Baye (Finistère)

Baye [bεj] est une commune française, située dans le département du Finistère en région Bretagne.

Pour les articles homonymes, voir Baye.

Baye

L'église Saint-Pierre-aux-Liens.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Intercommunalité Quimperlé Communauté
Maire
Mandat
Pascal Bozec
2020-2026
Code postal 29300
Code commune 29005
Démographie
Gentilé Bayois
Population
municipale
1 198 hab. (2018 )
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 51′ 29″ nord, 3° 36′ 12″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 70 m
Superficie 7,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Quimperlé
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quimperlé
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Baye
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Baye
Géolocalisation sur la carte : France
Baye
Géolocalisation sur la carte : France
Baye
Liens
Site web www.baye.fr bayefinistere.fr

    Géographie

    Baye est une commune appartenant à la communauté de communes du pays de Quimperlé (Quimperlé Communauté). Avec une superficie de seulement 729 hectares, elle est la plus petite du secteur. Elle est attenante à Quimperlé à l'est, à Mellac au nord, à Moëlan-sur-Mer au sud et à Riec-sur-Bélon à l'ouest. Elle ne possède que des limites artificielles sauf avec Riec-sur-Bélon (le cours de la rivière du Bélon servant de limite). D'un point de vue historique, elle appartient à la Cornouaille.

    Communes limitrophes de Baye
    Mellac
    Riec-sur-Belon Quimperlé
    Moëlan-sur-Mer

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 055 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bannalec », sur la commune de Bannalec, mise en service en 1984[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 1 221 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, dans le département du Morbihan, mise en service en 1952 et à 16 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Baye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Quimperlé, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols détaillée de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC). Le bocage a été en grande partie préservé et les petites parcelles de terre entourées de talus et d'arbres occupent près de la moitié de la surface de la commune.

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 12,0 % 87
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 0,4 % 3
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 21,0 % 153
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 3,4 % 25
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 48,3 % 351
    Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 3,4 % 25
    Forêts de feuillus 11,4 % 83
    Source : Corine Land Cover[19]

    Toponymie

    Baye est citée pour la première fois en 1050 sous l'appellation latine d'Ecclesia de Bei.

    Baye, en breton Bei, proviendrait de Baya, vierge écossaise et compagne de Saint Maure.

    Il n'existe cependant aucune certitude sur ce toponyme.

    Histoire

    Origines

    La création de la paroisse de Baye résulterait, selon la vie de saint Gurthiern, d'une donation par le roi Gradlon d'un terroir de mille pas autour de l'ermitage du saint dans la plaine.

    Moyen Âge

    À l'époque féodale, les terres de Baye relevaient du fief de la puissante seigneurie de Quimerch, dont le siège était situé dans la paroisse voisine de Bannalec. Au XVe siècle, deux manoirs sont attestés sur le territoire actuel de Baye : un à Locquillec et l'autre à Kermorial. À la réformation des fouages de 1426, Richard de Kermorial, qui réside en son manoir de Kermorial, est le seul noble cité pour la paroisse.

    En 1759, la paroisse de Baye [le nom est écrit Bey] devait chaque année fournir 6 hommes pour servir de garde-côtes[20].

    Révolution française

    La petite paroisse est érigée en commune en 1790 et cède deux villages à sa voisine Moëlan-sur-Mer.

    Le XIXe siècle

    En 1842, l'ancienne église est démolie car elle menaçait ruine. Il s'agissait d'un édifice de plan rectangulaire et à chevet plat datant du XVIe siècle. Une nouvelle église, réalisée suivant les plans de l'architecte diocésain Joseph Bigot, est bâtie. Le petit clocher est le seul élément à avoir été sauvegardé de l'ancienne église.

    Un rapport de l'inspecteur d'académie signale en 1880 que la commune de Baye fait partie des six communes du département du Finistère « encore dépourvues de tout moyen d'instruction »[21].

    Jusqu'au début du XXe siècle, le bourg paroissial, de taille modeste, a compté moins d'habitants que le village de Locquillec. Le bourg ne s'est en effet développé que tardivement le long de l'axe routier Quimperlé - Pont-Aven.

    La Belle Époque

    En 1903, le curé de Baye, l'abbé Berthou, écrit : « Tous [les enfants] à coup sûr, apprennent le français, mais sans bien le comprendre »[22].

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Baye porte les noms de 33 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, 3 au moins sont morts sur le front belge dès août 1914 (Jean Goanvic le à Arsimont, Jean Christien et Pierre Pérennou le à Maissin) ; un au moins (Louis Dagorn) est mort en Turquie lors de la Bataille de Sedd-Ul-Bahr ; un au moins (Jean Péron[23]) est mort dans les Balkans, en Serbie, dans le cadre de l'expédition de Salonique ; la plupart des autres sont morts sur le sol français (parmi eux, Louis Le Gall[24] a été décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et Mathurin Auffret[25] de la Croix de Guerre)[26].

    La Deuxième Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Baye porte les noms de 4 personnes (Y. Berthou, Francis Daniel, Barthélémy Guillou et L. Le Namouric) mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale[26].

    Les guerres d'Indochine et d'Algérie

    Le monument aux morts de Baye porte les noms de 4 soldats (Emmanuel Jose, Marius Le Bourhis, René Le Guellec et Marcel Provost) morts pour la France pendant la guerre d'Indochine et deux (Yves Millour et Bernard Panaget) pendant la guerre d'Algérie[26].

    Politique et administration

    La mairie (ancien presbytère).
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1948 Armand Gourlaouen    
    1951 1959 Louis Gourlaouen    
    1959 1983 André Lozachmeur    
    1983 1995 Robert Guillou PS  
    1995 2008 Francis Marec    
    2008 2014 Philippe Le Tenier DVG Employé
    2014 mai 2020 Philippe Le Tenier DVG Employé
    mai 2020 En cours Pascal Bozec [27] DVG Fonctionnaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Évolution démographique

    En 2008, Baye comptait 1 104 habitants (soit une augmentation de 20 % par rapport à 1999). La commune occupait le 8 676e rang au niveau national, alors qu'elle était au 9 274e en 1999, et le 169e au niveau départemental sur 283 communes.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Baye depuis 1793.

    Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par loi du 27 février 2002, dite loi de démocratie de proximité[28], afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises.

    Pour les communes dont la population est inférieure à 10 000 habitants, les enquêtes sont exhaustives et ont lieu chaque année par roulement au cours d'une période de cinq ans[29]. Pour Baye, le premier recensement a été fait en 2005[30], les suivants étant en 2010, 2015, etc. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006, qui, pour Baye, est une évaluation intermédiaire[31].

    Le maximum de la population a été atteint en 2008 avec 1 104 habitants.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    380400347402482495547527492
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    524590529530543600625619649
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    615587540551549544503452438
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    4145477818959121 0611 1411 1431 198
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (17,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (24,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,5 % contre 48,4 % au niveau national et 48,4 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 14,9 %, 30 à 44 ans = 23,1 %, 45 à 59 ans = 24,6 %, plus de 60 ans = 16,3 %) ;
    • 49,5 % de femmes (0 à 14 ans = 21 %, 15 à 29 ans = 11,8 %, 30 à 44 ans = 24,6 %, 45 à 59 ans = 24,2 %, plus de 60 ans = 18,5 %).
    Pyramide des âges à Baye en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,0 
    4,7 
    75 à 89 ans
    9,0 
    11,4 
    60 à 74 ans
    9,5 
    24,6 
    45 à 59 ans
    24,2 
    23,1 
    30 à 44 ans
    24,6 
    14,9 
    15 à 29 ans
    11,8 
    21,1 
    0 à 14 ans
    21,0 
    Pyramide des âges du département du Finistère en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    1,2 
    6,7 
    75 à 89 ans
    11,6 
    13,6 
    60 à 74 ans
    15,3 
    21,4 
    45 à 59 ans
    20,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    18,9 
    18,4 
    15 à 29 ans
    16,1 
    18,7 
    0 à 14 ans
    16,7 

    Langue bretonne

    L’adhésion à la charte Ya d'ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le 23 février 2011.

    Moulin dans la nature de Baye.

    Patrimoine civil et religieux

    • L'église Saint-Pierre-aux-Liens, 1842, réalisée suivant les plans de l'architecte diocésain Joseph Bigot. Il s'agit d'une de ses premières réalisations. L'enclos ceinturant l'église a été achevé en 1853 et abrite toujours le cimetière.
    • Le presbytère, 1847, également conçu par l'architecte Joseph Bigot. Il fait office de mairie depuis 1974.

    Personnalités liées à la commune

    Gastronomie

    La commune de Baye possède sa propre spécialité culinaire : l'andouille de Baye. Moins réputée que sa voisine, l'andouille de Guémené, elle est fabriquée façon « Vire » par des charcutiers locaux.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Bannalec - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Baye et Bannalec », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Bannalec - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Baye et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole communes; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne...", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f6.image.r=Pleuven?rk=107296;4
    21. « Rapports et délibérations / Conseil général du Finistère », (consulté le ).
    22. Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902 : la IIIe République contre les langues régionales, Spézet, Coop Breizh, , 182 p. (ISBN 2-909924-78-5).
    23. Jean Péron, sergent au 157e régiment d'infanterie, décédé de maladie le à Uksub, alors en Serbie, désormais en Macédoine, décoré de la Médaille militaire et de la Croix de guerre.
    24. Louis Le Gall, caporal au 151e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Rancourt (Somme).
    25. Mathurin Auffret, soldat au 272e régiment d'infanterie, mort des suites de ses blessures le à Hallivillers (Somme).
    26. « Baye », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    28. Loi no 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement ».
    29. INSEE : Les grandes étapes : 2002 – 2009
    30. « Calendrier des recensements des communes du département du Finistère », sur www.insee.fr, Insee (consulté le ).
    31. Par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 d’afficher dans le tableau des recensements : la population 2006, première population légale connue post-1999, les populations légales suivantes correspondant aux années réelles de recensement et enfin la dernière population légale publiée par l’INSEE. Dans le graphique sont par contre représentés l’ensemble des populations légales connues
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Baye en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population du Finistère en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

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