Araux

Araux (en béarnais Araus) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Araux
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Béarn des Gaves
Maire
Mandat
Jean-Jacques Montreer
2020-2026
Code postal 64190
Code commune 64033
Démographie
Population
municipale
138 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 11″ nord, 0° 48′ 23″ ouest
Altitude Min. 98 m
Max. 188 m
Superficie 5,40 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Araux
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Araux
Géolocalisation sur la carte : France
Araux
Géolocalisation sur la carte : France
Araux

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Araux se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

    Elle se situe à 47 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 26 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 21 km de Mourenx[4], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Navarrenx[1].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Viellenave-de-Navarrenx (1,2 km), Araujuzon (1,2 km), Audaux (1,4 km), Bugnein (2,1 km), Ossenx (2,3 km), Bastanès (3,1 km), Narp (3,2 km), Castetnau-Camblong (3,5 km).

    Sur le plan historique et culturel, Araux fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].

    Communes limitrophes d’Araux[7]
    Araujuzon Audaux
    Charre Viellenave-de-Navarrenx

    Accès

    Araux est desservie par les routes départementales 836 et 936.

    Lieux-dits et hameaux

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Araux.

    La commune est drainée par le gave d'Oloron, le Lausset, le Cassou Dou Boue, le ruisseau de Lescuncette, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[9],[Carte 1].

    Le gave d'Oloron, d'une longueur totale de 148,8 km, prend sa source dans la commune de Laruns et s'écoule vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son extrémité nord-est et se jette dans le gave de Pau à Sorde-l'Abbaye, après avoir traversé 64 communes[10].

    Le Lausset, d'une longueur totale de 39,3 km, prend sa source dans la commune de Sauguis-Saint-Étienne et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Narp, après avoir traversé 14 communes[11].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[14]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de température : 13,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 279 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gladie », sur la commune de Saint-Gladie-Arrive-Munein, mise en service en 1986[17]et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 1 293,3 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 31 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 13,4 °C pour 1981-2010[22], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[23].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[25], d'une superficie de 2 547 ha, une rivière à saumon et écrevisse à pattes blanches[26].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Une ZNIEFF de type 2[Note 6] est recensée sur la commune[27],[Carte 2] : le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[28].

    Urbanisme

    Typologie

    Araux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[29],[30],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[32],[33].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), forêts (31,3 %), zones agricoles hétérogènes (26,7 %), prairies (5 %)[34].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Araux apparaît sous les formes Araus (1223[8], titres de Taragone[35]), Sente-Angne d'Araus (vers 1350[8], notaires de Lucq-de-Béarn[36]), lo paged d'Araus (1376[8], montre militaire de Béarn[37]), Araus-Susoo (1385[8], censier de Béarn[38]), Sent-Johan d'Araux (1411[8], notaires de Navarrenx[39]) et Araus-Susson (1547[8], réformation de Béarn[40]) et Araux sur la carte de Cassini (fin XVIIIe siècle[41]).

    Étymologie

    Brigitte Jobbé-Duval[42] propose deux origines au toponyme Araux, soit le basque arrantz, qui signifie 'buisson', soit le basco-aquitain aran, qui désigne une vallée.

    Autres toponymes

    Domec est un fief vassal de la vicomté de Béarn, cité au XIIIe siècle[8] par le for de Béarn, et en 1863[8] par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque.

    Montquoueilles est une ferme d’Araux, dont le nom apparaît sous les graphies Mon-Coeyle (1385[8], censier de Béarn[38]), Moncoeyla (1397[8], notaires de Navarrenx[39]) et Moncoueyle (1863[8], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).

    Graphie Béarnaise

    Son nom béarnais est Araus.

    Histoire

    Paul Raymond[8] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn. En 1385, Araux comptait 27 feux. Elle devint une dépendance de la baronnie de Jasses, datant de 1644, qui comprenait, outre Araux, Araujuzon, Jasses, Montfort et Viellenave.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Louis Casenave    
    2001 2008 Michel Couturejuzon    
    2008 2020 Nadine Lambert DVD
    puis DVG[43]
    Conseillère départementale
    2020 En cours Jean-Jacques Montreer    

    Intercommunalité

    La commune fait partie de sept structures intercommunales[44] :

    • la communauté de communes du canton de Navarrenx ;
    • le syndicat AEP de Navarrenx ;
    • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat de la perception de Navarrenx ;
    • le syndicat des écoles de Gaveausset ;
    • le syndicat intercommunal des gaves et du Saleys ;
    • le syndicat mixte forestier des chênaies des vallées basques et béarnaises.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

    En 2018, la commune comptait 138 habitants[Note 8], en augmentation de 0,73 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    224247257285296319312313286
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    287290255246242229242236216
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    198194190183168156153119106
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    115115109123110115118129139
    2018 - - - - - - - -
    138--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'activité est principalement agricole (élevage et polycultures). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le site de la commune[49] mentionne trois ponts remarquables, le pont de Rèquamale, le pont dit de pierre (1888) et le pont de Cameich (1891), ainsi que deux lavoirs, l'un du XIXe siècle (Canfranc) et l'autre des années 1950, à proximité du fronton.

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une école élémentaire.

    Sports et équipements sportifs

    Un fronton[49] (pelote basque) se dresse au centre du village.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[24].
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
    2. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Araux », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune d'Araux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Araux et Mourenx », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches d'Araux », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
    7. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    8. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (notice BnF no FRBNF31182570, lire en ligne)..
    9. « Fiche communale d'Araux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    10. Sandre, « le gave d'Oloron ».
    11. Sandre, « le Lausset ».
    12. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    13. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    14. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    16. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Saint-Gladie - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Araux et Saint-Gladie-Arrive-Munein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station Météo-France Saint-Gladie - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    20. « Orthodromie entre Araux et Uzein », sur fr.distance.to (consulté le ).
    21. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Pau-Uzein - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    25. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « site Natura 2000 FR7200791 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Araux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    30. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    31. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    32. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    33. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    34. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
    35. Titres de Taragone, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
    36. Notaires de Lucq-de-Béarn - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    37. Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques - Le paged d'Araus était une juridiction judiciaire comprenant Araus et Araujuzon.
    38. Censier de Béarn, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrit de 1385..
    39. Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    40. Manuscrit du XVIe au XVIIIe siècles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    41. Michel Grosclaude (préf. Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416 p. (ISBN 9782350680057, notice BnF no FRBNF35515059)..
    42. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux : Pyrénées-Atlantiques, Paris, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9, notice BnF no FRBNF42089597).
    43. http://www.politiquemania.com/forum/elections-senatoriales-2017-f47/elections-senatoriales-2017-pyrenees-atlantiques-t5912.html
    44. Cellule informatique préfecture 64, « Intercommunalité des Pyrénées-Atlantiques » (consulté le ).
    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    49. Araux sur le site de la communauté de communes du canton de Navarrenx

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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