Carrouges

Carrouges est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 656 habitants[Note 1].

Pour les articles ayant des titres homophones, voir Carrouge et Carouge.

Carrouges

La mairie et la poste.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Fertois et du Bocage Carrougien
(siège)
Maire
Mandat
Pierre Chivard
2020-2026
Code postal 61320
Code commune 61074
Démographie
Population
municipale
656 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 34′ 06″ nord, 0° 08′ 40″ ouest
Altitude Min. 240 m
Max. 361 m
Superficie 8,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Magny-le-Désert
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Carrouges
Géolocalisation sur la carte : Orne
Carrouges
Géolocalisation sur la carte : France
Carrouges
Géolocalisation sur la carte : France
Carrouges
Liens
Site web www.carrouges.fr

    Géographie

    Localisation

    Pays de bocage, dans la campagne d'Alençon. La commune se situe dans le parc naturel régional Normandie-Maine.

    Géologie et relief

    Carrouges étant une commune située à 320 mètres d'altitude, sur le versant nord du signal d'Écouves, le plus haut sommet de Normandie (417 mètres).

    Sismicité

    Commune située dans une zone de sismicité faible[3].

    Hydrographie et les eaux souterraines

    Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux (S.A.G.E.) du Bassin de l'Orne.

    • Recensement des ouvrages de prélèvement d’eau souterraine, autres que ceux destinés à l’alimentation en eau potable[4].
    • Hydrogéologie de la commune : masse d'eau souterraine[5].
      • Udon (rivière).
      • Ruisseaux du Moulin de Besnard, de Rohan, des Noes Morins, du Grand Pied.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[6]

    • Moyenne annuelle de température : 9,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 911 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pre-en-Pail_sapc », sur la commune de Pré-en-Pail-Saint-Samson, mise en service en 1945[12] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 860,9 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 23 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[16] à 10,9 °C pour 1981-2010[17], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[18].

    Voies de communications et transports

    Voies routières

    La D2 relie Alençon et Argentan via Carrouges, et dessert Lonrai, Cuissai, Livaie, Roupperroux, Chahains, Carrouges, Le Menil-Scelleur, Boucé, Fleuré et Sarceaux.

    Transports en commun

    • Autocars[19] :
      • Ligne Alençon – Carrouges – La Ferté-Macé,
      • Ligne Carrouges – Argentan.

    Ancienne voie ferrée

    Intercommunalité

    Commune membre de la Communauté de communes du Pays Fertois et du Bocage Carrougien.

    Urbanisme

    Typologie

    Carrouges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

    La commune dispose d'un plan local d'urbanisme.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,8 %), terres arables (30,5 %), forêts (12,9 %), zones urbanisées (5,9 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    En langue d'oïl le mot carrouge est l'évolution naturelle et logique du latin quadrivium, « carrefour »[27]; le -s indique un pluriel ou est sans sens particulier.

    Histoire

    • Au Moyen Âge, la paroisse de Carrouges fait partie du doyenné d'Asnebec.
    • En 1490, sous le roi Charles VIII, Jean de Blosset, seigneur de Carrouges et grand maréchal de Normandie, fonde sur ses terres, auprès de son château, une collégiale (dédiée à Notre-Dame du Bon Confort) composée de six chanoines prébendés « à la nomination du seigneur qui était aussi le collateur des bénéfices ». Ces prébendes sont estimées en 1698 à 200 livres, dans le Mémoire de la Généralité d'Alençon établi par l'intendant M. de Pommereuil.

    Il est également précisé en 1698 qu'une juridiction appelée « grenier d'impôt » (en rapport avec la gabelle payée sur le sel) est située à Carrouges.

    Héraldique

    Blason
    De gueules, semé de roses d’argent ; à un château de deux tours couvert d’or, maçonné de sable, soutenu d’une patte de léopard versée d’or, armée d’azur, se mouvant de l’angle de la pointe dextre.
    Détails
    Le gueules et l’or sont les couleurs traditionnelles de la Normandie, ce qui permet de replacer Carrouges dans son contexte géographique.

    Le château symbolise celui de la commune, fondé par Jean de Carrouges au XIVe siècle. Il sera reconstruit par la famille Blosset après la guerre de cent ans et embelli par les Le Veneur jusqu’au XVIIe siècle.

    Le léopard est l’emblème de la Normandie. Une des pattes porte le château imageant l’idée qu’il était une des places fortes de cette province.

    Les roses indiquent que la sainte Vierge est la sainte patronne de Carrouges. La disposition en semé suggère les armes des Carrouges anciens qui portaient de « gueules, semé de fleurdelys d’argent ».

    Les ornements sont deux branches de chêne de sinople, fruitées d’or, mises en sautoir par la pointe et liées d’or pour rappeler la forêt du Parc Normandie Maine dont Carrouges est l’élément central avec la maison du Parc à proximité du château.

    Le listel d'argent porte le nom de la commune en lettres majuscules de sable.

    La couronne de tours dit que l’écu est celui d’une commune ; elle n’a rien à voir avec des fortifications.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
     ? mars 2001 Alice Izquierdo    
    mars 2001 août 2013[29] Eugène-Loïc Ermessent UDF puis DVD Médecin, ancien conseiller général
    septembre 2013[30] juillet 2020 Christian Thibouville[31] SE  
    juillet 2020[32] En cours Pierre Chivard SE Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Budget et fiscalité 2018

    En 2018, le budget de la commune était constitué ainsi[33] :

    • total des produits de fonctionnement : 466 000 , soit 1 668  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 430 000 , soit 616  par habitant ;
    • total des ressources d'investissement : 107 000 , soit 153  par habitant ;
    • total des emplois d'investissement : 106 000 , soit 152  par habitant ;
    • endettement : 144 000 , soit 206  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 12,21 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 10,04 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11,50 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 32,41 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 11,19 %.

    Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 526 [34].

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 656 habitants[Note 7], en diminution de 7,74 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    2 0501 9601 9622 1512 2502 1452 1442 0621 972
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    1 832950940958939981916888865
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    829789705710734701708706727
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    695753787760743735734678656
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Établissements d'enseignements[39] :

    • École maternelle,
    • Écoles primaires,
    • Collège,
    • Lycée à La Ferté-Macé.

    Santé

    Professionnels et établissements de santé[40] :

    • Médecins à Carrouges, Boucé, Râne.
    • Pharmacies à Carrouges, Boucé, Râne.
    • Hôpitaux à La Ferté-Macé, Argentan, Alençon.
    • Maison de retraite[41].

    Cultes

    Économie

    Agriculture

    Tourisme

    • Restaurants[44].
    • Hôtels[45].
    • Les Écuries de la Fouquière[46].

    Commerces

    • Commerces et services de proximité.

    Lieux et monuments

    Le château de Carrouges.
    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption

    Jumelages

    La commune de Carrouges est jumelée avec :

    Médias

    • Radio coup de foudre 104 FM[52].

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[9].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Altitudes, superficie : répertoire géographique des communes[54].
    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Didacticiel de la règlementation parasismique
    4. Étude réalisée à la demande de l'Institution Interdépartementale du Bassin de l’Orne, par Laëtitia Persello
    5. Fiche commune
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    9. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Carrouges et Pré-en-Pail-Saint-Samson », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Pre-en-Pail_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Carrouges et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. Autocars
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. Christian Baylon, Paul Favre - 1982 - Les Noms de lieux et de personnes - (ISBN 2098125941).
    28. La bataille de Rânes-Fromentel
    29. « Ouest-france.fr - Eugène-Loïc Ermessent n’est plus maire de Carrouges » (consulté le ).
    30. « Christian Thibouville est le nouveau maire de Carrouges », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    31. Réélection 2014 : « Carrouges (61320) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    32. « Carrouges. Pierre Chivard élu maire contre toute attente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. Les comptes de la commune
    34. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Professionnels et établissements de santé
    40. Maison de retraite
    41. Paroisse Saint François en Ecouve
    42. Cidricole
    43. Restaurants
    44. Hôtels
    45. Les Écuries de la Fouquière
    46. Église Notre-Dame-de-l'Assomption
    47. Église Notre-Dame-de-l'Assomption
    48. Monument aux morts
    49. Mémorial
    50. Jumelage Carrouges (F) et Carrouge (CH)
    51. Radio coup de foudre
    52. Le Père Isidore Métayer : Un Carrougien missionnaire en Chine
    53. Site de l'IGN.

    Bibliographie

    Annexes

    Article connexe

    Liens externes

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