Anost

Anost (prononcé [ano]) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Anost

La mairie.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Autun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Autunois Morvan
Maire
Mandat
Louis Basdevant
2020-2026
Code postal 71550
Code commune 71009
Démographie
Gentilé Anostiens
Population
municipale
724 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 04′ 41″ nord, 4° 06′ 01″ est
Altitude Min. 357 m
Max. 787 m
Superficie 51,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Autun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Autun-1
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Anost
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Anost
Géolocalisation sur la carte : France
Anost
Géolocalisation sur la carte : France
Anost
Liens
Site web anost.fr

    Géographie

    Les Graillots, rue de la Cure, Anost sous la neige

    Localisation

    Perché à une altitude de 550 m, le petit village d'Anost se situe au cœur du Haut-Morvan montagnard, plus précisément dans la partie nord de la région du Haut Folin et du Mont Beuvray aux sommets massifs, arrondis ou tabulaires, séparés par des vallées souvent encaissées, à pentes raides.

    Lieux-dits et écarts

    • Quarante-cinq hameaux: Athez, les Bigeards, les Billons, les Bonnards, la Bussière, Bussy, le Champs de la Gorge, les Chevannes, les Chevreaux, Corcelles, Corterin, le Creux, la Croix des Crots, Dront, En Moulu, la Ferrière (Château), les Figuiers, le Fourneau, les Gaudrys, la Genette, les Gilets, les Girards, les Graillots, les Grelodots, l'Île d'Elbe, Joux, la Maison de l'Etang, les Miens, le Mont, Montcimet, le Moulin de Roussillon, la Pierre en Eau, les Pignots, les Places, Prébien, la Roche, les Roux, les Roys, Sanceray, Valterne, Varin, Vaumignon, Velée (Chapelle), le Vernay, le Vusin.

    Relief et géologie

    D'un point de vue géologique, le Haut-Morvan montagnard est composé de divers granites et d'un ensemble complexe de roches volcano-sédimentaires, aux sols généralement acides (pH voisin de 5) et principalement dépourvus de calcaire.

    La forêt domine le paysage. Y alternent forêts de feuillus (hêtres, chênes) et forêts de résineux (importantes plantations de sapins, d'épicéas, de douglas), bois mixtes et zones de tourbière. L'exploitation forestière y est donc importante (l'enrésinement va croissant).

    Sur le territoire de la commune est implantée une forêt domaniale : la forêt d'Anost (contenance : 999,19 ha), qui mêle conifères et feuillus[1].

    Hydrographie

    • Source de la Cure.
    • Rivière d'Anost ou de la Petite-Verrière.
    • La Corcelière.
    • Le Corterin.
    • La Bic.
    • Ruisseau de Vernay.
    • Etang du Vernay.
    • Ruisseau de Rainache.
    • Etang Rainache.
    • La Chaloire.
    • Ruisseau du Chênelet.
    • Fontaine des Basses Cassières.
    • Ruisseau des Fontaines Salées.
    • Ruisseau des Malpeines.
    • Ruisseau de Montmaillot.
    • Ruisseau des Péchues.
    • Bien arrosé, le Haut-Morvan montagnard connait une pluviométrie annuelle importante (de 1 600 mm à 2 000 mm suivant les sommets).

    Urbanisme

    Typologie

    Anost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Autun, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 42 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,6 %), prairies (22,6 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), zones urbanisées (1,4 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    L'église d'Anost abrite dans le bas-côté gauche les gisants de Jehan et Isabeau de Roussillon, restaurés il y a quelques années par l'association Anost Archéologie après avoir été retirés de leur emplacement initial par le curé du lieu en 1852 (date à laquelle ils furent exposés verticalement, contre l'un des murs de l'église)[9].

    Parmi les édifices historiques de la commune se trouvent le château de Roussillon (dit le vieux château) ou encore la chapelle Sainte-Claire de Velée[10].

    En 1895, Anost dota son hameau d'Athez d'une école mixte de hameau, ce dont bénéficia le hameau de Dront en 1904[11].

    Le tacot du Morvan

    Au début du XXe siècle, la commune était desservie par une des lignes du tacot du Morvan : le chemin de fer d'Autun à Château-Chinon.

    Lors de l'ouverture de la ligne en août 1900, le terminus se trouvait sur le territoire de la commune d'Anost, à la gare desservant les hameaux de Athez et Corcelles. La ligne fut ensuite prolongée le dans le département de la Nièvre, jusqu'à Château-Chinon.

    La commune d'Anost bénéficiait de plusieurs points d'arrêt : un arrêt au hameau Les Chevannes, une gare au point kilométrique 19,791 de la ligne à Vaumignon, un arrêt à Velée et enfin une gare aux lieux-dits Athez et Corcelles au point kilométrique 23,725.

    Le trafic voyageurs fut stoppé le , remplacé par un service d'autocars. La ligne, fermée définitivement en 1936, fut démontée entièrement en 1939[12].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2020 en cours Louis Basdevant    
    mars 2008 mars 2020 Jean-Claude Nouallet DVG Retraité Fonction publique
    juin 1995 mars 2001 Bernard Dessertenne    
    mars 1965 mars 1989 André Basdevant SFIO-PS Avocat

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[14].

    En 2018, la commune comptait 724 habitants[Note 3], en augmentation de 1,69 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2012 1032 2482 7602 8193 0123 4803 6703 863
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 7893 8533 5563 6603 7253 6093 7633 4193 069
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 8682 6122 4112 0141 9721 8821 7261 4681 175
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 0811 058867847746679672691725
    2018 - - - - - - - -
    724--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[16].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Germain.

    Spécialités locales

    Anost est le lieu de production de La Foline, une bière bio de fabrication artisanale (non filtrée et non pasteurisée, refermentée en bouteilles ou en fût), par la (micro) brasserie du même nom.

    Manifestations culturelles et festivités

    • La traditionnelle Fête de la Vielle d'Anost[17],[18] est organisée à l'origine par Lai Pouèlée, Association pour l'expression populaire en Morvan. la fête de la vielle a débuté le à Montsauche-les-Settons (Nièvre) par la Journée de la vielle et des vielleux. Ce jour-là, quatre cents spectateurs et une trentaine de musiciens étaient présents. La fête est transférée à Anost (Saône-et-Loire) en 1979 (une journée le sous le nom de Grande fête de la vielle), à Ouroux-en-Morvan (Nièvre) en 1980 (deux journées les 9 (Bal Morvandiau traditionnel) et (Journée de la veille proprement dite) et à Saint-Brisson (Nièvre) en 1981 (une journée le ).

    À partir de l'édition 1980, l'Union des groupes et des ménestriers du Morvan (UGMM) reprend l'organisation de la fête qui prend alors le nom de Journée de la veille.

    À partir de 1982 (deux journées les 4 et ), la fête s'installe définitivement à Anost et à partir de 1983 (deux journées les 27 et ), elle se stabilise dans la seconde quinzaine d'août.

    À partir de 1987, à l'occasion des dix ans, elle passe à trois jours et prend le nom de Fête de la vielle en Morvan.

    En 1997, pour le 20e anniversaire, elle a lieu sur cinq jours ; en 2002 pour le 25e anniversaire sur quatre jours ; en 2007 et 2012 pour les 30e et 35e anniversaires à nouveau sur cinq jours.

    À partir de l'édition 1998, la fête prend son nom actuel de Fête de la Vielle.

    Pour son 30e anniversaire en 2007, la Fête de la Vielle a accueilli sur cinq jours 25 000 spectateurs venus de toute la France et de toute l'Europe, ainsi qu'une vingtaine de groupes invités (Morvan, Poitou, Gascogne, Bourbonnais, Espagne, Portugal…) et des centaines de musiciens.

    Depuis 2008, elle se déroule sur quatre jours (du jeudi au dimanche vers les 15-) durant lesquels retentissent les cornemuses, les violons, les accordéons diatoniques et les vielles à roues.

    Le , lors de sa 36e édition, la fête invite pour la première fois le groupe Malicorne, groupe phare de la scène folk française à l'origine en 1973 du renouveau des musiques traditionnelles.

    La programmation, dédiée aux musiques traditionnelles du Morvan et d'ailleurs, est riche en concerts variés et en « bœufs ». Outre les concerts sous chapiteau et le grand bal du samedi soir, elle offre au public de nombreuses animations gratuites : concerts dans les rues et les bars, scène ouverte sous la halle, apéritifs-concerts, stages de vielle et stands de luthiers, d'artisans, d'artistes, d'éditeurs, de vente de disques de musique traditionnelle.

    La 37e Fête de la vielle a eu lieu du jeudi 21 au dimanche .

    Pour son 40e anniversaire, la Fête de la vielle a réuni en 2017 plus de 20 000 festivaliers.

    La 41e Fête de la vielle a eu lieu, dans tout le village, du vendredi 17 au dimanche pendant trois jours et trois nuits de festivités. La musique traditionnelle d’ici et d’ailleurs y a rassemblé de nombreux artistes en concerts, en stages et pour animer les bals avec notamment le groupe de renommé internationale Blowzabella pour le concert phare du vendredi soir. L'édition a également proposé des scènes ouvertes, des initiations aux danses "trad", des stages de vielle (découverte et masterclass), des conférences, des projection de films, des stages de bourrées et danses de couple du Morvan, un marché des luthiers, un groupe folklorique, un stage pour les enfants et en off des boeufs.[19]

    Édifices civils

    • Le château de La Ferrière, bâti par la famille des Chevannes[21]. Le domaine appartenait au XIIIe siècle à l'abbaye Saint-Symphorien d'Autun et aux seigneurs de Glenne. Le château figure sur le cadastre de 1827. Il appartient à la fille du général Boyer[22] ;
    • Le château de Meix, au nord du bourg, fut construit sur ordre de Jacques de Chaugy, baron d'Anost en 1575. Ce château était ceint de fossés et possédait quatre tours. Il n'en reste plus rien ;
    • La maison forte de Vaumignon ;
    • Le manoir de Bussy ;
    • Le château de Roussillon, ruiné par les Armagnacs en 1412 selon Dom Plancher. Les ruines de cette forteresse sont encore visibles à quatre kilomètres au sud du bourg.

    Édifices religieux

    • Notre-Dame de l'Aillant est une statue de la Vierge à l'Enfant de 850 kg et de 3 mètres de hauteur[23] située sur un point de vue dans les hauteurs du village. Une plaque est fixée au piédestal de cette statue dont le père Jacques-Joseph Mariller, curé de la paroisse, est à l'origine ; y est gravée la mention : « En reconnaissance à la Vierge Marie qui a protégé Anost le 1er décembre 1871. Statue érigée le 5 août et bénite le 26 septembre 1878 »[24] ;
    • L'église, placée sous le vocable de saint Germain[25]. L'édifice date du XIIe siècle pour son abside en cul-de-four et son transept. Nef allongée et flanquée de deux collatéraux au XIXe siècle (1850). Sacristie et accès au clocher (à gauche et à droite du chœur) datant du XVIIIe siècle. Le campanile à charpente couverte d'essaules est remplacé en 1932 par un clocher en moellons en forme de tour carrée.[26]
    • La chapelle Sainte-Claire du hameau de Velée[27]. Chapelle décorée par dom Angelico Surchamp en 1966-1967[28]. Cette chapelle est un édifice à l’architecture très simple : une nef rectangulaire se terminant par une abside semi-circulaire, longue de 9,15 m, large de 4,65 m, les murs hauts d’environ 4,40 m, ni voûtée ni plafonnée, mais à la charpente visible. Éclairée de deux baies en plein cintre de part et d’autre de l’unique porte d’accès au centre du mur sud, c’est une église très lumineuse. Les enduits blancs portent un chemin de croix qui accompagne un Christ en croix sculpté et placé au centre du mur de l’abside.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), p. 7-10.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Autun », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. « Des gisants doivent gésir », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 143 de septembre 2005 (page 21).
    10. Chapelle Sainte-Claire de Velée, sur anost.fr (consulté le 7 août 2014).
    11. « Les écoles communales du canton de Lucenay-L'Évêque », article d'Alain Dessertenne et Jean-François Rotasperti paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 73 (printemps 1988), pages 25 à 28.
    12. « À travers le Haut-Morvan : le Tacot d'Autun à Château-Chinon de 1900 à 1936 », article de J. Paineau paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 80 (automne 1989), pages 3 à 8.
    13. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    14. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    15. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    16. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    17. Site du village d'Anost / Fête de la Vielle
    18. www.mpo-bourgogne.org / Fête de la Vielle
    19. Journal de Saône-et-Loire / Pour sortir / Loisirs / Fête de la Vielle d'Anost 2018
    20. François Portet, Collections ethnographiques et musées ruraux de Bourgogne, revue « Pays de Bourgogne » n° 200 de juillet 2003, pp. 46-50.
    21. Abbé Baudiau[réf. incomplète].
    22. Roland Niaux, Histoire et Archéologie en Morvan et Bourgogne, notes sur l'histoire d'Anost, 1979.
    23. « Notre-Dame de l'Aillant », article de Marie-Thérèse Suhard paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 161 de mars 2010 (pages 14 et 15).
    24. Inscription sur une plaque du piédestal.
    25. « Patrimoine mobilier de l'église », base Palissy, ministère français de la Culture.
    26. Source : Brochure de présentation de l'église Saint-Germain d'Anost éditée par la pastorale des réalités du tourisme et des loisirs du diocèse d'Autun (PRTL 71).
    27. « Patrimoine mobilier de la chapelle », base Palissy, ministère français de la Culture.
    28. Laurence Blondaux, Quelques peintures murales remarquables de Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 25-31.
    29. Site de la mairie d'Anost

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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