Bussière-Badil

Bussière-Badil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Bussière-Badil.

Pour les articles homonymes, voir Bussière.

Bussière-Badil

Le bourg et l'église de Bussière-Badil.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais
Maire
Mandat
Jean-Jacques Lavallade
2020-2026
Code postal 24360
Code commune 24071
Démographie
Gentilé Bussiérois
Population
municipale
383 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 39′ 09″ nord, 0° 36′ 22″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 292 m
Superficie 19,86 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Bussière-Badil
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Bussière-Badil
Géolocalisation sur la carte : France
Bussière-Badil
Géolocalisation sur la carte : France
Bussière-Badil
Liens
Site web bussierebadil24.fr

    Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.

    Géographie

    La Tardoire en limites de Bussière-Badil (à gauche) et d'Écuras.

    Tout au nord du département de la Dordogne, dans le parc naturel régional Périgord-Limousin, en Périgord vert, la commune de Bussière-Badil est limitrophe du département de la Charente. Le territoire communal est bordé au nord-ouest par la Tardoire et arrosé par deux de ses affluents, le Trieux et le Banaret. Au-sud-est, le ruisseau de l'Étang d'Assat, affluent du Bandiat, marque la limite communale.

    L'altitude minimale, 125 ou 127 mètres[Note 1], se trouve à l'extrême ouest, là où la Tardoire quitte la commune pour servir de limite entre celles d'Eymouthiers et d'Écuras, en Charente. L'altitude maximale avec 292 mètres est localisée dans le sud, au sud-ouest du lieu-dit la Tuilerie.

    Arrosé par le Banaret et à l'intersection des routes départementales (RD) 3, 90, 90E1 et 91E1, le bourg de Bussière-Badil se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'est-sud-est de Montbron et quatorze kilomètres au nord-nord-ouest de Nontron.

    Le territoire communal est également desservi au sud par la RD 91 et traversé d'est en ouest, sur environ six kilomètres, par le sentier de grande randonnée GR 4 .

    Communes limitrophes

    Carte de Bussière-Badil et des communes avoisinantes.

    La commune est limitrophe de sept communes dont deux dans le département de la Charente. Au sud-ouest, Teyjat n'est limitrophe que par un quadripoint. À l'ouest, la commune de Soudat a une enclave coincée entre les territoires de Bussière-Badil et d'Eymouthiers.

    Communes limitrophes de Bussière-Badil
    Écuras
    (Charente),
    Eymouthiers
    (Charente)
    Busserolles
    Soudat
    (enclave de Pellegrenier)
    Eymouthiers
    (Charente)
    Soudat,
    Teyjat
    Étouars Saint-Estèphe

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 058 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marthon », sur la commune de Marthon, mise en service en 1991[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,2 °C et la hauteur de précipitations de 822,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 55 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bussière-Badil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,6 %), prairies (33,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,1 %), terres arables (3,9 %), zones urbanisées (1,8 %), eaux continentales[Note 6] (0,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    • Bussière : du latin buxus, buis, avec le suffixe -aria, « endroit planté de buis » [20],[21]. Selon les époux Fénié, qui ne citent pas spécifiquement Bussière-Badil, le buis pousse sur un sol calcaire ou indique une occupation ancienne, notamment, en Limousin, des sites archéologiques gallo-romains [22].
    • Badil vient d'un nom de personne d'origine germanique, Baidilo[21]

    .

    En occitan, la commune porte le nom de Bussiera Badiu[23].

    Histoire

    Le premier prieuré sur l'actuelle commune fut fondé vers 768 par les Bénédictins.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Bussière-Badil est rattachée au canton de Bussière-Badil qui dépend du district de Nontron jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Nontron[24].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[25]. La commune est alors rattachée au canton du Périgord vert nontronnais.

    Intercommunalité

    Fin 2000, Bussière-Badil intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert granitique. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Haut-Périgord. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Périgord vert nontronnais pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    La mairie en 2014.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1958  ? Anatole Vigneron SFIO Propriétaire exploitant agricole
             
    1983 2000 Bernard Chambras[Note 7] PS  
    2000 2002 Martine Chabot[Note 8] MSE  
    2003 novembre 2007 Bernard Chambras[Note 9] PS  
    mars 2008 avril 2014 Jean-Pierre Terrefond DVG[28] Ouvrier
    avril 2014[29]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Jacques Lavallade DVD Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Bussière-Badil relève[30] :

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Bussière-Badil sont appelés les Bussiérois(es).

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 383 habitants[Note 10], en diminution de 9,46 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3091 2301 0371 2531 1911 3471 3761 3301 352
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3521 2931 3161 3221 3641 3631 4101 3231 318
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2561 2101 1731 0501 024910845755692
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    645584595540530523517468402
    2018 - - - - - - - -
    383--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2013, Bussière-Badil est organisée en regroupement pédagogique intercommunal[34] (RPI) avec les communes de Busserolles et Varaignes au niveau des classes de primaire. La commune se charge du cours préparatoire. Les classes de cours élémentaire s'effectuent à Varaignes et celles de cours moyen à Busserolles.

    Manifestations culturelles et festivités

    La Foire des potiers de Bussière-Badil en 2012.

    La Foire des potiers, dont c'est la 43e édition en 2019[35], rassemble chaque année sur quatre jours, du jeudi de l'Ascension jusqu'au dimanche suivant, des dizaines d'artisans potiers ou céramistes[36].

    Économie

    Emploi

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 138 personnes, soit 34,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-quatre) a augmenté par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-sept établissements[38], dont vingt-sept au niveau des commerces, transports ou services, treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans la construction, et cinq dans l'industrie[39].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin[44] depuis la création de celui-ci en 1998[45], adhésion renouvelée en 2011[46].

    Au nord et à l'ouest du territoire communal, les vallées de la Tardoire et de ses affluents, le Trieux et le Banaret, sont protégées au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I « Vallées du réseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux » dont la flore est constituée de près d'une quarantaine d'espèces de plantes, dont quatre sont considérées comme déterminantes : l'adoxe musquée, ou moscatelline, ou muscatelle (Adoxa moschatellina), la corydale à bulbe plein (Corydalis solida), l'isopyre faux-pigamon (Isopyrum thalictroides) et la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[47],[48].

    Au sud-est, la vallée du ruisseau de l'étang d'Assat fait partie d'une autre ZNIEFF de type I « Vallées du réseau hydrographique du Bandiat », également remarquable pour sa flore constituée de près d'une centaine d'espèces de plantes, dont deux sont déterminantes : l'aigremoine élevée, ou aigremoine odorante (Agrimonia procera) et à nouveau la jacinthe des bois, ou jacinthe sauvage (Hyacinthoides non-scripta)[49],[50].

    Patrimoine environnemental

    Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

    Héraldique

    Les armes de Bussière-Badil se blasonnent ainsi : « Parti, au 1er, d'azur à trois tours d'argent ouvertes, ajourées et maçonnées de sable, au 2nd d'or à la poële de sable, la queue en pointe. »

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 127 mètres sur la carte et 125 pour la boîte « Communes ».
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Bernard Chambras, maire de 1983 à 2000, était directeur du cabinet de Bernard Bioulac en 1992 durant l'affaire du comité d'expansion du département de la Dordogne. Source : La faillite d'un comité d'expansion économique entraîne-t-elle la responsabilité du département qui l'a créé ?. Après avoir purgé ses deux années d'inéligibilité, il est réélu maire en 2003 à la faveur de la démission de Martine Chabot. Il reste maire de la commune jusqu'à son décès en novembre 2007.
    8. Démissionnaire.
    9. Décédé en fonctions.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Marthon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bussière-Badil et Marthon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Marthon - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bussière-Badil et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Albert Dauzat, Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des Noms de Lieux en France, Librairie Guénégaud, réédition 1984
    21. Chantal Tanet, Tristan Hordé, Dictionnaire des Noms de Lieux du Périgord, p. 77, éditions Fanlac, Périgueux, 2000
    22. Bénédicte Boyrie-Fénié, Jean-Jacques Fénié, Toponymie des Pays Occitans, éditions Sud-Ouest, 2007
    23. Le nom occitan des communes du Périgord - Bussiera Badiu sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 septembre 2021.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 29 août 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 6.
    29. À Bussière-Badil, Sud Ouest édition Périgueux du 10 avril 2014, p. 20.
    30. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. École élémentaire publique à Bussière-Badil sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 2 août 2013.
    35. « Le marché céramique », Sud Ouest édition Dordogne, 29 mai 2019, p. 11.
    36. « Les potiers de retour au village », Sud Ouest édition Périgueux, 16 mai 2012.
    37. Dossier complet - Commune de Bussière-Badil (24071) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 23 août 2018.
    38. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    39. Dossier complet - Commune de Bussière-Badil (24071) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 23 août 2018.
    40. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 57.
    41. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 31.
    42. « Église », notice no PA00082425, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2014.
    43. Maison forte de Belleville à Bussière-Badil
    44. Parc Naturel Régional Périgord - Limousin, DREAL Aquitaine, consultée le 4 mai 2019.
    45. Décret 98-150 du 9 mars 1998 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    46. Décret 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 5 mai 2019.
    47. [PDF] Vallées du réseau hydrographique de la Tardoire et du Trieux, INPN, consulté le 5 mai 2019.
    48. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012831, INPN, consulté le 5 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
    49. [PDF] Vallées du réseau hydrographique du Bandiat, INPN, consulté le 5 mai 2019.
    50. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012830, INPN, consulté le 5 mai 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
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