Caroline Marçot
Caroline Marçot (née à Paris le ) est une compositrice et interprète de musique vocale, en ensemble et en soliste. Elle est également pianiste.
Nom de naissance | Caroline Marçot |
---|---|
Naissance |
Paris France |
Activité principale |
Compositrice, chanteuse, enseignante Contralto |
Activités annexes | pianiste |
Éditeurs | Jobert |
Formation | Conservatoire National de Région de Paris, Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, Sorbonne |
Maîtres | Alain Louvier, Yves Henry, Edith Lejet, Rémy Stricker |
Enseignement | ARIAM |
Ses productions, généralement axées sur la vocalité, y compris lorsque l'auteur utilise des instruments, développent assez fréquemment une polychoralité traitée de manière contemporaine, tout en se nourrissant d'éléments divers, particulièrement les polyphonies de type médiéval et Renaissance (comme celles de Roland de Lassus ou de Luca Marenzio), mais aussi le chant grégorien ou la musique de J.S. Bach, d'Alban Berg[1], d'Edgar Varèse et de la musique spectrale, aussi bien que d'autres références musicales, parfois traditionnelles. Ces influences ne se limitent pas à l'Europe, spécialement lorsqu'elles proviennent de la Méditerranée.
Les textes chantés peuvent être empruntés à des sagesses ou à des mystiques de diverses origines. Mais les partitions vivent aussi par les qualités propres aux différentes langues choisies. Par leur tendance à l'universalité, par l'importance donnée au sens autant qu'à leur apport plus purement sensible, en lien avec les sons, les textes choisis prennent une importance toute particulière dans le processus d'élaboration et de création.
Formation
Caroline Marçot a d'abord reçu un enseignement instrumental et théorique au sein de l'École Nationale de Musique et de Danse d'Orsay, où elle obtient de 1989 à 1995, les premières médailles en formation musicale, piano, musique de chambre, analyse et écriture, notamment dans les classes de Christian Accaoui et Alain Weber. Elle intègre ensuite le Conservatoire National de Région de Paris. Elle y obtient, à l'unanimité, les premiers prix d'harmonie et de contrepoint, dans la classe de Bernard de Crépy, ainsi qu'un second prix d'orchestration et un certificat de solfège ancien.
Admise en 1996 au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, elle obtient successivement les prix d'analyse, de contrepoint « Renaissance », d'esthétique et d'acoustique musicale. Elle a notamment suivi les classes d'Alain Louvier, d'Olivier Trachier, d'Yves Henry, d'Edith Lejet, de Rémy Stricker et de Michèle Castellengo.
Elle est également titulaire d'une licence de musicologie de la Sorbonne.
Interprète vocale
Pianiste de formation, c'est en tant que chanteuse et compositrice qu'elle s'est fait connaître. Elle a fait partie de la Maîtrise de Radio-France (1995-1998) et du Jeune Chœur de Paris dirigé par Laurence Equilbey, tout en se perfectionnant auprès de Sylvie Sullé au Conservatoire Georges Bizet à Paris.
En 2000, elle intègre Les Cris de Paris dirigé par Geoffroy Jourdain, et participe à des ensembles tels que Akademia (Ensemble vocal et instrumental de musique ancienne, dirigé par Françoise Lasserre) ou Arsys Bourgogne, chœur à géométrie variable de 4 à 32 chanteurs[2] (dir. Pierre Cao) ou Le Concert d'Astrée (dir. Emmanuelle Haïm). Elle fonde en 1999 le trio Viva Lux avec l'objectif d'explorer et de diffuser le répertoire à trois voix égales, de la Renaissance et d'autres époques. Elle grave ainsi le premier enregistrement des Psaumes huguenots, écrits en français, de Claude Le Jeune (fin du XVIe siècle, éd. 1602-1610). En 2003, elle rejoint l'ensemble Mora Vocis basé à Nîmes qui s'intéresse aussi bien aux musiques médiévales et de transmission orale qu'à la musique contemporaine[3]. En partie grâce à sa collaboration, cet ensemble, et d'autres auxquels elle participe, investissent les lieux où ils se produisent, par une mise en espace sonore, liée à l'acoustique de l'endroit, ce qui aboutit à mettre à contribution (à « mettre en contrepoint ») l'espace architectural, et permet de sortir du cadre formel du concert[4]. Elle est aussi codirectrice musicale (avec Charles Barbier) de l'ensemble vocal (et instrumental) L'Échelle.
De 2006 à 2010, elle a dirigé le Chœur Cæcilia (le chœur de filles) de la Maîtrise de Saint-Christophe de Javel, à Paris[5].
La composition musicale
Durant cette période (à partir de 2000), elle commence à écrire ses premières pièces. Les différents aspects du phénomène sonore l'intéressent particulièrement, et sa prédilection pour le chant l'amène tout naturellement à composer des œuvres principalement vocales. Elle reçoit alors de nombreuses commandes, notamment de Laurence Equilbey (Chœur de chambre Accentus), Roland Hayrabedian (ensemble Musicatreize) ou encore Geoffroy Jourdain, et de la part d'institutions comme Radio-France ou la Cité de la musique. Elle travaille aussi avec la maîtrise de la cathédrale Notre-Dame de Paris (Chœur d'enfants, Jeune Ensemble et Chœur d'adultes) et la Compagnie marseillaise Cahin-caha (cirque contemporain).
Certaines de ses œuvres ont été créées par Rachid Safir et Les Jeunes Solistes (devenus l’Ensemble Solistes XXI) - pour lesquels elle a composé un cycle de madrigaux, donnés à Rome, à la Villa Médicis en juillet 2000.
À travers son catalogue d'œuvres, on note l'importance qu'elle accorde au choix des textes : leur fonction apparaît primordiale à plusieurs niveaux. Le texte véhicule non seulement sa signification propre mais permet en même temps de développer un sens purement musical. C'est ainsi que la compositrice explore la richesse auditive du français, de l'italien, de l'espagnol, du latin, de l'allemand et de l'arabe, ou de langues à caractère régional comme le breton, le corse ou le créole. Ces paramètres restent cependant étroitement liés car si le texte influence directement la forme, la langue, elle, incite la compositrice à écrire dans un style capable de s'y rapporter.
Ainsi, l'italien appelle par exemple le madrigal : Non et O sorte dura « O dureté du sort » (2000), sa première pièce a cappella, est un madrigal en deux parties pour chœur de chambre à 5 voix mixtes. Écrite sur l'unique sonnet italien de Louise Labé, cette œuvre offre une mise en forme dramatique du texte, que la compositeure obtient grâce à l'attention très personnelle qu'elle a portée à l'accentuation prosodique et aux respirations de la forme littéraire.
Dans Crux (2001) et Lux (2002), madrigaux spirituels pour 10 voix solistes, se mêlent l'espagnol et le latin dans des textes de San Juan de la Cruz (Saint Jean de la Croix) et dans les emprunts aux liturgies du Credo et du Requiem. Si chacune de ces deux pièces reprend le poème Llama de amor viva (« La vive flamme d'amour ») de Jean de la Croix, Crux tente plutôt de réunir les cultures catholique romaine et arabo-andalouse[6] à travers ces deux langues, tandis que Lux propose une conjugaison du latin liturgique du Lux Aeterna (« Lumière éternelle »)[7] avec un castillan mystique, et projette un éclairage lumineux sur ces textes.
Le latin incite plutôt au motet liturgique. Citons In Pace (2001), motet pour chœur à 7 voix mixtes, Agnus (2001), dernière prière de l'ordinaire de la messe, écrit pour double chœur à 6 voix égales, Nigra sum[8], « Je suis noire » (2001), autre motet pour chœur à 7 voix mixtes et Pulchra es amica mea, « Tu es belle, mon amie » (2005), motet pour chœur à 5 voix mixtes[9] tiré, comme le précédent, du Canticum canticorum Salomonis (Cantique des cantiques du roi Salomon), poème d'amour intégré à la liturgie des Vêpres de la Vierge.
L'insertion d'instruments dans ses pièces est plus rare. On en compte quatre dont une orchestration, LʼÉdit du Papillon (2002) pour mezzo-soprano, chœur et orchestre, qui a été donné avec l'Orchestre des Jeunes de la Méditerranée[10]. Audi Zefiro (2001) madrigal spirituel pour deux violons, violoncelle, clavecin, orgue positif et 6 voix solistes, Ghazal (2002) cantate pour chœur et orchestre, et enfin Némésis (2005) pour 12 voix solistes, clarinette et percussions, font appel à des instruments qui sont cependant traités comme la voix et visent à apporter une « textualité » des sons qu'ils produisent.
- Les textes de Némésis, axés sur la colère, sont empruntés à de nombreux auteurs, dont Sénèque, Aristote, Tertullien, Lactance, Montaigne et Al Tawhidi. Ils sont en français, latin, allemand, arabe, anglais (sur le mot « war »), et mêlent, dans un univers de tension, différentes sagesses antiques, chrétienne et soufie. L'œuvre (qui intègre le motif musical du Dies iræ liturgique) est dédiée « à Julien » (Julien Copeaux), compositeur mort en 2003, à l'âge de 30 ans[11]. Cette pièce est une commande de Radio-France pour Roland Hayrabedian et Musicatreize. Elle a été créée le 20 mars 2005 à la Maison de la Radio.
- Etic, écrite pour triple chœur, a été créée en 2006-2007, dans le cadre des « Cris de la Ville », cycle de commandes passés à différents auteurs par Les Cris de Paris. Un mur d'expression libre, reliant la ville de Pantin au XIXe arrondissement de Paris, a fourni à Caroline Marçot sa matière poétique. L'œuvre, globalement sereine, est en 5 mouvements (dont « Silence », « Rumor », « Clamor »). Elle se développe dans un souci de spatialisation[12].
- Rambleur est écrit pour 5 voix d'hommes, piano et orgue positif (2010). La partition a été créée par l'Ensemble Clément Janequin (Paris, La Péniche Opéra, 29 novembre 2010)[13].
- Nun (2011), œuvre polychorale, a été écrite pour un chœur divisé en 5 groupes répartis dans l'espace. C'est une commande du Chœur de chambre Les Éléments (dir. Joël Suhubiette). « Nun » est le nom de la quatorzième lettre hébraïque et arabe. La partition est chantée en cinq langues, correspondant aux cinq aspects de cette lettre multiple[14]. Créée le 17 mai 2011 à Albi, par l'ensemble Les Éléments, elle a été réentendue, à l'Abbaye de Moissac le 29 juin 2012, puis à Notre-Dame de Paris le 15 janvier 2013[15].
Caroline Marçot a enseigné l'analyse à l'ARIAM[16] Île-de-France dans le cadre de la formation aux Diplômes d'État de Technique vocale et de Direction d'ensembles vocaux. Elle poursuit actuellement un travail d'enseignement.
Caroline Marçot est lauréate de la Fondation Natexis Banques Populaires (2003).
Un château en Italie
Avec les psaumes 4 et 142, Caroline Marçot et l'ensemble L'Échelle ont participé à la bande-son du film Un château en Italie (Festival de Cannes 2013).
- Maestra del Tutto (2000). Commande de Rachid Safir pour Les Jeunes solistes.
- In pace pour chœur (SSMATBarB) (2000, 7'). Commande de Laurence Equilbey pour Le Jeune chœur de Paris. Éditions Jobert.
- Non pour chœur (SM-SATB) (2000-2001, 7'). Éditions Jobert.
- Audi Zefiro (2001)
- Crux pour 10 voix solistes (2001, 13'). Éditions Jobert.
- Agnus Dei pour chœur à 6 voix égales (2001, 6'30). Éditions Jobert.
- Nigra sum pour chœur (SSMATBarB) (2001, 4'30). Éditions Jobert.
- Cantar del Alma pour chœur à 3 voix égales (2002, 4'30). Éditions Jobert.
- Lux (2002)
- Quetzal pour chœur (SSMATBarB) (2002, 7'). Éditions Jobert.
- Ghazal pour soli, chœur et orchestre (2002). Éditions Jobert.
- L'Edit du papillon pour mezzo-soprano, chœur et orchestre (2002, 14'). Éditions Jobert.
- La Passion de Jésus-Christ pour chœur (2002). Commande de l'ensemble Ars nova
- Psaumes pour les nocturnes du Samedi Saint (Carmen) (2004)
- Némésis pour 12 voix solistes, clarinette et percussion (2005, 14'). Éditions Jobert.
- Pulchra es (2005)
- L'Alouette (2006)
- Etic (2006-2007)
- Rambleur (2010)
- Nun (2011)
- Cantuum plexus (2011)[17]
- Tratti-ritratto pour consort de violes (2013). Commande du « Festival Messiaen au pays de la Meije »
- Alleluia, Lapis revolutus est, pour chœur, ensemble vocal et orgue (sur une antienne grégorienne du temps pascal, 2013)
- Ma (dont « Ardens cor »), pour ensemble vocal (avec harpe triple galloise), en regard des Sacræ cantiones de Gesualdo (2014)[18]
- Caro m'è 'l sonno (2014) : « Cher m'est le sommeil », cycle de pièces pour violes de gambe, d'après un poème de Michel-Ange (le quatrain 247 extrait de ses Rimes). Le Tratti-ritratto de 2013 est la première composition de ce cycle[19].
- Femmes au tombeau (2015)[20]. Création : Centre culturel. Abbaye de Sylvanès. Cf. La Dépêche, 7 juin 2015 : « Mora Vocis, une résidence pour une création mondiale »
- Torquemada, musique de scène pour l'adaptation radiophonique du drame de Victor Hugo (2018). L'acteur et réalisateur Michel Sidoroff écrit à ce propos : « Dans ce travail musical et vocal de construction d'un univers inquiétant et farouche, la compositrice Caroline Marçot me fut d'une aide précieuse, avec sa pratique spectrale de la musique contemporaine dans le chant et son expérience du mariage des instruments anciens et contemporains »[21].
Discographie
- Cent Noms de l'Amour, avec Ghazal et L'Edit du Papillon, par le Chœur et l'Orchestre des Jeunes de la Méditerranée, dir. Roland Hayrabedian (Actes Sud, Naïve, 2003)
- « Propos Exquis », psaumes de Claude Le Jeune, par le Trio Viva lux (Studio SM / Abeille, 2004)
- « L´Amante », avec Agnus et Cantar del Alma (pour 3 voix égales, sur un texte de saint Jean de la Croix). Musique médiévale et contemporaine, par Mora vocis (Mandala / Harmonia Mundi, 2005)
- Capitolo Novo, avec Non par le Chœur de chambre Les Cris de Paris, dir. Geoffroy Jourdain (Nocturne, LʼEmpreinte Digitale, 2005)
- Maîtrise Notre-Dame de Paris/Les Sacqueboutiers de Toulouse : « Inviolata » (Josquin des Prés / Tomás Luis de Victoria / Pedro de Escobar / Jean Mouton / Thomas Créquillon / Francisco Guerrero / Caroline Marçot), 002 MSNDP, 2011
- « Outre-Mers » : Missa Grande de Marcos Portugal - Quetzal de Caroline Marçot. Chœur L'Échelle, dir. Charles Barbier et Bruno Procopio, 2013 (Paraty, 312214)
- Le Livre de Notre-Dame, Chœur et Maîtrise de la cathédrale Notre-Dame de Paris (MSNDP, 2015). Pour le jubilé de son 850e anniversaire. Avec des œuvres de Bruno Ducol, Jean-Pierre Leguay, Caroline Marçot, Édith Canat de Chizy, Thierry Escaich, Nicolas Bacri, Vincent Bouchot, Benoît Menut, Vincent Paulet, Michèle Reverdy.
Liens externes
- Festival de Marseille. Danse, Musique, Théâtre. 1er-25 juillet 2002
- Ensemble Entheos. Artistes partenaires
- « L’Amante ou le dépoussiérage médiéval par Mora vocis » (ResMusica. Maxime Kaprielian, 2005)
- Messe médiévale de Las Huelgas. Les Musicales en Auxois. 12 août 2006 (article « Lux feminæ a cappella », par Edouard Bailly)
- Ensemble vocal Pythagore. Octobre 2008
- Vidéos de concerts : Cuenca (Espagne), Saint-Louis des Invalides, Tanger, etc.
- France Musique, émission du 14 novembre 2008
- « Caroline Marçot : la sonorité des textes ou la textualité des sons », par Emmanuelle Tat. In : Lettre d'information et d'analyse de musique contemporaine. Février 2010. No 6
- Centre national des arts du cirque. Compagnie Cahin-caha. Festival CIRCa 2010
- « Archives du 5à7 », 2011 : Franz Schubert (Le Roi des aulnes), Robert Schumann (Liederkreis, op. 39), Richard Wagner (Wesendonck Lieder)
- Entrelacs. Cantuum plexus. Article dans La Provence. Septembre 2011
- France Musique. « Cathédrale Notre-Dame : Antoine Brumel, Anders Hillborg, Frank Martin », ainsi que Thomas Tallis, Caroline Marçot, Eric Whitacre, etc. Concert du 15 janvier 2013 : « Motets en Espace ». Émission du 5 février 2013, 14 h
- Musica. Fiches de 3 partitions : Nigra sum, Non, Quetzal
- Appoggiature. 1er septembre 2013. « Missa Grande » de Marcos Portugal ; « Quetzal » de Caroline Marçot
- Revue en ligne ResMusica
- L'école des sens. Centre artistique et culturel
- ResMusica. Le Livre de Notre-Dame, en création mondiale. « Alleluia Lapis revolutus est » de Caroline Marçot
- ResMusica. « George Benjamin invité au Pays de la Meije » (Tratti-Ritratto)
- Caroline Marçot (portrait)
- France Musique. 2 septembre 2014 : Concert du 16 juillet (Festival de Radio-France et de Montpellier)
- Ensemble L'Échelle
- France Musique. 16 mai 2015. Le Cri du Patchwork par Clément Lebrun : « Palimpseste »
- France Musique. 1er mars 2019. Tapage nocturne reçoit Caroline Marçot
- The Tungsten Blog. 14 mai 2015. Willy Wizz & Caroline Marçot reunited on stage !
Notes et références
- Par exemple, un extrait du Concerto à la mémoire d'un ange d'Alban Berg (1935) et le choral Es ist genug de J.S. Bach, entendu dans ce même concerto, sont repris et adaptés dans Némésis (2005)
- Arsys aborde les différents répertoires dits « classiques », anciens et modernes : a cappella, avec continuo, avec orchestre.
- L'ensemble Mora vocis
- ResMusica. Entretien : Du Médiéval au Contemporain ?
- La Maîtrise de Saint-Christophe de Javel
- La culture arabe était encore présente en Andalousie à l'époque de Juan de la Cruz.
- Prière grégorienne chantée pendant la Communion au cours de la messe de Requiem.
- Nigra sum sed formosa (« Je suis noire mais je suis belle »).
- Création à la 2e Biennale d'art vocal : Paris. Cité de la Musique. 3 juin 2005. Maîtrise de Colmar. Dir. Arlette Steyer
- LʼÉdit du Papillon
- Répertoire de l'ensemble Musicatreize. Némésis
- L'Itinéraire de Nuit (III). Paris, Cité Internationale Universitaire, 24 mars 2007
- Œuvre commandée par Musique nouvelle en liberté
- Nun
- La Dépêche du Midi
- Association Régionale d'Information et d'Actions musicales.
- Entrelacs, Cantuum Plexus (« Entrelacement des chants » ou « Chants Entrelacés »). Festival de musique médiévale de Roussillon-en-Provence (17 septembre 2011). Chant médiéval, Improvisation et Création de Caroline Marçot. En collaboration avec Temps Relatif, compagnie lyrique dont l'objectif est de promouvoir l'art vocal et la création en Isère.
- Carlo Gesualdo (Sacræ cantiones) et C. Marçot (Ma), La Main Harmonique, dir. Fr. Bétous ; Carlo Gesualdo et Stravinsky, Caroline Marçot, La Main Harmonique, dir. Frédéric Bétous, Odyssud (Blagnac) (lire en ligne)
- France-Musique. Alla Breve. Séquences. « Caro m'el sonno ». 19 janvier 2015 ; Diffusion intégrale le 25
- Concerts à Paris 2016-2017 : « Mater Dolorosa - Femmes au Tombeau. Monodies et polyphonies médiévales (Manuscrits de Las Huelgas, Tours, Florence...) et contemporaines (Caroline Marçot, Ivan Moody) »
- France Culture. Fictions/Théâtre et Cie. Torquemada de Victor Hugo ; France Culture. Réécouter
- Portail de la musique classique
- Portail de la France