Bargny

Bargny est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Bargny (homonymie).

Bargny

L'église Saint-Denis.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes du pays de Valois
Maire
Mandat
Martine Vanier
2020-2026
Code postal 60620
Code commune 60046
Démographie
Population
municipale
334 hab. (2018 )
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 10′ 45″ nord, 2° 57′ 24″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 139 m
Superficie 7,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nanteuil-le-Haudouin
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Bargny
Géolocalisation sur la carte : Oise
Bargny
Géolocalisation sur la carte : France
Bargny
Géolocalisation sur la carte : France
Bargny

    Géographie

    La commune de Bargny se situe sur le plateau du Valois-Multien, dont l'altitude est de 134 à 139 mètres. La commune ne possède aucun cours d'eau permanent. À l'est, un vallon sec, débouchant à la ferme de la Clergie (Antilly), la sépare de la commune de Cuvergnon. À l'ouest de la route de Betz, un autre vallon sec, moins prononcé, a parfois causé des inondations dans le village.

    Le territoire communal est presque entièrement déboisé. Il est exploité sous la forme de vastes exploitations agricoles.

    Le village de Bargny se situe au centre de la commune. La RD 51 le traverse, constituant l'axe Betz (sud) - Ivors (nord-est). Deux routes vicinales, vers Ormoy-le-Davien et Antilly, la croisent au centre du village. Le bâti est disposé en ordre assez lâche, avec notamment un grand nombre de jardins, ainsi que trois mares. Il n'y a ni hameau, ni ferme isolée sur le territoire communal.

    Jusqu'en 2015, elle faisait partie du canton de Betz.

    Communes limitrophes de Bargny
    Lévignen Ormoy-le-Davien Coyolles
    Aisne
    Cuvergnon
    Betz Antilly

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 709 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Trumilly », sur la commune de Trumilly, mise en service en 1975[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 717,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Le Bourget », sur la commune de Bonneuil-en-France, dans le département du Val-d'Oise, mise en service en 1920 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bargny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,9 %), forêts (9,6 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Louis Graves [21]donne les toponymes suivants : Brinnacum, Berenniacum (1138), Berniacum (1145), Branacum, Berinneium, Bernegium, Brinnagum (1144), Beriniacum (1202), Bergniacum, Berinniacum, Berigniacum, Beregniacum, Berriginacum, Barregniacum, Berrgniacum, Beringiacum, Britanicum, Berigneium, Barniacum ; Bargni, Bergni (1202), Beregni (1234).

    Cette liste pose toutefois problème, dans la mesure où elle mélange des toponymes attestés pour le village de Bargny (les derniers) avec les toponymes liés à la villa royale de Brinnacum (les premiers) que Graves, à la suite de l'abbé Jean Lebeuf, localisait à Bargny.

    Histoire

    Le territoire de Bargny se situait aux limites de la cité gauloise des Meldes, puis à celles de l'évêché de Meaux, auquel il a appartenu jusqu'en 1791. Depuis 1789, il fait partie du département de l'Oise.

    Ancien Régime

    L'histoire de Bargny commence peut-être avec le Brinnacum, dont parle Grégoire de Tours à plusieurs reprises dans son Histoire des Francs[22]. Cette villa fut un des lieux favoris de résidence du roi mérovingien Clotaire Ier, ainsi que de son successeur Chilpéric Ier et de son épouse Frédégonde. L'abbé Jean Lebeuf[23] soutint la localisation de Brinnacum à Bargny, tandis que les commentateurs se divisaient entre plusieurs sites et que la majorité de ceux-ci optaient pour Braine (Aisne), dans le cadre d'une polémique qui dura tout le XIXe siècle.

    Charlemagne ou son successeur Louis le Débonnaire fit don de la terre de Bargny à l'abbaye de Saint-Denis, qui la céda au Xe siècle aux seigneurs de Crépy (Crépy-en-Valois). Bargny était alors le siège d'un "maire" (officier dépendant du seigneur), qui administrait de nombreuses paroisses et tenait ses audiences sous un orme, puis sur une pierre, près un noyer, devant l'église[24].

    À partir de la première moitié du XIIe siècle, Bargny dépend de plusieurs établissements religieux. Le principal est l'abbaye Notre-Dame de Lieu-Restauré. À sa fondation, en 1145, le comte Raoul Ier de Vermandois, comte de Crépy, dote la nouvelle institution des dîmes de Bargny[25]. En 1238, à l'érection de Bargny en paroisse, l'évêque de Meaux transmet à l'abbaye Notre-Dame de Lieu-Restauré le droit de nommer le desservant[26]. Par ailleurs, en 1329, en tant que comte de Crépy, Philippe de Valois, roi de France depuis l'année précédente, donne à la chartreuse de Bourgfontaine les redevances qu'il percevait encore à Bargny[27]. D'autres établissements religieux étaient aussi possessionnés à Bargny. Cette situation dura jusqu'à la Révolution[28].

    Époques moderne et contemporaine

    Durant le XIXe siècle, la société rurale est très diversifiée. À côté de jardiniers, de petits agriculteurs, d'artisans, se trouvent déjà de gros cultivateurs, dont deux exploitent des surfaces de 325 et 150 hectares[29], sans doute héritiers des domaines religieux d'avant la Révolution. Certains habitants ont alors leur célébrité : M. Morel, pépiniériste réputé[30], et M. Desouches, qui défriche et plante des terres incultes, et reçoit pour cela la médaille d'or de la Société royale et centrale d'agriculture en 1844[31].

    Durant les premières semaines de la Première Guerre mondiale, Bargny se retrouve au cœur de la tourmente de la première bataille de la Marne. Les Allemands ne restent qu'une petite semaine à Bargny, où se déroulent de rudes combats les 7, 8 et [32]. Le village est pris, puis abandonné plusieurs fois. Le 10 septembre, « les villages (sont) dévastés, remplis de cadavres…, les meules brûlent encore »[33].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1793 Pierre-Jean Congy    
    1793 1793 Nicolas Roussin   officier public
    1793 1795 Rémy Dorion   officier public
    1795 1800 Pierre-Basile Pottier   agent municipal
    1800 1815 Éloi Lefevre    
    1815 1831 Guillaume-Victor Desouche    
    1831 1836 Zacharie Carriat    
    1836 1843 Joseph-Marie Morel    
    1843 1854 Honoré-Pierre-Antoine Moquet    
    1854 1882 Victor-François Triboulet    
    1883 1887 Alfred Triboulet    
    1887 1889 Léon Courtier    
    1889 mai 1892 Albert-Anatole Triboulet    
    mai 1892 1895 Jean-Baptiste Albert Lamboi    
    1895 mai 1908 Albert Triboulet    
    mai 1908 1916 Olivier Lebon    
    décembre 1919 1923 Louis Maillard    
    mai 1924 mai 1929 Jules Blay    
    mai 1929 mai 1945 Édouard Triboulet    
    mai 1945 mars 1971 Pierre Bardin    
    mars 1971 mars 2001 Jacques Triboulet    
    mars 2001 mars 2014 Alain Bara dvd  
    2014 En cours
    (au 24 août 2014)
    Martine Vanier   Élue pour le mandat 2014-2020[35]

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

    En 2018, la commune comptait 334 habitants[Note 7], en augmentation de 7,05 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    203267242211240235234236235
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    214221223226228225243219160
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    187155157165166157169143137
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    135160158177207215253258308
    2017 2018 - - - - - - -
    332334-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (9,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,9 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 46,1 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,4 %, 15 à 29 ans = 14,3 %, 30 à 44 ans = 29,4 %, 45 à 59 ans = 25,2 %, plus de 60 ans = 6,7 %) ;
    • 53,9 % de femmes (0 à 14 ans = 28,8 %, 15 à 29 ans = 15,8 %, 30 à 44 ans = 30,2 %, 45 à 59 ans = 12,9 %, plus de 60 ans = 12,2 %).
    Pyramide des âges à Bargny en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,4 
    0,8 
    75 à 89 ans
    2,9 
    5,9 
    60 à 74 ans
    7,9 
    25,2 
    45 à 59 ans
    12,9 
    29,4 
    30 à 44 ans
    30,2 
    14,3 
    15 à 29 ans
    15,8 
    24,4 
    0 à 14 ans
    28,8 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[41]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Denis - cloche de l'église sonnant 11 h :

    La petite église Saint-Denis conserve les restes d'une abside ronde du XIIe siècle, avec une fenêtre en plein cintre basse et murée, dotée d'un cordon de billettes. L'église a été fortement remaniée aux XVIe et XVIIe siècles[42] et restaurée en 1996[43].

    Personnalités liées à la commune

    • Clotaire Ier (roi des Francs de Soissons, 511-558, puis roi des Francs, 558-561), Chilpéric Ier (roi des Francs de Soissons, 561-584, et roi de Paris, 567-584) et son épouse Frédégonde, résidents fréquents du palatium de Brinnacum, localisation possible à Bargny.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean Lebeuf (abbé), Sur la position d'un ancien palais de nos rois de la première race, Mémoires de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres, 1re partie, pp. 100-110.
    • Jean-Luc Piermay, Betz et ses environs dans l'histoire, 1995, 130 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Trumilly - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bargny et Trumilly », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Trumilly - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bargny et Bonneuil-en-France », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Le Bourget - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Graves Louis, Précis statistique sur le canton de Betz. Annuaire de l'Oise, 1836, ré-édition Graves Louis, Cantons de Betz et Crépy-en-Valois, Res Universis, Paris, 1992.
    22. Grégoire de Tours, Histoire des Francs, livres I-VI : texte du manuscrit de Corbie, publié par Henri Omont -A. Picard, Paris, 1886, pages 118, 136, 172, 192.
    23. Lebeuf Jean (abbé), Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Prault père, Paris, 1758
    24. Carlier (abbé), Histoire du duché de Valois. Paris, Compiègne, Guillyn, Louis Bertrand, 1764, p. I, 126-127.
    25. Cartulaire de l'abbaye de Morienval.
    26. Carlier, op. cit., I, 461
    27. Carlier, op. cit., II, 70.
    28. Carlier, op. cit., I, 462.
    29. Graves Louis, Précis statistique sur le canton de Betz. Ré-édition : Graves Louis, Cantons de Betz et de Crépy-en-Valois, Res Universis, Paris.
    30. Bulletin des séances de la Société royale et centrale d'agriculture, Paris, 1859
    31. Mémoires d'agriculture d'économie rurale et domestique, 1844, Paris, Bouchard-Huzard.
    32. Entre autres : 5e régiment de dragons. Historique de la campagne 1914-1918 -H. Charles-Lavauzelle, Paris, 1920, 88 p., pp. 13-14
    33. Lecerf V., Bulletin paroissial, Paris, Paroisse Saint-Pierre de Montrouge, Paris, 1918
    34. « Les maires de Bargny », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    35. « Fiche commune : Bargny », Union des maires de l'Oise (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. « Évolution et structure de la population à Bargny en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    41. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    42. Muller Eugène, Quelques notes de voyage, Comité archéologique de Senlis, tome IX, 1884, pp. 25-46.
    43. Dominique Vermand, Églises de l'Oise ; Canton de Betz ; Valois, Multien et Vallée de l'Ourcq, Beauvais, 34 p.
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