Trélans

Trélans est une commune française, située dans le département de la Lozère en région Occitanie.

Trélans

La croix du Pal.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn
Maire
Mandat
Christian Cabirou
2020-2026
Code postal 48340
Code commune 48192
Démographie
Gentilé Trélandais
Population
municipale
91 hab. (2018 )
Densité 3,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 30′ 01″ nord, 3° 05′ 34″ est
Altitude Min. 714 m
Max. 1 469 m
Superficie 23,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Peyre en Aubrac
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Trélans
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Trélans
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Trélans
Géolocalisation sur la carte : France
Trélans

    Géographie

    Localisation

    Située dans le sud-ouest du département de la Lozère, la commune est limitrophe du département de l'Aveyron et est située dans le Massif central en Aubrac. C'est dans la partie nord de cette commune à la forme très allongée que se situe le point culminant de cette région : le signal de Mailhebiau.

    Voies de communication et transports

    La commune est accessible par la route départementale 56. Par ailleurs, elle est traversée par le Sentier de grande randonnée 6 (GR 6) qui constitue alors une variante du chemin de Saint-Guilhem-le-Désert.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Trélans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (46,3 %), prairies (21,9 %), forêts (18 %), zones agricoles hétérogènes (10,2 %), terres arables (3,6 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Moyen Âge

    En dehors de son histoire commune avec l'Aubrac, Trélans, selon le cartulaire de Conques, fut avec Campagnac, au XVIe siècle, une des deux annexes du prieuré Saint-Sauveur-de-Perse (près d'Espalion en Aveyron).

    La seigneurie de Trélans appartient, d'environ 1350 jusqu'en 1623, à la famille chevaleresque de Nogaret, originaire du château de Nogaret (sur la commune de Saint-Pierre-de-Nogaret). Noble Ramon de Nogaret, de Trélans, donne quittance en 1371 (AD 12, E1124). Pons de Nogaret, seigneur de Trélans, fils de Guillaume, se marie vers 1380 avec Chaberte de Rochemure, fille d'Aymon. En , Ponset de Trélans fait partie des 190 hommes d'armes passés en revue par le bailli de Rodez au nom du comte d'Armagnac (Mémoire de la société des lettres de l'Aveyron, 1879).

    Par lettres royales de , Jean de Nogaret, chevalier seigneur de Trélans, obtient la permission de continuer la fortification de Trélans, commencée par feu Pons de Nogaret, son père (Le Languedoc dans le Trésor des Chartes, n°3718). Son fils Amans de Nogaret, seigneur de Trélans, achète le château de Caylaret (Rouergue) vers 1470. Jean de Nogaret, seigneur de Trélans, épouse avant 1526 Jeanne de Pesteils, fille de Louis, seigneur de Merle et de Blanche de Beaune (quittance de noble Jean de Nogaret, mari de Jeanne de Pestels à Guy de Nogaret, camérier de St Théofred du Puy, au sujet de la succession de Pons de Nogaret seigneur de Duriane, 1536, AD 12, E1399).

    Leur fils Guy alias Guion de Nogaret, seigneur de Trélans et Caylaret, épouse vers 1540 Françoise de Gozon, fille de Jean IV de Gozon, seigneur de Mélac, et de Marthe de Teinturier. Guyon est fait chevalier de l'ordre de Saint-Michel le et décoré le dans la cathédrale de Mende des mains du baron de Cénaret. Il fut un grand guerrier catholique, fidèle au parti royal pendant les guerres de religions et le roi Charles IX lui confia la garde du château de Polignac le  ; le , le roi Henri III lui adressa une lettre de satisfaction pour les services rendus (Cabinet des Titres, Ordre de St Michel, sur Gallica).

    Alexandre de Nogaret de Trélans, connu sous le nom de "Capitaine Trélans", "le jeune Trélans" (Histoire des choses mémorables advenues depuis l'an 1547 par Jean de Serre) ou "Trélans puiné" (Théodore de Bèze, T III lib X p191) semble être un frère ou un fils cadet de Guyon de Nogaret. Il est généralement confondu avec Claude de Nogaret, fils de Guyon, dont on parlera ci-dessous. En 1562, Alexandre de Trélans et sa troupe d'hommes d'armes reprennent par surprise la ville de Mende aux protestants. Il se titre "lieutenant pour le Roy à la présente cité de Mende pour la religion chrétienne" (Documents relatifs à l'histoire du Gévaudan, soc des lettres de la Lozère, 1885, page 47 et 48). En , ce catholique intransigeant assassine par pendaison Durand de Pomeyrols et François de Guirard sieur de Toulongeac, conseillers au présidial de Rodez qui avaient été députés par le syndic du Rouergue pour négocier la paix avec les chefs huguenots qui menaçaient Villefranche. À la suite de cet attentat, le Sénéchal de Rouergue députe le son premier conseiller pour instruire de ces deux meurtres, faire procès jusqu'à sentence et remettre le meurtrier aux commissaires députés au pays de Guyenne pour la pacification des troubles de la religion.

    Claude de Nogaret, "fils unique" de Guyon de Nogaret, épouse le Antoinette de Lestang, héritière de la vicomté de Frayssinhes et de la seigneurie de La Bastide Teulat (AD 12, E 497). Le , huit cent catholiques conduits par le vicomte de Trélans, seigneur de la Bastide Teulat (donc Claude), s'emparent par surprise du château de Plaisance (Rouergue) qui appartient aux Castelpers, chefs calvinistes, mais il en est délogé le même jour (Mémoires de la société des lettres de l'Aveyron, 1874). Il achète le château de Cruejouls vers 1600. Il vend Trélans en 1603 à Me Daniel Barrau, sieur de Chardonnet, greffier de la cour royale de Marvejols (AD 48, 3E 10112, f°45, quittance du 7/04/1603). Claude de Nogaret meurt vers 1610. Son fils aîné Pierre de Nogaret, vicomte de Frayssines, La Bastide Teulat, seigneur de Cruejouls, semble rentrer en possession de tout ou partie de la seigneurie de Trélans (AD 12, 3E14347, accord du 23 07 1614 avec son frère cadet Charles de Nogaret).

    Le conflit entre les Retz et les Nogaret

    Les Retz viennent d'Écosse en France au XVe siècle avec les compagnies envoyées par Charles Stuart au roi Charles VII pour lutter contre les Anglais. Ils se fixentt alors en France où ils essaiment en plusieurs branches[8] .

    Une branche s'établit en Gévaudan : Jacques de Retz de Bressoles seigneur de Villeneuve, achète la seigneurie de Trélans en 1623 à Charles de Nogaret devant Maître Verdier notaire à Servières (d'après les travaux de Roux et Serpentier au sujet des Nogaret, publiés par la Société des Lettres de Lozère, mais le registre de ce notaire est manquant aux AD de Lozère pour cette année là). Il s'ensuit une véritable vendetta entre les Nogaret et les Retz : il semble que les Nogaret aient voulu récupérer la seigneurie de Trélans. Les Grands jours du Puy en 1666, session extraordinaire du Parlement de Toulouse diligentée par le pouvoir royal, décrivent un conflit très violent entre les deux familles.

    L'arrêt du récapitule en détail les différentes accusations pesant sur les uns et les autres depuis les années 1650[9]. L'historien anglais de l'université d'York, Stuart Caroll s'est intéressé à ces luttes dans son ouvrage : " Blood and violence in Early Modern France" [10]. C'est une longue litanie de "crimes et excès divers : meurtres et cruautés, vols, incendies, enlèvements, rébellions, impiétés, sacrilèges, enlèvements de bestiaux, concussions...". Au sommet de cette pyramide de la violence, voici d'abord François de Nogaret avec ses partisans parmi lesquels figure le curé du village Pierre Massebeuf. "Il a assassiné et coupé en morceaux le sieur de Longuesagne François de Retz et jeté dans le lac d'Albrac" (appelé de nos jours lac de Born).

    Du côté des Retz, une figure féminine domine toutes les autres par sa violence, sa hardiesse et son endurance. Il s'agit de Marguerite de Retz, sœur de François. Elle n'a que 15 ans lorsqu'en 1656, elle est déjà accusée par François de Nogaret de différents excès que malheureusement la Cour des Grands Jours ne détaille pas ! Trois ans plus tard, avec ses partisans, le jour de la Saint Laurent, elle commet un sacrilège dans l'église de Trélans : "et encore pour avoir enlevé de l'autel le curé du dit Trélans pendant qu'il célébrait la sainte messe et même revestu des habits sacerdotaux, devant la porte du château, attaché à la palissade où il demeura dans cet état tout le jour et jusqu'à ce qu'il trouve moyen de couper les cordes...".

    Elle est plusieurs fois enfermée dans la prison des Hauts-Murats à Toulouse. En 1666 elle est conduite depuis Toulouse jusqu'à la prison de la Conciergerie du Puy pour y être jugée par le tribunal des Grands Jours. Plusieurs fois libérée, on la trouve durant ces périodes à la tête de la garnison du château de Trélans. Dès 1664, elle est veuve de son premier mari Jean de Laurens avec qui elle a eu au moins deux enfants : Pierre seigneur de la Roque et Henri seigneur du Ferréol [11]. Elle épouse en seconde noces Pierre de Roux [12].

    Son destin continue à être marqué par de nombreux et longs procès. Procès repris en 1680 sur ordre de Louis XIV : " Le parlement de Toulouse a commencé le procès à Madame de Trélans ; c'est un grand exemple pour le pays de Gévaudan où elle a commis beaucoup de violences et de concussions " [13]. Ce procès aboutit finalement à un arrêt du Parlement de Toulouse du (cité ci-dessus) qui la condamne au bannissement du royaume et à la confiscation de tous ses biens. La Cour ordonne également que : "sur les biens confisqués sera distrait la somme de 6000 livres envers les habitants des dits lieux de Trélans, Noublous et Saint Pierre de Nogaret... eu égard à ce qu'ils ont souffert de violences, exactions et oppressions de la dite de Retz de Trélans". Mais ce n'est pas tout ! "et en outre ordonne la dite Cour que la maison de Trélans sera rasée et démolie avec ses dépendances à hauteur de deux pieds sur terre...". Voilà un document qui nous renseigne enfin sur la disparition du château de Trélans ! Disparition des fortifications sans aucun doute. Quant à la maison d'habitation ? La double cheminée qu'on peut voir encore aujourd'hui dans la maison édifiée plus tard sur les ruines du château, laisse penser que le "razement" n'a été que partiel.

    Grâce à la bibliothèque de Généanet où figure un inventaire des archives de Seine et Marne, on trouve l'acte de décès de Marguerite de Retz dans les registres paroissiaux de Fontainebleau en 1683, elle est alors âgée de 39 ans. Pourquoi cette mort à Fontainebleau alors qu'elle est censée avoir quittée le royaume ? Le Roi a-t-il accordé une lettre de grâce rémission et pardon ? En tout cas, on sait que plus tard il fera don aux enfants de Marguerite des biens confisqués à leur mère. Quant à Pierre de Roux, il meurt en 1684, âgé de 48 ans dans la prison des Hauts-Murats à Toulouse et il est enterré à Saint Sauveur[14] .

    La vente de la seigneurie de Trélans par les héritiers de Marguerite et Pierre de Roux

    Le couple a eu six enfants qui reçoivent en héritage la seigneurie de Trélans et Villeneuve. En 1709, ils vendent Villeneuve à César de Grolée comte de Peyre[15]. Une de leur fille Élisabeth de Roux épouse Louis de Launay, comte d'Antraigues en 1690. C'est leur petit-fils Louis Alexandre de Launay comte d'Antraigues qui vend la seigneurie de Trélans à Marianne Deltour et Étienne Grousset, bourgeois des Hermaux, en 1775 pour la somme de 44 850 livres [16]. Louis Emmanuel est un personnage élégant, séduisant et cultivé. Il a eu une vie très romanesque qui n'est pas sans rappeler celle de son arrière-grand-mère Marguerite de Retz, la violence en moins, la diplomatie en plus ! Plusieurs biographies lui ont été consacrées.

    Marianne Deltour et Étienne Grousset, bourgeois et seigneurs

    Nous avons là typiquement une famille représentative de l'ascension de la bourgeoisie en cette fin de siècle, qui souvent se substitue à la noblesse ancienne par l'acquisition des propriétés seigneuriales. Étienne Grousset, fils de marchands de Saint-Germain du Teil, a acheté les terres de Bosses et La Bessières près de Trélans. Il est également seigneur de Boos et Salmon près de la Canourgue. Il épouse en 1740 Marianne Deltour, fille d'un paysan aisé du Maynal, paroisse de Canet d'Olt. Elle achète la seigneurie de Trélans. Le couple n'a pas d'enfants : c'est leur neveu et nièce, autres Étienne Grousset et Marianne Deltour qui seront leurs héritiers. En 1829, ils vendront le domaine de Trélans conservé par la famille à Joseph Sinègre.

    Cette famille compte quelques personnages illustres : le neveu Étienne Grousset figure dans la liste de Marc-Antoine Charrier, notaire de Nasbinals, qui dirigea une armée contre-révolutionnaire. Plus tard René Grousset (1885-1952), historien, orientaliste, académicien, deviendra conservateur des musées Guimet et Cernuschi à Paris.

    Révolution et Empire

    La paroisse de Trélans fut relativement épargnée par la persécution révolutionnaire. Le danger venait en général de Saint Géniez d'Olt, ville d'industrie lainière dominée par des révolutionnaires radicaux. Le curé Bonnaterre et son vicaire Jarrigion refusèrent tous deux de prêter serment à la Constitution Civile du Clergé. Ils durent parfois se déguiser en paysans et se cacher dans des troncs de châtaigniers. L'église fut fermée au culte comme partout. Mais la messe continua à être célébrée clandestinement dans des maisons ou des granges de la paroisse. Avec la proclamation de la République le , la tenue des registres d'état civil est retirée au clergé et confiée aux agents municipaux. Ceci n'empêcha nullement le curé Bonnaterre et son successeur le curé Fournier de continuer à tenir les registres paroissiaux jusqu'en 1824 ! Avec le nouveau découpage administratif, Trélans devient une commune du département de la Lozère et de l'arrondissement de Marvejols, canton de Saint Germain du Teil. Au moment de la vente des biens nationaux, Joseph Sinègre, ancien fermier de l'abbaye d'Aubrac, achète le domaine de Plagnes. L'enclos presbytéral de Trélans est démantelé, les terrains sont vendus à des particuliers et le presbytère devient propriété de l'État puis de la Commune qui continue à y loger les curés moyennant paiement d'un loyer.

    Époque Contemporaine

    Le , un avion bimoteur de type CASA C-295 de fret militaire algérien s'est écrasé sur le territoire de la commune. L'accident a fait six morts : deux militaires et quatre civils représentant la banque d'Algérie, pour laquelle l'appareil effectuait une opération d'acheminement de matériel.

    Politique et administration

    Liste des maires de Trélans
    Période Identité Étiquette Qualité
    (maire en 1981)[17]   Claude Cabirou    
    2001 2008 Christian Cabirou    
    2008 En cours Bertrand Cayrel DVD Agriculteur[18]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2018, la commune comptait 91 habitants[Note 2], en diminution de 7,14 % par rapport à 2013 (Lozère : −0,11 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    486429629540463444463448481
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    424397389433371392415375359
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    352327297269271287262230222
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    21019216414112711310310298
    2017 2018 - - - - - - -
    9291-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. Vicomte de Lescure, Armorial du Gévaudan, Lyon, André Badiou Amand, .
    9. AD Haute-Garonne 1 B 92 M folio 78
    10. (en) Stuart Carroll, Blood and violences in Early Modern France, Oxford University Press, .
    11. AD Aveyron 3E 13219 et 3E 13221
    12. AD Haute-Garonne 1B 1055 arrêt Parlement de Toulouse 28 avril 1682
    13. Archives Nationales G7 112/390 Lettre de l'Intendant du Languedoc d'Aguesseau au Contrôleur Général du Roi
    14. Claudie Dussert, « Les prisons de la Conciergerie de Toulouse ».
    15. AD Lozère 3E 431
    16. AD Lozère 3E 6887
    17. https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000000850614
    18. https://www.lemonde.fr/languedoc-roussillon-midi-pyrenees/lozere,48/trelans,48192/
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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