Université d'Orléans

L'université d'Orléans (UO) est une université pluridisciplinaire française fondée en 1306 par le pape Clément V, ce qui en fait l'une des plus anciennes universités d'Europe[2]. Implantée en région Centre-Val de Loire, ses structures d'enseignement et de recherche sont présentes dans ses différentes antennes situées à Orléans (campus d'Orléans-La Source), Bourges, Chartres, Châteauroux, Issoudun, Blois et Tours (site Fondettes). L'INSPE Centre-Val de Loire dépend également de l'université d'Orléans.

Au , elle accueille 20 434 étudiants (dont plus de 2 000 étudiants étrangers) et emploie 1 186 enseignants[3].

Histoire

École cathédrale d'Orléans

À partir du VIIIe siècle, notamment sous la direction de Théodulf d'Orléans, évêque d'Orléans et simultanément abbé des abbayes de Fleury à Saint-Benoît-sur-Loire, de Micy et de Saint-Aignan d'Orléans, l'enseignement dans l'Orléanais fut progressivement organisé avec des écoles paroissiales, des écoles monastiques et une école cathédrale, destinées à former les cadres de l'Empire carolingien[4].

Par une bulle pontificale du , le pape Grégoire IX autorise l'enseignement du droit romain à Orléans, permettant ainsi la création d'un studium[5].

L'ancienne université (1306-1793)

Les armes de l’université d'Orléans se blasonnent ainsi :

D'azur à un livre ouvert d'or tenu par un senestrochère d'argent mouvant du chef et accompagné de trois tiercefeuilles versées aussi d'or[6].

Le , l'université d'Orléans est officiellement fondée par le pape Clément V grâce à quatre bulles pontificales qui accordaient aux maîtres et aux écoliers d'Orléans le droit d'avoir une université, ainsi que les privilèges qui en découlaient. Le même jour, une cinquième bulle prévoit d'indemniser les professeurs qui avaient porté la demande de création auprès du pape[5]. Les habitants d'Orléans sont réticents aux privilèges accordés par le pape et tentent donc de s'opposer à l'établissement de l'université. Une émeute particulièrement violente se produit en 1309. Les représentants de l'université s'en remettent donc au roi Philippe le Bel, qui confirme les privilèges et la fondation de l'université d'Orléans en 1312[7]. L'acte de prise de possession de l'université des lois d'Orléans par l'autorité royale stipule que les matières enseignées seront le droit civil et le droit canonique[8]. Elle devient alors la quatrième université française après celles de Paris, de Toulouse et de Montpellier.

Au Moyen Âge, elle est surtout connue pour son enseignement du droit civil ou droit romain, célèbre par la rénovation de l'étude du Corpus Juris Civilis qui y est alors menée par les postglossateurs. En effet, en vertu d'une bulle d'Honorius III, il était interdit d'enseigner le droit romain à Paris, où seul le droit canonique était au programme. La proximité d'Orléans par rapport à Paris permet aux étudiants d'aller de l'une à l'autre assez facilement. Se spécialisant dans le droit, l'université d'Orléans n'a d'ailleurs pas officiellement de faculté des arts[9].

Il n'y avait pas de lieu de cours fixe, mais les leçons se tenaient dans différents bâtiments autour de la collégiale Saint-Pierre-le-Puellier. Une chapelle de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle servait accessoirement de lieu de réunion, de prière et d'administration. Toutefois, entre 1411 et 1445, un bâtiment est construit pour servir de lieux de réunions et de bibliothèque ; les vestiges de ce bâtiment sont désormais connus sous le nom de « salle des thèses ». De 1498 à 1507 sont élevées les « grandes écoles de France », qui servent alors de salles de cours. Elles sont démolies en 1824[10]. En fonction de leurs origines géographiques, les étudiants se regroupaient par nations, dont le nombre a atteint dix, dont la nation française, la nation de Picardie et de Champagne[11] et, la plus connue, la nation germanique[12].

Sous l'Ancien Régime, l'université est placée sous le contrôle du pouvoir royal[13]. Sa réputation dans le domaine du droit reste reconnue au XVIe siècle où elle participe au mouvement humaniste. De prestigieux professeurs y enseignent (voir la liste plus bas).

L'université d'Orléans subit un fort déclin au XVIIIe siècle avant d'être, comme toutes les universités françaises, supprimée par la Convention en 1793[14]. Louis Liard compte seulement six professeurs et six cours de droit en 1789 : « institutes, digeste, pandectes, règles du droit, droit canon, droit français[15]. »

Les facultés de l'Université impériale (1808-1815)

Dans l'organisation de l'Université impériale, Orléans était à la tête d'une académie et devait, à ce titre, avoir une faculté des lettres et une faculté des sciences. Seule la première a réellement été constituée, les cours ayant lieu au lycée Pothier[16]. L'activité principale de la faculté consistait alors à examiner les candidats au baccalauréat. Des pétitions demandent, sans succès, le rétablissement d'une école de droit. Au contraire, en 1815, une ordonnance provoque la fermeture de la faculté des lettres, effective en 1817. Orléans cesse, en 1848, d'être le siège d'une académie.

L'université actuelle (depuis 1960)

Le château de la Source (vu du parc floral)

Il est décidé, dès 1959, d'installer à Orléans-la-Source, à une dizaine de kilomètres au sud de la Loire, sur un domaine de près de 400 hectares, un campus[17]. Le ministre Pierre Sudreau parle de l'« Oxford français », « le premier campus européen », que Paris-Presse-L'Intransigeant reprend sous le nom d'« Oxford-sur-Loire »[18].

Le est créé un Collège scientifique universitaire (CSU), dépendant de la faculté des sciences de Paris. Il s'installe au château de la Source.

Une école municipale de droit est créée en novembre 1962. Un centre d'études supérieures littéraires (CESL) est ouvert à son tour en 1964.

Une université est créée par le décret du sous le nom d'« université d'Orléans-Tours », avec date d'effet au [1]. L'Université regroupe alors tous les enseignements universitaires organisés à Orléans mais aussi à Tours, les facultés de droit, de lettres et de sciences étant dédoublées[19].

Mais le mouvement de mai 68 provoque la séparation entre Tours et Orléans, officialisée le [20],[21].

L'université d'Orléans inclut progressivement une faculté des sciences (1961), de droit (1968), de lettres (1969) de sport (1992), un Institut universitaire de Technologie à Orléans (1967), à Bourges (1968), à Châteauroux (1992), à Chartres (1996), une université du temps libre (1977) et deux écoles d'ingénieurs (ESEM en 1982 et ESPEO en 1992), qui fusionnent en 2002 pour former l'École polytechnique d'Orléans (Polytech'Orléans).

En 2004, l'Université d'Orléans rejoint le Pôle Universitaire Centre Val de Loire (association loi de 1901). En 2009, elle fonde et intègre aux côtés de l'Université de Tours le PRES : Université centre Val-de-Loire.

L'université d’Orléans se caractérise donc par sa pluridisciplinarité. Elle compte 4 facultés, une école d’ingénieurs universitaire (Polytech'Orléans), 4 Instituts Universitaires de Technologie, l’ESPE Centre Val de Loire et l'Observatoire des sciences de l'univers du Centre (OSUC). Plus de 19 000 étudiants, dont plus de 2 000 étudiants étrangers, fréquentent un des sites de l’université.

L'université d'Orléans s'est également développée sur d'autres sites de la région avec l'installation des centres universitaires de Bourges, Chartres, Châteauroux/Issoudun et dans les antennes de l'ESPE à Blois et Tours.

En 2015, elle intègre l'Université confédérale Léonard de Vinci. La quitte en 2017 pour rejoindre la ComUE Centre Val de Loire qui ne sera finalement pas installée.

Organisation

Présidence

Éric Blond, président de l'Université d'Orléans depuis le 4 février 2021

L'université d'Orléans a successivement été présidée par :

Composantes

Unités de formation et de recherche

L'UFR lettres, langues et sciences humaines

L'université d'Orléans compte trois unités de formation et de recherche (UFR) :

Instituts universitaires de technologie

Le site Galilée de Polytech'Orléans
Le bâtiment IIIA, accueillant le pôle informatique (UFR ST) et le Laboratoire d'informatique fondamentale d'Orléans

L'université d'Orléans comprend quatre instituts universitaires de technologie (IUT) : l'IUT d'Orléans, l'IUT de Bourges, l'IUT de Chartres et l'IUT de l'Indre (Châteauroux-Issoudun). L'IUT d'Orléans dispense des formations pour six diplômes universitaire de technologie (DUT) :

Polytech Orléans

L'École polytechnique de l'université d'Orléans (Polytech Orléans) est une école d'ingénieurs publique interne, appartenant au réseau Polytech. Répartie sur les deux sites Vinci et Galilée, elle forme à cinq spécialités, dont deux en apprentissage.

Institut national supérieur du professorat et de l'éducation

L'Institut national supérieur du professorat et de l'éducation (INSPE) de l'académie d'Orléans-Tours est rattachée à l'université d'Orléans[27].


Ecole Universitaire de Kinésithérapie de la Région Centre-Val de Loire, qui a fait sa première rentrée universitaire en . Cette nouvelle composante correspond à l'intégration de l'école hospitalière dans le cadre de l'universitarisation des formations paramédicale.

Formation et recherche

Enseignements

Les enseignements ont lieu en fonction des uUnités de formation et de recherche (UFR) dans lesquelles dépendent chaque formation. Dans la faculté de Lettres, Langues et sciences humaines, plusieurs licences et Masters y sont proposés. Les licences sont diverses et variées:

Les licences de langues sont nombreuses (LEA anglais-espagnol, LEA anglais-allemand, Anglais...).

Des licences de Sciences humaines sont également présentes (licence d'histoire (parcours MEEF ou patrimoine), licence de géographie...); ainsi que les licences de lettres (Lettres modernes, SDL, sciences du langage...).

De nombreux masters y sont proposés, qu'ils soient orientés vers la recherche ou professionnalisant : LACI, MEEF (Anglais, espagnol, histoire-geographie, lettres moderne, allemand...), MAP ou Métier de l'accompagnement politique (Master pro en histoire, droit et communication), PCS ou Pouvoirs, cultures et sociétés (master recherche en histoire)...

Concernant l'UFR ST(Sciences et Techniques), un grand nombre de formation en Licence et master sont proposées aux étudiants français et étrangers.

La recherche

L'université d'Orléans regroupe 25 laboratoires de recherche, près de la moitié sont des UMR avec le CNRS et l'autre moitié sont des unités propres. Elle est structurée en 4 pôles de recherche :

  1. Energie, matériaux, géosciences et environnement
  2. Physique et chimie du vivant, systèmes biologiques
  3. Sciences économiques et de gestion, mathématiques, STIC et linguistique
  4. Droit, littératures, sciences de l'Homme et des territoires

Elle dispose également d'un collège doctoral commun avec l'université de Tours :

  1. Energie, matériaux, science de la terre et de l'univers
  2. Sciences de l'homme et de la société
  3. Mathématiques, informatique, physique théorique et ingénierie des systèmes
  4. Santé, sciences biologiques et chimie du vivant

Accès

En voiture

L'université est accessible par l'autoroute A71 à la sortie 2 Olivet, Orléans-Sud, La Ferté-Saint-Aubin ainsi que par la D 2020, qui passe à l'ouest du campus.

Transports en commun

L'Université d'Orléans est desservie par les transports de l'agglomération orléanaise (TAO)[28] avec notamment la ligne A du tramway, arrêts Université (STAPS et Droit-Economie-Gestion), Parc Floral (Sciences et Polytech) et L'Indien (UFR Lettres, Langues et Sciences Humaines). Elle est desservie par les lignes de bus 1 (arrêts IUT, Halle des sports, Université), 7 (arrêts Parc Floral, Université, Polytech, L'Indien) et 13 (arrêts Flammarion et IUT).

Les lignes 1 et 9 du réseau de bus d'Eure-et-Loir Transbeauce desservent également le campus, aux arrêts Université et Résidence Les Châtaigniers.

La gare de Saint-Cyr-en-Val - La Source se situe à 3,5 kilomètres au sud-est de l'université.

Vie étudiante

  • Radio Campus Orléans créée en 1994
  • Le département des activités physiques sportives et d'expression DAPSE : ce service commun est un département de l'UFR STAPS d'Orléans qui propose à tous les étudiants et personnels de l'université une palette d'activités sportives et d'entretien.
  • Le campus dispose depuis septembre 2011 d'un centre culturel appelé "Le Bouillon", et composé d'une salle de spectacles d'une capacité de 160 spectateurs et d'un théâtre d'une capacité de 180 places assises. Il propose des évènements culturels divers (théâtre, concerts, cinéma, danse, expositions) tout au long de l'année[29].

Évolution démographique

Évolution démographique de la population universitaire

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007
16 120[30]15 334[31]15 184[32]15 458[33]15 634[34]15 590[35]15 082[36]14 628[37]
2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015
15 978[38]15 836[39]14 081[40]14 433[41]14 278[42]14 656[42]15 473[42]17 184[42]
2016 2017 2018 2019 2020 - - -
18 135[42]18 505[42]19 002[42]19 285[42]20 369[42]---

Personnalités liées

Étudiants

Enseignants

Divers

Des scènes du film L'Étudiante et Monsieur Henri (2015), ont été tournées sur le campus et différents bâtiments[51].

Le lac est le point central du campus universitaire orléanais dont les secteurs DEG et LLSH sont les plus proches.

Notes et références

  1. Décret no 66-235 du 14 avril 1966 constituant une université à Orléans
  2. Université d'Orléans, « Histoire », sur univ-orleans.fr (consulté le )
  3. Université d'Orléans, « Chiffres clés », sur univ-orleans.fr (consulté le )
  4. Théodulfe « Théodulf d'Orléans sur le site Encyclopédie universelle de la langue française »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  5. Charles Vulliez, « Les bulles constitutives de l'université d'Orléans du pape Clément V (27 janvier 1306) : un évènement ? 700e anniversaire de l'université d'Orléans (1306-2006) », Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, nouvelle série, vol. XVIII, no 150, , p. 5
  6. Charles-René d'Hozier, Armorial général de France : dressé en vertu de l'édit de 1696, vol. 22, Orléans, 827 p. (lire en ligne)
  7. Bimbenet 1853, p. 3
  8. Bimbenet 1853, p. 21
  9. Conseil général du Loiret 2006, p. 19
  10. Conseil général du Loiret 2006, p. 15
  11. Eugène Bimbenet, Les écoliers de la nation de Picardie et de Champagne à l'Université d'Orléans, Orléans, H. Herluison, coll. « Mémoires de la Société archéologique et historique de l'Orléanais », , 182 p. (notice BnF no FRBNF30106335, lire en ligne).
  12. Dix nations à l'université d'Orléans : France, Germanie, Lorraine, Bourgogne, Champagne, Picardie, Normandie, Touraine, Aquitaine et Écosse.
  13. Conseil général du Loiret 2006, p. 26
  14. Conseil général du Loiret 2006, p. 45
  15. Louis Liard, L'enseignement supérieur en France, t. 1, Paris, A. Colin, 1888-1894 (notice BnF no FRBNF30816076, lire en ligne), p. 9
  16. Conseil général du Loiret 2006, p. 48
  17. Conseil général du Loiret 2006, p. 53
  18. Conseil général du Loiret 2006, p. 55
  19. Conseil général du Loiret 2006, p. 56
  20. Conseil général du Loiret 2006, p. 58
  21. Décret no 70-1174 du 17 décembre 1970.
  22. Biographie de William Marois, consultée sur ÉducPro
  23. Youssoufi Touré, le président de l'université d'Orléans, nommé recteur de l'académie de Guyane sur le site de La République le 2 mars 2016
  24. Thierry Montalieu nommé administrateur provisoire de l’Université d’Orléans sur le site de Mag'Centre le 8 mars 2016
  25. La rédaction, « Ary Bruand, nouveau responsable de l’université d’Orléans, travaillera « en écoute » », La République du Centre, (lire en ligne, consulté le ).
  26. Caroline Bozec, « Éric Blond élu président de l'université d'Orléans », La République du Centre, (lire en ligne)
  27. Arrêté du 30 août 2013 portant création et accréditation de l’école supérieure du professorat et de l’éducation de l’académie d’Orléans-Tours au sein de l’université d’Orléans
  28. « Accueil | Tao le réseau Bus, Tram et Parcs Relais de l'AgglO », sur www.reseau-tao.fr (consulté le )
  29. « Infos pratiques | Université d'Orléans », sur www.univ-orleans.fr (consulté le )
  30. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2001, Imprimerie nationale, p. 161, (ISBN 2-11-092136-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  31. Jean-Richard Cytemann, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2002, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-092152-8), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  32. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2003, Imprimerie nationale, p. 155, (ISBN 2-11-093455-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  33. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2004, Imprimerie nationale, p. 159, (ISBN 2-11-094345-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  34. Claudine Peretti, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2005, Imprimerie nationale, p. 175, (ISBN 2-11-095390 X), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  35. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2006, Imprimerie nationale, p. 179, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  36. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2007, Imprimerie nationale, p. 181, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  37. Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2008, Imprimerie nationale, p. 173, consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  38. Daniel Vitry, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2009, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097805-9), consulté sur www.education.gouv.fr le 10 août 2010
  39. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2010, Imprimerie moderne de l’Est, p. 173, (ISBN 978-2-11-097819-6), consulté sur www.education.gouv.fr le 17 septembre 2010
  40. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2011, Imprimerie moderne de l’Est, p. 175, (ISBN 978-2-11-097810-3), consulté sur www.education.gouv.fr le 2 septembre 2011
  41. Michel Quéré, Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, édition 2012, Imprimerie moderne de l’Est, p. 177, (ISBN 978-2-11-099368-7), consulté sur www.education.gouv.fr le 30 août 2012
  42. Evolution des effectifs, Université d'Orléans
  43. Bimbenet 1853, p. 350
  44. Bimbenet 1853, p. 348
  45. Bimbenet 1853, p. 358
  46. Bimbenet 1853, p. 358-359
  47. Bimbenet 1853, p. 370-376
  48. Bimbenet 1853, p. 354-357
  49. Bimbenet 1853, p. 382-386
  50. Bimbenet 1853, p. 388-389
  51. Da Cunha, N, Sortie, hier, du film « L’étudiante et Monsieur Henri », La République du Centre, 8 octobre 2015

Voir aussi

Bibliographie

  • [Fournier 1890] Marcel Fournier, « Université d'Orléans : XIIIe, XIVe et XVe siècles », dans Statuts et privilèges des universités françaises : Depuis leur fondation jusqu'en 1789, t. 1, Première partie :Moyen Âge, Paris, L. Larose et Forcel éditeurs, (lire en ligne), p. 1-259, « Université d'Orléans : Suppléments », dans Statuts et privilèges des universités françaises, t. 3, Première partie :Moyen Âge, Paris, L. Larose et Forcel éditeurs, (lire en ligne), p. 445-493
  • Conseil général du Loiret, 700 ans d'université à Orléans, Orléans, Conseil général du Loiret, , 71 p.
    Catalogue d'exposition, Archives départementales du Loiret / Saint-Pierre-le-Puellier, octobre 2006.
  • Jean-Eugène Bimbenet, Histoire de l'Université de lois d'Orléans, Paris et Orléans, Dumoulin et Gatineau, , 416 p. (lire en ligne)

Liens externes

Articles connexes

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