Blanquefort-sur-Briolance
Blanquefort-sur-Briolance est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Blanquefort-sur-Briolance | |||||
Vue générale. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Fumel Vallée du Lot | ||||
Maire Mandat |
Sophie Gargowitsch 2020-2026 |
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Code postal | 47500 | ||||
Code commune | 47029 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
484 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 36′ 03″ nord, 0° 58′ 15″ est | ||||
Altitude | 200 m Min. 104 m Max. 274 m |
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Superficie | 41,93 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Fumélois | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.blanquefortsurbriolance.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune est située en haut-Agenais en limite du Périgord noir, dans le nord-est du département de Lot-et-Garonne. Le village est en rive gauche (côté est) de la Briolance, affluent de la Lémance (bassin hydrographique de la Garonne) et qui traverse la commune du nord au sud[1].
Communes limitrophes
Blanquefort-sur-Briolance est limitrophe de huit autres communes dont trois dans le département de la Dordogne[1].
Hameaux et lieux-dits
La commune comprend de nombreux hameaux, dont le plus gros est Saint-Chaliès, et un petit village : la Sauvetat de Blanquefort[1] (sans trait d'union[2]).
Hydrographie
Outre la Briolance déjà mentionnée plus haut, la Lède, elle aussi affluent du Lot en rive droite et donc sous-affluent de la Garonne, prend source sur la commune à 3,2 km au nord-ouest du village, vers le hameau de Capoulèze[1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lacapelle-Biron-Pailloles », sur la commune de Lacapelle-Biron, mise en service en 1986[9]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8 °C et la hauteur de précipitations de 903,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 59 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,4 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Blanquefort-sur-Briolance est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (75,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,6 %), zones agricoles hétérogènes (14,9 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Préhistoire
- Grotte de la Borie del Rey
La grotte de la Borie del Rey est le site éponyme pour le Laborien, un faciès culturel de l'Épipaléolithique (phase finale du Paléolithique) qui caractérise une transition du Magdalénien vers le Néolithique.
La grotte est fouillée dans les années 1950 par Laurent Coulonges, qui y trouve dans les couches inférieures un ensemble « Magdaléno-Périgordien ». Il établit un parallèle entre ce profil et les niveaux les plus récents du Roc Allan, un site voisin. Il définit la série de la Borie comme du Laborien, un nom qui apparaît dans sa littérature en 1963 pour désigner une lente évolution du Magdalénien final vers le Mésolithique[22].
J.M. Le Tensorer, qui passe sur le site en 1971 avec L. Coulonges, fait un croquis de relevé de coupe et précise la stratigraphie avec un Proto- ou Pré-Laborien (couche c7), un Laborien (couche c5) et un Épi-Laborien (couche c3)[23].
Elle est fouillée de nouvea[Roussot-Larroque 1987] Julia Roussot-Larroque, « Les deux visages du Néolithique ancien d’Aquitaine », dans Jean Guilaine, Jean Courtin, Jean-Louis Roudil et al., Premières communautés paysannes en Méditerranée occidentale (Colloque international du C.N.R.S.), CNRS Éditions, coll. « Histoire », , 764 p., sur books.openedition.org (lire en ligne), p. 681-691u du 6 au 24 mai 2019 par une équipe dirigée par Matthieu Langlais[24].
J. Roussot-Larroque y reconnaît également du Préroucadourien II (éponyme de la grotte de Roucadour), avec quelques tessons de poterie à pâte homogène criblée de dégraissants[25].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].
En 2018, la commune comptait 484 habitants[Note 5], en diminution de 2,62 % par rapport à 2013 (Lot-et-Garonne : −0,36 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Le territoire de la commune étant presque entièrement recouvert par la forêt, plusieurs établissements en dépendent : une scierie, quelques exploitations forestières et des petites entreprises de la filière bois et de châtaignes. Une entreprise de métallurgie est aussi installée sur la commune. Une carrière, qui peine à s’installer sur la commune, est en projet, ce qui maintiendrait 3 emplois.
Vie locale
Enseignement
La commune dispose d'une école maternelle et d'une école primaire dont les classes sont réparties avec la commune voisine de Gavaudun[32].
À la rentrée 2016, la pédagogie Montessori y sera mise en place - une première en France pour une école publique[32]. Le choix a été fait par la maire de la commune, Mme Gargowitsch, avec accord du maire de la commune de Gavaudun pour garantir un nombre suffisant d'élèves et le maintien des classes[32].
Culture et événements
- Tournage de l'émission Des racines et des ailes à l'été 2010.
- Fête de la Citrouille et de la Saint-Martin en octobre et fête des Fleurs en mai.
- Randonnées VTT et pédestre Lou Castagnal au mois d'août.
- Marché fermier en juillet et août, les dimanches matins.
- Diverses associations y existent comme l'association Val Lémance.
- Public Sénat difuse le dimanche 19 février 2017 un portrait du maire de la commune dans la série "C'est vous la France".
Inventaire du patrimoine culturel immatériel
Le patrimoine culturel immatériel à Blanquefort-sur-Briolance *
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Domaine | Pratiques festives |
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Lieu d'inventaire | Nouvelle-Aquitaine Lot-et-Garonne Blanquefort-sur-Briolance |
Certaines pratiques culturelles vivantes de Blanquefort-sur-Briolance sont inscrites à l'Inventaire du patrimoine culturel immatériel en France[33].
- La quête des œufs
La quête des œufs était une tradition très suivie jusque dans les années 1980. Depuis, cette pratique s’est arrêtée, mais elle a tendance à revenir sur le devant de la scène pour la Toussaint. Le principe de la quête des œufs est que des groupes de garçons aillent toquer aux portes des maisons et des fermes pour obtenir des œufs. La dernière maison visitée est celle où l’on fera l’omelette. Cette maison n’est pas choisie au hasard, c’est là où il y a une fille à marier. On comprend qu’aujourd’hui, la pratique ait encore du mal à survivre, les poulaillers se faisant rares chez les habitants et les rencontres se faisant par d’autres biais. Il se pouvait aussi que des affrontements éclatent entre les groupes de garçons, qui se jetaient alors les œufs.
- Le carnaval
Le carnaval de Blanquefort était apprécié des enfants car c’était l’occasion pour eux d’aller fouiller dans le grenier pour trouver de vieux vêtements qui constitueraient leurs déguisements. Ils fabriquaient également des masques, le tout dans le but de ne pas être reconnu lors de la chasse aux bonbons chez les habitants de Blanquefort. Cette tradition, qui a disparu dans les années 1960, a été réhabilitée mais se déroule désormais à la Toussaint, en reprenant les rituels de la Saint-Martin et du carnaval, à l’image des fêtes de la Saint-Martin en Allemagne par exemple. Désormais, les adultes participent à la quête aux côtés des enfants, des musiciens habillés en petaçons sillonnent également les rues ornées de citrouilles et de bougies. Un repas est ensuite donné au bar-restaurant du village.
- Les contes
Les contes ont souvent portés sur des histoires locales, comme la légende de la pierre du pied du Diable.
Lieux et monuments
- Château de Blanquefort-sur-Briolance[34] ;
- Église Notre-Dame de Blanquefort-sur-Briolance[35] ;
- Église de Saint-Chaliès[36],[37] ;
- Église Sainte-Madeleine de La Sauvetat de Blanquefort[38],[39],[40] ;
- Hauts-fourneaux de Blanquefort-sur-Briolance[41],[42] ;
- Ferme de Blanquefort-sur-Briolance[43] ;
- Manoir Latour de La Sauvetat de Blanquefort[44].
Église Notre-Dame de Blanquefort. Église de Saint-Chaliès. Église de La Sauvetat de Blanquefort. Entrée du château de Blanquefort-sur-Briolance Ancien haut-fourneau.
Personnalités liées à la commune
- la famille de Roquefeuil-Blanquefort, dont Bérenger de Roquefeuil (1448-1530), constructeur du château de Bonaguil.
- Pierre Sylvain Régis (1632-1707), philosophe français disciple de Descartes, membre de l'Académie royale des sciences, né à La Sauvetat de Blanquefort.
- Léon Rabot, né à la fin du XIXe siècle dans la commune, cycliste professionnel ayant accompli deux Tours de France.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- [Langlais et al. 2014] Mathieu Langlais, Luc Detrain, Jean-Georges Ferrié, Jean-Baptiste Mallye, Benjamin Marquebielle, Solange Rigaud, Alain Turq, Peggy Bonnet-Jacquement, Myriam Boudadi-Maligne, Solène Caux, Célia Fat Cheung, Nicolas Naudinot, André Morala, Nicolas Valdeyron et François-Xavier Chauvière, « Réévaluation des gisements de La Borie del Rey et de Port-de-Penne : nouvelles perspectives pour la transition Pléistocène-Holocène dans le Sud-Ouest de la France » (Bordeaux, 24-25 mai 2012), Actes de la séance de la Société préhistorique française, no 3, , p. 83-128 (lire en ligne [PDF] sur prehistoire.org, consulté le ).
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Blanquefort-sur-Briolance, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- « La Sauvetat de Blanquefort », vue en caméra de rue sur l'entrée du village (et sur le panneau montrant le nom sans trait d'union), sur google.fr/maps (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Blanquefort-sur-Briolance et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lacapelle-Biron-Pailloles - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Blanquefort-sur-Briolance et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Langlais et al. 2014, p. 85.
- Langlais et al. et 2014 Réévaluation des gisements de La Borie del Rey et de Port-de-Penne, p. 85.
- « Nouvelles fouilles à La Borie del Rey », sur prehistoire.org (consulté le ).
- , paragr. 35.
- Les maires du canton de Fumel, p. 801, dans La vallée de la Lémance et sa région, Revue d'histoire de Lot-et-Garonne et de l'ancien Agenois, Académie des sciences, lettres et arts d'Agen, juillet-septembre 2006, no 3.
- « Sophie Gargowitsch à Blanquefort-sur-Briolance », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Marie Godfrain, « « J’ai sauvé l’école de mon village grâce à la méthode Montessori » », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
- « Patrimoine culturel immatériel à Blanquefort-sur-Briolance », Fiche d’inventaire(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur culturecommunication.gouv.fr.
- « Château », notice no IA47000517, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de bénédictins Notre-Dame dit église Notre-Dame-de-Milhac », notice no IA47000510, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Éloi (?), Saint-Chaliès », notice no IA47000514, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église paroissiale Saint-Éloi de Saint-Chaliès »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
- « Prieuré de bénédictines Sainte-Marie, Sainte-Madeleine dit prieuré de la Sauvetat-des-Monges », notice no IA47000511, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Sainte-Madeleine de La Sauvetat »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
- [Tholin 1874] Georges Tholin, Études sur l'architecture religieuse de l'Agenais du Xe au XVIe siècle, suivies d'une notice sur les sépultures du Moyen Âge (monographie), Agen, librairie J. Michel, (lire en ligne [PDF] sur academie47.fr), p. 105-106.
- « Usine métallurgique dite forge de Blanquefort, moulin à blé, usine de boissons non alcoolisées, actuellement entrepôt commercial », notice no IA47000678, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Usine métallurgique dite forge de Blanquefort »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
- « Ferme de Blanquefort-sur-Briolance »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
- « Manoir Latour de La Sauvetat »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur visites.aquitaine.fr.
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