Sorel-Moussel

Sorel-Moussel est une commune française du département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Pour les articles homonymes, voir Sorel.

Sorel-Moussel

L'église Saint-Roch du Moussel
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Gilbert Galland
2020-2026
Code postal 28260
Code commune 28377
Démographie
Population
municipale
1 783 hab. (2018 )
Densité 139 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 31″ nord, 1° 22′ 59″ est
Altitude Min. 64 m
Max. 137 m
Superficie 12,8 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Ézy-sur-Eure
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Sorel-Moussel
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Sorel-Moussel
Géolocalisation sur la carte : France
Sorel-Moussel
Géolocalisation sur la carte : France
Sorel-Moussel
Liens
Site web http://mairiedesorelmoussel.fr

    Elle inclut le site préhistorique réputé de Fort Harrouard au bord de l'Eure.

    Géographie

    Situation

    La commune de Sorel-Moussel se situe dans le nord du département d'Eure-et-Loir, aux confins des régions Centre-Val de Loire, Normandie et Île-de-France. Elle est limitrophe du département de l'Eure à l'ouest, avec le département des Yvelines à 15 km à l'est. Elle se trouve à environ 14 km km au nord de Dreux, 52 km au nord de Chartres, 82 km à l'ouest de Paris et 92 km au sud de Rouen.

    Communes limitrophes

    Hameaux et écarts

    Bordée au nord et à l'ouest par la rivière Eure, elle est constituée d'un grand nombre de hameaux :

    • le Bailly
    • la Boissière
    • la Briquetterie
    • La Charmoie
    • les Christophes
    • les Duvaux
    • la Ferme Brûlée
    • Ficelle (ferme)
    • Hauterive
    • les Hauteurs, incluant :
      • Beauregard
      • les Rousseaux
      • les Sorniers
    • les Hoguets
    • les Hues
    • les Maisons Neuves
    • la Malignerie
    • les Maries (Hautes et Basses)
    • le Moussel (Saint-Roch)
    • le Pied des Côtes
    • La Poussarderie
    • la Robertière
    • Sorel
    • le Terrier
    • La Vallée aux Loutres
    • les Vieilles Ventes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 619 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de , mise en service en 1996[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 635,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Évreux-Huest », sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 25 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[13] à 10,8 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,2 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Sorel-Moussel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Ézy-sur-Eure, une agglomération inter-régionale regroupant 7 communes[19] et 12 493 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,7 %), terres arables (30,3 %), zones urbanisées (17,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), prairies (1,1 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Au XIIe siècle, Sorel était une succursale de la paroisse du Moncel (aujourd'hui Moussel)[26].

    Sorel est attesté sous la forme Sorellum en 1104[27]. Sorel est un nom de famille assez fréquent dans la Normandie voisine, dérivé de sor, saur, roux, fauve, sobriquet d’après la couleur des cheveux.

    Moussel (Moncel) est attesté sous la forme « ecclesia sancte Marie de Moncellis cura capella de Sorel »[28]. Moussel est un toponyme désignant le plus souvent une petite colline (variante de moncel, monceau).

    Histoire

    Bol ou louche façonnée dans un os iliaque de bison
    • En bordure de l'Eure dans le sud-ouest de la commune, se trouve le site archéologique de Fort Harrouard, un village agropastoral du Néolithique. Lors des fouilles, du mobilier a été découvert (voir photos).
    La première présence humaine avérée sur la commune de Sorel-Moussel remonte donc au Néolithique.
    • Le fief de Sorel est détaché du domaine royal au Xe siècle au profit des seigneurs du Thymerais. Il y est réintégré après la mort en 1248 de Jean de Châteauneuf, fils de Hughes III, baron de Châteauneuf-en-Thymerais, et d'Aliénor de Dreux.
    • Entre le et le , plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[29], dont Sorel-Moussel[30]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[31]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[32].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1979 Jean Moreau    
    1979 2017 Norbert Maître UMP-LR Retraité
    septembre 2017 En cours Gilbert Galland[33],[34]   Ancien cadre

    Population et société

    Démographie

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    913762946846881869860892875
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9021 0531 1101 0561 0451 0181 008966939
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    950920934847864840774709720
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    8488228941 0111 3171 4791 7971 7671 798
    2018 - - - - - - - -
    1 783--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Tous les ans a lieu la course cycliste Paris-Sorel (31e édition en 2013). Elle réunit entre 100 et 150 coureurs sur une centaine de kilomètres. Le départ a lieu à Houdan avec passages à Saint-Lubin-de-la-Haye, Berchères-sur-Vesgre, Oulins et Anet. L'arrivée a lieu en haut de la côte Bilbeau (lieu-dit les Hauteurs de Sorel).

    Culture locale et patrimoine

    Château de Sorel

    Porte monumentale du château de Sorel par Mieusement, XVIIe s.

     Classé MH (1862)[37].

    Le château de Sorel a été précédé par une motte du Xe siècle bâtie pour lutter contre les raids vikings. Situé sur le promontoire de Sorel dominant l'Eure en rive droite en aval de Dreux et qui offrait protection contre ces attaques, elle appartenait alors en fief aux seigneurs de Thymerais (Châteauneuf-en-Thymerais).

    La motte se transforme progressivement en forteresse avec l'adjonction d'un donjon et de remparts construits en pierre, et devient la propriété de Gervais[38] († env. 1116), grand sénéchal de France sous Philippe Ier[39]. Au XIIIe siècle Philippe de Dreux, évêque-comte de Beauvais, détruit la forteresse qui est subséquemment reconstruite par son neveu[38].

    Au XIVe siècle la forteresse passe dans les mains de Pierre II d'Alençon (1340 - 1404), puis de la famille de Laval, et pendant le XVe siècle à la famille d'Albret. Sous Louis XI elle est un élément-clé de la défense de l'Île-de-France contre les attaques des Anglais[38].

    Au XVIe siècle le château, devenue une résidence de plaisance, passe à Pierre Séguier (1504-1580), fondateur de la famille Séguier, l'une des plus puissantes familles de robe de l'Ancien Régime. Le fils de Pierre Séguier en hérite ; mais étant passé dans le camp de Henri de Navarre, protestant et futur Henri IV, la Ligue catholique détruit le château. Son héritier fait rebâtir le château au XVIIe siècle, sous sa forme actuelle ; le portail fort remarqué est quant à lui construit par la génération suivante[38].

    Pendant les XVIIe et XVIIIe siècles, la demeure passe au duc de Luynes, à la famille Dyel du Parquet, au financier Antoine Crozat (1655-1738), à Louis-Charles de Bourbon prince d’Anet et comte de Dreux, à la princesse Anne de Condé, à la duchesse du Maine, au prince de Dombes et au comte d’Eu puis duc de Penthièvre (1725 - 1793). Mais ces siècles voient le déclin du château au profit du château d'Anet qui avait appartenu à Diane de Poitiers, maîtresse d'Henri II. Il est même question de livrer le château aux marchands de pierre et autres matériaux - ce qui finit par arriver avec la Révolution. Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon (1753-1821), fille du duc de Penthièvre, revient d'exil lorsque Napoléon tombe et en rachète les ruines en 1820. Son fils le roi Louis-Philippe en hérite mais la chute de la monarchie de juillet amène la confiscation des biens de la famille d’Orléans en 1848[38].

    Ce qui reste du château (le pavillon de chasse du XVIIIe siècle et le portail) est classé monument historique en 1862 et est ainsi préservé d'une disparition complète. En 1872 la propriété passe à la famille d’Orléans, qui en fait restaurer une partie à l’identique. Cependant, très endommagé lors des deux guerres précédentes le « Vieux Château » n'est plus habité ; et le pavillon rescapé a été vandalisé et laissé pour compte aux intempéries et à la végétation. En 1952, le comte Olivier-Pomponne de Bazelaire (fils du général de Bazelaire de Ruppierre), architecte des bâtiments du « comte de Paris », acquiert de ce dernier la propriété, envahie de décombres et de végétation, pour le prix de la coupe de quelques arbres du parc. Il y fait réaliser d'importants travaux de réhabilitation, dont les douves sèches le « Pavillon des Oiseaux » et la remise en état du parc. Le propriétaire actuel (2016) est son petit-fils[38],[40].

    Enceinte préhistorique du Fort Harrouard

     Classé MH (1934)[41].
    Le site archéologique du Fort Harrouard a été occupé dès le Néolithique. Son occupation s'est poursuivie pendant l'âge du bronze et au-delà.

    Dolmen et polissoir

    Dolmen et polissoir de la Ferme Brûlée.

     Inscrit MH (1951)[42].

    Lieu-dit la Ferme Brûlée.

    Forêt domaniale de Dreux

    La forêt de Dreux occupe une grande partie du territoire de la commune, avec un massif couvrant la limite Est (96 hectares), un traversant de part en part le centre de la commune (150 hectares), et un troisième en limite Ouest (191 hectares). Elle est classée forêt de protection depuis 2004.

    Divers

    • Les papeteries Firmin Didot sont situées sur trois sites au bord de l'Eure : Saussay, Sorel et le Moussel. Ces papeteries, partiellement détruites en 1987[43] et faisant partie du patrimoine architectural industriel de la commune, ont été aujourd'hui reconverties en locaux d'activités pour les artisans et les PME (Espace Didot).
    • L'église Saint-Nicolas de Sorel (XVIe siècle)
    • L'église Saint-Roch du Moussel (XVIIIe siècle).
    • Le lavoir.
    • Non loin de Sorel, en forêt de Dreux, sur la commune d'Abondant, se trouve le château de la Robertière qui fut édifié par Robert Ier, comte de Dreux.
    • À l'époque moderne, la forêt de Dreux aux alentours de Sorel était également appelée forêt de Crotais. Ce toponyme a probablement donné naissance au nom de Croth, le village voisin situé sur l'autre rive de l'Eure.
    Le sentier de grande randonnée 22 qui relie Paris au Mont Saint-Michel[44] passe en forêt de Dreux sur la commune de Sorel-Moussel, en limite de communes avec Rouvres.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Bu_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Sorel-Moussel et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Bu_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Sorel-Moussel et Huest », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique d'Évreux-Huest - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Unité urbaine 2020 d'Ézy-sur-Eure », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 17.
    27. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 1293.
    28. Mémoires de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 19.
    29. Jeanine Sodigné-Loustau, L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre, Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    30. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    31. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    32. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    33. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Ruines du château du 17e siècle », notice no PA00097215, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Château de Sorel, Histoire et découverte du site sur intohistory.com.
    39. J.M. Quérard, Le Moniteur de la librairie: mémorial universel des publications françaises anciennes et modernes, troisième année. Paris, 1844. p. 517.
    40. Histoire du château de Sorel sur chateau-de-sorel.com.
    41. « Enceinte préhistorique du Fort Harrouard », notice no PA00097217, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Dolmen et polissoir », notice no PA00097216, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    43. Articles de "Paris Normandie" des 28 et 28 février 1987.
    44. GR 22 sur gr-infos.com.
    45. Vallée de l'Eure de Maintenon à Anet et vallons affluents, site Natura 2000 n° FR2400552.
    46. André Fourny, Dictionnaire de la boxe, Paris, Perrin, , 582 p. (ISBN 978-2-262-04294-3), p. 362.
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