Veyrines-de-Vergt

Veyrines-de-Vergt est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Vergt (homonymie).

Veyrines-de-Vergt

La mairie de Veyrines-de-Vergt.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Jean Luc Noyer
2020-2026
Code postal 24380
Code commune 24576
Démographie
Gentilé Veyrinois
Population
municipale
249 hab. (2018 )
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 12″ nord, 0° 46′ 17″ est
Altitude Min. 139 m
Max. 254 m
Superficie 11,91 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Veyrines-de-Vergt
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Veyrines-de-Vergt
Géolocalisation sur la carte : France
Veyrines-de-Vergt
Géolocalisation sur la carte : France
Veyrines-de-Vergt
Liens
Site web www.veyrines-de-vergt.fr

    Géographie

    Généralités

    La vallée du Caudeau en limite sud de la commune.

    La commune de Veyrines-de-Vergt, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Elle se situe dans la partie sud du Périgord central. Elle est bordée au sud par un affluent de la Dordogne, le Caudeau, qui lui sert de limite naturelle avec Sainte-Alvère puis Saint-Laurent-des-Bâtons. À l'est, c'est le Vern, un affluent de l'Isle, qui la sépare de Cendrieux. La fraisiculture y est une activité importante.

    Le territoire communal est desservi par les routes départementales (RD) 42 et 42E2.

    L'altitude minimale, 139 mètres, se trouve au sud-ouest, au lieu-dit le Moulin de la Croix, là où le Caudeau quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Laurent-des-Bâtons et de Saint-Michel-de-Villadeix. L'altitude maximale avec 254 ou 255 mètres[Note 1] est localisée à l'est, au lieu-dit Chante-Alouette, au nord de la RD 42[1].

    Comme d'autres communes sous la même latitude, Veyrines-de-Vergt est traversée par le 45e parallèle nord. Elle est donc située à mi-chemin entre le pôle Nord et l'équateur.

    Le village de Veyrines-de-Vergt, à plus d'un kilomètre de la RD 42E2, se situe, en distances orthodromiques, cinq kilomètres au sud-est de Vergt et quinze kilomètres au nord-ouest du Bugue.

    Communes limitrophes

    Carte de Veyrines-de-Vergt et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Sainte-Alvère-Saint-Laurent Les Bâtons, puis de Val de Louyre et Caudeau.

    Veyrines-de-Vergt est limitrophe de trois autres communes : Salon au nord, Saint-Michel-de-Villadeix à l'ouest et Val de Louyre et Caudeau à l'est et au sud.

    Communes limitrophes de Veyrines-de-Vergt
    Salon
    Saint-Michel-de-Villadeix
    Val de Louyre et Caudeau

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 904 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 28 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Veyrines-de-Vergt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (38,4 %), prairies (6,2 %), terres arables (2,7 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom de la commune vient, soit de l'occitan veirina désignant une verrerie, soit du latin veterinae, signifiant « bêtes de somme », correspondant à un local où étaient logés les animaux, dans un relais routier[19].

    En occitan, la commune porte le nom de Veirinas de Vern[20].

    Histoire

    La première mention connue du site apparait au milieu du XIIe siècle sous la forme Veirinas. Deux siècles plus tard, un château est mentionné sous la forme Castrum de Vitrinis[19].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2001, Veyrines-de-Vergt intègre dès sa création la communauté de communes du Pays vernois. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et ses communes sont intégrées à la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux le .

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[21],[22].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 avril 1957 Louis Gorce    
    avril 1957 mars 1983 Gabriel Lestang    
    mars 1983[24] mai 2020 Jean-Paul Montoriol SE[25] Agriculteur
    mai 2020 En cours Jean Luc Noyer    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Veyrines-de-Vergt relève[26] :

    Jumelages

    Les communes du Pays vernois sont jumelées avec la ville canadienne de Saint-Jacques de Montcalm depuis 1996[27].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Veyrines-de-Vergt se nomment les Veyrinois[28].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

    En 2018, la commune comptait 249 habitants[Note 7], en diminution de 1,97 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    780705698645693663643653660
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    682670614589602578563528504
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    465387359347328301314272241
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    228213175185192176201241256
    2018 - - - - - - - -
    249--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    L'ancienne école de Veyrines-de-Vergt.

    En 2013, la commune n'a plus d'école. Veyrines-de-Vergt est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec la commune de Vergt au niveau des classes de primaire.

    Sports

    Quelques prix cyclistes ont été organisés dans la commune, notamment le Circuit de la Fraise 1993. Chaque , jour de la fête votive, a lieu le Prix des Fêtes, organisé par les cercles cyclistes comme le CC Périgourdin, le SC Périgord, la JS Astérienne ou l'ASPTT Périgueux[33].

    Économie

    Tunnels de fraisiculture le long de la route départementale 42.

    Emploi

    En 2015[34], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 114 personnes, soit 43,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,5 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-trois établissements[35], dont treize dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, onze au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'industrie, deux dans la construction, et deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Au sud, la vallée du Caudeau, de ses affluents, et le marais du Petit Mas font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I où deux espèces déterminantes ont été recensées en 2008, une libellule l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale) et une plante l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora)[40],[41]. Lors d'un précédent recensement en 1982, le site était fréquenté par la Loutre d'Europe (Lutra lutra) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola)[40].

    Personnalités liées à la commune

    • Claude Durrens (1921-2002), graveur, avait installé son atelier au lieu-dit les Garissoux, sur la commune de Veyrines-de-Vergt[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon deux sources différentes du Géoportail, la carte indique 255 mètres alors que la boîte « Communes » précise 254.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Délégation spéciale présidée par Émilien Bort.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « 255 Chante-Alouette » sur Géoportail (consulté le 30 décembre 2012)..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Veyrines-de-Vergt et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 423-424.
    20. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 avril 2014.
    21. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
    22. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    23. Registres de délibérations communales (période 1871-1983) + document Veyrines de Vergt honore ses maires de la mairie de Veyrines-de-Vergt, vus le 12 juillet 2013.
    24. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 10 septembre 2014.
    25. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 30.
    26. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    27. Bernard Vasseur, « Le comité de jumelage du Pays vernois a 20 ans », Sud Ouest édition Périgueux, 14 juin 2016, p. 19.
    28. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 25 novembre 2016.
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    33. Site de la Dordogne Cycliste
    34. Dossier complet - Commune de Veyrines-de-Vergt (24576) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    35. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    36. Dossier complet - Commune de Veyrines-de-Vergt (24576) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    37. Sud Ouest, édition Périgueux du 18 février 2009.
    38. Veyrines de Vergt sur le site de la Communauté de communes du Pays vernois, consulté le 30 décembre 2012.
    39. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 128-129.
    40. [PDF] Marais du Petit Mas, vallée amont du Caudeau, DREAL Aquitaine, consulté le 12 février 2019.
    41. Carte de localisation de la ZNIEFF 720012836, DREAL Aquitaine, consulté le 12 février 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
    42. Guy Penaud, Dictionnaire biographique du Périgord, éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 351.
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