Agonac

Agonac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Agonac

L'église Saint-Martin d'Agonac.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Christelle Boucaud
2020-2026
Code postal 24460
Code commune 24002
Démographie
Gentilé Agonacois
Population
municipale
1 766 hab. (2018 )
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 36″ nord, 0° 45′ 03″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 224 m
Superficie 37,22 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trélissac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Agonac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Agonac
Géolocalisation sur la carte : France
Agonac
Géolocalisation sur la carte : France
Agonac
Liens
Site web www.agonac.fr

    Géographie

    Généralités

    La retenue de la Beauronne au centre du bourg d'Agonac.

    Incluse dans l'aire urbaine de Périgueux[1], la commune d'Agonac s'étend sur les deux versants de la vallée de la Beauronne, un ruisseau affluent de l'Isle.

    Sur la commune, le sol est principalement recouvert de sables, d'argiles ou de graviers pléistocènes alors que les hauteurs au nord et au sud-est sont composées de calcaires du Crétacé[2]. L'altitude minimale, 110 mètres, se situe au sud-ouest, près du hameau Bosquely, là où la Beauronne quitte le territoire communal pour entrer sur celui de Château-l'Évêque. Le point culminant, 224 mètres, se trouve au nord du bourg, à l'ouest du lieu-dit Gerveries.

    Traversé par la Beauronne, le bourg d'Agonac est situé, en distances orthodromiques, onze kilomètres au sud-est de Brantôme et douze kilomètres au nord de Périgueux, au croisement des routes départementales 3, 3E7, 69 et 106. Il est également desservi par la ligne de chemin de fer Limoges - Périgueux. Ce bourg du Périgord blanc est situé au milieu d'une région de collines où abondent les noyers et les chênes truffiers.

    Communes limitrophes

    Carte d'Agonac et des communes avoisinantes en 2018.

    Agonac est limitrophe de six autres communes.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 939 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[9] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 53 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 13,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Agonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), terres arables (24,1 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (1,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2012 pour la Beauronne et son affluent l'Alemps, ainsi que leurs rives, sur une largeur pouvant dépasser les 300 mètres[22],[23].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le bourg d'Agonac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[24] :

    • à l'Allée
    • la Barrière
    • Bas Vaure
    • Beaurouchou
    • Berbessou
    • Berzac
    • au Bois
    • Borie de Domme
    • Borie des Cailloux
    • Borie Neuve
    • Borie Vieille
    • Bosquely
    • Bourbou
    • la Bourgeade
    • Bracou
    • Broudissoux
    • Buffier
    • les Cadagnes
    • les Carassonnes
    • Chaberlin
    • Chantegreil
    • Chapot
    • Chauly
    • la Cheyssas
    • le Clauzélou
    • le Cluzeau
    • la Combe de Borie
    • les Combes
    • les Combettes
    • les Communaux
    • Couyès
    • Croutarias
    • Fayard
    • la Faye
    • Fontroubade
    • la Forêt
    • la Forêt[Note 6]
    • Galabert
    • Galingaud
    • les Gavis
    • les Genêts
    • Gerveries
    • les Gondies
    • Gourjou
    • Haut Vaure
    • Haute Lâge
    • Labesse
    • Labrousse
    • Lagrange
    • Lamoure
    • les Landes
    • Lannerie
    • Lascouleyrias
    • Léger
    • le Lyonnet
    • le Maine
    • Maison Neuve
    • Maret
    • la Martinie
    • Massenaud
    • Mirlandois
    • Montauban
    • Moyenne Lâge
    • Neyssant
    • Palenque
    • Pancette
    • Paritou
    • Perveyrie
    • Petit Palenque
    • le Peyrat
    • Peyrimas
    • le Pigner
    • la Porcherie
    • la Porte
    • Pouliquet
    • les Pourrades
    • Puy Blanc
    • Puychassier
    • Puydegand
    • Puyjala
    • Puylauraud
    • Puypouzy
    • les Rebières
    • les Rousselles
    • Ruffinie
    • Saigne-Bœuf
    • Saleuil
    • Sanet
    • les Sardenas
    • la Siguenie
    • Thouard
    • Toublanc
    • Tranche Pouge
    • Versailles
    • Veynas
    • le Vignaud
    • Virolas.

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Castrum agonacum au XIIe siècle, Agonag en 1249, Agonhac en 1276[25].

    Toponyme se terminant en -ac, d'une origine germanique Ago(n) avec le suffixe -acum[25].

    En français comme en occitan, le nom de la commune s'écrit de la même manière[26].

    Histoire

    Aux lieux-dits "Borie-Vieille" et "Les Cadagnes", des fouilles ont attesté une occupation de la région dès les temps préhistoriques.

    Au Xe siècle, l'évêque Frotaire de Gourdon choisit une colline d'accès difficile dominant la vallée pour y édifier l'une des cinq forteresses qui devaient protéger la région contre les invasions normandes.

    Au Moyen Âge, Agonac était une ville close protégée par des remparts et à laquelle on accédait par quatre passages : la porte De Ripagay, la porte Palenchart, la porte Foscheyrencha et au nord-est, la seule encore existante, la porte Salseyron[27].

    Le village est identifié sous le nom d'Agonat sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789.

    Lors de la Première Guerre mondiale, alors que la commune compte plus de 1 400 habitants, 276 d'entre eux montent vers le front, et 56 y perdent la vie[28].

    Dans la nuit du 13 au , des orages particulièrement violents accompagnés de pluies diluviennes ont entraîné une crue subite de la Beauronne. Une quarantaine de maisons ont été sinistrées à Agonac. Ces maisons ont été construites en fond de vallée de la Beauronne à partir des années 1980, là où il y avait avant des pâtures régulièrement inondées.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune d'Agonac (appelée dans un premier temps Agonat puis Agonnac) a été rattachée, dès 1790, au canton d'Agonat qui dépendait du district de Perigueux. Les districts sont supprimés en 1795 et le canton d'Agonat en 1800. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme dépendant de l'arrondissement de Périgueux[29].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , la commune est rattachée au canton de Trélissac pour les élections départementales de mars 2015[30].

    Intercommunalité

    Le , la commune adhère à la communauté de communes des Villages truffiers des portes de Périgueux. Cette intercommunalité étant dissoute au , Agonac rejoint la communauté d'agglomération périgourdine le [31].

    La communauté d'agglomération périgourdine disparait le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie : Le Grand Périgueux.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[32],[33].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1870 1886 Adolphe Barbut   Négociant
    1886 décembre 1886 Pierre Picot   Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 1886 octobre 1913 Élie Simonet   Propriétaire
    octobre 1913 mai 1929 Louis Roux[Note 7]   Propriétaire
    mai 1929 mai 1935 Gabriel Simonnet   Propriétaire
    mai 1935 1944 Gaston Thibault   Propriétaire cultivateur
    octobre 1944 décembre 1951 Camille Barbut   Ingénieur négociant
    décembre 1951 mars 1959 Gaston Thibault   Propriétaire cultivateur
    mars 1959 mars 1977 Paul Mordiconi   Notaire
    mars 1977 mars 1983 Jean Demoures    
    mars 1983 mars 1989 Daniel Couder    
    mars 1989 avril 2014 Jean-Claude Brouillaud SE[34] Cadre retraité
    avril 2014[35]
    (réélue en mai 2020[36])
    En cours Christelle Boucaud PS[37],[38] Attachée parlementaire
    Conseillère départementale du canton de Trélissac (depuis 2015)
    Suppléante du sénateur Serge Mérillou depuis 2020

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Agonac relève[39] :

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[40].

    Jumelages

    Panneau de jumelage d'Agonac.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2018, le Conseil national des villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[41].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants d'Agonac se nomment les Agonacois[42].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[44].

    En 2018, la commune comptait 1 766 habitants[Note 8], en augmentation de 2,79 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5161 5551 5381 5411 7391 6721 7191 7141 586
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5771 6151 6291 5901 6311 6521 5641 5601 533
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4521 4351 4041 3001 3291 2761 2781 3011 236
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 2111 1621 0271 0591 3421 4511 5531 6371 746
    2018 - - - - - - - -
    1 766--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[45].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Santé

    Début 2021, les locaux rénovés de l'ancienne école maternelle accueillent une maison de santé où sont installés quatre médecins généralistes, un cabinet de quatre infirmières, une art-thérapeute, un kinésithérapeute, une ostéopathe, une podologue et une psychologue[46].

    Manifestations culturelles ou festivités

    • Foire aux vins en août (34e édition en 2019)[47].

    Économie

    Emploi

    En 2017[48], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 786 personnes, soit 44,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (76) a augmenté par rapport à 2012 (72) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,6 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 121 établissements[49], dont cinquante au niveau des commerces, transports ou services, vingt relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix-sept dans la construction, dix-sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et dix-sept dans l'industrie[50].

    Entreprises

    Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Les Chênes verts » (EHPAD) située à Agonac se classe en 49e position en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 2 797 k€[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le château d'Agonac, XIXe siècle. Fondé en 980 et rebâti à diverses époques
    • Le manoir d'Agonac, limite XVIIIe , XIXe siècle
    • Le logis de l'Hospice, XVIIe siècle, propriété privée
    • La chartreuse du Pouliquet, XIXe siècle, propriété privée
    • La chapelle Notre-Dame, XIXe siècle
    • La porte Salseyron, XIVe siècle, qui protégeait l'entrée nord du bourg au Moyen Âge
    • Le vieux bourg

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Chadeuil (1947-), écrivain occitan, est né à Agonac.
    • Patrick Vacher (1948-), footballeur professionnel de 1968 à 1980, est né à Agonac.
    • Ginette de Matha (1952-), diplomate de 1995 à 2018, ambassadrice de 2012 à 2018, est née à Agonac.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Deux lieux-dits du même nom, l'un 4,5 km à l'ouest du bourg, l'autre 2 km au sud-est du bourg.
    7. De 1915 à début 1919, les fonctions de maire ont été assurées par un conseiller municipal, Jean Barbut, pour cause de mobilisation simultanée du maire Louis Roux et de son adjoint Jean-Louis du Repaire.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Insee, zonage en aires urbaines 2010 de Périgueux », Insee (consulté le ).
    2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, p. 19, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Agonac et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Agonac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. PPR inondation - 24DDT20100003 - Beauronne, DREAL Aquitaine, consulté le 18 mars 2019.
    23. [PDF] Agonac - Plan de prévention du risque inondation p. 1, DREAL Aquitaine, consulté le 18 mars 2019.
    24. « Agonac » sur Géoportail (consulté le 30 janvier 2021)..
    25. Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 741 - (ISBN 2600001336).
    26. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 28 août 2013.
    27. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 12, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 978-2-87901-221-6).
    28. Hervé Chassain, « Agonac se raconte durant la Grande Guerre », Sud Ouest édition Dordogne, 19 octobre 2018, p. 17.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
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