Camors
Camors [kamɔʁ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.
Pour les articles homonymes, voir Camors.
Camors | |
La mairie de Camors | |
Héraldique |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Morbihan |
Arrondissement | Lorient |
Intercommunalité | Auray Quiberon Terre Atlantique |
Maire Mandat |
Claude Jarno 2020-2026 |
Code postal | 56330 |
Code commune | 56031 |
Démographie | |
Gentilé | Camorien, Camorienne |
Population municipale |
3 048 hab. (2018 ) |
Densité | 82 hab./km2 |
Population agglomération |
43 981 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 50′ 55″ nord, 2° 59′ 59″ ouest |
Altitude | 104 m Min. 27 m Max. 137 m |
Superficie | 37,09 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Camors (ville isolée) |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Pluvigner |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.camors.fr/ |
Géographie
La commune s'étend sur 37,1 km2 et est entourée par les communes de Baud, de Pluvigner et de La Chapelle-Neuve. Située à une altitude moyenne de 104 mètres d'altitude, celle-ci culmine à 137 mètres et est à son point le plus bas de 27 mètres. La rivière l'Ével et la rivière le Tarun sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Camors. Ces deux rivières sont respectivement affluent et sous-affluent du Blavet. De nombreux ruisseaux prennent leurs sources sur la commune. Elle est située pour partie sur le massif des landes de Lanvaux dont elle constitue l'extrémité occidentale. Elle est couverte en grande partie par deux massifs forestiers, la forêt domaniale de Camors et la forêt de Floranges. Avec 1 622 ha de bois[1], le taux de boisement de la commune est de 44 % contre 16,4% pour le département du Morbihan.
La population se répartit majoritairement autour de trois pôles : le bourg, le village de Lambel-Camors et le village de Locoal-Camors. La commune fait partie du Canton de Pluvigner, de la communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique et dépend de l'arrondissement de Lorient.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moreac », sur la commune de Moréac, mise en service en 1994[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 004,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, mise en service en 1952 et à 32 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[12], à 12 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Camors est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Camors, une unité urbaine monocommunale[18] de 3 030 habitants en 2017, constituant une ville isolée[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols simplifiée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est la suivante : forêts (48,2 %), terres arables (23,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), zones urbanisées (7,2 %), prairies (4,1 %), végétation arbustive ou herbacée (0,7 %)[23]. Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de cette même base.
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
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Tissu urbain discontinu | 7,2 % | 267 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 23,2 % | 862 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 4,1 % | 152 |
Systèmes culturaux et parcellaires complexes | 16,3 % | 604 |
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants | 0,2 % | 8 |
Forêts de feuillus | 16,5 % | 610 |
Forêts de conifères | 18,3 % | 678 |
Forêts mélangées | 13,5 % | 501 |
Forêt et végétation arbustive en mutation | 0,7 % | 26 |
Source : Corine Land Cover[24] |
L'occupation des sols de la commune met en évidence la prédominance de la forêt sur les espaces agricoles. Celle-ci occupe près de la moitié de la surface communale. Elle est constituée pour moitié de feuillus et pour moitié de conifères. Camors appartient en effet à la région naturelle des Landes de Lanvaux. Cette région était autrefois occupée par des landes mais celles-ci ont été remplacées par des plantations de résineux à partir de 1950[25].
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Camor en 1204 ; Kemorz en 1228[26].
De [car / ker], « hameau, village » et [mourz] en vannetais, « humide, bourbeux »[26].
Histoire
Le territoire de la commune de Camors est né tardivement et est constitué d'une partie du territoire de Baud et d'une partie du territoire de Pluvigner. Les habitants de Camors vivaient essentiellement de la forêt. Ils étaient charbonniers, sabotiers, scieurs de long, faiseurs de balais, bucherons... Il y a eu jusqu'à deux cents bucherons et quatre-vingt-dix sabotiers. La religion et l'autorité civile n'avaient que peu d'emprise sur cette population vivant en forêt. Camors est une des seules communes de France où il reste en 2020 deux scieries et un sabotier.
Moyen-Âge
Le XIXe siècle
Une épidémie de dysenterie fit 136 malades (dont 21 moururent) à Camors en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie déplorables des habitants de la région qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propreté, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison même, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs à prendre aucun médicament »[27].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Camors porte les noms de 141 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : un est décédé au Maroc (Raphaël Allano), quatre sont décédés sur le sol belge, trois en Serbie alors qu'ils faisaient partie de l'Armée française d'Orient, trois alors qu'ils étaient prisonniers de guerre en Allemagne ; tous les autres sont décédés sur le sol français[28].
François Bihouis, né en 1878 à Camors, soldat au 88e régiment d'infanterie territoriale fut fusillé pour l'exemple le à Maizy (Aisne) pour « voies de fait », ayant blessé un sous-lieutenant[29].
L'Entre-deux-guerres
À Camors il y avait, en 1936, 77 sabotiers pour 623 foyers. C'est dans la forêt de Camors qu'auraient survécu les dernières huttes de sabotiers de Bretagne[30].
La Seconde Guerre mondiale
Le , des feldgendarmes, épaulés de membres du Bezen Perrot (dont Ange Péresse, originaire de Bubry) et du groupe de Guy Vissault de Coëtlogon (dont Joseph Le Ruyet, originaire de Bubry) arrêtent 17 résistants à Baud, Bubry, Camors et Quistinic[31].
La fin des sabotiers
Le dernier sabotier de Camors, Claude Simon, ferme son atelier à la fin de 2020, faute de repreneur. C'est la fin d'une longue tradition, les sabotiers étaient encore près de 80 en à Camors avant la Seconde Guerre mondiale, d'autres métiers comme les charbonniers et les fagoteuses étaient également nombreux[32].
Blasonnement
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Les armoiries de Camors se blasonnent ainsi : |
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Politique et administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2018, la commune comptait 3 048 habitants[Note 5], en augmentation de 3,18 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
En 2016, on recensait 1 501 hommes et 1 511 femmes à Camors. La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était la suivante :
- 49,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,9 %, 15 à 29 ans = 10,9 %, 30 à 44 ans = 21,1 %, 45 à 59 ans = 20,2 %, plus de 60 ans = 27,0 %) ;
- 50,2 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 11,1 %, 30 à 44 ans = 20,1 %, 45 à 59 ans = 18,9 %, plus de 60 ans = 29,3 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Les indicateurs de revenus et de fiscalité à Camors et dans l'ensemble du Morbihan en 2016 sont présentés ci-dessous.
Camors[39] | Morbihan[40] | |
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Nombre de ménages fiscaux | 1 293 | 332 909 |
Nombre de personnes dans les ménages fiscaux | 3 106 | 740 023 |
Médiane du revenu disponible par unité de consommation (en euros) | 19 971 | 20 607 |
Part des ménages fiscaux imposés | 43,0 % | 49,1 % |
Sports
- La ronde des korrigans, un critérium de cyclisme se déroule à Camors depuis 1961 fin juillet, il regroupe des coureurs élites et amateurs.
- Le cyclo cross du Petit Bois se déroule également à Camors fin décembre, il regroupe des coureurs élites et amateurs. En 1987, il a accueilli les championnats de France de cyclo-cross.
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Sané (elle date du XVIIe siècle, mais a subi de nombreux remaniements depuis).
- La forêt domaniale de Camors présente sur 650 hectares.
- La forêt domaniale de Floranges.
- L’étang et le site du Petit bois, en forêt de Camors, dédiés à la détente, aux loisirs et aux sports.
- Les mégalithes de la forêt : alignements de Cornevec, menhir Bras, menhir Bihan, tumulus de la ligne du Crénan, menhir de l'Armoirie, ainsi que le menhir de l’étoile, classé au patrimoine des monuments historiques de France depuis 1934. Menhir du roch hir à Kerguelene, menhir de la Croix-Blanche, dolmen à Kermachelle, tertes tumulaires à Coz-Camors, menhir à Kerpenru et à Coët er Gankis...
- La motte féodale de Tourel-Tallen.
- La chapelle Saint-Goal du XIVe siècle, la chapelle Saint-Gobrien du XIVe siècle.
- Les nombreuses fontaines dispersées dans la forêt dont celle du Drolo.
- Les arboretums qui sont des collections d’arbres rares de certaines régions, plantés dans le but de conserver des espèces.
- L’atelier de Claude Simon, dernier sabotier du Morbihan[41].
- Le circuit de l’eau en forêt de Camors (11 km).
- La gare de Lambel - Camors construite en 1898 - sur la ligne d'Auray à Pontivy.
Personnalités liées à la commune
- Famille de Lannion.
- Jean-Marie Goasmat, coureur cycliste, y est né.
- Jean Markale, écrivain, poète, conteur et conférencier, y a vécu et y est enterré.
- Maryse Le Gallo, marathonienne.
- Joséphine Le Tutour, mannequin née à Camors en 1995[42].
- Claude Simon, sabotier depuis 1982.
Culture
- Bagad Bleidi Kamorh (Les loups de Camors).
- Bibliothèque municipale Jean-Markale.
- Association "Le Chant de la Terre" développemen(D de la musique classique en milieu rural).
Enseignement
Camors compte deux écoles. :
- école Les Lutins,
- école Saint-Joseph.
Accès
Le bourg de Camors est situé au croisement de la route départementale 768 (ancienne RN 168), axe Quiberon - Dinard et de la route départementale 769 (ancienne route nationale 779), axe Vannes - Camors).
La commune est aussi traversée par la ligne de chemin de fer d'Auray à Pontivy. La gare de Lambel-Camors est une ancienne halte sur cette ligne, désormais uniquement desservie lors de trajets touristiques l'été. Elle a été ouverte au public le 29 juin 1898, et a connu une activité voyageur jusqu'en 1949. L'activité marchandise (transport de bois de mine, pomme à cidre, engrais) a cessé en 1973. L'histoire de cette halte met en avant la détermination des élus de Camors qui auront bataillé à l'époque pendant 35 ans (6 août 1862/juillet 1897) pour permettre sa construction et ainsi permettre l'expédition du bois au départ de Lambel, et non plus de Baud ou de Pluvigner. La ligne Auray-Pontivy ouverte le 18 décembre 1864 permit un développement sans précédent des communes desservies par les trains de la compagnie des chemins de fer d'Orléans.
Jumelages
- Crucișor (Roumanie) depuis 2000.
- Brynmawr (Pays de Galles) depuis 2004.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
- Suzanne Le Rouzic, Les forêts domaniales de Camors, Floranges et Lanvaux, Le Faouët, Liv'Éditions, 2010 (ISBN 978-2-8449-7175-3)
- Louis de Caters, Le Lion de Camors, Épisode des guerres de la Chouannerie 1795-1804, Gravures de Girardet, Editiions Delagrave, 1895
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Camors sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Moreac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Camors et Moréac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Moreac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Camors et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
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- « Le pays de Pontivy est constitué de 4 unités paysagères » (consulté le )
- Hervé Abalain - 2000 - Noms de lieux bretons - éditions Jean-Paul Gisserot - Page 61.
- Docteur Alfred Fouquet, « Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan. », (consulté le ).
- Memorialgenweb.org - Camors : monument aux morts
- Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
- Sylvie Le Menn-Pellada, "Sabotiers des forêts de Bretagne", Le Télégramme éditions, 1997, (ISBN 2909292231).
- http://www.histoquiz-contemporain.com/Histoquiz/Lesdossiers/LaFrance19391945/pnb/Dossiers.htm
- Mathieu Pélicart, Le dernier sabotier de Camors, journal Le Télégramme, n° du 10 novembre 2020.
- « Claude Jarno en place pour une deuxième mandature à Camors », sur Actu.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Population par sexe et âge à Camors en 2016 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 à Camors » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Revenus et pauvreté des ménages en 2016 dans le Morbihan » (consulté le ).
- À Camors, Claude Simon est sabotier depuis 30 ans, Ouest-France, 14 février 2012.
- Joséphine Le Tutour, Grazia.
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