Biars-sur-Cère
Biars-sur-Cère est une commune française, située dans le département du Lot, en région Occitanie.
Biars-sur-Cère | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lot | ||||
Arrondissement | Figeac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne | ||||
Maire Mandat |
Elie Autemayoux 2020-2026 |
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Code postal | 46130 | ||||
Code commune | 46029 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Biarnais | ||||
Population municipale |
2 090 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 576 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 904 hab. (2013) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 55′ 44″ nord, 1° 50′ 52″ est | ||||
Altitude | 141 m Min. 125 m Max. 265 m |
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Superficie | 3,63 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Biars-sur-Cère (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Biars-sur-Cère - Saint-Céré (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cère et Ségala (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Lot
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Site officiel de Biars sur Cère | ||||
Géographie
Ville située à l'extrême nord du Lot, à la limite avec le département de la Corrèze, dans les vallées de la Cère et de la Dordogne sur l'ancienne route nationale 140. Elle forme une agglomération avec la commune voisine de Bretenoux.
Communes limitrophes
Biars-sur-Cère est limitrophe de quatre autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu S/dor. », sur la commune de Beaulieu-sur-Dordogne, mise en service en 1952[7]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Deux espaces protégés sont présents sur la commune :
- le bassin de la Dordogne, réserve de biosphère, zone de transition, d'une superficie de 1 880 257,7 ha[16] ;
- le bassin de la Dordogne, réserve de biosphère, zone tampon, d'une superficie de 507 001,1 ha[17].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Cère et tributaires »[19], d'une superficie de 3 031 ha, qui présente un intérêt notable largement lié à la présence de frayères potentielles pour les poissons migrateurs anadromes (Salmo salar, Petromyzon marinus) ainsi que par la présence de la loutre[20].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[21] : la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » (737 ha), couvrant 14 communes dont une dans le Cantal, quatre dans la Corrèze et neuf dans le Lot[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 5],[21] : la « vallée et gorges de la Cère » (6 777 ha), couvrant 22 communes dont quatre dans le Cantal, six dans la Corrèze et 12 dans le Lot[23].
Urbanisme
Typologie
Biars-sur-Cère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Biars-sur-Cère, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[27] et 4 545 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biars-sur-Cère - Saint-Céré, dont elle est la commune-centre[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (64,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,8 %), forêts (13,3 %), cultures permanentes (8,7 %), prairies (0,1 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le toponyme Biars est d'origine germanique avec le radical Wit bois ou ber ours et la terminaison hard voulant dire fort. Sur-Cère a été ajouté en 1934[33].
Histoire
Du Moyen Âge à la Révolution
L’histoire de Biars est liée à celle de la forteresse médiévale voisine, le château de Castelnau, aujourd'hui situé sur la commune de Prudhomat. Le cartulaire de l’abbaye de Beaulieu-sur-Dordogne mentionne Biars dès l’an 893.Le village dépend, au point de vue religieux, de ladite abbaye, dont il est d'abord un prieuré en 911, puis un doyenné en 1399.
Sur le plan administratif, Biars fait partie de la châtellenie de Gagnac, elle-même dépendante de la vicomté de Turenne. Cependant, un procès long de cinq cents ans oppose les vicomtes et les barons de Castelnau pour la possession de Biars. Le procès ne prend fin qu'en 1789. À cette date, Biars, qui compte alors 250 habitants, est érigé en commune. L'autonomie du village gagne la sphère religieuse : en 1803, Biars devient paroisse annexe de Gagnac puis, en 1809, paroisse de plein exercice[34].
L'essor économique (XIXe et XXe siècles)
Le flottage du bois sur la Cère au port de Lacaze[Information douteuse], la construction en 1891 de la ligne ferroviaire Souillac - Saint Denis - Aurillac ainsi que la gare SNCF de Biars donnent à la commune un essor économique grandissant.
Avec la construction de cette ligne ferroviaire s'implante à Biars un chantier de fabrication de traverses en bois destinées à supporter les rails de chemin de fer. Ce chantier, occupant une superficie de 25 hectares et employant près de 150 agents, constitue le seul et unique atelier SNCF en France de fabrique et de traitement de traverses en bois.
Autour de ce nouveau pôle économique s'installent au début du XXe siècle des négociants en fruits, légumes et marchandises de toutes sortes. Deux de ces négociants, dont le confiturier Andros, mettent en place, à partir de 1940, la transformation à l'échelle industrielle des fruits en confiture. Aujourd'hui installé sur la zone d'activité Biars-Gagnac (50 ha), Andros y a implanté son siège social et a consacré la ville de Biars comme « Capitale européenne de la confiture ».
Sur ce même site s'installent des entreprises de la chaudronnerie et de formage de métaux, de fabrication de peintures, de construction de charpente métallique, de transformation du bois, de plats cuisinés, de transport, de bureaux d'études en mécanique de précision, qui font de Biars un des plus importants pôles industriels du département, générant plus de 1 200 emplois[34].
Politique et administration
Liste des maires
Elle fait partie du Pays de la Vallée de la Dordogne lotoise.
Politique environnementale
Biars est récompensée par deux fleurs au palmarès du concours des villes et villages fleuris[36].
Population et société
Aire urbaine de Biars-sur-Cère
Démographie
Ses habitants sont appelés les Biarnais(es).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2018, la commune comptait 2 090 habitants[Note 8], en augmentation de 5,29 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
selon la population municipale des années : | 1968[41] | 1975[41] | 1982[41] | 1990[41] | 1999[41] | 2006[42] | 2009[43] | 2013[44] |
Rang de la commune dans le département | 14 | 9 | 10 | 10 | 10 | 10 | 10 | 10 |
Nombre de communes du département | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 | 340 |
Enseignement
Biars possède :
- une école primaire ;
- une bibliothèque ;
- une Cyber base.
Sports
La commune est dotée de plusieurs équipements sportifs :
- une piscine municipale (ouverte uniquement en été) ;
- un gymnase ;
- un terrain de football ;
- un terrain de rugby ;
- un dojo.
Évènement : Tour du Limousin 1995.
Économie
Biars est le haut lieu des confitures, depuis qu'y est installée la direction du groupe Andros ainsi que ses usines de compote Andros et de confiture Bonne Maman[45] (830 salariés), ainsi que celle du groupe Boin-Materne (170 salariés). D'autres ateliers s'y sont établis : entremets et desserts Tradifrais (150 salariés), peintures et vernis SOB (50 salariés), mécanique Techniques et Formages (40 salariés) et CFM (25 salariés), centre commercial Leclerc (90 salariés), transports Dumont (20 salariés) et les Établissements Boy-Maury (15 salariés) primeurs et grossiste en noix.
Culture locale et patrimoine
Personnalités liées à la commune
- René Vidal
- David Moncoutié, coureur cycliste
Héraldique
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Les armes de Biars-sur-Cère se blasonnent ainsi : « Écartelé : au premier et au quatrième d'argent à la manufacture à deux cheminées de sable, au deuxième d'azur à la voie ferrée (rail) d'argent posée en fasce, au troisième d'azur à la fasce ondée d'argent, le tout enfermé dans une bordure de gueules chargée de huit besants d'or ; sur le tout, coticé d'or et de gueules (ce blason a été créé par Frédéric Luz (Armorial de France et d'Europe n°2 1991)). » |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Biars-sur-Cère et Beaulieu-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Biars-sur-Cère et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
- « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Biars-sur-Cère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300900 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Biars-sur-Cère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « rivière de la Cère et ruisseau d'Orgues » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF la « vallée et gorges de la Cère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 107.
- « Mairie de Biars-sur-Cère », sur www.biars-sur-cere.fr (consulté le ).
- « Les maires de Biars-sur-Cère », sur Site francegenweb, (consulté le ).
- Source : Villes et Villages Fleuris
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Claire Bader, « Le coup de jeune de Bonne Maman », Capital n°216, septembre 2009, pages 32-35.
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