- Said BAHI (DEC)
- Moulay MELIANNI
- AOUGAD Bouhadjar 2008 / 2013
- ABID Mmohamed (agent d’académie) 2013 / 2018
- Zouaoui Mohamed (agent d'académie) 2018 / 2023
Économie et emploi
économie ancienne avant 1962
Chaabat El Leham puis Laferriere et puis Chaabat El Leham était un village agricole et petit vignoble, mais une grande diversité de cépages et de vins avec ses 45 caves.
C'est aussi une ville industrielle, avec une société d'installation d'eau (Pont et chaussée), une usine se nommant SOCOMAN Société de tuyaux et poteau en béton et une carrière géante du minerai pour l'Afrique de Nord) qui a pour activité la fabrication de tuyaux et des poteaux en béton précontraint.
On y trouve aussi une gare de chemin de fer, une banque pour les agriculteurs qui n'a pas duré, un grand salon de café (alcool, café et les jeux), un cinéma hors norme avec 3 étages en sous-sol, une église près de la mairie, un jardin avec deux monuments : (la sainte Marie et le laboureur), la statue du soldat tue (en face au deuxième jardin) une petite mosquée avec si-Mohamed (prêtre) et si bouazza (enseignant du coran), une caserne militaire à 200 m du cimetière français.
économie nouvelles après 1964
Chaabat el Leham est une commune du canton d’ORAN puis vers les années 1970 , elle est intégrée à Sidi Bel Abbes.
En 1984, elle s'est intégrée à AIN TEMOUCHENT (qui est devenu wilaya en 1984) avec une population d'environ 14 000 personnes.
Elle se situe à 5 km de sa wilaya Ain – Temouchent entre Tlemcen à 80 km, Sidi Bel Abbes à 65 km et Oran à 75 km.
Chaabat El Leham est reste toujours terre agricole et quelques terres vignobles et 3 caves.
Avec des domaines agricoles avec des terres vignoble spécialement pour le vin, comme groupe 06, groupe 05, groupe 04, groupe 03, groupe 02, groupe 01 jusqu'au 1980.
Mais après les années 2000 des terres vignobles reconverties en raisin de table et de la moisson.
C'est aussi une ville industrielle, avec une société d'installation d'eau (ex Ponts et chaussées puis Sonade) et une usine se nommant ENATUB (ex SOCOMAN) (ex Société commerciale de poteaux et tuyaux en béton) et une carrière géante minière de gravier et de sable pour l'Afrique de Nord), une usine de produits chimiques (Omo) SNIC puis Henkel et entreprise de carrelages, une agence de voyages (E T O) et une polyclinique.
Le cinéma, la statue du laboureur, l’église (mais restaurée en annexe de mairie), la petite mosquée (enseignement du coran aux enfants), la caserne qui est devenue un C F P A y sont toujours.
Chaabat El Leham est une ville agropastoraliste, on y trouve le marché du vendredi soir et samedi matin, cinq pharmacies privées, huit salons de café, deux postes de gendarmerie, un hôtel avec salon de thé et quatre hammams.
En construction depuis le début janvier 2018 : la grande poste, terrain tartan et quelques modification du stade municipal, des blocs sociaux sortie vers Oran près de l'EPEOR
Catastrophes naturelles
En 1962 : inondation vers le graba avec un dégât animale mais sans aucune victime
En 1984 : les 03 oueds qui l’entourent ont mis le village à la catastrophe, une inondation meurtrière avec trois morts (la femme de sgheiri et sa belle mère) (r a) ainsi que monsieur mamoun taxieur (r.a) et dégâts matériels et animales énormes
En 1995 : tremblement de terre qui n’a causé aucune victime mais avec un dégât matériel (ancien habitat)
Culture
Il y a neuf écoles primaires, deux C.M, un lycée ainsi qu’un centre de formation professionnelle CFPA ; (ancienne caserne puis école des travaux publics en bâtiment) situé dans la caserne qu'occupait l’Armée française avant l’indépendance, une annexe de sports de proximité, une bibliothèque, un stade municipal, deux stades de proximité, deux grands jardins publics et un cinéma hors norme qui n'existe pas en Algérie.
Musique
Les premiers chanteurs du ray entre 1967 et 1987 :
- HFIF (BOUTAIBA SGHIR) et ses deux frères, le premier qui a démarré le chant du ray par ce petit village après 1964
- BOUCHKARA boualem au violon (r.a), le groupe famille bouchkara du ray
- GROUPE DE MYSTER 'myster le premier à avoir fait venir une guitare électrique de France dans ce village
- les issaouas
- les hamdaouas
Religion
Il y a deux mosquées de Anas-ibn-malik, et Ibn el arabi et deux autres et une école coranique (ancienne petite mosquée) et un mossalah.
L’ancienne église, à côté de la mairie, est devenue annexe de mairie de la commune.
Un cimetière français près de bibliothèque et un cimetière de musulmans à la sortie de Chaabat el leham vers Chentouf.
Notes et références
- en référence aux cadavres des soldats qui sont morts lors de la bataille entre les turcs et les espagnols (voir rubrique ci-dessous) Foudil Cheriguen, Toponymie algérienne des lieux habités (les noms composés), Alger, Épigraphe, , p. 92-93
- Louis Abadie, Aïn Témouchent de ma jeunesse, , p. 130
- Rapport au préfet d'Oran du 20 mars 1874, cité par Louis Abadie, op. cit., p. 129
- « Tableau général... des communes de plein exercice, mixtes et indigènes des trois provinces (territoire civil et territoire militaire) », sur gallica.bnf.fr (consulté le )
- http://www.lechelif-dz.com/2017/11/27/ben-bahi-bandit-dhonneur-dain-temouchent/
Liens externes
- « -Chabat-El-Ham (Laferrière) », sur wikimapia.org, (consulté le )
- http://chabat-el-leham-ex-laferriere.e-monsite.com/pages/histoire-de-mon-beau-village.html par boudia khattou
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