Cervières (Hautes-Alpes)

Cervières (en provençal alpin Cervèira [saʁˈvɛjro]) est une commune française située dans le département des Hautes-Alpes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Cervières.

Cervières

Vue d'ensemble entre l'église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammès et l'église Saint-Michel.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Hautes-Alpes
Arrondissement Briançon
Intercommunalité Communauté de communes du Briançonnais
Maire
Mandat
Jean-Franck Vioujas
2020-2026
Code postal 05100
Code commune 05027
Démographie
Population
municipale
193 hab. (2018 )
Densité 1,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 14″ nord, 6° 43′ 21″ est
Altitude Min. 1 375 m
Max. 3 321 m
Superficie 109,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Briançon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Briançon-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Cervières
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Alpes
Cervières
Géolocalisation sur la carte : France
Cervières
Géolocalisation sur la carte : France
Cervières
Liens
Site web https://cervieres.fr

    Géographie

    Localisation

    Cervières est située à km de Briançon sur la route des Grandes Alpes au pied du col d'Izoard (2 364 m) et en dessous de la plaine d'altitude du Bourget.

    Géologie et relief

    Le village est situé à 1 620 m d'altitude, au pied de hautes montagnes marquant la limite entre le Briançonnais et le Queyras (pic de Rochebrune, 3 323 m). Plusieurs curiosités sont situées sur le territoire de la commune :

    • la plaine du Bourget, dans la haute vallée de la Cerveyrette, constitue un exemple rare de marécage d'altitude (à environ 1 900 m d'altitude) qui était d'une très grande richesse biologique avant la construction de la route et le recalibrage de certains affluents de la Cerveyrette ;
    • le mont Chenaillet est une curiosité géologique mondialement connue, vestige de l'ancien océan alpin formé il y a environ 155 millions d'années, après la dislocation de la Pangée. Cet océan ouvert entre le jurassique supérieur et le crétacé inférieur a depuis lors disparu victime la convergence entre les plaques lithosphériques européenne et africaine (Italie). L'ophiolite du Chenaillet est un site dont la nature même fait encore débat dans la communauté scientifique. Le mont Chenaillet est à cheval entre les communes de Cervières et de Montgenèvre ;
    • la vallée des Fonts forme sur une dizaine de kilomètres de longueur un paradis du vélo de la randonnée et, bien sûr, du ski de fond. Constituée de schistes lustrés, elle témoigne de la subduction de l'ancien océan alpin (prisme d'accrétion) ;
    • plateau du Lasseron (réserve de chamois) ; dans l'ancienne marge continentale passive piémontaise ;
    • col d'Izoard.

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Cours d'eau sur la commune ou à son aval[1] :

    • Lac des Cordes[2],
    • Lac Gimont dans le massif des Cerces,
    • Lac Noir dans le massif des Cerces,
    • rivière de la Cerveyrette où subsiste une espèce endémique de truite fario.
    • la rivière, qui traverse le village, coule à travers un escalier géant comme le montre une photo aérienne du village et quelques photos d'un site internet
    • torrents de pierre rouge, de la tirière, de saint-claude, du villard, de péas, du col d'izoard,
    • ruisseaux du blétonnet, de la grande combe, de cabot,
    • ravins des chalmettes, des coutiers, du rousset, de la côte belle, d'izoard, du col d'izoard, de l'aigue belle, mioillon, de comaire, des rouilles, de la grande maye, du randon

    Assainissement intercommunal[3] du briançonnais[4].

    Climat

    Climat classé Dfb dans la classification de Köppen et Geiger[5].

    Voies routières

    • Accès : à partir de Briançon, prendre la RD 902 en direction des gorges de la Cerveyrette.

    Transports en commun

    Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur

    • Les transports régionaux du réseau Zou !.
    • Les navettes blanches de l'Aéroport Marseille Provence ou de la Gare TGV d'Aix-en-Provence vers les stations de ski des Alpes du Sud[6].

    Urbanisme

    Typologie

    Cervières est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Briançon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 2,6 % 290
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 0,4 % 40
    Forêts de conifères 20,1 % 2214
    Pelouses et pâturages naturels 24,8 % 2736
    Landes et broussailles 1,2 % 132
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,3 % 30
    Roches nues 26,8 % 2952
    Végétation clairsemée 23,3 % 2566
    Marais intérieurs 0,7 % 73
    Source : Corine Land Cover[12]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cerveria en 1148[13],[14].

    Cervèira en occitan haut-alpin[15].

    Cervières dérive de cervier (adj. : propre au cerf). Ce toponyme pourrait désigner une partie de la forêt fréquentée par les cerfs.

    Histoire

    L'existence du village de Cervières est attestée depuis le Haut Moyen Âge. À l'origine, il était initialement installé sur les hauteurs, peut-être en raison des inondations. Du XIVe siècle au XVe siècle, les habitants se rapprochèrent de la Cerveyrette à cause du manque d'eau[16]. Les plus anciennes maisons que l'on peut encore observer datent du XVIe siècle.

    L'église Saint-Michel.

    Le village appartint, entre le XIVe siècle et la Révolution française (création des départements), au territoire de la République des Escartons (dans le Haut Dauphiné) qui regroupait une douzaine de localités autour de Briançon et d'Oulx (commune située actuellement dans le Piémont italien). Cette République des Escartons bénéficiait de privilèges fiscaux et d'une autonomie administrative vis-à-vis des Royaumes de France et de Piémont.

    Seconde Guerre mondiale

    L'église Saint-Michel, datant du XVe siècle, domine d'environ 50 m les habitations. Son clocher carré en pierre, encadré de quatre clochetons, est représentatif du style lombard, sur le modèle de la cathédrale d'Embrun. Le village, situé avant la Seconde Guerre mondiale sur la rive gauche de la Cerveyrette, fut en grande partie détruit par les bombes incendiaires lancées depuis les crêtes par les Allemands, lors des combats de la Libération du Briançonnais (août - septembre 1944). Les maisons à pan de bois et les stocks de fourrages alimentèrent le feu qui détruisit 90 % des habitations.

    Vue panoramique du village.

    Inondations des années 1950

    Le village actuel a été reconstruit dans les années 1950 sur la rive droite du torrent, dans une disposition le préservant de l'incendie : les maisons sont toutes séparées et bâties sur un plan parallèle aux courbes de niveau. En 1957, une trentaine d'anciennes maisons furent encore anéanties par une inondation. Aujourd'hui subsistent encore le long de la rivière quelques maisons à pans de bois.

    Résistance au projet SuperCervières

    Dès 1961, des projets de station de ski alpin ont été imaginés sur la Haute Vallée de la Cerveyrette[17]. Dans le cadre du Plan neige, de 1967 à 1969, dans cette optique, un groupe financier belge veut déjà acheter les terres de la haute vallée à des prix dérisoires, ce que les Cerveyrins refusent, malgré des pressions politiques[17].

    En décembre 1969, l'Association pour l'étude et la sauvegarde de la vallée de Cervières (A.E.S.C.)[18], toujours active 45 ans plus tard[19], édite un journal, La Paparelle et formule des contre-propositions, dans lesquelles la protection de la nature et sa mise en valeur ne paraissent plus incompatibles. La commune est alors une des premières, avec Orgosolo en Sardaigne, à participer à la la révolte non-violente des agriculteurs pour leurs terres, dans les années 1970, sur le mode de la désobéissance civile.

    Au même moment, un projet de station de sports d'hiver nommée SuperCervières, située au niveau de la plaine du Bourget (1 850 m) et destinée à être reliée au domaine de Montgenèvre, est lancé. Il prévoit l'expropriation de 1 150 hectares de terrains privés et de 5 350 hectares de terrains communaux, c'est-à-dire plus de la moitié de la commune, qui compte 11 000 hectares, avec le départ forcé de 22 agriculteurs, qui élèvent un millier de moutons en plus troupeaux de vaches[20] et s'y opposent[21]. Une pétition nationale réunit 19 000 signatures et 500 lettres recommandées à la préfecture par des personnalités, parmi lesquelles le vulcanologue Haroun Tazieff[17], sur fond de nombreux articles de journaux et de reportage télévisé[20].

    En 1977, le projet avorta sous la pression des élus locaux, parmi lesquels les deux maires successifs, Raymond Faure-Brac[22] et André Gatineau. C'est l'une des rares vallées des Alpes encore préservées des équipements lourds, qui s'est ouverte au tourisme d'hiver via la voie plus légère du ski de fond.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1974 mars 1980 Raymond Faure-Brac    
    mars 1974 mars 1980 André Gatineau    
    mars 1989 mars 1999 Louis Conio DVD  
    mars 2001 mars 2008 Nadine Chastel    
    mars 2008 mars 2014 Thierry Ducurtil[23]    
    avril 2014 En cours Jean-Franck Vioujas[24],[25]   Ancien cadre

    Budget et fiscalité 2017

    En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[26] :

    • total des produits de fonctionnement : 565 000 , soit 2 973  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 519 000 , soit 2 732  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 494 000 , soit 2 601  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 427 000 , soit 2 248  par habitant ;
    • endettement : 127 000 , soit 666  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 2,62 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 7,74 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,88 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 170 [27].

    Population et société

    Évolution démographique

    Les habitants sont les Cerveyrains.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

    En 2018, la commune comptait 193 habitants[Note 3], en augmentation de 7,82 % par rapport à 2013 (Hautes-Alpes : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    817675925876895918825841900
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    903880830752699702711628593
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    527487459425386327324180194
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    15111196105120129128169183
    2018 - - - - - - - -
    193--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[32] :

    • Écoles maternelles et primaires à Montgenèvre, Briançon[33],
    • Collèges à Briançon,
    • Lycées à Briançon.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[34] :

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    • L’agropastoralisme[38].
    • Fermes de la reconstruction[39].

    Tourisme

    • Le village est une station de ski de fond, avec d'une part des pistes au hameau du Laus, avec l'itinéraire de montée au col d'Izoard, et d'autre part dans la plaine des Fonts, reliant les différents hameaux d'alpage. Au total, 42 km de pistes[40].
    • Le refuge Napoléon[41], construit en 1858, un peu avant l'arrivée au col d'Izoard.
    • Maisons d'hôtes, gîtes.

    Commerces

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux :

    • Église Saint-Michel du XVe siècle, construite par l'architecte Rémy Fatin, également auteur de l'église de Névache. Un bas-côté a été ajouté côté nord au XVIIIe siècle[44],[45]. Les cloches sont de 1689[46], 1848[47] et 1903[48].
    • Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammès[49], construite en 1819 près du village.
    • Église Saint-François-d'Assise[50],[51].
    • Chapelles :
      • Chapelles d'alpage : la vallée du Bourget, sur 16 km autour du pic de Rochebrune, conserve la quasi-totalité de ses 9 chapelles d'alpage, dont la restauration est entreprise.
      • Chapelle Saint-Claude[52].
      • chapelle Saint-Jean-Baptiste[53] et la maison ferme[54] au lieu-dit Le Laus.
      • Chapelle Sainte-Elisabeth[55].
      • Chapelle Saint-Roch[56].
      • Chapelle Notre-Dame-des-Neiges[57].
      • Chapelle Saint-Pierre[58] et ses 2 cloches de 1520[59],[60].
      • Chapelle Sainte-Madeleine[61].
      • Chapelle Sainte-Luce[62].
      • Chapelle Saint-Gervais et Saint-Protais[63].
    • Monument aux morts[64] : Conflits commémorés : Guerres 1914-1918 et 1939-1945.

    Autres lieux et patrimoines :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la tête de cerf d’or[73].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Belle et Sébastien

    Cervières fut l'un des lieux du tournage du film Belle et Sébastien 3 : Le Dernier Chapitre, réalisé par Clovis Cornillac et sorti en 2017.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Cours d'eau sur la commune ou à son aval
    2. Lac des Cordes - Vallée des Fonts de Cervières
    3. Plans du zonage d'assainissement par commune
    4. zonage d'assainissement intercommunal du briançonnais
    5. Table climatique
    6. Les navettes blanches
    7. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    13. Sur le cartulaire Ulciensis ecclesiam chartarium.
    14. Stéphane Gendron - 2003 - Les noms des lieux en France: essai de toponymie - Page 236.
    15. Cervières (en occitan alpin Cervèira)
    16. Histoire de Cervières
    17. Autopsie de Super-Cervières (extrait de la Paparelle n°11 - juin 2015)
    18. Site de l'Association AESC
    19. L'AESC et Mountain Wilderness pour la préservation du site du col d'Izoard l'hiver
    20. « Les habitants de Cervières ne veulent pas vendre leur vie pour une bouchée de foin », Télérama, (lire en ligne, consulté le ).
    21. Paris-Match de septembre 1972
    22. "LE MAIRE DE CERVIÈRES ET LE PROJET DE STATION" dans Le Monde du 22 novembre 1972
    23. Site de la préfecture des Hautes-Alpes, consulté le 9 mai 2008 (fichier au format Excel)
    24. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
    25. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    26. Les comptes de la commune
    27. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Établissements d'enseignements
    33. École maternelle et élémentaire
    34. Professionnels et établissements de santé
    35. Santé à Briançon
    36. Contrat local de santé
    37. Diocèse de Gap et d'Embrun
    38. Les patrimoines de l'agropastoralisme dans les Hautes-Alpes
    39. Cervières - Fermes de la reconstruction
    40. Cervières-Izoard
    41. « Inventaire général : Refuge Napoléon », notice no IA05000981, base Mérimée, ministère français de la Culture
    42. La charte Bistrot de Pays Bistrot de Pays
    43. Fédération nationale des bistrots de pays
    44. « Église Saint-Michel », notice no PA00080545, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. « Inventaire général de l'église paroissiale Saint-Michel », notice no IA05000762, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. Notice no PM04000154, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Saint-Michel
    47. Notice no IM05003091, base Palissy, ministère français de la Culture cloche cloche N°1 de l'église Saint-Michel
    48. Notice no IM05003098, base Palissy, ministère français de la Culture cloche cloche N°2 de l'église Saint-Michel
    49. « Église paroissiale Saint-Michel-et-Saint-Mammés », notice no IA05000727, base Mérimée, ministère français de la Culture
    50. Église Saint-François-d'Assise
    51. Église Saint François d'Assise de Cervières
    52. « Chapelle Saint-Claude », notice no IA05000756, base Mérimée, ministère français de la Culture
    53. .« Inventaire général : chapelle Saint-Jean-Baptiste », notice no IA05000750, base Mérimée, ministère français de la Culture
    54. « Inventaire général : maison ferme », notice no IA05000943, base Mérimée, ministère français de la Culture
    55. « chapelle Sainte-Elisabeth », notice no IA05000749, base Mérimée, ministère français de la Culture
    56. « chapelle Saint-Roch », notice no IA05000744, base Mérimée, ministère français de la Culture
    57. « chapelle Notre-Dame-des-Neiges », notice no IA05000742, base Mérimée, ministère français de la Culture
    58. « chapelle Saint-Pierre », notice no IA05000733, base Mérimée, ministère français de la Culture
    59. Notice no IM05003355, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (N°1) Chapelle Saint-Pierre
    60. Notice no IM05003445, base Palissy, ministère français de la Culture cloche (N°2) Chapelle Saint-Pierre
    61. « chapelle Sainte-Madeleine », notice no IA05000732, base Mérimée, ministère français de la Culture
    62. « chapelle Sainte-Luce », notice no IA05000944, base Mérimée, ministère français de la Culture
    63. « chapelle Saint-Gervais et Saint-Protais », notice no IA05000910, base Mérimée, ministère français de la Culture
    64. [hhttps://monumentsmorts.univ-lille.fr/monument/23875/cervieres-presdeleglise/ Monument aux morts]
    65. « hôtel de ville », notice no IA05000728, base Mérimée, ministère français de la Culture
    66. Au pied de l'Izoard...
    67. « Inventaire général : blockhaus dit ouvrage du Gondran D », notice no IA05000143, base Mérimée, ministère français de la Culture
    68. « Inventaire général : la position dit blockhaus et batterie de la Lauzette », notice no IA05000142, base Mérimée, ministère français de la Culture
    69. « Inventaire général : la position des Aittes », notice no IA05000141, base Mérimée, ministère français de la Culture
    70. « Téléphérique militaire de Terre Rouge ou des Gondrans », notice no PA05000011, base Mérimée, ministère français de la Culture
    71. « Maison », notice no PA05000001, base Mérimée, ministère français de la Culture
    72. Maison Faure Vincent Dubois
    73. Briançonnais : Cervières, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
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