Jaillon

Jaillon est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Jaillon

Église Saint-Gorgon.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Catherine Sauvage
2020-2026
Code postal 54200
Code commune 54272
Démographie
Gentilé Jaillonais, Jaillonaises [1]
Population
municipale
473 hab. (2018 )
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 45′ 27″ nord, 5° 58′ 08″ est
Altitude Min. 197 m
Max. 277 m
Superficie 7,47 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Jaillon
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Jaillon
Géolocalisation sur la carte : France
Jaillon
Géolocalisation sur la carte : France
Jaillon

    Géographie

    Fig1 - Jaillon (Ban communal)

    D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 747 hectares comprend en 2011, plus de 57 % de terres arables et de prairies, près de 26  % de forêt, 3.5% de surfaces agricoles diverses et 12  % de zones industrielles et urbanisées[2].

    Le territoire est arrosé par les cours d'eau suivants : Le Terrouin (sur 4.295 km) et le ruisseau le Longeau (sur 0.591 km)[3]

    La commune est desservie par la route départementale no 611 (Toul-Dieulouard) mais les chroniques historiques et répertoires archéologiques[4] signalent d'ancien chemins allant vers Liverdun à l'est et vers Avrainville au nord-ouest[5].

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Jaillon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,6 %), forêts (24,6 %), prairies (19,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,9 %), zones urbanisées (4,8 %), mines, décharges et chantiers (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Gavalongæ (836) ; Gavalunigæ (884) ; Gavalungæ (936) ; Ecclesia Gavillonis (1065) ; Javulns (1169) ; Javelons (1127-1168) ; Jauluns (1196) ; Javillons Jaillons Jallons (1271) ; Gavelutæ (1359) ; Jaillonnum Jalonnum domus hospitaliorum de Jaillons (1402) sont les graphies recensées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[13].

    M. Auguste Longnon propose dans son dictionnaire de toponymie une formation pour le substantif "Jaille" à partir du verbe jaillir, en lien avec un lieu où jaillissent des sources. La topographie de la commune comporte effectivement une vallée arrosée.

    E. Grosse[14] en parle en ces termes :

    «Ce village remonte à la plus haute antiquité : on le nommait, en latin, Gavillo, et il en est fait mention dans quelques actes publics du IXe siècle.Il est encore parlé de Gavolingis et Gavolonigis, dans deux titres de l'abbaye de Saint-Evre , l'un de l'an 836 et l'autre de l'an 884[15]

    Histoire

    Préhistoire et antiquité

    Reproduction parue dans la revue Gallia

    H Lepage signale sur ce territoire la découverte d'objets en silex travaillé, intacts ou à l'état de débris et de quelques monnaies des Leuques, l'une d'entre elles, au droit, présente une tête barbare, et au revers, un sanglier[16].

    De nombreuses monnaies romaines et d'autres objets[17] ont été trouvées sur la commune le long de l'ancienne voie Lyon-Trèves.(Fig1 - Jaillon (Ban communal))

    Toutefois Lepage défend l'hypothèse, contraire à ses prédécesseurs historiens, que ce secteur, s'il a surement été fréquenté par des armées romaines, n'a jamais été fortifié comme un camp aménagé sur la durée :

    «. De chaque côté de cette voie, près de Jaillon, vaste plateau appelé par les auteurs et la tradition Camp romain, dénomination adoptée aussi par M. Beaulieu. Malgré son assertion, nous pensons que le prétendu camp de Jaillon n'a été qu'un lieu de stationnement temporaire pour les légions en marche entre Toul et Scarponne, et que cet emplacement, très-favorable du reste pour les haltes, ne fut jamais pourvu de travaux de défense sérieux, comme les camps proprement dits. D'après l'examen du sol, les trouvailles faites et le nom des cantons conservés, on doit supposer que les troupes de pied stationnaient sur le petit plateau, limité à peu près par le village, la vallée, la route et le chemin de la Croix, emplacement ayant la forme d'un quadrilatère d'environ 500 mètres de l'est à l'ouest, et de 400 mètres du nord au sud[16]...»

    «Ces découvertes font présumer que le soi-disant camp de Jaillon ne fut qu'un établissement agricole, où purent parfois s'attarder ou séjourner des colonnes militaires en route vers la frontière de Germanie[18]

    Moyen Âge

    Les chroniques rapportent en plusieurs occasions la découverte d’une nécropole mérovingienne :

    «(en creusant une cave) ... en 1869, découverte de 40 sépultures, dans 13 tombeaux rangés sur 4 lignes, parallèles deux à deux ; 2 mètres de distance, renfermant chacune 3 ou 4 squelettes. On recueillit 2 vases, des grains de colliers en corail et en verroteries[19]

    Qu' Édouard Salin classe dans le groupe des sépultures du Haut Moyen Âge[20].

    Les Hospitaliers

    J Beaupré évoque quant à lui les dernières périodes du Moyen Âge en ces termes :

    «Jaillon est très ancien il est cité dans une charte de l'an 836, sous le nom de Gavalongæ (D. T.), et, au XIe siècle, on le voit en possession d'une église qui est donnée aux chanoines de Saint-Gengoult (S.). Au Pont-de-Jaillon, écart appelé le Pont à Jaillons en 1291 (D. T.), à 5 ou 600 mètres à l'ouest du village, près de la route, il existait, à cette date, un hôpital qui relevait de la commanderie de Libdeau, un pâtis à peu de distance s'appelle la Commanderie[21],[19] »

    De fait , une commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem a existé au lieu-dit Pont de Jaillon. Son existence est attestée en 1291[22] et en 1296[23] et elle a été rattachée à la commanderie de Libdeau après la dévolution des biens de l'ordre du Temple[24],[Note 3].

    «Cet établissement hospitalier n'était plus qu'un ermitage en 1616; il fut démoli par arrêt du conseil de Lorraine, quelque temps après, pour un motif qu'on ne fait pas connaitre[19]»

    Époque moderne

    Dans un livre consacré à la première guerre mondiale, René Mercier transcrit un texte signé Pierre LEONY qui évoque dans une note de campagne les conséquences du conflit sur la vie campagnarde lorraine et notamment à Jaillon :

    «Les Animaux Hélas ! nous n'aurons pas eu de Comice agricole cette année. Les chevaux ardennais-lorrains qui devaient être à Longwy, à Pont-à-Mousson, à Mandres-aux-Quatre-Tours, traînent maintenant les convois sur les routes. Les vaches sont dans les parcs prêtes à être sacrifiées pour l'armée. Et les célèbres volailles de Mme Laroppe, de Jaillon, ont été mangées par les territoriaux

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 mars 2008 Michel Milandri    
    mars 2008 mai 2020 Régis Mathieu[26]   Retraité salarié du secteur privé
    mai 2020 En cours Catherine Sauvage[26],[27]   Cadre administrative et commerciale d'entreprise

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

    En 2018, la commune comptait 473 habitants[Note 4], en augmentation de 5,11 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    245260270292300270293293311
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    308291269254249242262237212
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    216202172172178182182215213
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    180166179249302350353469473
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole , au XIXe siècle:

    « Surf. territ.: 747 hect. ; 459 en terres lab., 39 en prés , 11 en vignes, 126 en bois »[14],[32]

    Secteur primaire ou Agriculture

    Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

    D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[33]), la commune de Jaillon était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 192 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en nette diminution depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 419 à 174 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 3(11 auparavant) exploitation(s) agricole(s) ayant leur siège dans la commune employant 3 unité(s) de travail[Note 7]. (8 auparavant)

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Découverte en 1869 d'une nécropole mérovingienne.
    • Château de Jaillon à Jaillon XVIe - XVIIe ruiné, remanié XVIIIe.
    • Voie romaine Reims-Metz
    • Église Saint-Gorgon XIXe siècle : maître-autel et tabernacle 1872 en pierre et staff.

    Héraldique, logotype et devise

    Blason
    Détails

    Voir aussi

    Bibliographie

    • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Parfois mentionné à tort comme d'origine templière avec pour référence les Mémoires de la société nationale des antiquaires de France, p. 81 qui ne mentionne pas cette origine et qui parle en fait de Libdeau[25]
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
    6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
    7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. http://sigesrm.brgm.fr/?page=ficheMaCommune&codeCommune=54272
    3. « Sandre Portail national d'accès aux référentiels sur l'eau | Fiche cours d'eau », sur services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
    4. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ) : « La route romaine de Lyon à Trèves passe à 400 m. au N.-O. du village actuel et traverse une enceinte encore appelée le Camp romain, sur la hauteur sur laquelle s'étend un plateau de plusieurs km. de longueur appelé la Plaine de Késer (César?) ».
    5. https://www.etudes-touloises.fr/archives/25/art1.pdf carte page 5
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
    14. E. Grosse, Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press (réimpr. 2012) (1re éd. 1836) (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne), p. 127.
    15. Calmet, Augustin, 1672-1757., Notice de la Lorraine, Paris, Éditions du Palais-Royal, (ISBN 2-7777-0041-9 et 9782777700413, OCLC 1070876, lire en ligne).
    16. « Gallica - », sur visualiseur.bnf.fr (consulté le ) : « Type :PERIODIQUE Auteur :Société d'archéologie lorraine Titre(s) :Mémoires de la Société d'archéologie lorraine Publication :A. Lepage (Nancy)Cote : NUMM-33691 ».
    17. Musée historique lorrain au palais ducal de Nancy. Catalogue des objets d'art et d'antiquité , par Lucien Wiener..., (lire en ligne), p. 48 - 370. Poignard, avec la gaine en bronze, trouvé au camp de Jaillon (M.-et-M.)..
    18. TOUSSAINT, Maurice, Writer on Gallo-Roman History., La Lorraine à l'époque gallo-romaine, etc. (Extrait des Mémoires de l'Académie de Metz.)., (OCLC 504371029, lire en ligne), p. 49.
    19. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 78.
    20. Édouard Salin, « Caractères généraux, nomenclature et carte archéologique des cimetières du haut moyen âge du département de Meurthe-et-Moselle », Bulletin Monumental, vol. 96, no 2, , p. 191–218 (DOI 10.3406/bulmo.1937.8528, lire en ligne, consulté le ).
    21. Les toponymes La commanderie et Sur la Haut de la commanderie existent encore dans les fichiers du fisc, mais peu sur les cartes modernes
    22. Henri Lepage, « Sur un ancien pouillé du diocèse de Toul », Mémoires de la société d'archéologie lorraine, 2e série, vol. V, , p. 374-375 (lire en ligne)
      1291: « frère Renaut, maistre du Pont à Jaillons et les frères de l'ospital de Jaillons ».
      .
    23. Henri Lepage, « Notice sur quelques établissements de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem situés en Lorraine : IX. Commanderie de Libdeau et de Toul », Annuaire administratif, statistique, historique et commercial de la Meurthe, , p. 63-64 (lire en ligne)
      1296: « la maison de l'ospital de Sainct Jehan au Pont à Jaillons... ».
      .
    24. Michel Henry, Les ordres militaires en Lorraine, Éditions Serpenoise, , 354 p. (ISBN 978-2-87692-706-3, présentation en ligne), p. 87, 111, 228, 280.
    25. M. Lamoureux ainé, « Suite et fin de la notice sur la ville et le comté de Scarpone », Mémoires de la société royale des antiquaires de France, t. X, , p. 81 (lire en ligne).
    26. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative : publ... par Henri Lepage, (lire en ligne), p. 262.
    33. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
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