Axat

Axat [aksat] (en occitan Atsat) est une commune française située dans le département de l'Aude, en région Occitanie.

Axat

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes des Pyrénées audoises
Maire
Mandat
Phillipe Parraud
2020-2026
Code postal 11140
Code commune 11021
Démographie
Gentilé Axatois, Axatoises
Population
municipale
541 hab. (2018 )
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 48′ 16″ nord, 2° 14′ 10″ est
Altitude Min. 394 m
Max. 1 330 m
Superficie 11,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Haute-Vallée de l'Aude
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Axat
Géolocalisation sur la carte : Aude
Axat
Géolocalisation sur la carte : France
Axat
Géolocalisation sur la carte : France
Axat

    Ses habitants sont les Axatois.

    Le pont Vieux, contemporain de l'église. Sa construction remonte aux alentours de 1630.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans les Pyrénées en haute vallée de l'Aude sur l'Aude, la route départementale 118 (Pyrénées) et la ligne Carcassonne - Rivesaltes Train du pays Cathare et du Fenouillèdes entre Saint-Paul-de-Fenouillet et Quillan, dans le Pays cathare et aux portes des Pyrénées audoises (pays de la haute vallée de l'Aude). Le village est traversé par l’Aude, l’antique Atax, qui procure diverses sources de loisirs tels que le canoë, le kayak ou le rafting et la pêche à la truite.

    Ville étape, au carrefour des CD 117 et 118, à égale distance de Carcassonne, Perpignan et Font-Romeu, Axat, à 380 m d’altitude, s’étale au cœur d'une vaste cuvette, entourée de montagnes boisées qui forment un large cirque de verdure, au débouché des gorges de Saint-Georges venant du sud, étroit couloir où passent de justesse la route et la rivière au pied d’une façade de falaises vertigineuses et au sortir du tout aussi impressionnant défilé de Pierre-Lys, arrivant par le nord de la commune. Les travaux de percement de la route classée départementale en 1821, allant du défilé de Pierre-Lys jusqu'à Axat, furent inspirés par l'Abbé Félix Armand, curé de Saint-Martin-Lys. C'est à la même époque que le marquis d'Axat, Ange Jean Michel Bonaventure de Dax, fit réaliser à ses frais la partie de la route menant du défilé jusqu'à Axat[1].

    Sur un escarpement rocheux appelé ribas, à proximité des ruines du château médiéval, l’église construite en 1630, à l’initiative de Raymond de Dax seigneur d’Axat[2] qui était également chapelle castrale, offre un point de vue remarquable sur le patrimoine du village. Le vieux village est dominé par les ruines de son château féodal qui était composé de deux enceintes fortifiées et constituait une place forte défensive et une protection où les habitants d'Axat et des villages voisins venaient chercher et trouver refuge auprès de leur seigneur, en cas d'invasion ou d'incursion aragonaises qui s'accompagnaient de leur cortège de pillages et d'incendies des maisons. Il contrôlait depuis le Moyen Âge, le cours supérieur du fleuve, accès au Fenouillèdes et au Capcir. Situé entre les châteaux de Puilaurens et de Puivert, son rôle militaire était d'empêcher les infiltrations du royaume d'Aragon à travers les encaissements chaotiques et les forêts profondes de la haute vallée de l'Aude. De même que le château de Puilaurens, il faisait partie du système de défense avancée de la cité de Carcassonne, en cette marche frontière du royaume de France face au royaume d'Aragon.

    Habité jusqu'à la Révolution, le château qui est un temps resté inoccupé, en particulier peu après le décès du marquis d'Axat en 1788 et durant les grands troubles de la Terreur révolutionnaire survenue juste après en 1793 et 1794, est bientôt en mauvais état. A une époque où les constructions du Moyen Âge et de la Renaissance ne présentent plus de valeur aux yeux des contemporains[3], le château est définitivement délaissé après cette période de tourmente vers 1797 par le nouveau marquis d'Axat de retour d'Espagne, au profit d'une nouvelle demeure qu'il se fait construire au pied du ribas à proximité des forges, appelée dès lors « le château ». Inhabité le château, désormais dit « château vieux », va petit à petit dépérir, ce qui sera grandement accéléré par la prise de ses pierres, il sert en effet alors de carrière pour la construction de nombreuses maisons du village, alentour.

    Le pont Vieux, contemporain de l'église, est en parfait état de conservation, c'est un des rares ouvrages d'art construit sur le cours amont de l'Aude.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Axat se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[5].

    Voies de communication et transports

    Gare d'Axat (ancienne gare SNCF devenue salle polyvalente) sur la ligne Carcassonne - Rivesaltes

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 892 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[6].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Louis-et-Parahou », sur la commune de Saint-Louis-et-Parahou, mise en service en 1978[11]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 071,9 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 46 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Axat est une commune rurale[Note 3],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (94,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (84,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,7 %), zones urbanisées (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La première mention : « in vigo Adesate » apparait en 954[24].

    Dans les temps les plus reculés, le bassin de l'Aude n'appartenait point aux Sordes, mais à d'autres producteurs de fer, habitant le pays d'Atax (Aude), aux Atacini ; ceux-ci, à la fabrication des épées, joignaient celle des haches mettant déjà à profit les ressources de la région en abondant minerai de fer. Le village le plus rapproché des Sordes, et faisant partie de la contrée occupée par les Aticini, se nomme Axat, et cette appellation, qui est une simple inversion d'Atax, marque le point exact de division entre les deux tribus des Sordes et des Atacini.

    Histoire

    La première mention du village se trouve dans l'inventaire des actes de l'Archevêché de Narbonne et date de l'an 900 lorsqu'un certain Resevindus (ou Receswinthe) vend au monastère de Saint-Martin-Lys une pièce de terre située à Axat. Le vicus ou petit bourg fait alors partie du Fenouillèdes, vassal du comté de Cerdagne puis du comté de Besalu en actuelle Catalogne[25].

    La première église connue est citée en 930, il s'agit de Saint-Vincent de Riquifrède, aujourd'hui disparue[25]. Elle se situait près de l'actuel cimetière. Au Xe siècle, la seigneurie d'Axat inclut Artigues et Cailla.

    Le comte de Barcelone Ramon Berenguer III hérite des comtés de Besalu et donc du Fenouillèdes en 1112, et l'inféode à son demi-frère le vicomte Aymeri de Narbonne. À partir de 1162, la seigneurie d'Axat est vassale du royaume d'Aragon jusqu'en 1258 lorsque le traité de Corbeil entérine la cession du Fenouillèdes au royaume de France.

    Plusieurs seigneurs issus de familles de la province, se partagent successivement son territoire, dont les chevaliers d'Axat et de Saint-Vincent, vassaux ou vavassaux des vicomtes de Fenouillèdes, puis du chevalier Pons de Caramany en 1306, ainsi que la famille de Castelpor-Marsa qui semble avoir été la plus importante du Xe au XVe siècle[25]. Après être passée par mariage de la famille de Castelpor-Marsa à la famille du Vivier, la seigneurie d'Axat est acquise (en même temps que celles de Vayra, Artigues, La Prade, Ulhac), d'Antoinette de Castelpor (qui en était l'héritière par son père) épouse d'Antoine du Vivier, par acte passé le 18 avril 1466 devant Maître Minéty, notaire à Narbonne, par Arnaud Dax, seigneur de Cailla, Leuc, La Serpent, Trèbes et autres places consul de Carcassonne, de la Famille Dax une très ancienne famille originaire de Carcassonne[26] qui donna plusieurs consuls de la Cité au Moyen Âge et resta présente à Axat jusqu'à l'orée du XXe siècle[24] Il était lui-même marié à Jordanne Taberne, fille de noble Raymond Taverne, d'une famille de consuls de Carcassonne également.

    Baronnie érigée en marquisat en 1776 d'après Eric Thiou[27], éteint dans branche aînée et passé à la branche Dax de Cessales d'Axat en 1788[28], « marquis de courtoisie » d'après Charondas[29].

    Les forges et laminoirs

    Des forges et laminoirs furent créés, au niveau du pont Vieux sur le cours de l'Aude, quelques décennies avant la Révolution par leur fondateur Marc Antoine Marie Thérèse de Dax, marquis d'Axat qui permirent à nombre d'habitants d'y trouver un emploi, ce qui offrit à bien des familles d'Axat la possibilité de vivre dans une meilleure aisance. Il obtint pour ce faire un arrêt du conseil du roi rendu à Versailles le et des lettres patentes données à Compiègne le signées « Louis » de la main du roi Louis XV autorisant leur construction, ces actes accordés au « marquis d'Axat », les L.P. commençant à la suite de la formule de salutation introductive par « Notre cher et bien aimé marquis d'Axat nous ayant... etc.», enregistrées au Parlement de Toulouse par un arrêt rendu en chambre souveraine en faveur du « marquis d'Axat », le [30]. Ces forges étaient dans les plus importantes et les mieux construites de toute la région. Elles comprenaient une forge catalane, un martinet et un moulin à scie et étaient notamment approvisionnées en minerai de fer par le site minier de Vicdessos. L’énergie est fournie par l’Aude, au moyen d’un bief dont la prise d’eau est située à 500 m en amont. La fabrication est alors consacrée à celle de boulets et de balles en fer. Le marquis d'Axat fit de son cousin Ange Jean Michel Bonaventure de Dax d'Axat cité plus haut, son héritier par testament de 1788 année-même de son décès. En 1789, la Forge produit 120 tonnes par an de fer de première qualité, dont parfois du fer fort servant d’acier pour les ouvrages grossiers. Le personnel est de 8 forgerons et 30 charbonniers. Le bois, principalement du hêtre, est pris dans les forêts du marquis d'Axat. Le minerai provient de Sem. Le nouveau marquis d'Axat qui était maire de Montpellier depuis 1814, agrandit en 1830 les forges avec l'installation de laminoirs. La prise d’eau alimente alors six roues hydrauliques qui entraînent la forge catalane, les martinets et les soufflantes pour les fours, ainsi que les laminoirs. La marquis fit passer les forges et laminoirs, 80 ans après leur création, sous le statut de « Société anonyme des forges et usines d'Axat », approuvé par ordonnance royale du roi Louis-Philippe du [31]. En 1838, le minerai provient toujours de la mine ariégeoise de Rancié à Sem, mais aussi de Palairac, de Fillols et de Lagrasse. Le mélange des différents minerais permet principalement la production d’acier de cémentation et d’acier étiré d’excellente qualité pour sabres, grands couteaux, scies, limes et autres instruments pour les sucreries, la production s'élève encore, elle est de 140 tonnes par an. La poursuite de la croissance fait atteindre en 1849 à l'époque de leur apogée, un niveau de production annuel des forges de 150 tonnes d'acier[32],[33],[34]. Mais la puissance acquise par les industries de la sidérurgie du nord et de l'est de la France alors en plein essor, avec leurs hauts fourneaux chauffés au charbon donnant des possibilités de production décuplées à moindre coût, rendent bientôt la concurrence trop inégale et de plus en plus intenable. C'est cet état de fait qui va entraîner, comme pour l'ensemble des forges et laminoirs à bois en France, un rapide arrêt de la production qui se produit peu après 1860 à Axat, territoire duquel la houille est par ailleurs absente.

    Le quartier des forges disparues a été urbanisé au fil des ans, avec la construction d’un nouveau pont. Il en reste la « rue de la Forge ».

    Le lieu de passage du beal (ou bief) d’alimentation des roues hydrauliques est quant à lui bien visible en vue aérienne, au travers de constructions de l'époque contemporaine.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1971 Émile Gorse SFIO  
    1971 1983 Alexandre Raynaud PS  
    1983 1985 Jean-Paul Raynaud PS Conseiller général
    1985 1989 Yves Ipavec PS  
    1989 2020 Marcel Martinez PS Conseiller général (1992-2015)
    2020 En cours Philippe Parraud DVG Éducateur Français langue étrangère
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

    En 2018, la commune comptait 541 habitants[Note 4], en diminution de 11,6 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    284335361411546582278594540
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    538529458452444425450454558
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8386959128639681 0109019301 006
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    9939979111 021919832711624553
    2018 - - - - - - - -
    541--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    Maison pluridisciplinaire de Santé intercommunale

    Sports

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Ruines du château médiéval
    • Pont Vieux
    • Eglise Notre-Dame-de-l'Assomption, église paroissiale actuelle (dite de la chapelle)[39].
    • Église des Saints-Anges[40]. A la fois chapelle castrale et église paroissiale, Raymond de Dax, seigneur d'Axat et baron de Cessales la fit bâtir en 1630. Son épouse issue de la famille de Monstron de Sauton, seigneurs d'Escouloubre y plaça la cloche sur laquelle est gravée une inscription qui en fait mémoire. Sous la dédicace initiale de saint Raymond elle le demeura jusqu'au XIXe siècle, époque elle fut placée sous celle des Saint-Anges. Elle fut l'église paroissiale jusqu'à la fin des années 1950, période où elle fut désaffectée pour le culte au profit de la chapelle N.D. de l'Assomption, nouvellement crée à partir d'un ancien local EDF rétrocédé à la Commune alors, pour cette fin. Longtemps restée en quasi abandon sans entretien, l'ancienne église a été en partie restaurée dans les années 2010, elle sert désormais d'espace pouvant accueillir tant des manifestations culturelles que des expositions.
    • Viaduc construit en 1900
    • Gorges de Saint-Georges
    • Défilé de Pierre-Lys
    • Rond-point du Pont-d'Aliès

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    Parti de sinople et d'argent; au chef d'argent chargé de trois losanges de sinople.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes :
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Adrien Jarry de Mancy (éditeur), Louis Amiel (Auteur) « Portraits et histoire des hommes utiles, bienfaiteurs et bienfaitrices de tous pays et de toutes conditions » 1841, page 144.
    2. voir l'Armorial du Pays d'Oc en cliquant sur : "archive" www.vivies.com
    3. A titre entre autres d'illustration de ce point, les deux tiers du château royal d'Amboise en Touraine, en mauvais état lui aussi, seront pour cette même raison rasés sous Napoléon, dans les années 1800.
    4. Carte IGN sous Géoportail
    5. Plan séisme
    6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    8. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Saint-Louis-et-Parahou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Axat et Saint-Louis-et-Parahou », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Saint-Louis-et-Parahou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Axat et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Francis Poudou, Opération Vilatge al País, Communauté de Communes du Canton d'Axat, Narbonne, , 340 p., pp. 209-222
    25. « Patrimoine Numérique en Ligne », sur mediatheques.legrandnarbonne.com (consulté le )
    26. Société des arts et des sciences de Carcassonne, « Mémoire touchant les familles plus anciennes de la ville » Famille Dax.
    27. Éric Thiou in Dictionnaire des titres et des terres titrées en France sous l’Ancien Régime, éditions Mémoire et Documents, Versailles, 2003, (p. 58)
    28. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 13
    29. Charondas, À quel titre ?, vol. 36, 1970
    30. Enregistrement des actes du pouvoir royal, 2è partie, 1568-1790, p. 267
    31. Bulletin des lois de la République Française, 1838, volume 12, page 1045.
    32. « Rapport du Jury Central sur les Produits de l'Agriculture et de l'Industrie », Impr. Nationale, 1801.
    33. « Mémoires de la Société des arts et des sciences de Carcassonne », 1849 volume 1, page 13.
    34. Association « Le savoir... fer », Lire en ligne sur le département de l'Aude et Axat à la page 2 :
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. Eglise dite de la Chapelle, lire en ligne
    40. Eglise des Saints-Anges, lire en ligne
    41. « [PDF] en ligne Marquis de Dax d'Axat, le maire qui créa le musée Fabre », Harmonie, le magazine d'information de Montpellier agglomération, no 290, , p. 38.
    42. CAUNEILLE René Albert Philippe sur finalesrugby.fr.
    43. GLEYZES Henri sur finalesrugby.fr.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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