Aingeray

Aingeray est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, village de Lorraine en région Grand Est.

Aingeray

Mairie.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
André Fontaine
2020-2026
Code postal 54460
Code commune 54007
Démographie
Gentilé Aingerois
Population
municipale
531 hab. (2018 )
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 23″ nord, 6° 00′ 09″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 289 m
Superficie 12,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Aingeray
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Aingeray
Géolocalisation sur la carte : France
Aingeray
Géolocalisation sur la carte : France
Aingeray

    Géographie

    Fig 1 - Aingeray (Ban communal).

    D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1 291 hectares comprend en 2011, plus de 38 % de terres arables et de prairies, 38 % de forêt et près de 7% de surfaces en eau, 10 % de surfaces agricoles diverses et près de 6 % de zones industrielles et urbanisées[1]. Le bourg à l'aspect typique des villages-rue de lorraine.

    Le territoire est arrosé par la Moselle [2]et son canal à grand gabarit sur environ 4 800 m. L'altitude moyenne d'Aingeray est de 241 mètres environ. Un exemple de relief géologique dit synclinal peut être observé à Aingeray[3]

    La commune est desservie par la route départementale no 90, venant de la vallée de la Moselle à Liverdun, allant vers Toul via Fontenoy-sur-Moselle et Gondreville. Les sources historiques et archéologiques mentionnent d'anciens chemins[4] reliant Liverdun et Toul, via Sexey-les bois dont certains diverticules desservaient les lieux-dits Vieil Aingeray et Bois de Namplain.

    Le lieu-dit Voirémont est connu pour abriter un exemple de pelouse calcaire riche en spécimens de biodiversité intéressants[5].

    Lieux-dits et écarts

    Les lieux-dits Val Toussaint et Malzey apparaissent à de nombreuses reprises dans les chroniques historiques et archéologiques de la région.

    Aingeray en 1888, B.M. de Nancy.

    Le toponymes Fourneaux et Banal pourraient indiquer la présence ancienne d'installations communales partagées comme un four, un moulin.(Fig1)

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Aingeray est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,8 %), terres arables (27,7 %), prairies (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (10,5 %), eaux continentales[Note 3] (6,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %), zones urbanisées (1,9 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Le toponyme apparaît sous la forme latine Angeriacum villa en 922/962, Angeriacum en 974 et 1050, puis Angeliaco en 965. La forme française "Angerei" apparaît dès 1262/1263 ; l'on a Engerey en 1492, Angerey en 1516, Angeray en 1594, Aingery en 1719 ; la graphie actuelle n'apparaît qu'en 1862. L'on trouve en outre la précision Aingerey-lez-Gondreville en 1565[13].

    Le nom est composé de l'anthroponyme germanique Anghari et du suffixe gallo-romain -iacum : domaine d'Angar. Ce type de formation, issu du jargon de l'administration fiscale, est typique de l'Antiquité tardive (IVe siècle-VIIe siècle)[14].

    Histoire

    Bifaces (Cne d'Aingeray - Musée de Toul).

    Le journal de la société d'archéologie lorraine cité par Jules Beaupré dans son répertoire archéologique[15] mentionne la découverte d’artefacts de la période de l'âge de pierre sur le plateau dominant le village.

    Antiquité

    H Lepage cite le Révérend Père Benoît Picart qui au XVIIIe siècle rend compte de découvertes sur le territoire de la commune située à une lieue un tiers à l'est de Toul[16]. :

    « Camp d'une étendue assez considérable suivant le P(ère). Picart, il était fortifié de murailles et de tours qui paraissaient encore, de son temps, en plusieurs endroits au-dessus de terre. Les médailles antiques qu'on y a trouvées en fouillant le sol, font conjecturer, dit-il, que c'est un ouvrage que l'on peut attribuer aux Gaulois ou aux Romains »

    On faisait donc remonter cet établissement à la période du Haut-Empire romain ou à l’Époque de l'indépendance du territoire celte de Gaule, mais Beaupré conteste le caractère de camp fortifié de ce site et y voit plutôt une structure agraire :

    « Il existe dans le bois de Namplain des amoncellements de pierres brutes, formant enceintes, et quelques tumuli. Nous en avons fouillé, M. Bleicher et moi, un certain nombre en 1895, mais sans succès. Ces lignes de pierres s'étendent dans toute la forêt, et offrent la plus grande analogie avec l'ouvrage du même genre situé dans les bois d'Allain. Bien que ce travail ne présente aucun caractère militaire, c'est sans doute lui que Benoît Picard avait en vue quand il parle « d'un camp fortifié de murs et de tours, entre Aingeray et Sexey ».

    Moyen Âge

    Le revenu du village d'Aingeray, dont dépendait Molzey, fut donné par Pépin à Bornon, en 794, engagé ensuite aux Comtes de Chaumontois, puis retiré par saint Gérard, qui la donna aux religieux de Saint-Mansuy[17].

    L'érudit Olry, ancien instituteur d'Allain précise :

    « Au Vaux Toussaint entre Aingeray et Fontenoy, ruines d'un hameau appelé « le Vieil Aingeray », découverte sur ce lieu d'un grand nombre d'objets, dont des tuiles plates à rebords. À l'orient et à deux km d'Aingeray, vestiges du hameau de Molzey, (Molisiacus, Malzey ou Marley), détruit, d'abord au XVIIe siècle, temporairement habité par quelques familles puis définitivement abandonné. Dans la même direction, vestiges d'un château, maison seigneuriale du XVe siècle et du XVIe siècle. »

    Aingeray aurait donc été formé de la réunion de plusieurs hameaux, toutefois la genèse et l'histoire de ces installations reste encore un peu obscure, comme l'explique une série d'articles de la revue Études touloises[18] consacrés à ce village.

    L'existence d'une ferme mérovingienne est certaine. En effet, E Salin cite la découverte de sépultures barbares aux lieux-dits Au vieil Aingeray (Fig1) et à la Vaux Toussaint en 1873[19]

    Époque moderne

    Graves dommages au cours de la Seconde Guerre mondiale.[réf. nécessaire]

    Anecdotes

    Pour actes de sorcellerie, trois personnes furent exécutées, une femme nommée Claudon Oudenot et un pâtre Nicolas Gengoulphe en 1608 et une autre femme Méline, veuve de Nicolas Gérard, en 1615.[réf. nécessaire]

    En 1630, la peste régnait aux environs de Nancy et dans les environs. La peste sévit aussi durant six mois à Aingeray (et probablement à Malzey) et y fit mourir 32 personnes[20].

    Comme d'autres villages de Lorraine et du Toulois, Aingeray a été le lieu de la manifestation de la présence du loup et plusieurs récits le mettant en scène aux prises avec l'homme ont été exposées par M Hachet dans un article de la revue Études touloises[21].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1489   PARISET (Le drapier)[22] ou PARISOT   mayeur
        Gérard THOUVENOT   mayeur boulanger / hôtelier
    en 1668   François Bonnet[23]   mayeur
    Vers 1676   Claude (Claudin) FRANÇOIS    
    Vers 1715 Vers 1722 Nicolas FRANÇOIS    
    1789   François François    
    1792   Charles Hachet    
    avant 1802 environ 1820 François Pierson    
    1871   François Thomas Depardieu    
    avant 1911   Mansuy    
    avant 1981  ? Michel Laramée PS  
    1983 1989 René Juliac    
    2001 En cours André Fontaine    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Note : François François était le maire également de Malzey

    Liste des curés

    Liste des curés
    Période Identité
    avant 1728 - Jean Joseph LIEGAULT
    en 1728 - A CHAMOY
    avant 1792 - LORRAIN
    après 1792 - Nicolas AUBRY
    1824 - 1831 François DROUIN
    -

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 531 habitants[Note 4], en diminution de 3,8 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    365365383399446429440480690
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    518482488484466466461405382
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    364441520657451414321370389
    1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018
    397398417585638607559560531
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole , au XIXe siècle:

    « Surf. territ. : 665 hect. en terres lab.., 73 en prés, 27 en vignes, 240 en bois. Un hectare semé en blé peut rapporter 12 hectolitres 50 litres, en orge 12, en seigle 10, en avoine 45. On y élève principalement des chevaux»[28],[29]

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[30]), la commune d' Aingeray était majoritairement orientée [Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 600 hectares (égale à la surface cultivable communale) en augmentation depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est maintenu autour de 595 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 7 (6 en 1988) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 11 unité(s) de travail[Note 7], (jusqu'à 13 auparavant) : l'activité agricole avait résisté.

    Lieux et monuments

    • Ruines fortifiées au lieu-dit Haut-du-Château.(Fig1)

    " Maison seigneuriale du XVe siècle ou du XVIe siècle appartenant à M. Depardieu ; à l'extérieur, fenêtres à meneaux et portes à linteau ornementé ; à l'intérieur, cheminée curieuse, couronnée de petits créneaux ; dans les caves, anciennes prisons, et fond de fosse ".

    Texte de Étienne Olry dans le Répertoire archéologique de l'arrondissement de Toul (1871).

    Elle était la résidence du maire ayant un rôle judiciaire, elle perdit cette fonction par les décrets de 1790 portant sur la création des cantons et de la justice de paix installée à Fontenoy-sur-Moselle jusqu'en 1800. La cave de la prison a été comblée vers 1984 par Bernard Depardieu, propriétaire des lieux.

    Une fourche patibulaire et son échelle étaient dressées en place publique pour l'exécution par pendaison des condamnés à mort et la population devait assistance au bourreau dans son œuvre[31].

    • Une écluse et un barrage de la Moselle canalisée sont situés sur le territoire de la commune.(Fig1)

    Édifice religieux

    • Église Saint-Médard détruite en 1944 et reconstruite.
    • Le retable en pierre de dimensions 0,90 m par m et du datant du début du XVIe siècle, il provient de la chapelle de Malzey (ermitage Saint-Jean). Propriété de la commune, il est classé en 1908 aux " Monuments Historiques" sous le n° PM54000004[32]. Encastré dans le mur, il se compose de six niches placées de front, accolées les unes aux autres et séparées la 3e et la 4e par une niche centrale plus importante. Chacune de ces petites niches est couronnée d'un dais et abrite deux statuettes (en tout douze, figurant les apôtres) ; la niche principale est occupée par trois personnages : le Père éternel, une femme agenouillée et un ange.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Victor Riston, Le Retable de l'église d'Aingeray, 10 pages (dont 2 planches) non reliées, 1892
    • Au musée de Toul : le musée offre un abri à une délicate Vierge à l´Enfant - Michel HACHET[33]
    • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
    2. « La moselle [A---0060] - Cours d'eau », sur www.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    3. « Le synclinal d'Aingeray - Activités réalisables », sur www4.ac-nancy-metz.fr (consulté le ).
    4. https://www.etudes-touloises.fr/archives/25/art1.pdf À propos du "pont romain" de Liverdun : Recherches sur le réseau routier ancien à l'Est de Toul - Carte P 5 Madame ARNOULD-ROMBACH, Collège de Liverdun
    5. « Pelouse calcaire - Tourisme/ loisirs - Accueil - Mairie de Aingeray », sur www.aingeray.mairie54.fr (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, , 240 p. (lire en ligne).
    14. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
    15. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 10-11.
    16. « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy) Cote : NUMM-33691 ».
    17. P. Benoît capucin , Hist. de Toul, p. 280.
    18. « Ville, village, lieu-dit A », sur www.etudes-touloises.fr (consulté le ) : « Aingeray à rebours : le village Madame ARNOULD-ROMBACH et ses élèves du collège de Liverdun ».
    19. Édouard Salin, « Caractères généraux, nomenclature et carte archéologique des cimetières du haut moyen âge du département de Meurthe-et-Moselle », Bulletin Monumental, vol. 96, no 2, , p. 209 (DOI 10.3406/bulmo.1937.8528, lire en ligne, consulté le ).
    20. Bulletin de Société de géographie de l'Est (1894), page 8.
    21. https://www.etudes-touloises.fr/archives/6/art3.pdf
    22. https://www.etudes-touloises.fr/autres/inedits/Aingeray_bibliographie.pdf
    23. Acte notarié n°3E3443 pour le mariage de son fils Claude le 21 mai 1668-Recherches de Robert Depardieu
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press, (ISBN 1-278-24895-1 et 978-1-278-24895-0, OCLC 936241814, lire en ligne).
    29. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative / publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 9.
    30. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
    31. Essai historique sur les institutions judiciaires des duchés de Lorraine et de Bar avant les réformes de Léopold Ier, page 53, thèse pour le doctorat en droit par Charles Sadoul.
    32. Notice no PM54000004, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. « 2013 », sur www.etudes-touloises.fr (consulté le ).

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