Tréogan

Tréogan [tʁeɔgɑ̃] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor, en région Bretagne.

Cet article possède un paronyme, voir Tréogat.

Tréogan

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Guingamp
Intercommunalité Communauté de communes Poher communauté
Maire
Mandat
Honoré Lescoat
2020-2026
Code postal 22340
Code commune 22373
Démographie
Gentilé Tréoganais, Tréoganaise
Population
municipale
101 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 24″ nord, 3° 31′ 07″ ouest
Altitude 214 m
Min. 135 m
Max. 293 m
Superficie 7,1 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Carhaix-Plouguer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rostrenen
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Tréogan
Géolocalisation sur la carte : Côtes-d'Armor
Tréogan
Géolocalisation sur la carte : France
Tréogan
Géolocalisation sur la carte : France
Tréogan

    Géographie

    Carte de la commune de Tréogan.

    La paroisse faisait partie du territoire breton traditionnel du pays Fisel. La commune est située à l'extrémité orientale du département du Finistère, à la limite de ceux du Morbihan et des Côtes-d'Armor, en plein cœur du Kreiz Breizh, dans le triangle formé par les villes de Carhaix, Gourin et Rostrenen.

    Tréogan est dans une dépression située à l'extrémité orientale du versant nord des montagnes Noires (qui culminent à 286 mètres, mais ce sommet et les autres sont situés dans la commune de Langonnet (Morbihan), au-delà de la limite sud de la commune), une autre ligne de hauteurs appalachiennes culminant au Menez Gliguéric, à 304 m d'altitude, mais ce sommet est situé dans la commune de Plévin (Côtes-d'Armor), au nord de la limite nord de la commune de Tréogan ; le bourg est vers 214 m d'altitude, mais le relief s'abaisse jusqu'à 136 mètres d'altitude à l'extrémité ouest du finage communal, au niveau de la confluence entre le ruisseau de Goaranvec (affluent de rive gauche de l'Hyère) et son propre affluent, le ruisseau de Saint-Conogan, qui servent d'ailleurs tous les deux de limite communale, le premier cité avec Langonnet et Gourin, le second cité avec Motreff.

    Tréogan a un paysage rural traditionnel de bocage avec habitat dispersé en hameaux et fermes isolées.

    La commune est traversée par la route départementale 3, provenant de Gourin (elle se nomme RD 302 pour sa partie située dans le département du Morbihan) et allant jusqu'à Rostrenen après avoir traversé Glomel.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 11,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 246 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Carhaix », sur la commune de Carhaix-Plouguer, mise en service en 1983[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 1 082,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Lorient-Lann Bihoue », sur la commune de Quéven, dans le département du Morbihan, mise en service en 1952 et à 45 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 12 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tréogan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carhaix-Plouguer, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 0,15 % 1
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 6,3 % 44
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 77,5 % 544
    Forêts de feuillus 7,0 % 49
    Forêts de conifères 6,6 % 46
    Landes et broussailles 0,6 % 4,5
    Forêt et végétation arbustive en mutation 1,9 % 13,5
    Source : Corine Land Cover[19]

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Treaugan en 1450, 1516, 1535, 1536 et en 1599[20].

    Du toponyme breton treo et de l'anthroponyme Ogan. Le toponyme Treaugan (des XVe et XVIe siècles) renvoie à Augan dont la racine alcam (kam) en vieux breton pourrait avoir désigné un enclos circulaire[21],[22]. Une autre hypothèse plus convaincante est que le nom signifie, par contraction, « trève de saint Conogan », la commune étant effectivement une ancienne trève de la paroisse de Plévin[20] ; d'ailleurs un ruisseau qui parcourt la commune porte le nom de « ruisseau de Saint-Conogan », l'église paroissiale lui est dédiée et un hameau de la commune est dénommé "Beuzit", nom qui fait penser à Conogan de Beuzit, autre nom de saint Conogan.

    Histoire

    Antiquité

    La voie romaine allant de Quimper à Corseul via Vorgium (Carhaix) passait par Tréogan[23].

    Moyen Âge

    Issue d'un démembrement de la paroisse de l'Armorique primitive de Plévin, la paroisse eut initialement son centre au lieu-dit Coz-Tréogan, situé au sud du bourg actuel, en lisière de la forêt de Conveau.

    En 1356, Jean, seigneur de Tréogan, avait une compagnie noble au service du roi Charles V. Les manoirs nobles de Pencoz, Kerleaugui, Kerfredin, Keraslan et le Mengui existaient à cette époque à Tréogan[24].

    Époque moderne

    Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges : le , des paysans de Plévin et Tréogan contraignirent les moines de l'abbaye de Langonnet à accepter le retour aux anciennes coutumes pour la mesure censive de l'abbaye et les droits de lods et ventes[20].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tréogan en 1778 :

    « Tréogat [en fait Tréogan], dans un fond, à dix lieues un tiers à l'est-nord-est de Quimper, son évêché, à 31 lieues de Rennes et à 1 lieue deux-tiers de Gourin, sa subdélégation. Cette paroisse relève du Roi, ressortit à Carhaix et compte 550 communiants[25] ; la cure est à l'alternative. Le territoire n'est composé que de monticules nommés les Montagnes Noires, qui forment une chaîne depuis Évran jusqu'à Crozon, de manière que la plus grande partie du terroir est absolument inculte ; on y vit en outre la forêt de Conveau qui a deux lieues de circuit[24]. »

    .

    Révolution française

    Tréogan fut érigée en commune en 1790, mais ensuite rattachée à nouveau à Plévin jusqu'en 1844.

    XIXe siècle

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tréogan en 1845 :

    « Tréogan (sous l'invocation de saint Conogan), commune formée par l'ancienne paroisse du même nom. (...) Principaux villages : Kernon, Kerleur, Kerfrère, Kervern, Kergrec'h, Keralain, le Buzit, Hallegulen, Ty-Douvou. Superficie totale : 18 ha 84 ares dont (...) terres labourables 312 ha, prés et pâtures 72 ha, bois 12 ha, vergers et jardins 18 ha, landes et incultes 278 ha (...) Moulin-Blanc, à eau. Cette commune n'a pas de succursale, le desservant de Plévin bine [dessert les deux paroisses] avec celui de Tréogan. Géologie : schiste argileux. On parle le breton[26]. »

    La portion de la route royale n° 169 (actuelles routes départementales n°1 du Morbihan et n° 3 des Côtes-d'Armor) allant de Tréogan via Conveau et Gourin à la limite départementale du Finistère en passant par Roudouallec, fut le dernier tronçon de l'axe routier allant de Quimper à Saint-Brieuc à être aménagé à partir de 1846[27].

    Un malheureux fait divers survenu le , une tentative d'assassinat d'une domestique par la femme qui l'employait, affaire dénommée dans les journaux « Le mystère de Tréogan », montre qu'à l'époque la plupart des habitants de Tréogan ne parlaient que le breton : parlant des témoins lors du procès qui se tint en , Le Petit Journal écrit : « On entend ensuite plusieurs habitants de Tréogan. Un interprète doit traduire les dépositions de la plupart d'entre eux »[28].

    XXe siècle

    Le monument aux morts de Tréogan.

    Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Tréogan porte les noms de 22 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux, un (Guillaume Briand[29]) est mort en Belgique dès 1914 ; un (Yves Daniel) est mort en captivité en Allemagne ; les autres sont décédés sur le sol français dont trois portant le même nom de famille (François Fraval, Jean Fraval, Nicolas Fraval)[30].

    Héraldique


    De gueules à trois coquilles d'or.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1959 octobre 1973 Ernest David PCF Conseiller général du canton de Maël-Carhaix
    (1961-1973)
    janvier 1974 mars 1983 Jean Goacolou SE, proche du PCF* Agriculteur
    mars 1983 en cours Honoré Lescoat DVD[31],[32] Agriculteur retraité
    Les données manquantes sont à compléter.
    • Jean Goacolou a parrainé la candidature de Georges Marchais pour l'élection présidentielle de 1981 (réf. JO du ).

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 101 habitants[Note 7], en augmentation de 2,02 % par rapport à 2013 (Côtes-d'Armor : +0,42 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    193243284240286301295308307
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    289311290264307298336373405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    418424381362322307309282233
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    18616816016213811910310199
    2017 2018 - - - - - - -
    100101-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Conogan.
    • Le calvaire du Buzit ;
    • Salle polyvalente.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Carhaix - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tréogan et Carhaix-Plouguer », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Carhaix - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tréogan et Quéven », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lorient-Lann Bihoue - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    20. http://www.infobretagne.com/treogan.htm
    21. Le patrimoine des communes des Cotes-d'Armor, t. 2, Charenton-le-Pont, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », (ISBN 978-2-84234-030-8).
    22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Editions Jean-Paul Gisserot, (lire en ligne), p. 82.
    23. http://fr.topic-topos.com/patrimoine-treogan
    24. Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist04og
    25. Personnes en âge de communier
    26. A. Marteville et P. Varin, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 2, 1845, consultable https://books.google.fr/books?id=9o8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwj_u6zXpenSAhVLLsAKHXgyCmkQ6wEIHTAA#v=onepage&q=Tr%C3%A9ogan&f=false
    27. "Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général du Morbihan", 1846, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5807098t/f61.image.r=Roudouallec?rk=85837;2
    28. Le Petit Journal, n° du 15 avril 1896, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k613858h/f2.image.r=Tr%C3%A9ogan?rk=21459;2
    29. Guillaume Briand, né le à Gourin, soldat au 36e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Châtelet, décoré de la Croix de guerre
    30. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=34450
    31. « Résultats municipales 2020 à Tréogan », sur lemonde.fr (consulté le ).
    32. Présentateur de Marine Le Pen pour l'élection présidentielle française de 2012 : JORF n°0078 du 31, mars 2012 page 5810, texte n° 1, « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République (1) », NOR: CSCX1209092K
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. http://fr.topic-topos.com/eglise-saint-conogan-treogan
    38. http://fr.topic-topos.com/vierge-a-lenfant-treogan

    Voir aussi

    Liens externes

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