Châteaudouble (Drôme)

Châteaudouble est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Châteaudouble.

Châteaudouble

La mairie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
François Bellier
2020-2026
Code postal 26120
Code commune 26081
Démographie
Gentilé Bicastelois, Bicasteloises
Population
municipale
577 hab. (2018 )
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 54′ 01″ nord, 5° 05′ 46″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 1 102 m
Superficie 17,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Châteaudouble
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Châteaudouble
Géolocalisation sur la carte : France
Châteaudouble
Géolocalisation sur la carte : France
Châteaudouble

    Géographie

    Localisation

    La commune de Châteaudouble est située à 20 km à l'est de Valence.

    Relief et géologie

    La commune est située au pied du flanc ouest du Vercors.

    Sites particuliers :

    • Col des Limouches (belvédère sur la vallée du Rhône)[1].

    Urbanisme

    Typologie

    Châteaudouble est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47 %), forêts (34,3 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), prairies (1,2 %), zones urbanisées (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[9] :

    • Bellon
    • Beylon
    • Bougat
    • Bramafan
    • Charboton
    • Château Rompu
    • Clarette
    • Col des Limouches
    • Côtes Bénèches
    • Coton
    • Croix de Chabreille
    • Curtil
    • Garaland
    • Gaudemart
    • Gendarme
    • Grand Lierne
    • Grange Neuve
    • la Richardière
    • la Tube
    • le Bayle
    • le Charpeney
    • le Choméras
    • le Got
    • le Grand Fay
    • le Grenouillet
    • le Martinet
    • l'Empereur
    • le Pereyrot
    • le Petit Fay
    • le Pont des Sarrasins
    • les Allemands
    • le Sarmeyas
    • les Bauges
    • les Bérards
    • les Bois
    • les Cavardes
    • les Chabottes
    • les Champeys
    • les Chevalons
    • les Combes
    • les Jayettes
    • les Péris
    • les Perpoints
    • les Pierres Grosses
    • les Quarante
    • les Sabatards
    • les Saléonnes
    • les Teyssonnières
    • les Touches
    • Lussaye
    • Maret
    • Menerault
    • Panaret
    • Petit Lierne
    • Pichetete
    • Porteléore
    • Pré Faucon
    • Revire Manteau
    • Roussillon
    • Saint-Apollinaire
    • Tevon
    • Tourrier
    • Trompette

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

    • les Amenlerias est un quartier attesté en 1891. Il était dénommé las plantas des Amenliers en 1575 (terrier de Saint-Just)[10].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

    • 1120 : Castrum Duplum (cartulaire de Romans, 310).
    • 1157 : Castellum Duplum (Gall. christ., XVI, 104).
    • 1178 : mention du mandement : mandamentum Castri Duplicis (cartulaire de Léoncel, 27).
    • 1223 : mention du prieuré : prior de Castro Dupplo (cartulaire du Bourg-lès-Valence, 32).
    • 1257 : Castrum Duplex (Duchesne, Comtes de Valentinois, 9).
    • 1284 : mention de l'église Saint-Michel : prior Sancti Micaelis de Castro Duplici (cartulaire de Léoncel, 254).
    • 1223 : mention du prieuré : prior Castri Duplicis (pouillé de Valence).
    • 1396 : Chasteldouble (choix de documents, 213).
    • 1793 : Pont Marette [appellation révolutionnaire].
    • 1891 : Châteaudouble, commune du canton de Chabeuil.

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Présence d'un oppidum[1].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    L'existence de la place forte de Châteaudouble remonte au XIe siècle. Son château fort était considéré comme un des plus puissants du Dauphiné[réf. nécessaire].

    La seigneurie[11] :

    • Au point de vue féodal, Châteaudouble est une terre (ou seigneurie) du fief des évêques de Valence. Leurs droits sont confirmés en 1159 par les empereurs germaniques.
    • Vraisemblablement possession des Royans.
    • La terre passe aux comtes de Valentinois.
    (autre source) : su XIIe siècle au XVe siècle, la seigneurie est sous l'autorité des Arbalestier. À leur apogée, leur territoire seigneurial comprend les communes de Combovin, Peyrus, Le Chaffal, Gigors, Plan-de-Baix, Beaufort-sur-Gervanne et Montclar-sur-Gervanne[réf. nécessaire].
    • 1390 : elle est aliénée au profit des Grolée.
    • 1419 : réunie à la couronne de France avec les autres biens des comtes de Valentinois.
    • 1447 : vendue (sous faculté de rachat) ou donnée en viager à Gaubert des Massues.
    • 1523 : passe aux Galéas de Saint-Séverin.
    • 1537 : passe aux Plovier.
    • 1545 : passe à Benoît Théocrène, précepteur des enfants du roi.
    • 1550 : passe à Diane de Poitiers.
    • 1576 : passe au colonel italien Jules Centurion.
    • 1578 : passe aux Chastellier.
    • 1594 : passe aux Dupuy-Montbrun.
    • 1638 : passe aux La Baume.
    • Milieu XVIIIe siècle : vendue aux Pasquet de Valbonne.
    • 1788 : passe aux Gilbert de Jansac, derniers seigneurs de Châteaudouble.

    XIIIe et XIVe siècles : le territoire est au cœur des guerres épiscopales entre les comtes de Valentinois et les évêques de Valence[réf. nécessaire].

    XIVe siècle : passage des Grandes compagnies[réf. nécessaire].

    XVIe siècle : la région est gagnée par la Réforme protestante. Les familles protestantes de la région, les Arbalestier (de Châteaudouble), les Cornillan (de la Baume-Cornillane) et les Urre (d'Eurre) s'allient pour se défendre face aux catholiques.
    Les guerres de Religion vont fortement éprouver le territoire. Le château fort est pris et repris à six reprises entre 1562 et 1581, notamment par les huguenots à la fin des années 1570.
    Dans tout le Valentinois, les paysans s'arment. En 1579, ils expulsent les troupes de soudards qui occupent le château.
    La même année, Catherine de Cornillan impose comme condition testamentaire que ses héritiers maintiennent le territoire dans le protestantisme et portent son nom. Ainsi va naître la branche des Urre-Cornillan.
    En 1580, le mouvement est écrasé dans le sang[12].
    En 1581, le château est détruit par ordre royal. Les familles Arbalestier, Cornillan et Urre se replient sur leurs terres seigneuriales du Vercors, Plan-de-Baix, Gigors, Beaufort, Montclar et Mirabel[réf. nécessaire].

    1591 : le nouveau château commence à être édifié par François des Massues, seigneur de Vercoiran[réf. nécessaire].

    1663 : le temple est démoli sur ordre du parlement de Grenoble. Suite aux vexations imposées par le marquis de Châteaudouble, Joseph de La Baume, le lieu où se dressait le temple détruit va servir de point de rassemblement des protestants locaux.
    En 1683, il est le point de départ de la révolte appelée « affaire du Camp de l’Éternel ». Le chef de cette rébellion est Jacques Odde de Bonniot, sieur du Vernet. Elle est brutalement réprimée par les régiments de cavalerie du maréchal de Saint-Ruth à Saou et Bourdeaux[réf. nécessaire].

    1685 : la révocation de l'édit de Nantes entraîne le départ de nombreux protestants vers l'étranger (Suisse, Allemagne, Angleterre), provoquant la misère des ouvriers drapiers de la région désormais sans travail. Plusieurs opérations de dragonnades ont été menées sur ordre de Louvois à Châteaudouble comme dans toute la région[réf. nécessaire].

    Démographie :

    • 1689 (démographie) : la commune compte 150 chefs de famille[11].
    • 1759 (démographie) : 200 chefs de famille[11].
    • 1789 (démographie) : 267 chefs de famille[11].

    Avant 1790, Châteaudouble était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et de la sénéchaussée de Crest.
    Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église, dédiée à saint Michel, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Augustin (congrégation de Saint-Ruf) connu dès 1196 et uni, en 1775, au séminaire de Valence qui de ce chef était collateur et décimateur à Châteaudouble[11].

    Cette terre comprenait tout le mandement de Châteaudouble, c'est-à-dire : les quatre paroisses de Châteaudouble, du Chaffal, de Combovin et de Peyrus; mais, au XVIIe siècle, Peyrus et le Chaffal en furent démembrés et, vers la fin du siècle suivant, il en fut distrait encore une partie pour former la communauté de la Baume-sur-Véore qui a été supprimée en 1848[11].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, la commune de Châteaudouble fait partie du canton de Chabeuil[11].

    En 1791, la commune est démembré : Peyrus, Le Chaffal et La Baume-sur-Véore obtiennent le statut de commune[13].

    En 1846, La petite communauté de La Baume-sur-Véore, autour du hameau des Péris, est rattachée à la commune de Châteaudouble[réf. nécessaire].

    En 1854, les territoires de la montagne (Combe Chaude) sont rattachés à la commune de Léoncel en 1854[réf. nécessaire].

    En 1855, la route du Vercors par le col des Limouches est achevée[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Liste des maires

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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1847  ?    
    1847 1863 Félix Antoine Baude    
    1863 1871 Émilien Pierre François Baude    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1874 Émilien Pierre François Baude   maire sortant
    1874 1878 Émilien Pierre François Baude   maire sortant
    1878 1879 Émilien Pierre François Baude   maire sortant
    1879
    (élection ?)
    1884 Marie Joseph Frédéric Charignon    
    1884 1888 Marie Joseph Frédéric Charignon   maire sortant
    1888 1890 Marie Joseph Frédéric Charignon   maire sortant
    1890
    (élection ?)
    1891 Joseph Pierre Breynat    
    1891
    (élection ?)
    1892  ?    
    1892 1896  ?    
    1896 1900  ?    
    1900 1904  ?    
    1904 1908  ?    
    1908 1912 Antoine François-Xavier Baude    
    1912 1919 Gustave Saint-André    
    1919 1925 Gustave Saint-André   maire sortant
    1925 1929 Gustave Saint-André   maire sortant
    1929 1935 Gustave Saint-André   maire sortant
    1935 1945 Gustave Saint-André   maire sortant
    1945 1947  ?    
    1947 1953  ?    
    1953 1959  ?    
    1959 1965  ?    
    1965 1971  ?    
    1971 1977  ?    
    1977 1983  ?    
    1983 1989  ?    
    1989 1995  ?    
    1995 2001  ?    
    2001 2008 François Bellier DVD[14] agriculteur retraité
    2008 2014 François Bellier   maire sortant
    2014 2020 François Bellier   maire sortant
    2020 En cours
    (au 6 mars 2021)
    François Bellier[15][source insuffisante]   maire sortant

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

    En 2018, la commune comptait 577 habitants[Note 3], en diminution de 0,86 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 011859925728732700654668776
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    598570581548557578540523503
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    435423452414402391372363326
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    323281304323414476527534584
    2017 2018 - - - - - - -
    578577-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, porcins, bovins[1].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ruines du château féodal dites du « Château-Rompu », détruit au XVIe siècle[1].
    • Château de Châteaudouble (XVIIe siècle) : facade, toitures et grille d'entrée classées (MH), grand parc, deux tours. Peintures attribuées à Lebrun[1] (Le château est de style « à l'italienne ». La première pierre a été posée par François des Massues, dit de Vercoirans en 1591. C'est aujourd'hui une propriété privée[réf. nécessaire]).
    • Vieille fontaine[1] (face à l'entrée du château).
    • Église (XIXe siècle)[1].

    Personnalités liées à la commune

    • Joseph Charignon (né en 1872 à Châteaudouble, mort en 1930 à Pékin) : ingénieur et sinologue.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : au 1er d'or à la fontaine du lieu d'argent jaillissante d'azur, au 2ème d'azur au paysage de montagne au naturel, au 3ème d'or à l'arbre au naturel mouvant de la pointe, au 4ème d'or à l'église du lieu d'argent ; sur le tout, un écu en losange, la pointe allongée, d'or chargé d'un dauphin d'azur, barbé, crêté, oreillé et peautré de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), p. Châteaudouble.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. https://www.geoportail.gouv.fr/
    10. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Les Amenlerias).
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 75 (Châteaudouble).
    12. Roger Pierre, Un épisode peu connu des guerres de religion : Les défenseurs de la cause commune / La guerre des Paysans, Bulletin de l'association universitaire d'études drômoises, no 15, 1968, page 13
    13. sources : Jean-François Duvic : Gens de la Raye, Valence 2007
    14. https://www.lemonde.fr/auvergne-rhone-alpes/drome,26/chateaudouble,26081/
    15. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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