Alet-les-Bains

Alet-les-Bains [alɛt le bɛ̃] est une commune française, située dans le département de l'Aude en région Occitanie. Précédemment incluse dans la communauté de communes du Pays de Couiza, la commune a rejoint au la communauté de communes du Limouxin et du Saint-Hilairois. Alet-les-Bains est connue pour sa source d'eau minérale (l'eau d'Alet).

Pour les articles homonymes, voir Alet.

Alet-les-Bains

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aude
Arrondissement Limoux
Intercommunalité Communauté de communes du Limouxin
Maire
Mandat
Ghislaine Tafforeau
2020-2026
Code postal 11580
Code commune 11008
Démographie
Gentilé Aletois
Population
municipale
390 hab. (2018 )
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 59′ 51″ nord, 2° 15′ 25″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 720 m
Superficie 23,54 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Limoux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Région-Limouxine
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Alet-les-Bains
Géolocalisation sur la carte : Aude
Alet-les-Bains
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Alet-les-Bains
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Alet-les-Bains
Liens
Site web http://communes-du-limouxin.fr/alet

    Ses habitants sont appelés les Aletois.

    Ruines de l'abbaye d'Alet

    Géographie

    Localisation

    Alet-les-Bains est une station thermale (dont les eaux sont employées dans le traitement des troubles digestifs) située à neuf kilomètres au sud de Limoux et au nord de Quillan dans le département de l'Aude dans le grand Sud de la France, en plein cœur du Pays cathare.

    Le village est situé à une heure trois quarts de la mer et à une heure des stations de sports d'hiver.

    Il fait partie de la région naturelle du Razès au bord du fleuve Aude.

    De chaque côté du fleuve et du village, les montagnes culminent à une altitude de 750 mètres.

    Accès SNCF par la gare d'Alet-les-Bains sur la ligne Carcassonne - Rivesaltes et par la route RD 612, ancienne route nationale 118.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Alet-les-Bains se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 745 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 8,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,7 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoux », sur la commune de Limoux, mise en service en 1945[8]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 647,7 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, mise en service en 1948 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[12], à 14,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Alet-les-Bains est une commune rurale[Note 3],[15]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 39 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), cultures permanentes (3,3 %), zones urbanisées (1,2 %), terres arables (0,1 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Les origines de l'abbaye d'Alet sont inconnues, mais remontent a priori au VIIIe siècle. Elle est vraisemblablement fondée par Berà, vicomte du Razès. Au XIIe siècle elle est influente et attire bon nombre de pèlerins. Isolé dans son abbaye catholique en pays cathare, Pons Amiel, abbé de 1167 à 1197, fit fortifier la place. Sage mais inutile prudence. À sa mort, le chapitre avait désigné pour le remplacer Bernard de Saint-Ferréol. Le cathare Bertrand de Saissac, tuteur du vicomte Raimond-Roger Trencavel (1185 † 1209), n'approuva pas ce choix, pénétra de force dans l'abbaye, non sans avoir tué quelques moines, fit jeter en prison le nouvel élu, puis exhuma et plaça sur son siège abbatial la dépouille de Pons Amiel. C'est ainsi que sous la macabre présidence d'un cadavre, il fit élire l'abbé Boson, favorable aux Cathares. Bérenger de Barcelone, archevêque de Narbonne, entérina ce choix contre une coquette somme d'argent. Boson ne fut chassé qu'en 1222, après avoir livré Alet au comte de Foix[21].

    En 1318, l'abbaye est érigée en évêché, pour poursuivre la lutte contre le catharisme. Elle le reste jusqu'à la Révolution. Le diocèse comprenait 80 paroisses et s'étendait jusqu'à Formiguères et Saint-Paul-de-Fenouillet. Une enceinte fortifiée, encore de nos jours visible, avec quatre portes destinées à assurer la défense de l'abbaye, est édifiée vers la fin du XIIe siècle.

    Au XVIe siècle, sous l'épiscopat d'Antoine Dax les calvinistes, appelés Huguenots par leurs adversaires, incendièrent et ruinèrent le palais épiscopal et l'abbaye qui était devenue la cathédrale sainte-Marie de l'évêché d'Alet. Au XVIIe siècle, Nicolas Pavillon, évêque d'Alet, disciple de saint Vincent de Paul grand organisateur, défenseur et soutien des pauvres et, qui osa même se dresser contre l'administration de Louis XIV, aurait pu trouver les moyens de restaurer les édifices endommagés mais n'a pas jugé bon de le faire, faute sans doute d'en apprécier la valeur et pour ne pas choquer les pauvres de son diocèse. Il fera tout de même construire le pont qui enjambe l'Aude en 1662, un système d'irrigation perfectionné, ainsi qu'un séminaire et une institution des Dames Régentes.

    Le 35e et dernier évêque d'Alet, Charles de La Cropte de Chanterac, qui a ouvert la "Grand Route" Limoux-Quillan, a fait aussi construire une partie de l'évêché, rattachée au bâtiment le plus ancien qui date du XIIe siècle, actuellement conservé et aménagé. Par un escalier de pierre appartenant à la vieille abbaye, on accède au premier étage où l'on peut voir la belle et vaste salle synodale et la bibliothèque en trompe-l'œil d'époque. L'évêché et ses jardins de trois hectares occupent en grande partie l'emplacement de l'ancienne abbaye.

    Lors de la séparation des biens de l'Église et de l'État, le palais épiscopal fut acquis par le propre chirurgien du dernier évêque. Sa petite-fille, Élise Dellac, épousa Auguste Saunière qui fut maire d'Alet durant 18 ans. Ce dernier était lui-même le petit-fils d'Étienne Larade, avocat, qui représenta la Haute-Vallée de l'Aude à l'Assemblée Nationale de 1789.

    Leurs descendants conservèrent la propriété qui fut entretenue et occupée jusqu'au milieu du XXe siècle. La famille de l'actuel propriétaire de l'Hôtel de l'Évêché l'acheta alors[22].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mi XVIIIe siècle. mi XVIIIe siècle Thomas Goulard    
    XIXe siècle XIXe siècle Auguste Saunière    
    avant 1981  ? Maurice Ferrières DVG  
    mars 2001 2014 Jean-Denis Alandry    
    2014 En cours Ghislaine Tafforeau[23]    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

    En 2018, la commune comptait 390 habitants[Note 5], en diminution de 12,16 % par rapport à 2013 (Aude : +2,17 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    9488649501 1391 1191 2181 3201 2981 336
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2511 2101 1661 1211 266950984923828
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    819834786740759758651684695
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    654590554543460464442439435
    2013 2018 - - - - - - -
    444390-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L’eau minérale d’Alet-les-Bains est l’une des plus anciennes exploitées de France : cela fait bientôt cent vingt ans qu’elle est embouteillée[28]. Récupérée grâce à un forage de trois cents mètres de profondeur, elle a un débit de 400 m3/h. C'est l'une des sources les plus productives de France. L'eau minérale d'Alet a des caractéristiques physico-chimiques propres à la source avec une quantité importante de bicarbonate (300 mg/l), de calcium (63 mg/l), de magnésium (23 mg/l) et de potassium (1,8 mg/l). Des projets de relance de l'activité d'embouteillages sont régulièrement étudiés à partir de 2013[29],[30].

    Le village possède un casino appartenant au groupe Omnium. Malheureusement, ce village autrefois très vivant (hôtel, thermes, multiples boutiques et commerçants, navette permanente entre sa gare et le cœur de village...) ne compte plus aujourd'hui qu'une épicerie, boulangerie... Une buvette servant de gîte, propose un service restauration, est aussi située dans un ancien couvent avec son jardin intérieur et son évêché. Une piscine d'été permet d'apprécier les bains en eau minérale, traitée.

    La commune possède des carrières de dolomie.

    Culture locale et patrimoine

    Monuments historiques

    Vieux lavoirs de la ville où les habitants viennent faire le plein d'eau minérale.
    Source de l'eau minérale d'Alet-les-Bains.

    Alet-les-Bains possède un patrimoine architectural et historique prestigieux inscrit et classé monument historique :

    L'évêché, les ruines de la cathédrale, l'église paroissiale et le presbytère se suivent à partir du pont traversé par l'avenue Nicolas-Pavillon : artère principale du village et ancienne route nationale 118.

    Autres monuments

    Événements, animations, Festivals

    Ciné Sans Filet, le festival du court-métrage d'Alet-les-Bains[36] s'est déroulé en . Faute de subventions, le festival ne s'est pas déroulé en 2012, et ne se déroulera pas en 2013.

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Dax, chanoine et préchantre d’Alet, abbé de Saint Polycarpe. Nommé le évêque d’Alet. Il présida l'assemblée du des États de Languedoc.
    • Nicolas Pavillon (XVIIe siècle), évêque d'Alet.
    • Thomas Goulard, (1697-1784), chirurgien et anatomiste qui fut nommé maire de la ville.
    • Emile Bourgès alias « Le Diable Rouge » (1901-1975 à Vals-les-Bains-Ardèche), funambule autodidacte, enfant abandonné d'Alet qui donna ses premières représentations en costume rouge dans son village les 4 et .
    • Roger Peyrefitte (1907-2000), écrivain, y est enterré auprès de ses parents.
    • Ferdinand Conquet (1906-2007), résistant et prisonnier de guerre.
    • Achille Laugé (1861-1944), peintre, y avait son atelier.
    • Thierry Souccar (1955-), éditeur, est originaire de la commune.

    Héraldique

    Blasonnement de la commune : D'azur au vol abaissé d'argent, à la croisette pattée de procession d'or à la hampe brochant sur le vol, accostée en chef de deux étoiles du même et soutenue d'une foi aussi d'argent.
    Blasonnement de la commune tel que décrit en 1696 par Charles d'Hozier : De sable à un sautoir d'or accompagné de quatre losanges d'argent[37].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Julien Foltran, Les monastères et l’espace urbain médiéval en Pays d’Aude : Lagrasse, Alet, Caunes. Thèse de doctorat d’histoire sous la direction de N. Pousthomis-Dalle et J.-L. Abbé, Toulouse, Université Toulouse-Jean-Jaurès,

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Limoux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Alet-les-Bains et Limoux », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Limoux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Alet-les-Bains et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Le Pays Cathare J.L. Aubardier, M. Binet, H. Champollion - éditions OUEST-FRANCE
    22. descendance familiale.
    23. site municipal
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Tout savoir sur l'eau minérale d'Alet
    29. « Il veut reconstruire des thermes à Alet », La dépêche du midi, (lire en ligne)
    30. F.P., « Eaux d'Alet : une entreprise prête à investir 15,5 M€ », La Dépêche du midi, (lire en ligne)
    31. « Restes de l'ancienne cathédrale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    32. « Ancienne abbaye Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    33. Gratien Leblanc - L'église Saint-André d'Alet - p. 304-216, dans Congrès archéologique de France. 131e session. Pays de l'Aude. 1973 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1973
    34. « Eglise paroissiale Saint-André », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    35. « Eglise de Saint-Salvaire », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    36. Festival International du Court-Métrage Cine Sans Filet Alet les bains
    37. Armorial général des personnes, domaines, compagnies, corps et communautés (circonscription actuelle de l'Aude) / extrait de l'Armorial général (manuscrit), dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d'Hozier, éd. de Carcassonne, 1876, page 15, (texte sur Gallica)
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