Aucamville (Tarn-et-Garonne)

Aucamville est une commune française, située dans le département de Tarn-et-Garonne en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Aucamville.

Aucamville

La mairie

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne
Maire
Mandat
Eric Fraysse
2020-2026
Code postal 82600
Code commune 82005
Démographie
Gentilé Aucamvillois
Population
municipale
1 484 hab. (2018 )
Densité 65 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 14″ nord, 1° 12′ 57″ est
Altitude 148 m
Min. 97 m
Max. 168 m
Superficie 22,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verdun-sur-Garonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Aucamville
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Aucamville
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Aucamville
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Aucamville
Liens
Site web www.aucamville.fr

    Ses habitants sont appelés les Aucamvillois.

    Géographie

    Situation

    Commune de l'aire urbaine de Toulouse située à 32 km au nord de Toulouse et à 25 km de l'aéroport Toulouse-Blagnac, Aucamville est situé à la limite sud du département de Tarn-et-Garonne, à mi-distance entre Montauban et Toulouse.

    Communes limitrophes

    Aucamville est limitrophe de six autres communes dont trois dans le département de la Haute-Garonne.

    Carte de la commune de Aucamville et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Garonne, le Ruisseau de Marguestaud et son affluent le Ruisseau de Saint-Pierre.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 291 hectares ; son altitude varie de 97 à 168 mètres[2].

    Voies de communication et transports

    La gare SNCF la plus proche est située à km, sur la commune de Grisolles (gare de Grisolles).

    On y a accès depuis Toulouse par la voie lactée (D 902) jusqu'à Beauzelle puis par la D 2 jusqu'à Grenade sur Garonne, et également depuis l'autoroute française A62, sortie 10.1 Grenade/Eurocentre.

    La ville est située à environ km à l'ouest de la RN 20 à mi-distance de Toulouse et Montauban, l'axe principal qui traverse la ville est la D 3 (prolongation de la D 29a dans la Haute-Garonne) reliant Beaumont de Lomagne à Grenade sur Garonne.

    Des chemins communaux relient en outre Aucamville aux communes voisines les plus proches de Saint-Cezert (31) (à km au sud-ouest) et Le Burgaud (31) (à km à l'ouest)

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 720 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savenès_man », sur la commune de Savenès, mise en service en 1986[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 684,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[12] à 14 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Aucamville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,9 %), forêts (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (3,2 %), cultures permanentes (2,8 %), prairies (1,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), eaux continentales[Note 5] (0,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Aucamville est cité pour la première fois au XIe siècle sous la forme Ochamsvilla, puis Aucamvilla après 1312[20].

    Le blason de la ville représente une oie sur fond violet et blanc (dans un écu ovale, on voit une porte de ville et sur le seuil de la porte une oie passant), car selon la légende, le nom de la commune signifierait « la ville de l'oie », en latin *Aucum Villa, occitan auca « oie ». Ce genre d'explication toponymique est fréquent dans les blasonnements des paroisses et relève généralement de l'étymologie populaire ou latinisante[21], mais elle est généralement sans fondement.

    Cette étymologie n'est pas retenue par les spécialistes, d'une part parce que la forme la plus ancienne Ochamsvilla la contredit, d'autre part parce que le [m] final du latin s'était amui depuis longtemps en latin vulgaire, donc a fortiori au moment de la formation des noms en -ville qui datent tous du Moyen Âge. Un composé roman basée sur auca « oie » est possible phonétiquement, si on suppose une nasalisation hypothétique de [a], mais il impose de rejeter comme erronée la forme Ochamsvilla. De plus, sur plusieurs milliers de composés en -ville, seule une petite dizaine contient un nom d'animal, qui pourrait être un sobriquet, mais dont les formes anciennes permettent de formuler cette hypothèse car elles sont parfaitement claires, ce qui n'est pas le cas ici. Ainsi, un premier élément d'origine animale est bien identifiable dans Quièvreville (Capravilla v. 1024) ou Chèvreville (Caprivillam 1186) avec « la chèvre » ou encore Villechien (Villacanis 1112, Villa Canis 1172 - 1182), par exemple, mais Ernest Nègre considère qu'il s'agit de surnoms de personnages, d'après l'animal[22].

    Les formations toponymiques en -ville ne sont jamais mentionnés dans la documentation disponible avant la période mérovingienne et ce, contrairement à de nombreux autres toponymes bien attestés à l'époque antique. Les toponymes en -ville sont en outre fréquemment basés sur un nom de personne parfois aisément identifiable, par exemple Ramonville, Martinville, Rogerville, etc., généralement il s'agit d'un anthroponyme de type germanique. C'est pourquoi les spécialistes de la toponymie penchent pour un anthroponyme ayant cette origine, soit Ogmarus, traité comme *Ogamarus[22], soit un nom de femme wisigothique *Auka[23]. On rencontre la variante Aukisa dans Aucazein (*Aukasinga), commune de l'Ariège[24].

    Homonymie avec Aucamville qui est peut-être une transposition du nom originel d'après Ernest Nègre[22], en effet ces transferts sont fréquents en toponymie.

    Histoire

    Les traces les plus anciennes d'habitat ont été retrouvées dans le parc de Nolet ; elles remontent à l'époque gallo-romaine (pièces de bronze), puis mérovingienne (plaques de ceinturons). Des fouilles ont révélé des restes de mosaïque et des vases en terre noire.

    L'abbé Galabert rapporte dans son ouvrage qu'aux environs du XIIIe siècle, le village, primitivement établi à environ 500 m au nord du cimetière, fut détruit par un incendie et reconstruit à sa position actuelle.

    En 1360, une contribution de 35 florins d'or permis à Aucamville de relever ses murailles[25]

    Sur l'emplacement du cimetière subsistent les restes de la chapelle Saint Martin qui était l'ancienne église paroissiale.

    La commune d'Aucamville fut intégrée au département de Tarn-et-Garonne le 21 novembre 1808 ; auparavant, elle dépendait, comme la totalité du canton de Verdun-sur-Garonne, du département de la Haute-Garonne.

    En 2004, un fait divers secoue la commune. Les gendarmes de Verdun-sur-Garonne reçoivent en septembre 2003 les confidences d'un témoin qui leur raconte que quelques années plus tôt un SDF du nom de Georges Hourdin a été assassiné à l'Auberge du Tail, son corps donné à manger aux cochons mais, bien nourris, ils ne l'ont pas touché, si bien que ses restes ont été jetés dans un puisard puis brûlé[26]. La tenancière de l'auberge Altobella Cappelleri, mise en examen en 2004, est condamnée pour séquestration ayant entraîné la mort du SDF à 20 ans de prison[27]. Elle est maintenant morte et enterrée dans le cimetière d'Aucamville

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[28],[29].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne et du canton de Verdun-sur-Garonne. Avant le 1er janvier 2017 elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Gascogne.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1977
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 1983 Louis Miramont    
    mars 1983 1989 André Dargassies    
    juin 1995 2001 André Dargassies    
    mars 2001 2008 André Dargassies    
    mars 2008 2020 Henri-Bernard Pech DVD Agriculteur Retraité
    mars 2020 En cours Eric Fraysse   Retraité

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31]. En 2018, la commune comptait 1 484 habitants[Note 6], en augmentation de 30,52 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0038751 0051 0741 1091 1411 0981 0981 073
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0961 0731 0589991 042981982962890
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    922898806700725699724721756
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    7276996917207447908919041 052
    2017 2018 - - - - - - -
    1 4461 484-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place très importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque Aucamville se trouve dans son aire urbaine. L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés[34].

    Enseignement

    Aucamville fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par une maternelle[35].

    Culture et festivité

    Comité des fêtes, fanfare,

    Sports

    La ville comprend plusieurs associations sportives : Le Jujutsu Club d'Aucamville, un club de football nommé « la violette sportive aucamvilloise », qui joue en violet et blanc, un club de Judo pour enfants « les ours aucamvillois », le Judo club les Ours, un club de tennis.

    Sont également présentes : une société de chasse Saint Hubert aucamvilloise »), une société de pêche la rabote aucamvilloise »), un club de pétanque[36],

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre d'un syndicat intercommunal le (SIEEOM)[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé Jean-Antoine-Firmin Galabert (qui fut le curé d'Aucamville de 1881 à 1907) écrivit et publia en 1890 un ouvrage sur l'histoire de la ville intitulé "Monographie d'Aucamville". Cet ouvrage, encore disponible aujourd'hui, reste le mieux documenté et le plus complet sur l'histoire de la ville.

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la porte de ville, sommée d'une tour, le tout d'argent, ajouré et maçonné de sable, ouvert du champ à l'oie d'argent passant le seuil.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Abbé Firmin Galabert, Monographie d'Aucamville, 1890, réédition 2004, collection dirigée par M.-C. Micberth

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Savenès_man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Aucamville et Savenès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Savenès_man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Aucamville et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume 2, Librairie Droz, Genève 1991 (lire en ligne)
    21. Par exemple : les deux tours en feu de Torigni-sur-Vire, basées sur un turris ignis « tours de feu », alors qu'il s'agit en fait, comme tous les Thorigny, Thorigné, d'un ancien Thoriniacum.
    22. ibid.
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, éditions Larousse 1968 (Réédition Guénégaud 1979), p. 34b.
    24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
    25. Désastres causés par la guerre de Cent ans au pays de Verdun-sur-Garonne à la fin du XIVe siècle par Firmin Galabert
    26. « Affaire de l'auberge d'Aucamville : un meurtre sans cadavre devant les assises », sur ladepeche.fr, .
    27. « Aucamville. 20 ans de prison pour l'aubergiste accusée de mort sur un SDF », sur ladepeche.fr, .
    28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. http://www.aucamville.fr/fr/vie-economique-et-emploi/activites-economiques.html
    35. http://www.aucamville.fr/fr/enfance-et-jeunesse/ecole.html
    36. http://www.aucamville.fr/fr/vie-associative.html
    37. http://www.aucamville.fr/fr/vie-pratique/la-collecte-des-dechets.html
    38. « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    39. « Ancienne chapelle Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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