Aincille

Aincille (prononcé [ɛ̃sil]; en basque : Aintzila) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Aincille

L'église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Gilbert Oçafrain
2020-2026
Code postal 64220
Code commune 64011
Démographie
Gentilé Aintzildar
Population
municipale
114 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 08′ 44″ nord, 1° 11′ 38″ ouest
Altitude Min. 198 m
Max. 755 m
Superficie 6,26 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Jean-Pied-de-Port
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montagne Basque
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Aincille
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Aincille
Géolocalisation sur la carte : France
Aincille
Géolocalisation sur la carte : France
Aincille

    Le gentilé est Aintzildar[1],[2].

    Géographie

    Localisation

    La commune d'Aincille se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe à 116 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 57 km de Bayonne[5], sous-préfecture, et à 40 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Çaro (1,8 km), Saint-Jean-le-Vieux (2,3 km), Saint-Michel (2,3 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (2,5 km), Bussunarits-Sarrasquette (2,8 km), Saint-Jean-Pied-de-Port (4,0 km), Ispoure (4,3 km), Lecumberry (4,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Aincille fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3],[8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[10],[11]. La commune est dans le pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.

    Accès

    La commune est desservie par la route départementale 118.

    Lieux-dits et hameaux

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier d'Aincille.

    La commune est drainée par le Laurhibar, Sassitako erreka, l’Urtchipia et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 7,23 km de longueur totale[13],[14].

    Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il longe la commune sur son flanc nord-est, constituant la limite séparative avec Ahaxe-Alciette-Bascassan, et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, après avoir traversé 8 communes[15].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[16]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[17].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[18]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[16]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 580 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[19] complétée par des études régionales[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[21]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[22],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 46 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[25], à 14,3 °C pour 1981-2010[26], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[27].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[29],[Carte 1] :

    • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port », d'une superficie de 11 760 ha, une montagne à estives, espaces pastoraux d’altitude (au-dessus de 800-900 m) ouverts sur de vastes étendues[30] ;
    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[31].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 7]est recensée sur la commune[32],[Carte 2] : la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » (7 568,16 ha), couvrant 7 communes du département[33] et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[32],[Carte 3] :

    • les « montagnes de Saint-Jean-Pied-de-Port » (14 133,83 ha), couvrant 9 communes du département[34] ;
    • le « réseau hydrographique des Nives » (3 596,23 ha), couvrant 33 communes du département[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Aincille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[36],[37],[38].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,1 %), prairies (19,3 %), forêts (8,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,2 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme est documenté sous les formes Ancibiu (1264[42] et 1309[43]), Ancivil (1291[43] et 1292[42]), Ancil (1304[42] et 1344[43]), Ançill (1307[42],[43]), Ancibiu (1350[42],[43]), Aincile (XVIIIe siècle[44], intendance de Pau, C 54[45]) et Ancille (1801[46], Bulletin des lois).

    Étymologie

    Le nom Aïncille provient d'un ancien toponyme Aintzibil signifiant en basque « colline des marécages »[43] ;

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Aintzila[43],[2].

    Pierre Lhande mentionne la forme Aintzille-Harrieta[47], composée avec le nom du château situé au sud de Saint-Jean-le-Vieux.

    Histoire

    Une partie des terres indivises d’Aïncille, aux côtés de celles des communes d’Ahaxe-Alciette-Bascassan, Bustince-Iriberry, Çaro, Lecumberry, Mendive, Saint-Jean-le-Vieux et Saint-Michel, fut apportée le [48] à la formation de la commune d’Estérençuby[49].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Écartelé au 1 d'azur au pont d'or maçonné de sable brochant sur une onde d'argent mouvante de la pointe et accompagné en chef de trois étoiles d'argent rangées en fasce ; au 2 d'or à une aigle de sable au vol abaissé ; au 3 de sinople à une vache d'or colletée et clarinée d'azur posée en pointe surmontée d'une brebis au naturel accornée d'or; au 4 d'azur à une église de profil d'or couverte du même ajourée de sable prolongée à dextre d'un porche abaissé d'or ouvert de sable, l'église est surmontée à dextre d'un clocher d'or couvert du même et sommé d'une croisette de sable[50].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 2008 Jean Franchistéguy DVD  
    2008 En cours Gilbert Oçafrain DVG Agriculteur
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale et du syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port[51].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[53].

    En 2018, la commune comptait 114 habitants[Note 11], en diminution de 8,06 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,37 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    416297413344558590423362341
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    336303301320307270260241227
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    217232211191187193183176168
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    146123136113110103118130118
    2018 - - - - - - - -
    114--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune fait partie de la zone de production du vignoble d'Irouléguy et de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole.
    Aïncille a longtemps accueilli une saline (saline d'Ugarré), connue dès le XVIIe siècle, qui avait la particularité d'être une société par actions, propriété des vingt-neuf maisons anciennes de la commune[55], et qui fut réunie au domaine royal en 1683.

    Culture et patrimoine

    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Aincille est le bas-navarrais oriental.

    Patrimoine civil

    Une croix de carrefour[56] est inscrite aux monuments historiques depuis 1992.
    La commune présente un ensemble[57] de maisons et de fermes des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles, telles les fermes Idiondoa[58] (XVIIe siècle) et Ahadoberria[59] (XVIIIe et XIXe siècles), inscrites toutes deux à l’Inventaire général du patrimoine culturel.

    Patrimoine religieux

    Une croix de cimetière[60] est inscrite aux monuments historiques depuis 1992.
    L'église Notre-Dame-de-l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie-et-Saint-Jean-Baptiste[61] date du milieu du Moyen Âge. Elle recèle une croix de procession[62] du XVIIIe siècle et une Vierge à l'Enfant[63] en bois du XIIIe siècle. Ces deux objets sont classés par les monuments historiques depuis 1993.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
    7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Aincille », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune d'Aincille », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune d'Aincille », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Brigitte Jobbé-Duval, Dictionnaire des noms de lieux - Pyrénées-Atlantiques, Archives et Culture, (ISBN 978-2-35077-151-9).
    2. - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune d'Aincille », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Aincille et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Aincille et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Aincille et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches d'Aincille », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    10. « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    13. « Fiche communale d'Aincille », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    14. « Hydro » sur Géoportail (consulté le 9 août 2021)..
    15. Sandre, « le Laurhibar ».
    16. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    17. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    18. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le ).
    19. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    20. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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    25. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    26. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    27. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    28. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    29. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aincille », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « site Natura 2000 FR7200754 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aincille », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF la « grotte de Mikelauenzilo et alentours » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    56. « La croix de carrefour », notice no PA00084306, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Maisons et fermes anciennes », notice no IA64000966, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « La ferme Idiondoa », notice no IA64000861, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. « La ferme Ahadoberria », notice no IA64000860, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. « La croix de cimetière », notice no PA00084307, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    61. « L'église Notre-Dame-de-l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et Saint-Jean-Baptiste », notice no IA64000857, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « La croix de procession de l’église Notre-Dame-de-l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et Saint-Jean-Baptiste », notice no PM64000025, base Palissy, ministère français de la Culture.
    63. « La Vierge à l'Enfant de l’église Notre-Dame-de-l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et Saint-Jean-Baptiste », notice no PM64000024, base Palissy, ministère français de la Culture.

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