Camon (Ariège)

Camon (Camon en occitan languedocien) est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

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Camon

Vue du village de Camon

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Pamiers
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mirepoix
Maire
Mandat
Sylvie Czeczotka
2020-2026
Code postal 09500
Code commune 09074
Démographie
Gentilé Camonais
Population
municipale
145 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 01′ 20″ nord, 1° 58′ 03″ est
Altitude Min. 326 m
Max. 582 m
Superficie 10,25 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mirepoix
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Camon
Géolocalisation sur la carte : Ariège
Camon
Géolocalisation sur la carte : France
Camon
Géolocalisation sur la carte : France
Camon
Liens
Site web camon09.org

    Géographie

    Localisation

    La commune de Camon se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 30 km à vol d'oiseau de Foix[2], préfecture du département, à 31 km de Pamiers[3], sous-préfecture, et à 11 km de Mirepoix[4], bureau centralisateur du canton de Mirepoix dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Lavelanet[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Corbières (2,8 km), Sonnac-sur-l'Hers (2,9 km), Belloc (3,1 km), Tréziers (4,1 km), Lagarde (4,1 km), Montbel (5,1 km), Chalabre (5,3 km), Saint-Quentin-la-Tour (5,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Camon fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[6].

    Camon est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département de l'Aude.

    Carte de la commune de Camon et de ses proches communes.

    Paysages et relief

    Hydrographie

    La commune est arrosée par l'Hers-Vif un affluent de l'Ariège.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 1 025 hectares ; son altitude varie de 326 à 582 mètres[8].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 16,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 891 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[10]. À l'est du département, l’influence méditerranéenne accentue les contrastes saisonniers, le climat y est plus sec[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[12]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14],[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Alaigne », sur la commune d'Alaigne, mise en service en 1971[16]et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[17],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 669,5 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 34 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[20], à 14,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[22].

    Urbanisme

    Typologie

    Camon est une commune rurale[Note 4],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25]. La commune est en outre hors attraction des villes[26],[27].

    Ancienne abbatiale.

    Le village est construit dans un méandre de l'Hers-Vif.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49 %), prairies (27,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), terres arables (8,5 %)[28].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Hameaux

    La Besse, Brindou, le Cazalet, le Chiqué, Daurat, Montaragou, la Prade, Sampête, Triè...

    Histoire

    Moyen Âge

    La tradition veut que ce soit Charlemagne qui ait, en 778, fondé un monastère sur cette petite éminence rocheuse située dans une courbe de l'Hers. Une abbaye fortifiée fut bâtie par la suite, donnée en 943 à l'abbaye de Lagrasse. Au XIIe siècle elle en devint un simple prieuré. La première enceinte fortifiée fut édifiée à la même époque, ainsi que le château de Montaragou. Le 18 juin 1279, l'abbaye avec ses fortifications fut détruite par la rupture du barrage de Puivert, qui emporta également Mirepoix et les autres villages de la vallée. En 1494, le village et son abbaye sont de nouveau mis à sac, cette fois par une bande de pillards.

    Temps modernes

    C'est Philippe de Lévis-Mirepoix, évêque de Mirepoix et prieur de Camon, qui va reconstruire au début du XVIe siècle l'ensemble des bâtiments que l'on voit aujourd'hui, dont le rempart du village. Entre 1560 et 1570, le cardinal Georges d'Armagnac, alors prieur de Camon, termine l'enceinte en y accolant une tour ronde.

    Lors de la création des départements, Camon fut comprise dans l'Aude puis réunie à l'Ariège en 1794.

    La porte d'entrée principale du village fortifié.

    Époque contemporaine

    Camon a bénéficié d'une gare de 1902 à 1939 sur la ligne de Moulin-Neuf à Lavelanet. Il y eut cependant une réouverture temporaire du service voyageur du 5 mai 1941 au 6 mai 1946, la pénurie de transports routiers liée à la guerre conduisit à ajouter une voiture au train de marchandises subsistant.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de onze[29],[30].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Pamiers de la communauté de communes du Pays de Mirepoix et du canton de Mirepoix.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 En cours Sylvie Czeczotka SE Retraité Fonction publique

    Économie

    L'élevage bovin est l'activité agricole principale du village aujourd'hui.

    De la vigne a été plantée sur la commune[31] au début des années 2010 dans le cadre de l'IGP Pays Cathares.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 145 habitants[Note 5], en diminution de 4,61 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    550559578612628548516516543
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    523529516476501433418372365
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    402352383280257239204200197
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    181147116110125144157166145
    2018 - - - - - - - -
    145--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[36] 1975[36] 1982[36] 1990[36] 1999[36] 2006[37] 2009[38] 2013[39]
    Rang de la commune dans le département 158 181 197 183 173 165 166 182
    Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

    Enseignement

    Camon fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

    Culture locale et patrimoine

    La commune cotise à l'association Les plus beaux villages de France.

    Lieux et monuments

    Porte de l'église autrefois abbatiale.
    L'abbaye château de Camon - Ancienne abbatiale de la Nativité de la Vierge.
    Tour carrée des remparts.
    Les salons XVIIIe de l'abbaye de Camon.

    L'ancien prieuré et les remparts

    Ancienne abbatiale de la Nativité-de-la-Vierge de Camon.

    Lorsqu'on arrive à Camon, l'un des Plus beaux villages de France, on ne peut rater cette imposante bâtisse à l'architecture sévère. La légende veut que cette abbaye bénédictine ait été construite sur ordre de Charlemagne en 778. Quoi qu'il en soit, le premier acte mentionnant ce palais fortifié date de 943 comme simple couvent dépendant de la puissante abbaye de Lagrasse, dont au XIIe siècle elle est devenue un prieuré simple. La forteresse du méandre, en référence au cours de l'Hers-Vif, fut fortifiée à trois reprises. Les vestiges de l'église et des remparts sont inscrits Monuments historiques.

    L'église faisait partie du système défensif de la ville, sa façade nord étant appuyée sur les murs d'enceinte[40]. Les bâtiments du prieuré, protégés par une enceinte et par la rivière, sont ruinés lors de la guerre de Cent Ans[41]. Les tours sont bâties à la fin du XVe siècle[41] par Philippe de Lévis, évêque de Mirepoix et prieur de Camon. À la fin du XVIe siècle, au moment des guerres de Religion[41], on surélève les murs. Il subsiste de l'enceinte principalement le mur nord.

    L'église

    L'église, étroite et longue, est resserrée entre les bâtiments claustraux et le chemin de ronde. Elle a une abside ronde sans transept ; en tiennent lieu les deux chapelles latérales construites en 1661 et en 1664. Les deux sacristies datent de la même période, celle du nord étant le rez-de-chaussée de son clocher carré.

    Détruite en 1420 à la suite des troubles qui marquèrent cette période, elle fut reconstruite par Philippe de Lévis, évêque de Mirepoix (1497-1537). En 1566, l'église fut incendiée accidentellement. En 1660, elle est réparée ; mais ce n'est que vers 1699 que les bénédictins de Saint-Maur se réinstallent et entreprennent de refaire le mobilier. À la Révolution, elle est en partie détruite. Elle ne sera restaurée qu'au début du XXe siècle[42].

    Le château

    Les riches aménagements intérieurs du XVIIIe siècle témoignent de la puissance de ce lieu religieux. Actuellement la bâtisse est un hôtel[43].

    Le jardin d'agrément de l'abbaye de Camon

    Le jardin d'agrément de l'abbaye de Camon, propriété privée, est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[44].

    Les cabanes de Camon

    Une des 120 cabanes en pierres sèches de Camon 'La Gaita'.

    Témoins du passé viticole de Camon, les constructions en pierres sèches ont défié les lois du temps. Au Xe siècle alors que l'abbaye devient possession de Lagrasse, les paysans vont commencer à cultiver les terres autour du village. Pour faciliter la culture de la vigne et des céréales, ils construiront aidés du savoir-faire des moines, terrasses, cabanes, puits, aqueducs en pierres sèches. Ces cabanes et la culture en terrasse seront utilisés jusqu'à l'épidémie du phylloxera à la fin du XIXe siècle. Ces constructions en pierres sèches ont bénéficié d'une attention particulière au travers d'un inventaire et de restauration. On peut les découvrir aujourd'hui lors d'une très agréable balade guidée.

    La maison des pénitents blancs

    Une façade ornée de symboles théologaux : l'ancienne chapelle des pénitents blancs (XVIe siècle) ; elle est aujourd'hui privée et habitée.

    La Maison Haute

    Ancienne tour des remparts, intégrée au système défensif du bourg fortifié, la maison haute fut transformée au XVIIe siècle en demeure seigneuriale. Privée et habitée, elle est inscrite en 2007 à l'inventaire des Monuments historiques[45].

    Le métier à ferrer les bœufs

    Jadis dans les villages ruraux, il était de tradition de ferrer les bœufs pour éviter l'usure de la corne de leurs sabots. Le ferrage s'effectuait pour les animaux les moins dociles avec un métier à ferrer. Celui de Camon a été utilisé jusque dans les années 1970. Restauré en 1993, il est l'un des rares en état de fonctionner dans la région Midi-Pyrénées[46].

    Patrimoine naturel

    ZNIEFF

    La commune est concernée par quatre ZNIEFF de 1re génération :

    • Bas Pays d'Olmes

    La zone validée en 1997 couvre 13 189 ha de 23 communes[47].

    • Bois d'en Bas et bois de Borreil

    La zone validée en 1997 couvre 2 980 ha de 8 communes (Camon et sept communes de l'Aude)[48].

    • Coteau de Daurat La Ferrière

    La zone validée en 1997 couvre 29 ha communaux[49].

    • L'Hers

    La zone validée en 1997 couvre 1 132 ha de 18 communes de l'Ariège et de l'Aude[50].

    Natura 2000

    Camon est concernée par un site d'intérêt communautaire (Dir. Habitat) :

    Le site Natura 2000 « FR7301822 - Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste » désigné par arrêté du 27 mai 2009, a une superficie de 9 602 ha des départements de l'Ariège, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées et Tarn-et-Garonne[51].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    Palé contre-palé de gueules et d'or de quatre pièces[52].

    Randonnée

    Le sentier de grande randonnée 7 (sentier européen E4) passe par Camon dans l'étape de Mirepoix à Andorre-la-Vielle.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Camon », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Camon et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Camon et Pamiers », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Camon et Mirepoix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Camon », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 348-349.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    11. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
    12. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. [PDF]« Le changement climatique dans les Pyrénées : impacts, vulnérabilités et adaptation. », sur opcc-ctp.org (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Alaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    17. « Orthodromie entre Camon et Alaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station Météo-France Alaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    19. « Orthodromie entre Camon et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    20. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    29. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    31. « Quand l'histoire de la vigne en Ariège se dévoile », La Dépèche du midi, (lire en ligne)
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. Notice no PA00093781, base Mérimée, ministère français de la Culture
    41. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Éditions Publitotal, , 1304 p. (OCLC 1078727877), p. 228.
    42. Diocèse de Pamiers, Couserans et Mirepoix
    43. Abbaye Château de Camon
    44. Notice no IA09000024, base Mérimée, ministère français de la Culture
    45. Notice no PA09000018, base Mérimée, ministère français de la Culture
    46. Panneau d'information sur le Métier à ferrer les bœufs à l'entrée principale du village
    47. ZNIEFF 730011988 - Bas Pays d'Olmes sur le site de l’INPN.
    48. ZNIEFF 910030434 - Bois d'en Bas et bois de Borreil sur le site de l’INPN.
    49. ZNIEFF 730011973 - Coteau de Daurat La Ferrière sur le site de l’INPN.
    50. ZNIEFF 730011986 - L'Hers sur le site de l’INPN.
    51. - Site Natura 2000 FR7301822 - Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste sur le site de l'INPN
    52. Armorial de France
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