Uchizy

Uchizy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Uchizy

Le clocher roman de l'église Saint-Pierre.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais - Tournugeois
Maire
Mandat
Arnaud Maire Du Poset
2020-2026
Code postal 71700
Code commune 71550
Démographie
Gentilé Chizerots
Population
municipale
834 hab. (2018 )
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 30′ 16″ nord, 4° 53′ 11″ est
Altitude Min. 169 m
Max. 325 m
Superficie 12,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tournus
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Uchizy
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Uchizy
Liens
Site web uchizy.fr

    Géographie

    Uchizy est située à 23 kilomètres de Mâcon, à 9 kilomètres de Tournus et à 36 kilomètres de Chalon-sur-Saône.

    cette commune du Tournugeois, à la lisière du Haut-Mâconnais, s'étend sur 1 172 hectares, du versant oriental des collines du Mâconnais jusqu'à la Saône.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Uchizy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58 %), cultures permanentes (10,2 %), forêts (8,5 %), prairies (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), zones urbanisées (5,1 %), eaux continentales[Note 3] (3,7 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    Le village est bâti au pied des contreforts orientaux du Mâconnais. Une source abondante, la fontaine d’Uchizy, semble la raison pour laquelle une agglomération s'est établie là à l’époque gallo-romaine. Les nombreuses découvertes préhistoriques faites dans la région de Tournus permettent d'estimer que, comme les villages avoisinants, Uchizy fut habité dès l’époque de la Pierre taillée.

    La période de l’invasion de l’Empire romain par des barbares germaniques a été révélée par la découverte de sépultures.

    Le village s'est vraiment constitué après qu'en 878 le roi de France Louis le Bègue l'eût donné aux moines de l'abbaye Saint-Philibert venus s'installer à Tournus. Pour gérer leur nouvelle possession, ils établissent autour de l'église un prieuré avec ses dépendances : puits, écurie, grange, fenils, volière, four, pressoir et grange aux dîmes. Plus tard ils vont l'entourer d'une enceinte fortifiée puis d'une seconde où s'installent quelques demeures de gentilshommes et des petites maisons dans lesquelles les habitants trouvent refuge en période de danger. Protégé par de larges fossés qui se laissent encore deviner, c'est "le château", le bourg actuel.

    Il existait d'autres fiefs, mais dépendants de l'abbaye de Tournus et sans droits de justice, dont les principaux avec leur château, furent celui des Écuyers (disparu) et celui de Grenod : château, donjon, dîmes, temple, bief, pilori, fossés, forgerons, barbiers, tissiers, les noms de rues et de lieux-dits rappellent ce riche passé.

    Autour de ce centre fortifié se sont établis des faubourgs à caractère rural : au nord, c’était le faubourg (ou rue du pilori), au nord-est, la rue Girard et Corcelles ; à l’est, la rue du bief, le Quart Garbet et le Quart Maréchal ; au sud, la Quart Mallet et à l’ouest, les Ravières.

    Ces faubourgs avaient un caractère rural très net, tout différent de celui du château. Les habitations aux toits plats de tuiles creuses ne se présentent pas sous la forme de courts, fréquents au bord de la Saône, mais sous l’aspect de rues. Ce ne sont pas non plus des bâtiments groupés autour d’une cour carrée, formant des unités séparées et bien distinctes, protégées de l’extérieur par des murs presque sans ouvertures, mais, au contraire, des bâtiments se développant en longueur, généralement dans le sens du nord au sud, largement ouverts sur l’extérieur et formant des agglomérations allongées en forme de rues. Les maisons dans ces rues sont plus grandes que dans le pays exclusivement vignoble de la montagne de Tournus. On y fait non seulement du vin, mais on y cultive des céréales et on y possède de vastes granges, des greniers spacieux pour les foins et des étables pour le bétail. Uchizy est en effet un pays de polyculture.

    Plus favorisés que leurs voisins d'Ozenay ou de Royer qui étaient à la merci de seigneurs souvent sans humanité, les Chizerots obtinrent, dès le XIIIe siècle, quelques privilèges qui rendirent leur situation de manants moins misérable. Mais Uchizy n’a pas joui longtemps paisiblement de ces privilèges car la lutte qui eut lieu au XIVe siècle entre les rois de France et d’Angleterre (la guerre de Cent Ans, 1337-1437) fut la cause de nombreux pillages dont toute la région eut à souffrir et contre lesquels l’abbaye dut se protéger en requérant pour sa garde les hommes des villages environnant.

    Après avoir traversé cette époque malheureuse, Uchizy devait encore avoir à souffrir, pendant la première moitié du siècle suivant, des luttes qui eurent lieu entre les maisons d’Orléans et de Bourgogne et au cours desquelles les troupes du Dauphin, qu’on appelait les Armagnacs, s’emparèrent de Tournus et firent de grands dégâts dans le Mâconnais.

    Pour se soustraire, en 1422, aux horreurs de la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, les habitants d’Uchizy traversèrent la Saône et cherchèrent asile dans les bois qui leur appartenaient. Mais, craignant plus tard les rigueurs de l’hiver, ils demandèrent l’hospitalité aux habitants d’Arbigny qui les reçurent dans leurs foyers. En contrepartie de quoi ces derniers étaient autorisés à couper du bois dans leurs forêts et à faire paître leurs bestiaux dans leurs prairies. Mais les habitants d’Arbigny abusèrent de la permission et ceux d’Uchizy, ne pensant pas que leur reconnaissance dût être éternelle, les prièrent de se renfermer dans leurs limites. De là, de violents démêlés où le sang était souvent répandu et une haine profonde que les siècles suivants n’ont pas entièrement éteinte…

    Les règnes de Louis XII et de François Ier, c’est-à-dire l’extrême fin du XVe siècle et la première moitié du XVIe siècle, furent des temps de paix et de tranquillité. Uchizy devint prospère avant de se précipiter à nouveau dans les sanglantes convulsions des guerres civiles. Sortis collectivement des ruines de leurs demeures, les Chizerots se retranchèrent dans une de la Saône et en firent un véritable camp retranché. Ils durent ainsi rester maîtres de leur destin jusqu'à la fin des guerres de Religion. C’est là un fait d’armes exceptionnel que cette défense de villageois mettant en déroute des troupes de métier et des soldats professionnels.

    L’ère des tueries et des luttes intestines ne devait plus se clore avant la paix de Vervins, en 1598. À peine rentrés dans leur village, ils furent attaqués de nouveau et à plusieurs reprises par les habitants d’Arbigny.

    Lorsque la Révolution éclata en 1789, Uchizy n’échappa pas aux brigandages politiques dont le Mâconnais, le Tournugeois et le Clunisois furent le théâtre lors de la Grande Peur (révolte dite « des Brigands »). Le Premier Empire devait ramener la tranquillité à Uchizy, bientôt troublée à nouveau en 1814 et 1815, lors de l’invasion des alliés.

    À compter de 1815, l’ennemi ne devait plus fouler le sol d’Uchizy mais cette commune, de même qu’en 1870, fit pendant la guerre de 1914-1918, preuve du plus ardent patriotisme. Nombre de ses enfants devaient tomber au Champ d’Honneur. Leurs noms sont inscrits au Livre d’Or de la Commune ainsi que sur le monument élevé à leur mémoire par l’un de leur compatriote sculpteur, Claude Devenet.

    Le conseil municipal, le , a demandé la création d’une gare à Uchizy, considérant que l’existence d’une gare sur ligne de chemin de fer Paris – Lyon, faciliterait considérablement les rapports commerciaux et industriels. La commune obtint satisfaction et les plans dressés par les ingénieurs de la compagnie pour l’établissement d’une gare au lieudit « Les Fourches », à deux kilomètres du centre du village, furent approuvés le . Le , le conseil demanda l’établissement d’un quai pour l’embarquement et le débarquement du bétail et le , il sollicita l’agrandissement de la gare des marchandises dont l’exiguïté ne permettait plus de mettre à l’abri toutes les marchandises.

    À la fin du XIXe siècle, Uchizy est une des plus riches communes du canton de Tournus.

    Si les murailles et les tours qui existaient du château ont été démantelées il y a deux cents ans, le centre de la commune est aujourd'hui encore une petite ville groupée autour de son clocher. « Il n'y a point de hameaux éloignés du reste de la paroisse, qui est composée de huit rues presque toutes attenantes les unes aux autres, dont le château fait à peu près le centre. » écrivait le curé d'Uchizy au milieu du XVIIIe siècle[8].

     : adhésion d'Uchizy (avec Plottes et Chardonnay) au Syndicat intercommunal des eaux du Haut-Mâconnais fondé le et regroupant dix communes (Lugny, Burgy, Clessé, Viré, Cruzille, Vérizet, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille, Saint-Maurice-de-Satonnay et Montbellet).

    C'est un peu avant la dernière guerre, début 1939, que la paroisse d'Uchizy fut rattachée à celle de Lugny pour le culte (à la suite de la création de la communauté pastorale de Lugny, fondée à l'initiative de monseigneur Joseph Robert)[9]. Uchizy dépend de nos jours de la paroisse de Tournus.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 mars 1965 Louis Chervier    
    mars 1965 mars 1983 Hippolyte Josserand DVD  
    Mars 1983 Mars 2001 Guy Pernot    
    mars 2001 en cours Paul Talmard    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    Les habitants d'Uchizy s'appellent les Chizerots.


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[11].

    En 2018, la commune comptait 834 habitants[Note 4], en diminution de 0,71 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0781 1411 2431 3451 3541 5601 5671 5351 522
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5081 4821 5571 5061 4591 4311 3101 1271 078
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 0231 0641 032928872800782785668
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    651650612642623729775768852
    2018 - - - - - - - -
    834--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Niche qui abritait une statuette de Saint-André.
    • L'église Saint-Pierre d'Uchizy, construite dans le dernier quart du XIe siècle.
    • Le château de Grenod.
    • La chapelle Saint-Humi (ou des Imetiers) : un peu éloignée de la cité au sud du village, la petite chapelle dédiée à saint Imetier – « saint Humi », nom local de saint Hymetière, moine du Jura au VIe siècle – était réputée pour la bienveillance de son saint patron qui guérissait les malentendants lors de pèlerinages organisés le lundi de Pâques (à l'aide d'une pierre trouée fixée au mur de la chapelle, contre laquelle les malades devaient placer leur oreille) et aidait les enfants retardés[14]. Vendue nationalement à la famille Bourlier lors de la Révolution, elle a été achetée en 1996 par la commune, pour l'euro symbolique. Elle a, depuis, été restaurée[15].
    • Une niche du XVIe siècle qui abritait une statuette de Saint-André, située rue Quincampoix, à l'angle de la Grande-Rue, construite en 1523.
    • La fontaine de dévotion des Dames (comprendre : des fées, qui dansent la nuit dans son voisinage)[16].
    • Le « château Guichard », construit dans la seconde moitié du XIXe siècle d'après des plans de l'architecte François Dulac[17].
    • Le pont enjambant la Saône, construit en 1865 d'après des plans de Bénard, ingénieur des Ponts et Chaussées, détruit par les Allemands le (et remplacé en 1950-1951)[18]. Longueur du tablier reposant sur quatre piles : 180 mètres environ[19].

    Personnalités liées à la commune

    • Claude-Marie Devenet, sculpteur, né à Uchizy le et mort à Paris le .

    Héraldique

    Blason
    D'or au phénix d'azur; au chef ondé d'azur à la crosse d'or accostée de fleurs de lis du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Raymond Oursel, Ceux dou Chisye, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 108 (), pp. 14-16.
    • Raymond Oursel, Ceux d'Uchizy, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 109 (), pp. 14-18.
    • Les Chizerots, article reproduisant un extrait de La France pittoresque d'Abel Hugo (publié en 1835 à Paris chez Delloye, éditeur) paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 10 (), pp. 8-9.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Alain Dessertenne et Françoise Geoffray, La carte de Cassini en Saône-et-Loire : description topographique des paroisses. Transcription intégrale des réponses données par les curés pour la plupart des paroisses de l’actuelle Saône-et-Loire lors de l’enquête lancée pour établir la carte de Cassini en 1757, Cercle généalogique de Saône-et-Loire, 2015, p. 290.
    9. Frédéric Lafarge, Monseigneur Joseph Robert (1898-1987), Une communauté missionnaire en Mâconnais : Lugny, Les Foyers communautaires et l'Amicale des anciens élèves de l'école « La Source », Lugny, 2019 (ISBN 978-2-9570533-0-8).
    10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    14. « Humi et les sourds », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 110 de juin 1997, page 20.
    15. À l'initiative de l'association patrimoine La Musardine et avec le concours de l'association Tremplin Homme et Patrimoine. Source : Jacqueline et Michel Jondot, Quand la restauration des pierres est au service de la réhabilitation des hommes, article consacré à l'association Tremplin Homme et Patrimoine paru dans la revue trimestrielle « Images de Saône-et-Loire » (publiée par l'association Groupe Patrimoines 71), n° 203 de septembre 2020, pages 2 à 5.
    16. Source : André Jeannet, Légendes, superstitions, pèlerinages : inventaire des Fontaines de Saône-et-Loire, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), pp. 15-18.
    17. « François-Étienne Dulac (1836-1901), maître d’œuvre de l'architecture républicaine », article d'Alain Dessertenne paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 123 de septembre 2000, pages 18 à 22.
    18. Louis Bonnamour, Les ponts sur la Saône. De Lyon à Verdun-sur-le-Doubs, des origines au milieu du XXe siècle, Collections Nathalie et François Murtin, Larnaud, 2012 (ISBN 2-9524498-2-1).
    19. Source : « Itinérances en Bourgogne-du-Sud : 10 circuits-découverte des ponts sur les rivières Grosne, Guye, Saône, Seille », livret de 104 pages édité par la Fédération des associations partenaires du pays d'art et d'histoire « Entre Cluny et Tournus » (FAPPAH), 2020 (ISBN 978-2-9556826-2-3).
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