Béost
Béost (en béarnais Biost ou Bioust) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Béost | |||||
L’abbaye de Béost. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Vallée d'Ossau | ||||
Maire Mandat |
Jean-François Regnier 2020-2026 |
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Code postal | 64440 | ||||
Code commune | 64110 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
222 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 5,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 59′ 38″ nord, 0° 24′ 46″ ouest | ||||
Altitude | Min. 484 m Max. 2 688 m |
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Superficie | 43,50 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Oloron-Sainte-Marie-2 | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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L'ancien plan parcellaire de potagers, vergers et prairies de fauche reste encore visible. Il assurait la transition entre le village groupé et la zone de montagne.
Géographie
Localisation
La commune de Béost se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 38 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[4], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Louvie-Soubiron (0,7 km), Laruns (1,3 km), Eaux-Bonnes (2,9 km), Aste-Béon (3,3 km), Gère-Bélesten (3,7 km), Bielle (7,0 km), Bilhères (7,8 km), Castet (8,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Béost fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Paysages et relief
Hydrographie
La commune est traversée l'Ouzoum (affluent du gave de Pau) et ses affluents :
- l'arrèc d'Arbaze
- le ruisseau le Baudès et son affluent :
- l'arrèc de Lagnères
- l'arrèc de Groute et son affluent :
- l'arrèc Arrendau et son affluent :
- l'arrèc de Hournatèche
- l'arrèc Arrendau et son affluent :
- le ruisseau le Laussiès
La commune est également arrosée par le ruisseau le Canceigt (10 km en France), affluent du gave d'Ossau :
- l'arrèc de Badeigs
- l'arrèc de Carbouéras
- l'arrèc Gros
- l'arrèc de Serrémédat
Deux affluents du Valentin, lui-même affluent du gave d'Ossau, traversent la commune :
- le ruisseau le cély et son affluent :
- l'arrèc l'Arcascou
- le ruisseau de Portaig
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laruns-Artouste », sur la commune de Laruns, mise en service en 1943[13]et qui se trouve à 1 km à vol d'oiseau[14],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 635,4 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 45 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[17], à 13,4 °C pour 1981-2010[18], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[19].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 1] :
- « le gave d'Ossau », d'une superficie de 2 300 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[22] ;
- le « massif du Moulle de Jaout », d'une superficie de 16 350 ha, abritant en particulier six espèces rares, menacées à l’échelle mondiale. Certaines de ces espèces comme le Géranium de Bilhère ne se rencontrent qu’en Haut Béarn. D’autres, comme la Bartsie en épi (Northobartsia spicata), qui ne se rencontre en Béarn que sur le massif de Jaout, lui confèrent toute son originalité)[23] ;
et une au titre de la « directive Oiseaux »[21],[Carte 2] :
- les « pènes du Moulle de Jaout », d'une superficie de 4 399 ha, un vaste ensemble montagneux comprenant des falaises exposées à l'Ouest, caractérisée par des habitats ouverts, forestiers et rupestres pyrénéens typiques favorisant la présence d'espèces ornithologiques majeures[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6]sont recensées sur la commune[25],[Carte 3] :
- les « landes et pelouses subalpines à alpines du mont Laid au Grand Gabizos, pelouses montagnardes du vallon de l'Arrec d'Arbaze et du cirque du Litor » (868,96 ha)[26] ;
- le « massif montagneux entre Argelès-Gazost et l'Ouzom » (6 108,08 ha), couvrant 12 communes dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 11 dans les Hautes-Pyrénées[27] ;
- le « réseau hydrographique du gave d'Ossau à l'amont d'arudy et ses rives » (586,79 ha), couvrant 12 communes du département[28] ;
- le « versant est du Gabizos » (3 107,5 ha), couvrant 3 communes dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[29] ;
et six ZNIEFF de type 2[Note 7],[25],[Carte 4] :
- les « bassins versants amont de l'Ouzom (rive gauche) et du Béez » (9 662,23 ha), couvrant 4 communes du département[30] ;
- les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » (17 870,6 ha), couvrant 24 communes dont 3 dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[31] ;
- le « réseau hydrographique du gave de Pau et ses annexes hydrauliques » (3 000,84 ha), couvrant 71 communes dont 10 dans les Landes, 59 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[32];
- le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[33];
- le « val d´Azun et Haute vallée du gave de Cauterets » (35 378,21 ha), couvrant 22 communes dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées[34] ;
- la « vallée d'Ossau » (43 624,41 ha), couvrant 13 communes du département[35].
Urbanisme
Typologie
Béost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[36],[37],[38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39],[40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,9 %), forêts (39,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (11,3 %), prairies (3,4 %), zones urbanisées (0,6 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
- Bois d'Andreyt ;
- Hameau de Bagès.
Toponymie
Le toponyme Béost apparaît sous sa forme actuelle en 1355[42] (cartulaire d'Ossau ou livre rouge[43]) et sous la forme Sanctus Jacobus de Béost (1654[42], insinuations du diocèse d'Oloron[44]).
Son nom béarnais est Biost[45] ou Bioust[46].
Le Bois d'Andreyt est mentionné en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[42].
Histoire
En 1385, Béost comptait 25 feux et 7 à Bagès et dépendait du bailliage d'Ossau[42].
Paul Raymond[42] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Politique et administration
Intercommunalité
La commune fait partie de trois structures intercommunales[47] :
- la communauté de communes de la Vallée d'Ossau ;
- le SIVU pour la construction de la maison de retraite du Haut-Ossau ;
- le syndicat mixte du Haut-Béarn.
La commune fait partie du Pays d'Oloron et du Haut-Béarn.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2018, la commune comptait 222 habitants[Note 9], en diminution de 0,45 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage. La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Béost exploite les forêts par l'intermédiaire de l'Office National des Forêts. Le village accueille les touristes avec son camping, la colonie de vacances et les gites présents.
Culture locale et patrimoine
- Mairie de Béost.
- Monument aux morts de Béost.
- Église de Béost.
Patrimoine civil
- Château de Béost : attenant à l'église. Cette ancienne abbaye laïque du XIIe siècle était une étape des pèlerins de Saint-Jacques. Elle devint au XVIe siècle une demeure seigneuriale dite château d’Aramitz, mousquetaire du roi et parent de la famille d’Espalungue[52]. La mère du fameux Mousquetaire, Catherine de Rague d'Espalungue s'était mariée avec Charles d'Aramits, Mousquetaire lui aussi. Ils ont eu un fils: Henri, l'un des personnages que le romancier Alexandre Dumas a fait entrer dans la légende. Le château appartient à l'association Los Auzelets qui se charge de le restaurer (chantiers de jeunes bénévoles).
Patrimoine religieux
- Église Saint-Jacques-le-Majeur datant des XIIe et XIIIe siècles : cette église pyrénéenne comporte un portail de marbre blanc et des retables classés des XVIe et XVIIIe siècle. Elle a fait l'objet d'une restauration complète au XIXe siècle. En 1968, un ossuaire d'une trentaine de squelettes humains fut découvert dans les combles du clocher. De source populaire, ils sont associés aux restes d'un groupe de pèlerins morts de la peste en 1602.
La légende de Clara la Dame au Châle
Il se dit dans la zone pastorale, et de passage par le col d'Aubisque, qu'une très veille dame, dénommée Clara, fut surprise à plus de deux mille mètres d'altitude par le froid et la neige. Simplement couverte d'un châle épais et marchant d'un bâton, elle fut surprise par un ours également désemparé. De peur elle lui jeta si fort son bâton qu'elle transperça le pic de Ger à près de 2 500 mètres d'altitude. L'ours apeuré pris la poudre d'escampette. Ce moment d'histoire locale, sans doute empreint de réalité non sourcée, est toujours gravé dans la pierre. En effet, sous le sommet du pic de Ger, le trou subsiste toujours et en son contrebas le visage de la dame avec son châle et les lèvres toutes gercées par le froid.
Personnalités liées à la commune
- Pierrine Gaston-Sacaze (1797-1893) fut un berger et un botaniste né au hameau de Bagès, au-dessus de Béost.
- Robert Brefeil (1913-1962) fut un éminent folkloriste de la vallée d'Ossau. Il mit en musique un nombre important de danses.
Galerie
- Entrée dans Béost.
- Béost depuis Laruns.
- Une fontaine dans le centre de Béost.
- Sentiers depuis Béost.
- Dans Béost.
- Église Saint-Jacques : façade sur la place du Château.
- Église Saint-Jacques : intérieur et retable du XVIIIe siècle.
- Église Saint-Jacques : détail du retable en bois sculpté.
- Église Saint-Jacques : deux anges entourant les sculptures des douze évangélistes de son portail de marbre blanc ont perdu leur visage à la Révolution.
- Entrée de l'église de Béost.
- Boite aux lettres de l'abbaye de Béost.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Béost », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Béost », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Béost », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Gentilé sur habitants.fr
- « Métadonnées de la commune de Béost », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Béost et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Béost et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Béost », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
- « Station Météo-France Laruns-Artouste - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Béost et Laruns », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Laruns-Artouste - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Béost et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Béost », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7200793 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
- Cartulaire d'Ossau ou livre rouge, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit du xve siècle..
- Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviie siècle..
- Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique » [PDF] (consulté le ).
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- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Le manoir d'Espalungue se trouve sur la commune de Laruns.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Le mystère des ossements emmurés de l'église Saint-Jacques
- La mine de fer de Groute-la Herrère sur le site de « Fer et savoir-faire ».
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