Beaumont-lès-Valence

Beaumont-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. La commune est située dans l'agglomération valentinoise.

Cet article concerne l'une des trois communes homonymes dans la Drôme. Pour les deux autres communes homonymes drômoises, voir Beaumont-en-Diois et Beaumont-Monteux. Pour les autres articles homonymes, voir Beaumont.

Beaumont-lès-Valence

La tour et la mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Cyril Vallon
2020-2026
Code postal 26760
Code commune 26037
Démographie
Gentilé Beaumontois, Beaumontoises
Population
municipale
3 815 hab. (2018 )
Densité 217 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 46″ nord, 4° 56′ 36″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 221 m
Superficie 17,61 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valence-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Beaumont-lès-Valence
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Beaumont-lès-Valence
Géolocalisation sur la carte : France
Beaumont-lès-Valence
Géolocalisation sur la carte : France
Beaumont-lès-Valence

    La commune a la particularité de posséder une église-temple.

    Ses habitants sont dénommés les Beaumontois.

    Géographie

    Localisation

    La commune de Beaumont-lès-Valence est limitrophe(au sud-est) de la ville de Valence, préfecture de la Drôme.

    Valence Malissard Malissard
    Montéléger N Montvendre
    O    Beaumont-lès-Valence    E
    S
    Montéléger Montmeyran Montmeyran

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par le réseau de bus Citéa / Voir sur : http://www.citea.info.

    • Citéa 25 Valence Gare Routière - (Ne dessert pas : Beaumont gare) - Montmeyran/le parc.
    • Citéa 25C Valence Gare Routière - (Ne dessert pas : La tour, Les mottes, Foisonnet) - Montéléger - Montmeyran/le parc - Crest.

    Urbanisme

    Typologie

    Beaumont-lès-Valence est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-lès-Valence, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[4] et 9 891 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,7 %), zones urbanisées (9,4 %), forêts (7,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), cultures permanentes (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[11] :

    • 1226 : villa Bellimontis (Columbi, De reb. episc. Valent. et Diens., 56 / archives de l'évêché de Valence et de Die ).
    • 1397 : castrum Bellimontis (Ord. des rois de France, VIII, 136).
    • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Bellimontis (pouillé de Valence).
    • 1483 : mention du prieuré : prioratus Beate Marie Bellimontis (terrier de Beaumont).
    • 1584 : Beaulmont en Valentinoys (archives de la Drôme, E 2318).
    • 1615 : mention du prieuré : Nostre Dame des Romeziers de Beaumont (rôle de décimes).
    • 1891 : Beaumont-lès-Valence, commune du canton de Valence.

    Étymologie

    Les « Beaumont » sont des toponymes signalant l'intérêt d'un mont par sa hauteur ou la protection qu'il peut apporter aux habitants du lieu[réf. nécessaire].

    En français, la préposition lès signifie « près de ». D'usage ancien, elle n'est rencontrée que dans les toponymes : il faut donc comprendre « Beaumont près de Valence ».

    Histoire

    Antiquité : les Gallo-romains

    Buste romain, trouvé au quartier de Laye, en 1964

    IIe siècle : Restes d'une villa romaine au quartier de Laye / aucune inscription[réf. nécessaire].

    Domaine de Laye à l'ouest de la commune : site probable d'une villa romaine de grande importance (plus de 5 000 m2) :

    • En 1885, plusieurs cercueils en pierre calcaire sont découverts, contenant un grand squelette, un plus petit et une boucle de ceinture en or. Trouvés également, des tuyaux de fontaine en plomb, des fragments de statue, monnaie et bagues[12].
    • En 1964, un buste romain est trouvé au quartier de Laye[réf. nécessaire].
    • En 1978, le club archéologique Crouzet (M. Guillorit) confirme cette occupation. Il est trouvé des sigillées claires et une statuette de Mercure en alliage cuivré[13].

    Du Moyen Âge à la Révolution

    La seigneurie[11] :

    • Terre des Montvendre.
    • 1183 : acquise par les évêques de Valence.
    • 1226 : aliénée à Silvion de Crest.
    • 1577 : vendue (sous faculté de rachat) aux Chastellier.
    • 1607 : recouvrée par les évêques, derniers seigneurs.

    1689 (démographie) : 180 familles[11].

    1789 (démographie) : 253 chefs de famille[11].

    Avant 1790, Beaumont-lès-Valence était une communauté de l'élection, subdélégation et bailliage de Valence, formant une paroisse du diocèse de Valence. Son église était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît et de la dépendance de l'abbaye de la Chaise-Dieu, en Auvergne, connu dès 1166, et dont le titulaire était décimateur à Beaumont et à Montéléger[11].

    De la Révolution à nos jours

    Dès 1789, les communautés catholiques et protestantes revendiquent l'église pour l'exercice de leur culte. Les protestants n'avaient plus de temple depuis 1686[réf. nécessaire].

    En 1790, Beaumont-lès-Valence est compris dans le canton d'Étoile. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Valence[11].

    En février 1790, a lieu à Beaumont l'élection du premier maire : le pasteur protestant Jean Abraham Chiron. Le premier officier municipal est Antoine Ollivier, curé de la paroisse et partisan d'un œcuménisme d'avant-garde[réf. nécessaire].

    Les catholiques jouissent de l'église entière jusqu'en 1792. Cette même année, le directoire de la Drôme accepte le partage à des heures différentes. En 1793, l'église devient temple de la raison au moment où Robespierre interdit les cultes. Elle servira de maison commune, c'est-à-dire de mairie jusqu'en 1802 où elle retrouve sa vocation première avec le rétablissement des cultes[réf. nécessaire].

    • En 1804, une nouvelle demande de partage est faite. L'autorisation est donnée par décret du préfet en date du 17 thermidor an XIII (). Le mur de séparation est construit en 1806 afin de séparer la nef et le chœur. Le chœur reste l'église, la nef devient le temple[réf. nécessaire].
    • Bien que classée monument historique depuis de nombreuses années, les travaux de restauration ne commencent qu'à partir de 1973 avec une première réfection du toit du clocher et la construction d'une terrasse à la place de la toiture[réf. nécessaire].
    • En 1978, la démolition d'une maison attenante donne au monument un meilleur aspect.
    • En 1992, s'achèvent les dernières restaurations tant du côté église que du côté temple (avec l'aide des Bâtiments de France)[réf. nécessaire].
    • Depuis 1990, les deux communautés religieuses s'interrogeaient sur l'ouverture d'une porte dans le mur de séparation. La démolition du mur entre les deux piliers centraux fut commencée le 8 janvier 2008. Aujourd'hui, une belle porte constituée de quatre panneaux amovibles sur rails permet une large ouverture de 4,5 m de large et 6,5 m de haut. Elle permet aux deux communautés de jouir de l'ensemble de l'édifice. L'inauguration s'est déroulée le 25 avril 2008, suivie, le 27, par une célébration œcuménique, avec signature de la charte d'utilisation de cette ouverture[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 27.

    À la suite de l'élection municipale de 2014, le conseil municipal est composé de 7 adjoints et de 19 conseillers municipaux[14].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 1792 Jean Abraham Chiron    
             
    1870 1884 Jean-Louis Janoyer    
    1884 1925 Alcide Chanas   conseiller d'arrondissement (Canton de Valence)
    1925 1929 Paul Coupier    
    1929 1935 Adrien Point    
    1935 1944 Eugéne Reynaud    
    1944 1946 Emile Brun    
    1946 1953 Louis Clot    
    1953 1959 Emile Brun    
    1959 1974 Charles Lombard    
    1974 1983 Venant Martin PS  
    1983 2001 Robert Klein    
    2001 2008 Bernard Curinier DVD  
    2008 2014 Jean-Michel Pomarel DVG  
    2014 2020 Patrick Prélon    
    2020 2026 Cyril Vallon    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].

    En 2018, la commune comptait 3 815 habitants[Note 3], en augmentation de 3,02 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9079569101 1331 2001 2471 2481 3381 359
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4141 4681 3381 3701 3151 2401 2291 1351 194
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1711 2061 1701 0831 1211 1521 0401 0471 120
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    1 2521 3331 8732 6673 1173 6793 7363 7963 621
    2018 - - - - - - - -
    3 815--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Corso : dimanche de Pâques[19].

    Cultes

    La commune a la particularité de posséder une église-temple[20].

    Les cultes catholique et protestant se sont partagé l'église-temple. Le culte catholique se pratique dans le chœur ; le culte protestant dans une nef[19]. Abritant à la fois les catholiques et les protestants sous le même toit, le bâtiment est à ce jour un monument exceptionnel dans la région[21].

    Économie

    En 1992 : céréales, vergers, vignes, ovins, porcins / coopérative agricole / ferronnerie[19].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Porte fortifiée du XIVe siècle (inscrite IMH) avec tour-horloge et campanile[19].
    • Centre ancien : tourelle Renaissance[19].
    • Les remparts (commencés en 1336) : la tour reste le seul vestige visible aujourd'hui. À l'origine, elle constituait la porte d'accès au village. Elle était doublée d'une palissade en bois qui assurait un premier système défensif, alors que l'Écoutay (ruisseau se jetant dans la Véore, dont le débit était beaucoup plus important et ses crues très dévastatrices) longeait les ouvrages militaires[réf. nécessaire].
      • Pendant la période révolutionnaire, la tour devient une « mairie » occasionnelle et la salle du premier étage est aménagée en salle des archives. Par délibération municipale du , sa démolition est votée à l'unanimité, mais les villageois s'élèvent contre cette décision[réf. nécessaire].
    • Église-temple (classement par arrêté du 22 septembre 1914 au titre des monuments historiques[22]) :
      • Ancienne église construite par les bénédictins de l'abbaye de la Chaise-Dieu au XIe siècle[20] (ou ancien prieuré du XIIe siècle : trois nefs, chapiteaux[19]).
      • Dès la réforme, l'église est utilisée pour le culte protestant, mais les guerres de Religion sont à l'origine des différentes mutilations et transformations de l'église, très souvent laissée à l'abandon.
      • Le bâtiment est mis à sac et pillé trois années consécutives de 1559 à 1561. Le , le baron des Adrets et ses troupes ravagent l'église et l'incendient. Elle demeure 36 ans sans toiture[23].
      • À la suite de la promulgation de l'Édit de Nantes, dès 1598, une première restauration sommaire de la toiture est réalisée[23]. Les protestants construisent un nouveau temple (qui sera détruit lors de la révocation du même édit de Nantes)[20].
      • En 1603, le clocher est restauré. La toiture, posée en 1598, s'effondre à nouveau en 1665[23].
      • En 1731, Alexandre Milon de Mesme, évêque de Valence et seigneur de Beaumont, ordonne sa reconstruction à l'occasion d'une visite pastorale. L'église se trouve dans un état très proche de la ruine. Un lambris est posé sur la moitié ouest pour remplacer les voûtes effondrées. On relève un pilier et une partie des voûtes dans la moitié est (plus tard, cette différence d'architecture sera utilisée pour la séparation entre la partie catholique et la partie protestante). Cette importante restauration de 1748 donne à l'église son aspect actuel[23].

    Personnalités liées à la commune

    • Paul Jouvet (1882-1981) : peintre[réf. nécessaire].
    • Adrien Borel (1886-1966) : psychiatre et psychanalyste, élève de Freud[réf. nécessaire].
    • François Kiène : artiste-sculpteur sur fer ayant son atelier à Beaumont-lès-Valence[24].
    • Jean-Michel Peretti (né en 1951) : artiste-peintre ayant son atelier à Beaumont-lès-Valence.
    • Georges Meurdra (né en 1960) : artiste-sculpteur sur métal ayant son atelier à Beaumont-lès-Valence.
    • Sébastien Chabal (né en 1977) : joueur de rugby à XV. Il a grandi à Beaumont-lès-Valence.

    Héraldique, logotype et devise

    Beaumont-lès-Valence possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Beaumont-lès-Valence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 29.
    12. Chronique dans bulletin de la société arch. de la Drôme, 17.1883, p. 215,329,330. m Villard.1915 p. 267.
    13. Chronique dans Revue drômoise, 82, 1980, Archive S.R.A, lettre de M. Guillorit site no 2285.
    14. « 26760 BEAUMONT LES VALENCE », sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Beaumont-lès-Valence.
    20. « Le temple-église de Beaumont-lès-Valence (Drôme) », sur Musée protestant (consulté le ).
    21. Viviane Rageau, Laissez-vous conter le territoire de Valence, Valence, Valence agglo-Sud Rhône-Alpes, , 20 p., Richesse du patrimoine religieux page 10.
    22. « « Eglise-temple », notice no PA00116892, base Mérimée, ministère français de la Culture. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Eglise/Temple Notre-Dame », sur https://www.patrimoine-religieux.fr/ (consulté le ).
    24. http://www.beaumontlesvalence.fr/IMG/pdf/55-_Les_clowns_de_Francois_Kiene---.pdf
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