Sens-de-Bretagne

Sens-de-Bretagne [sɑ̃s də bʁətaɲ] (Sen en breton, Santz en gallo)est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 560 habitants[Note 1].

Pour les articles homonymes, voir sens.

Sens-de-Bretagne

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Ille-Aubigné
Maire
Mandat
Bernard Louapre
2020-2026
Code postal 35490
Code commune 35326
Démographie
Gentilé Sénonais
Population
municipale
2 560 hab. (2018 en augmentation de 0,04 % par rapport à 2013)
Densité 83 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 20′ 01″ nord, 1° 32′ 10″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 107 m
Superficie 30,82 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Val-Couesnon
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Sens-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Sens-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : France
Sens-de-Bretagne
Géolocalisation sur la carte : France
Sens-de-Bretagne
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    La commune est dans le département d'Ille-et-Vilaine, au nord de Rennes.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Cadre géologique

    Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Sens-de-Bretagne, Bécherel, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de 150 km (d'Alençon à la Rance) sur 90 km (de Vitré à Vire)[1].

    Sens-de-Bretagne est localisée dans le domaine nord armoricain, dans la partie orientale du Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Sens-de-Bretagne se situe plus précisément à l'extrémité occidentale d'un important massif granitique cadomien, le pluton dit de Louvigné-Gorron (connu localement sous le nom de granite de Louvigné-du-Désert[2]) limité au sud par un bassin sédimentaire essentiellement briovérien. Ce pluton fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien[3]. Le territoire sénonais est ainsi constitué d'un plateau de 80 mètres d'altitude, correspondant au massif granitique occidental allongé W.NW—E.SE, faisant partie du massif de Louvigné-du-Désert qui représente un des apex affleurants du batholite mancellien, et au Sud, un plateau de 100 mètres d'altitude et qui correspond à ce bassin sédimentaire[4].

    L'histoire géologique de la région est marquée par la chaîne cadomienne. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par le cycle cadomien. Cette chaîne montagneuse, qui devait culminer à environ 4 000 m, donne naissance à des massifs granitiques (batholite côtier nord-trégorrois, granite de Saint-Brieuc, immense batholite mancellien formé de nombreux plutons granitiques) produits par le surépaississement crustal. Ces intrusions vers 540 millions d'années, de magmas granitiques issus du vaste batholite mancellien, développent un métamorphisme de contact : le refroidissement des masses granitiques à des températures de l'ordre de 700 °C et à des profondeurs de l'ordre de km dans l'écorce terrestre, font que les schistes briovériens, tendres et friables, sont transformés par « cuisson », variable selon la distance du massif granitique : intense et forte à proximité, cette cuisson donne les cornéennes, roches dures et compactes ; moindre et atténuée à quelques kilomètres du massif, elle donne des schistes tachetés (d'où une double auréole de cornéennes et de schistes tachetés dans le bassin sédimentaire)[5]. Ce thermométamorphisme développé par l'intrusion du granite a ainsi provoqué la cristallisation de minéraux nouveaux (biotite, andalousite), soulignant l'ancien litage sédimentaire. Ces deux roches magmatique (granite) et métamorphique (cornéenne, schiste tacheté) affleurent à la suite de longs processus d'érosion qui ont aplani les reliefs anciens[6],[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 785 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Feins Sa », sur la commune de Feins, mise en service en 2005[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 811,6 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 33 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[18], à 12,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Sens-de-Bretagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,6 %), terres arables (30,5 %), prairies (17 %), forêts (8,5 %), zones urbanisées (3,5 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[27].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia de Sens en 1092, parochia de Censibus en 1516[28].

    Sens-de-Bretagne semble venir du latin Sensum, « direction[28], le chemin »[source insuffisante].

    Le locatif -de-Bretagne est ajouté en 1888[29].

    Histoire

    Jusqu'en 1790, la commune dépend de la juridiction royale de Bazouges-la-Pérouse puis devient chef-lieu de canton du district de Dol, canton qui regroupe Feins, Gahard, Romazy et Vieux-Vy-sur-Couesnon. En 1800, la commune de Sens-de-Bretagne est rattachée au canton de Saint-Aubin-d'Aubigné. La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[30]. D’autres fêtes sont célébrées, comme l’anniversaire de la fondation de la Ire République ; d’autres fêtes sont plus confidentielles, à la fois par manque de fonds pour les organiser et parce qu’elles ne correspondent pas dans le calendrier à une fête d’Ancien Régime, comme la fête de la Reconnaissance (suivie uniquement par la troupe présente à Sens) ou la fête de l’Agriculture[31].

    Au milieu du XXe siècle, mairie et écoles se construisent[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Blasonnement :
    Burelé d’or et de gueules de dix pièces[32].

    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    vers 1800 11 avril 1819 (décès) Alexandre Louis Poussin du Bourgneuf né Poussin    
    juillet 1819 avril 1848 Joseph-François Dupetitpré    
    avril 1848 février 1852 Aimé Bénis    
    février 1852 juillet 1858 Victor Jéhannin    
    août 1858 août 1860 Théodore-Joseph Dupetitpré    
    août 1860 février 1874 Henri Géniaux   Officier d'académie
    mars 1874 janvier 1887 Pierre Joulain    
    janvier 1887 19 décembre 1889 (décès) Henri Géniaux   Officier d'académie
    janvier 1890 6 août 1891 (décès) Pierre Roussin    
    20 octobre 1891 1919 Émile Louis Beillard   Notaire, chevalier de la Légion d'honneur, conseiller général
    1919 1933 Émile Juhel    
    1934 1945 Francis Briand    
    1945 1945 François Guesdon    
    1945 1977 Francis Briand    
    1977 1995 Gabriel Méhault    
    1995[33] mars 2008 Philippe Daunay    
    mars 2008[34] 25 mai 2020 Yves Colombel DVD Infirmier libéral
    25 mai 2020 En cours Bernard Louapre[35] DVD Commercial retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

    En 2018, la commune comptait 2 560 habitants[Note 7], en augmentation de 0,04 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +4,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3781 4141 4761 5451 6011 6661 7621 7471 986
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9412 0272 0872 0592 1612 1812 1682 0571 920
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7831 8341 7661 5301 5221 4841 4671 3571 363
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 3291 4091 4261 3741 3931 5151 7892 4522 537
    2018 - - - - - - - -
    2 560--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église Saint-Sulpice.
    • Église Saint-Sulpice, édifiée de 1857 à 1860 par l'architecte Anger de La Loriais.

    Activité et manifestations

    La Fest'Yves est depuis 1997 un grand rendez-vous culturel et festif. Claude Potrel, Benjamin Bernier, président de l'association « Séno-Breizh » monte en trois mois la première édition de la Fest Yves / Gouel Erwan en 1997 à Sens-de-Bretagne. Cette fête se déroule depuis tous les ans dans le cadre de la Fête de la Bretagne durant la seconde quinzaine de mai. Elle programme des jeux traditionnels de pays et de la musique bretonne avec des groupes, des bagads et cercles celtiques de grande renommée.

    Les présidents successifs de l'association « Fest Yves Haute Bretagne » qui porte cette fête sont : Benjamin Bernier, Claude Potrel et depuis 2009 Jean Ollivier. Source festyves.fr

    Personnalités liées à la commune

    • Antoine Joseph Frédéric Mangin d'Oins marié à Jeanne Marie Julienne Poussin du Bourgneuf (fille du maire) le à Sens-de-Bretagne. Il a habité rue des Clouyères. Ancien officier d'état-major, conseiller général, député d'Ille-et-Vilaine.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018, légale en 2021.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Carte géologique de la France au 1/50000 Fougères 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5
    2. Ce granite est une roche à grains plurimillimétriques, constituée de 3 minéraux (quartz limpide, feldspath blanc laiteux et un mica noir, la biotite). La particularité de ce granite est de renfermer de nombreuses enclaves noires (les « crapauds » des granitiers) dont l’origine, complexe et variée, est toujours discutée.
    3. De Mancellia, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.
    4. Jacques Bouffette, Sylvain Blais et Jean Hérisset, Promenade géologique à Fougères, Biotope, , p. 4.
    5. Ces deux roches métamorphiques sont exploitées dans la carrière du Gué-Morin à Vieux-Vy-sur-Couesnon. « En fonction de l'état de l'exploitation on peut parfois distinguer des plis isoclinaux resserrés, antérieurs au métamorphisme de contact et résultant de la tectogenèse cadomienne ». Cf Hubert Lardeux et Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 96.
    6. (en) Richard Simon D'Lemos, The Cadomian Orogeny, Geological Society Publishing House, , p. 128.
    7. Hubert Lardeux et Claude Audren, Bretagne, Masson, , p. 30.
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Feins Sa - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Sens-de-Bretagne et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Feins Sa - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Sens-de-Bretagne et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    28. infobretagne, « Étymologie et Histoire de Sens-de-Bretagne », sur infobretagne.com (consulté le ).
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    31. Louis Dubreuil, Fêtes..., p. 401 et 405
    32. « Sens-de-Bretagne Ille-et-Vilaine », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
    33. « Le maire, Philippe Daunay, raccroche », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    34. « Yves Colombel maire sortant prêt pour un second mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Sens-de-Bretagne. La nouvelle équipe municipale a pris ses quartiers », Ouest-France, (lire en ligne).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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